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"Selon une nouvelle étude, le maïs MON810 Bt de Monsanto endommage les intestins des rats" par Claire Robinson

Traduction et compléments de Jacques Hallard

dimanche 1er janvier 2017, par Robinson Claire


ISIAS OGM
Selon une nouvelle étude, le maïs MON810 Bt de Monsanto endommage les intestins des rats
Les chercheurs déclarent que ces résultats contredisent les rapports antérieurs qui étaient rassurants sur les produits génétiquement modifiés [OGM]
L’article original de Claire Robinson, intitulé « Monsanto GM corn MON810 damaged the intestines of rats – new study » a été publié le 24 Novembre 2016 GMWatch ; il est accessible sur le site http://gmwatch.org/news/latest-news/17341-monsanto-gm-corn-mon810-damaged-the-intestines-of-rats-new-study

Ajout d’une ’annexe’ sur les technologies dites « omiques » telles que la génomique et le séquençage de l’ADN à grande échelle

Intestine of rats fed GM corn, showing erosions, fissures, damaged cells

Photos du haut : intestins normaux chez les rats nourris avec du maïs non OGM.

Photos du bas : intestins des rats qui ont été nourris avec du maïs OGM : érosions, fissures, cellules endommagées.

Selon une nouvelle étude, les rats qui ont été nourris avec du maïs MON810 Bt (OGM), pendant seulement 90 jours, ont subi de graves dommages sur les membranes des muqueuses de surface du jéjunum (partie de l’intestin grêle).

Le type de maïs qui a servi à nourrir les rats était ‘MON810:Ajeeb YG’, une version génétiquement modifiée (OGM) de Ajeeb, qui est une variété de maïs localement adaptée et cultivée en Egypte. ‘MON810:Ajeeb YG’ a été développé par Monsanto pour le marché égyptien. Les rats nourris avec l’OGM ont consommé 30% de maïs ‘MON810:Ajeeb YG’. Les rats témoins ont reçu la même quantité de maïs non OGM.

Chez les rats nourris avec l’OGM, certaines zones des structures des villosités dans l’intestin, qui absorbent les nutriments des aliments, ont été endommagées.

Elles étaient déformées et aplaties, avec quelques cellules qui étaient accolées entre elles. Les dégâts peuvent être clairement visibles dans les images incluses dans l’étude [Voir ci-dessus]. Les cryptes (glandes muqueuses) ont été perturbées et les vaisseaux sanguins étaient congestionnés. Des signes d’inflammation - l’infiltration de globules blancs - ont été observés autour de zones de dommages. En outre, les cellules de la muqueuse intestinale étaient de structure anormale.

D’autres signes de dommages incluent une augmentation de la perte de cellules de la muqueuse, un nombre accru de cellules caliciformes sécrétant le mucus, et des taux plus élevés de division des cellules recouvrant les cryptes.

L’étude, réalisée par Marwa Ibrahim, MD et Ebtsam Okasha de la Faculté de médecine de l’Université de Tanta, (en arabe : جامعة طنطا ) en Égypte, a été publiée dans la revue ‘Experimental and Toxicologic Pathology’ (résumé ci-dessous).

Les chercheurs ont conclu que « la consommation de maïs OGM modifie profondément la structure histologique [microscopique] du jéjunum ». Ils ont ajouté : « Les résultats de la présente étude pourraient montrer que, malgré les rapports rassurants sur les produits génétiquement modifiés, le maïs OGM a profondément altéré la structure histologique de la muqueuse du jéjunum à de nombreux niveaux et il a été révélé plusieurs signes alarmants, comme des lésions prolifératives et des lésions érodées et hémorragiques. En plus de plusieurs altérations ultra-structurales décrites ici pour la première fois au niveau du jéjunum sous l’influence du maïs OGM.

Les chercheurs ont appelé à réaliser davantage de recherches pour clarifier les mécanismes par lesquels le maïs ‘MON810:Ajeeb YG’ a exercé cet effet. Les mécanismes possibles incluent un effet dommageable direct sur la muqueuse jéjunale par la toxine Bt (Cry1Ab) présente dans le maïs génétiquement modifié, semblable à ce qui se passe dans l’intestin de d’insectes nuisibles cibles, ou encore un effet indirect par une interruption de la multiplication des bactéries intestinales. Chacun de ces mécanismes pourrait conduire aux changements structurels qui ont été observés sur la muqueuse intestinale.

