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Conférence Publique sur l’Intelligence Artificielle et les Arts, au Ciné-Palace de Saint-Rémy-de-Provence, par Jacques Hallard, organisée par l’association ‘Cour des Arts’ le 12 décembre 2019 à 19h00
dimanche 1er décembre 2019, par
Conférence Publique sur l’Intelligence Artificielle et les Arts au Ciné-Palace de Saint-Rémy-de-Provence 13 par Jacques Hallard, organisée par l’association ‘Cour des Arts’ le 12 décembre 2019 à 19h00
L’Intelligence Artificielle (IA) e(s)t l’avenir de l’Homme ? 1ère partie
« La machine à peinture » © Denis Lacaux
Présentation sommaire
Quelques rappels d’histoire des sciences nous indiquent d’où vient cette IA.
L’intrusion de l’Intelligence Artificielle (IA) dans les domaines artistiques ouvre-t-elle la porte à de nouveaux marchés de l’art ?
Des exemples d’application de cette technique dans les arts numériques invitent à se questionner sur son aspect vraiment créatif.
Quelques bases technologiques du numérique sont abordées ; elles s’imposent à travers le monde, avec une âpre compétition économique entre les grands opérateurs mondiaux, plus précisément entre les Etats-Unis et la Chine.
Non seulement les arts (peinture, musique…) sont concernés, mais les diverses intelligences artificielles se propagent rapidement, souvent à l’insu des utilisateurs et des populations, et dans tous les secteurs d’activités : médecine, mobilité, robotisation, industrie, distribution, éducation, défense, cybersécurité, tourisme, agriculture, etc…
Contexte et définitions préalables
L’intrusion de l’Intelligence Artificielle (IA) [voir annexe 1] dans notre univers est tout d’abord abordée à travers quelques domaines artistiques (peinture, musique), en particulier avec l‘émergence de catégories de créations qui trouvent leur place dans la rubrique encore assez confuse des arts numériques [voir annexe 2].
Plus tard, seront montrées les applications de l’IA, qui s’étendent très rapidement grâce aux divers outils du numérique en perfectionnements constants, à de nombreux autres secteurs des activités humaines, y annonçant soit des miracles prochains et des promesses alléchantes, soit au contraire en y faisant naître des doutes, des incertitudes, des peurs et des périls annoncés...
Sont données in fine, pour mémoire, nos publications antérieures postées sur le site ISIAS à propos des MOOC et des TICE, du transhumanisme et de l’Intelligence Artificielle (IA) ; voir aussi : Comment l’intelligence artificielle va changer nos vies, CNRS 21.02.2018.
Aperçu du contenu
La 1ère partie de la conférence est basée sur un diaporama ‘Powerpoint » avec une sélection de quelques courtes vidéos en rapport avec certains des sujets explorés.
Le 1er acte introduit brièvement les grands opérateurs mondiaux du numérique et de l’intelligence artificielle avant de proposer une rétrospective succincte des techniques avec des emprunts à l’histoire de sciences : des machines imaginées déjà pendant l’Antiquité, jusqu’aux automates et aux machines à calculer réalisées au 17ème siècle. Parmi tous les contributeurs, nous avons retenu le britannique Alan Turing, l’américain Claude Shannon, et Jean Dufrénoy – vecteur de la théorie de l’information en France …et artiste peintre), pour leurs contributions majeures à l’avènement de l’informatique, du numérique, qui fait appel un système binaire [MOOC Khan Akademy] pour la numération, utilisant la base 2 et en créant l’unité bit, de l’anglais ‘binary digit’, et qui prend seulement deux valeurs, notées par convention 0 et 1. Les œuvres du biochimiste américano-russe d’Isaac Asimov (1920-1992), brillant écrivain de science-fiction, sont rappelées à cause des auteurs qui ont été, dans son sillage, à l’origine de nombreuses œuvres dans ces secteurs : littérature, bande dessinée, cinéma, jeux vidéo… , des sujets ayant souvent un rapport avec l’intelligence artificielle, d’ailleurs bien avant que celle-ci ne fut encore totalement opérationnelle.