Que nous dit l’étude ?

Les résultats de cette étude sont dramatiques et significatifs. Cependant, certaines limitations doivent être reconnues. Il s’agit notamment du fait que le maïs témoin n’était pas la variété parentale isogénique non OGM (Ajeeb), mais un maïs non-GM et non-identifié, qui a été utilisé dans la formulation des régimes standard de laboratoire. [2]

En outre, il n’y a pas eu d’évaluation de la présence de contaminants toxiques tels que des mycotoxines et des résidus de pesticides dans les différents régimes. [2] Les deux types de contamination pourraient causer des effets néfastes pour la santé. Pour toutes ces raisons, il n’est pas possible d’attribuer définitivement le dommage subi par les rats nourris avec l’OGM au processus de modification génétique, y compris la toxine Bt. Mais les résultats suggèrent fortement que cela peut être la cause.

C’est particulièrement le cas lorsque cette étude est placée dans le contexte des études antérieures qui portaient sur les effets toxiques de la consommation du même maïs OGM ‘MON810:Ajeeb YG’.

Études antérieures

Deux études antérieures d’alimentation de rats conduites par des scientifiques égyptiens avec le même maïs OGM, ‘MON810:Ajeeb YG’, ont montré une nuisance chez les animaux nourris avec des OGM. Dans ces cas, le témoin de comparaison était la variété parentale Ajeeb non OGM, appropriée, de sorte que les effets indésirables observés chez les rats étaient dus au processus de modification génétique.

Dans la première étude, les rats nourris avec le ‘MON810:Ajeeb YG’ pendant 45 et 91 jours, ont montré des différences dans les poids des organes et du corps, ainsi que dans la biochimie du sang, comparativement aux rats nourris avec la variété parentale Ajeeb non OGM, cultivées côte à côte dans les mêmes conditions. Les auteurs ont noté que les changements pourraient indiquer « des effets sanitaires potentiellement toxiques », ce qui nécessitait une enquête plus approfondie [3].

Dans la deuxième étude, les études histo-pathologiques (microscopiques) par le même groupe de chercheurs ont démontré des effets toxiques dans de multiples organes chez les rats nourris pendant 91 jours. avec le maïs OGM ‘MON810:Ajeeb YG’ Bt. Les effets comprenaient des anomalies et une dégénérescence graisseuse des cellules du foie, une congestion des vaisseaux sanguins dans les reins et une croissance excessive et une nécrose (mort) des villosités intestinales. L’examen des testicules a révèle une nécrose et une desquamation des cellules spermatogonies qui sont à la base des spermatozoïdes et donc de la fertilité masculine [4].

Il est significatif que les résultats de la deuxième étude, à savoir les anomalies cellulaires, la congestion des vaisseaux sanguins et les dommages aux villosités intestinales ont également été retrouvés dans la nouvelle étude qui a été réalisée par les chercheurs Ibrahim et Okasha.

Des témoins de comparaison corrects

Il peut être difficile, voire impossible, pour les chercheurs d’avoir accès aux matériaux vraiment appropriés pour une étude d’alimentation animale sur les plantes génétiquement modifiées : la variété de plante génétiquement modifiée de l’étude et la variété mère non OGM cultivée dans les mêmes conditions. C’est parce que les sociétés de développement des OGM n’ souvent pas mis ces matériaux à la disposition des chercheurs indépendants [5].

Cependant, le fait que le témoin de comparaison correct a été utilisé dans les deux premières études égyptiennes, suggère que théoriquement du moins, il devrait être possible pour d’autres chercheurs d’accéder à la variété mère non OGM, Ajeeb, tout comme le témoin utilisé pour toute étude du maïs ‘MON810:Ajeeb YG’

Apparemment pas de maladie évidente chez les rats nourris avec un OGM

Ibrahim et Okasha ont noté qu’il n’y avait pas de signes évidents de mauvaise santé ou de comportement altéré chez les rats nourris avec un OGM. Ce n’est peut-être pas surprenant, étant donné la durée relativement courte de cette étude d’alimentation de 90 jours. Néanmoins, les animaux étaient atteints, comme le révèle l’examen au niveau histopathologique des tissus intestinaux ; les résultats suggèrent clairement qu’une étude d’alimentation à long terme, sur 2 ans ou plus, devrait être effectuée pour déterminer si les lésions de la muqueuse intestinale qui ont été observées, conduiraient éventuellement à une mauvaise santé manifeste et observable.

En outre, les résultats de cette étude sont un signal clair que tous les essais d’alimentation animale avec des aliments OGM, qui sont utilisés pour justifier les approbations réglementaires, doivent inclure des enquêtes histopathologiques. Actuellement, ce n’est pas obligatoire ni pratiqué régulièrement dans l’expérimentation de routine.

La Commission européenne souhaite voir le maïs MON810 cultivé en Europe

La nouvelle étude apparaît à un moment où la Commission européenne veut voir le maïs MON810 approuvé pour sa culture en Europe, et ceci juste à temps pour la saison de culture 2017. Deux autres types de maïs OGM insecticide Bt : le 1507 de DuPont Pioneer et le Bt11 de Syngenta sont également à l’étude. Les États membres de l’Union Européenne devaient voter sur cette question le 9 décembre 2016. 

Cependant, la totalité de la preuve sur le maïs MON810 montre qu’il ne devrait pas être cultivé plus largement, mais au contraire qu’il doit être retiré du marché. Et toutes les plantes génétiquement modifiées devraient être soumises à des tests appropriés avant leur commercialisation. Cela comprend des analyses ’omiques’ * détaillées, pour révéler des changements involontaires dans l’expression génique, les protéines et les métabolites, ainsi que des essais d’alimentation animale conduite sur une longue durée.

[* Voir à l’annexe une documentation sur les technologies dites « omiques » telles que la génomique et le séquençage de l’ADN à grande échelle].

Note

Mise à jour 24 nov. 2016, 16h35 GMT : Nous venons d’apprendre que le vote sur les trois variétés de maïs génétiquement modifiées proposées pour la culture en Europe a été repoussé au 17 janvier 2017.

Article de référence Effet du maïs génétiquement modifié [OGM] sur la muqueuse jéjunale de rats albinos mâles adultes- Marwa A.A. Ibrahim, MD *, Ebtsam F. Okasha

Experimental and Toxicologic Pathology 68 (2016) 579–588
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27769625

Les plantes génétiquement modifiées (OGM) exprimant des caractères insecticides offrent une nouvelle stratégie de protection des cultures. Le maïs OGM contient des gènes Bacillus thuringiensis (Bt) produisant des endotoxines delta dans toute la plante. L’alimentation peut influencer les caractéristiques du tractus gastro-intestinal, altérant sa fonction et sa structure. Le but de cette étude était d’évaluer l’effet du maïs génétiquement modifié [OGM] sur la structure histologique de la muqueuse jéjunale de rats albinos mâles adultes, en utilisant différentes méthodes histologiques, immunohistochimiques et morphométriques.

Vingt rats albinos mâles adultes ont été divisés en deux groupes égaux : lot témoin et lot de maïs OGM, administré avec 30% de maïs OGM pendant 90 jours. Les échantillons du jéjunum ont été traités pour la microscopie optique et électronique. Une étude immunohistochimique a été réalisée en utilisant un anticorps contre l’antigène nucléaire de la cellule proliférante (PCNA) *. Différents paramètres morphométriques ont été évalués.

[* Voir l’article « PCNA (Proliferating Cell Nuclear Antigen) : un acteur inattendu mais essentiel dans la survie du neutrophile ». Site : http://www.institutcochin.fr/linstitut/evenements/PCNA-Proliferating-Cell-Nuclear-Antigen-un-acteur ].

Les spécimens du groupe de maïs OGM ont présenté différentes formes de changements structurels. On a observé la destruction focale et la perte des villosités en laissant une surface muqueuse dénudée, alternant avec des zones stratifiées, alors que certaines cryptes semblaient complètement perturbées. Des capillaires sanguins congestionnés et une infiltration focale avec des cellules mononucléaires ont été détectés. On a détecté une régulation positive significative de l’expression de PCNA, une augmentation du nombre de cellules caliciformes et une augmentation significative de la hauteur vésicale et de la profondeur des cryptes. On a observé des changements des ultrastructures marqués de certains entérocytes avec une perte focale du bord des microvillosités. Certains entérocytes avaient un cytoplasme avec des vacuoles, des mitochondries gonflées avec des crêtes rompues et un réticulum endoplasmique rugueux et dilaté (RER). Certaines cellules présentaient des noyaux irréguliers sombres avec une chromatine anormale. On peut conclure que la consommation de maïs OGM modifie profondément la structure histologique au niveau du jéjunum.