Le 2ème acte aborde le rôle des auteurs et des artistes du 19ème siècle qui ont initié la théorie divisionniste des couleurs et qui s’est traduite en peinture avec le pointillisme, un mode de réalisation artistique qui a vu le jour au 20ème siècle. Une sélection d’œuvres, la plupart peintes avec l’aide d’intelligences artificielles (IA) est proposée, ainsi qu’une œuvre musicale écrite par Gustav Mahler mais inachevée et qui a été terminée par une IA spécifique. Comment aussi le robot YuMi, laborieusement formé par le chef d’orchestre Si Andrea Colombini, a finalement remplacé celui-ci pour diriger Andréa Bocelli (le ténor italien totalement aveugle, d’inspiration lyrique, classique et pop) ; voir aussi ceci !
Quelques techniques et applications récentes et étonnantes de l‘IA dans le secteur artistique sont données à titre d’exemples. On peut ainsi prendre conscience de l’émergence d’un tout nouveau marché de l’art qui s’ouvre, et s’interroger sur la véritable créativité de ces technologies du numérique et de l’intelligence artificielle…
Le 3ème acte décrit sommairement l’état de l’art de quelques techniques actuelles de l’informatique, du numérique, de l’Internet, des réseaux de téléphonie mobile (4G, 5G, 6G) et de l’Intelligence Artificielle (IA) : il tente en quelque sorte de montrer « comment ça marche ». Sont aussi introduites des définitions de concepts nouveaux, rapportées à la suite : l’apprentissage automatique (en anglais machine learning) [voir annexe3], L’apprentissage profond (en anglais deep learning (voir annexe 3], le réseau de neurones artificiels [voir annexe 5],
A la suite, à propos du quantique [voir La physique quantique, késako ? CEA 22 mai 2019], seront aussi évoquées quelques réalisations (microscope à effet tunnel, boussole quantique, ordinateur quantique), qui font appel à la physique quantique et qui permettent déjà d’entrevoir des applications futures, déjà alléchantes pour certains investisseurs, grâce aux possibilités techniques considérables de ces équipements en cours de recherche et d’expérimentation : capacités de mémoire et vitesse de calcul (voir opérations en virgule flottante par seconde (en anglais : floating-point operations per second) > FLOPs). Lectures préliminaires incontournables :
Les premiers pas d’un Internet quantique - Par David Larousserie. Publié le 25 novembre 2019 à 19h15, mis à jour hier à 06h56 – ‘Le Monde Science & Médecine’ - Réservé à nos abonnés - Enquête : « L’ordinateur n’est pas la seule révolution promise par la physique de l’infiniment petit. Un Internet dont la sécurité des échanges s’appuierait sur des propriétés de photons commence aussi à sortir des labos. Le point sur une technologie « disruptive… »
La nécessaire formation des ingénieurs et des informaticiens aux bizarreries quantiques - Par David Larousserie. Publié le 25 novembre 2019 à 19h00. – ‘Le Monde Science & Médecine’ - Réservé à nos abonnés – « Des chercheurs de la discipline regrettent le cloisonnement entre la physique et l’ingénierie. Mais certains masters et écoles d’ingénieur commencent à proposer des cursus en technologies quantiques… » - Photo : détail d’un piège à atome chargé, porteur d’une information que les chercheurs de l’université d’Innsbruck (Autriche) essaient de transférer sur un photon afin de l’envoyer dans des fibres optiques. ROBBIE SHONE.