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Références


1. Ibrahim MAA, Okasha EF. Effect of genetically modified corn on the jejunal mucosa of adult male albino rat. Experimental and Toxicologic Pathology 2016 ;68(2016):579–588. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27769625
2. Email communication with the authors.
3. Gab-Alla AA, El-Shamei ZS, Shatta AA, Moussa EA, Rayan AM. Morphological and biochemical changes in male rats fed on genetically modified corn (Ajeeb YG). J Am Sci. 2012 ;8(9):1117–1123.
4. El-Shamei ZS, Gab-Alla AA, Shatta AA, Moussa EA, Rayan AM. Histopathological changes in some organs of male rats fed on genetically modified corn (Ajeeb YG). J Am Sci. 2012 ;8(10):684–696.
5. Waltz E. Under wraps – Are the crop industry’s strong-arm tactics and close-fisted attitude to sharing seeds holding back independent research and undermining public acceptance of transgenic crops ? Nature Biotechnology 2009 ;27(10):880–882. http://www.nature.com/nbt/journal/v27/n10/full/nbt1009-880.html

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Annexe

Que sont les sciences ’omiques’ ? – Document ‘OMICS-ETHICS’

Les technologies dites « omiques » telles que la génomique et le séquençage de l’ADN à grande échelle sont apparues parallèlement au développement du projet Génome Humain dans les années 90. Selon une analyse étymologique, le suffixe « omique » tire son origine du mot sanscrit « OM », qui désigne la complétude et la plénitude (NDT : en anglais, completeness and fullness) (Lederberg, McCray, 2001). En combinant le mot « gène » avec ce suffixe, Hans Winkler a créé le terme « génom(e) » pour se référer à « l’ensemble des chromosomes haploïdes qui, avec le protoplasme, constituent les fondations de base de l’espèce […]. » (Winkler, 1920, Traduction libre). Victor McKusick et Frank Ruddle ont ajouté le terme « génomique » au lexique scientifique en l’utilisant comme titre de la revue qu’ils ont fondée en 1987 et en mettant l’emphase sur la cartographie linéaire du génome, le séquençage de l’ADN et la comparaison des génomes entre différentes espèces (McKusick, Ruddle, 1987).

Toutefois, les technologies « omiques » et les néologismes variés qui définissent les contextes dans lesquels elles sont appliquées représentent en réalité bien plus qu’un simple jeu de mots. En effet, ces technologies ont considérablement modifié l’échelle des données analysables et la forme des protocoles de recherche scientifique. Les technologies « omiques » permettent de générer des quantités énormes de données à des niveaux biologiques multiples : du séquençage des gènes à l’expression des protéines et des structures métaboliques, ces données peuvent couvrir tous les mécanismes impliqués dans les variations qui se produisent dans les réseaux cellulaires et qui influencent le fonctionnement des systèmes organiques dans leur totalité (Nicholson, Lindon, 2008 ; Wilke et al., 2008). Cela a d’ailleurs récemment conduit à une surabondance de données dans le cadre des recherches biomédicales (Nicholson, 2006). Alors que les années 90 ont été nommées « la décennie du cerveau », nous sommes aujourd’hui dans « la décennie des mesures ». Nous sommes entrés dans une ère différente marquée par une nouvelle approche des questions scientifiques, l’ère de la « grande biologie » (NDT : en anglais, big biology), de l’étude (intégrative) des systèmes, dans laquelle on s’applique à mesurer de manière globale les processus moléculaires impliqués dans la santé et la maladie (Baccini et al., 2008 ; Naylor et al., 2008 ; Nicholson et Lindon, 2008 ; Ozdemir et al., 2009).

En plus d’augmenter le débit et le nombre des données, les technologies « omiques » ont fondamentalement modifié les procédures de recherche. Habituellement, les scientifiques se basent sur des hypothèses de recherche dans lesquelles une question/hypothèse est clairement articulée. Ils obtiennent ensuite des données qui viendront confirmer ou infirmer cette hypothèse. Or, avec l’avènement des technologies « omiques », il n’est plus nécessaire de poser une question précise pour débuter une recherche. En effet, les scientifiques peuvent rassembler de nombreuses données génomiques ou protéomiques dans leurs études sans se baser sur une hypothèse initiale et attendre la production de ces données avant de formuler et de tester différentes hypothèses biologiques. Cette inversion du modèle de recherche (de l’expérimentation traditionnelle basée sur des hypothèses précises à un modèle de recherche qui ne dépend pas de telles hypothèses) ouvre de manière inédite la porte à de nombreuses découvertes sur les mécanismes pathophysiologiques des maladies, ainsi que sur la compréhension des facteurs moléculaires qui influencent l’efficacité et la toxicité des médicaments ou encore la manière dont notre organisme répond et réagit aux médicaments et à l’alimentation.