Ordinateur quantique : nouvel eldorado ou bulle spéculative ? Par David Larousserie Publié le 29 octobre 2019 à 04h26 - Mis à jour le 29 octobre 2019 à 06h56 – ‘Le Monde Idées Physique’ - Article réservé aux abonnés – « Google a annoncé, le 23 octobre 2019, avoir mis au point un ordinateur au principe de fonctionnement quantique plus performant que les meilleurs calculateurs actuels. En fait, il s’agirait davantage d’une nouvelle mayonnaise technologique que d’une prouesse… »
Les technologies quantiques ou la nouvelle ruée vers l’or - Face à l’enthousiasme général qu’il suscite, la revue Nature analyse l’état des avancées et des investissements dans le domaine quantique - Par Geneviève Fournier - @FournierGenevi1 - Publié le 14 novembre 2019 à 14h33 – Origine :’siecledigital.fr’ - « La physique quantique ne date pas d’hier, mais elle fait l’objet de toutes les convoitises depuis quelques années, tant et si bien qu’elle est souvent considérée comme le nouveau Graal des prochaines décennies, en particulier dans le cadre de la construction d’un ordinateur quantique… » - Illustration
La Chine, leader des communications quantiques - Par David Larousserie Publié le 13 août 2017 à 18h00 - Mis à jour le 13 août 2017 à 18h26 – ‘Le Monde Sciences’ -Article réservé aux abonnés – « Grâce au satellite Micius, des chercheurs chinois ont réussi à téléporter des informations en battant tous les records de distance… » - Photo : le satellite Micius, lors d’un test de ses panneaux solaires, en juillet 2016, peu avant son lancement. XINHUA /AFP.
Les innombrables usages de l’IA , retrouvés dans tous les secteurs d’activités, seront repris plus en détails dans la 2ème partie de la conférence programmée le 09 janvier 2020 à 19h00 au même Ciné-Palace de Saint Rémy de Provence – Quelques suggestions de préparation : notamment industrielles ; capacités principales de toute solution à base d’IA ; créer des cas d’usage et des bénéfices réels ; trouvez des cas d’usage ; 20 prédictions pour L’Intelligence Artificielle en 2020…),
Ce sera aussi une opportunité pour tenter de dresser une comparaison entre les ordinateurs et le cerveau des êtres humains, mais également d’examiner les possibles effets négatifs sur la santé des êtres vivants par la prolifération des émissions d’ondes électromagnétiques par tous ces équipements, d’une part, et des nombreux impacts sur l’environnement qui affectent note univers planétaire, d’autre part.
Face à ces enjeux, constats, dangers et risques, liés à l’expansion galopante du numérique et des I.A., les points de vue de divers experts, promoteurs, chercheurs, philosophes, etc… seront rapportés pour aider à prendre conscience au niveau personnel et collectif, et si possible pour comprendre et suivre les recommandations de plusieurs personnalités qualifiées et tenter ainsi d’influencer un tant soit peu le cours des choses …
ia anatomie intelligence artificielle - Source
Retour au début de l’annonce de la conférence
Annexe 1 - L’intelligence artificielle (IA) est « l’ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l’intelligence »1. Elle correspond donc à un ensemble de concepts et de technologies plus qu’à une discipline autonome constituée2. D’autres, remarquant la définition peu précise de l’IA, notamment la CNIL, introduisent ce sujet comme « le grand mythe de notre temps »3. « Souvent classée dans le groupe des sciences cognitives, elle fait appel à la neurobiologie computationnelle (particulièrement aux réseaux neuronaux), à la logique mathématique (partie des mathématiques et de la philosophie) et à l’informatique. Elle recherche des méthodes de résolution de problèmes à forte complexité logique ou algorithmique. Par extension elle désigne, dans le langage courant, les dispositifs imitant ou remplaçant l’homme dans certaines mises en œuvre de ses fonctions cognitives4 ». « Ses finalités et son développement suscitent, depuis toujours, de nombreuses interprétations, fantasmes ou inquiétudes s’exprimant tant dans les récits ou films de science-fiction, que dans les essais philosophiques. La réalité semble encore tenir l’intelligence artificielle loin des performances du vivant 5… » - Source
Annexe 2 - L’art numérique « désigne un ensemble varié de catégories de création utilisant les spécificités du langage et de dispositifs numériques, ordinateur, interface ou réseau. Il s’est développé comme genre artistique depuis la fin des années 19501. Portée par la puissance de calcul de l’ordinateur et le développement d’interfaces électroniques autorisant une interaction entre le sujet humain, le programme et le résultat de cette rencontre, la création numérique s’est considérablement développée en déclinant des catégories artistiques déjà bien identifiées. En effet, des sous-catégories spécifiques telles que la « réalité virtuelle », la « réalité augmentée », « l’art audiovisuel », « l’art génératif », ou encore « l’art interactif » viennent compléter les désignations techniques du Net-art, de la photographie numérique ou de l’art robotique. Soulignant la nécessité de construire un dialogue entre les médias traditionnels (peinture, sculpture, dessin) et les nouveaux médias, qui se sont tournés le dos abusivement, Hervé Fischer a proposé d’explorer ce que pourraient être les « beaux-arts numériques ». Source
D’autres définitions et informations sur les arts numériques sont indiquées ici et là !
Annexe 3 - L’apprentissage automatique (en anglais machine learning, littéralement « apprentissage machine ») ou apprentissage statistique : « un champ d’étude de l’intelligence artificielle qui se fonde sur des approches mathématiques et statistiques pour donner aux ordinateurs la capacité d’« apprendre » à partir de données, c’est-à-dire d’améliorer leurs performances à résoudre des tâches sans être explicitement programmés pour chacune. Plus largement, il concerne la conception, l’analyse, l’optimisation, le développement et l’implémentation de telles méthodes. L’apprentissage automatique comporte généralement deux phases. La première consiste à estimer un modèle à partir de données, appelées observations, qui sont disponibles et en nombre fini, lors de la phase de conception du système. L’estimation du modèle consiste à résoudre une tâche pratique, telle que traduire un discours, estimer une densité de probabilité, reconnaître la présence d’un chat dans une photographie ou participer à la conduite d’un véhicule autonome. Cette phase dite « d’apprentissage » ou « d’entraînement » est généralement réalisée préalablement à l’utilisation pratique du modèle. La seconde phase correspond à la mise en production : le modèle étant déterminé, de nouvelles données peuvent alors être soumises afin d’obtenir le résultat correspondant à la tâche souhaitée. En pratique, certains systèmes peuvent poursuivre leur apprentissage une fois en production, pour peu qu’ils aient un moyen d’obtenir un retour sur la qualité des résultats produits. Selon les informations disponibles durant la phase d’apprentissage, l’apprentissage est qualifié de différentes manières. Si les données sont étiquetées (c’est-à-dire que la réponse à la tâche est connue pour ces données), il s’agit d’un apprentissage supervisé. On parle de classification ou de classement1 si les étiquettes sont discrètes, ou de régression si elles sont continues. Si le modèle est appris de manière incrémentale en fonction d’une récompense reçue par le programme pour chacune des actions entreprises, on parle d’apprentissage par renforcement. Dans le cas le plus général, sans étiquette, on cherche à déterminer la structure sous-jacente des données (qui peuvent être une densité de probabilité) et il s’agit alors d’apprentissage non supervisé. L’apprentissage automatique peut être appliqué à différents types de données, tels des graphes, des arbres, des courbes, ou plus simplement des vecteurs de caractéristiques, qui peuvent être continues ou discrètes… » - Source
Annexe 4 - L’apprentissage profond1 (plus précisément « apprentissage approfondi », et en anglais deep learning, deep structured learning, hierarchical learning) est un ensemble de méthodes d’apprentissage automatique tentant de modéliser avec un haut niveau d’abstraction des données grâce à des architectures articulées de différentes transformations non linéaires[réf. souhaitée]. Ces techniques ont permis des progrès importants et rapides dans les domaines de l’analyse du signal sonore ou visuel et notamment de la reconnaissance faciale, de la reconnaissance vocale, de la vision par ordinateur, du traitement automatisé du langage. Dans les années 2000, ces progrès ont suscité des investissements privés, universitaires et publics importants, notamment de la part des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft)2… » - Source
Annexe 5 - Le réseau de neurones artificiels, ou réseau neuronal artificiel, « est un système dont la conception est à l’origine schématiquement inspirée du fonctionnement des neurones biologiques, et qui par la suite s’est rapproché des méthodes statistiques1. Les réseaux de neurones sont généralement optimisés par des méthodes d’apprentissage de type probabiliste, en particulier bayésien. Ils sont placés d’une part dans la famille des applications statistiques, qu’ils enrichissent avec un ensemble de paradigmes2 permettant de créer des classifications rapides (réseaux de Kohonen en particulier), et d’autre part dans la famille des méthodes de l’intelligence artificielle auxquelles ils fournissent un mécanisme perceptif indépendant des idées propres de ‘l’implémenteur’, et fournissant des informations d’entrée au raisonnement logique formel (voir Deep Learning). En modélisation des circuits biologiques, ils permettent de tester quelques hypothèses fonctionnelles issues de la neurophysiologie, ou encore les conséquences de ces hypothèses pour les comparer au réel… - Source