Finalement, les modèles simplistes et réducteurs traditionnels utilisés en recherche n’offrent qu’une vision limitée de la nature complexe, longitudinale et dynamique des réseaux biologiques – et de leurs fluctuations en réponse à des facteurs sociaux et environnementaux – qui sont à l’œuvre dans la santé humaine et l’apparition de maladies. On peut penser que les sciences et les technologies « omiques » pourront considérablement améliorer ces modèles.

Adapté et tiré de V. Ozdemir, G. Suarez-Kurtz, R. Stenne, A. A. Somogyi, S. O. Kayaalp and E. Kolker (2009) “Risk assessment and communication tools for genotype associations with multifactorial phenotypes : the concept of ‘edge effect’ and cultivating an ethical bridge between omics innovations and society” OMICS : Journal of Integrative Biology 13(1) : 43-62. Traduit par T. Hurlimann.

Références

Baccini, M., Bachmaier, E.M., Biggeri, A., Boekschoten, M.V., Bouwman, F.G., Brennan, L., et al. The NuGO proof of principle study package : a collaborative research effort of the European Nutrigenomics Organisation. Genes Nutr. 2008 ; 3 : 147-51.

Lederberg, J., McCray, A.T. ’Ome sweet ’omics : — A genealogical treasury of words. The Scientist 2001 ; 15(7) : 8.

McKusick, V.A., Ruddle, F.H. Toward a complete map of the human genome. Genomics 1987 ; 1 : 103-06.

Naylor, S., Culbertson, A.W., Valentine, S.J. Towards a systems level analysis of health and nutrition. Curr Opin Biotechnol 2008 ; 19(2) : 100-09.

Nicholson, J.K. Reviewers peering from under a pile of ’omics’ data. Nature 2006 ; 440(7087) : 992.

Nicholson, J.K., Lindon, J.C. Systems biology : Metabonomics. Nature 2008 ; 455(7216) : 1054-56.

Ozdemir, V., Suarez-Kurtz, G., Stenne, R., Somogyi, A., Someya, T., Kayaalp, S.O., Kolker, E. Risk assessment and communication tools for genotype associations with multifactorial phenotypes : The concept of ‘edge effect’ and cultivating an ethical bridge between omics innovations and society. OMICS : Journal of Integrative Biology 2009 ; 13(1) 43-62.

Wilke, R.A., Mareedu, R.K., Moore, J.H. The pathway less traveled : Moving from candidate genes to candidate pathways in the analysis of genome-wide data from large scale pharmacogenetic association studies. Current Pharmacogenomics and Personalized Medicine 2008 ; 6(3) : 150-59.

Winkler, H. (1920) Verbreitung und Ursache der Parthenogenesis im Pflanzen- und Tierreiche. Verlag von Gustav Fischer : Jena.

Enjeux dans la recherche en nutrigénomique : consultez nos résultats
Publication - Considérations éthiques dans l’implantation de la nutrigénétique/nutrigénomique.

http://www.omics-ethics.org/v2/images/viewLink.pngVisiter le lien
Un article de T. Hurlimann, J. Robitaille, M.-C. Vohl et Béatrice Godard, publié dans Personalised Medicine (online Nov. 30, 2016).

Observatoire de génétique

http://www.omics-ethics.org/v2/images/sponsors.png

Source : http://www.omics-ethics.org/fr/definition-sciences-omiques

On peut aussi se reporter au document INSERM ayant pour tite : Approches « omiques ». L’idée de base associée aux approches « omiques » consiste à appréhender la complexité du vivant dans son ensemble. Fichier PDF sur le site : http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/222/?sequence=30#page=2&zoom=auto,-16,533

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Traduction, compléments entre […], ajout d’une ’annexe’ sur les technologies dites « omiques » telles que la génomique et le séquençage de l’ADN à grande échelle et intégration de liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 01/01/2017

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