Retour au début de l’annonce de la conférence
Publications antérieures postées sur le site ISIAS
A propos des MOOC, TICE…
’Faut-il se réjouir, s’inquiéter ou se moquer des MOOC qui se répandent dans l’enseignement et les formations ?’ par Jacques Hallard ; lundi 18 décembre 2017 par Hallard Jacques - français
’Les pratiques d’apprentissage à l’école … et ailleurs, à partir de l’observation du cerveau par les neurosciences, et à l’aide des technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement (TICE), des formations en ligne ouvertes à tous ou MOOC (de l’anglais ‘massive open online course’) et des ‘classes inversées’’ par Jacques Hallard ; mardi 2 janvier 2018 par Hallard Jacques - français
’Les MOOC se mettent en place mais les risques qui les accompagnent doivent être pris en compte’ par Jacques Hallard ; samedi 17 octobre 2015 par Hallard Jacques - français
’La santé des jeunes est menacée par les ondes’ par Jacques Hallard ; samedi 9 juillet 2016 par Hallard Jacques - français
Conférence interactive de Jacques Hallard : La santé des jeunes est-elle menacée par les ondes, les MOOC et autres TIC (technologies de l’information et de la communication) ? ; mercredi 10 avril 2019 par Hallard Jacques - français
Conférence de Jacques Hallard à l’Association Franco-allemande dimanche 11 février 2018 à 16h30 à la ‘Salle Municipale Mérindol’ 84000 AVIGNONISIAS Histoire Pédagogie ; mardi 9 janvier 2018 par Hallard Jacques - français
’Arrivée des ‘MOOC’ et des outils pédagogiques interactifs. Usages et risques sanitaires, sociaux, écologiques et psychologiques’, par Jacques Hallard ; dimanche 4 octobre 2015 par Hallard Jacques - français
A propos du transhumanisme
’A propos du transhumanisme L’Homme augmenté dans un monde recomposé’, dossier de Jacques Hallard ; vendredi 21 octobre 2016 par Hallard Jacques - français
« Humanisons le transhumanisme ! » par Edgar Morin ; mercredi 9 novembre 2016 par isias - français
A propos de l‘Intelligence Artificielle (IA)
’Faire connaissance avec l’Intelligence Artificielle (IA)’ par Jacques Hallard , vendredi 30 novembre 2018
’La nébuleuse des opérateurs économiques du numérique de l’électronique et des télécommunications’ par Jacques Hallard , dimanche 30 décembre 2018
’Offres et perspectives du numérique et de l’IA, usages et acceptabilité des utilisateurs, clients et consommateurs ; actions politiques et administratives en cours’ par Jacques Hallard , mardi 16 avril 2019 par Hallard
Conférence de Jacques Hallard, Ingénieur CNAM, sur l’Intelligence artificielle : miracle ou mirage, promesse ou périls ? Le vendredi 26 Avril 2019 à 18h30 à la Salle des Fêtes d’Eygalières 13 , lundi 22 avril 2019
’Etat de l’art et prospective concernant l’intelligence artificielle (IA) dans les domaines artistiques (arts numériques) en France, au Québec Canada et en Californie’ par Jacques Hallard avec Bastien Maleplate, mardi 03 septembre 2019
’Quelques méthodes et techniques aboutissant à l’Intelligence Artificielle (IA) : de l’Histoire des sciences du 17ème siècle, jusqu’aux applications numériques actuelles’ par Jacques Hallard et Bastien, mardi 19 novembre 2019
Actualités - Etudes d’arts : ouverture en cours – « Alors que les étudiants s’emparent des questions d’actualité dans leurs œuvres, les écoles d’arts élargissent leur cursus à d’autres disciplines ? La mode, le cinéma et le design sont aussi concernés… » In ‘Le Monde Campus’, 28/11/2019, 8 pages – Pour en savoir plus régulièrement, voir : Ecoles d’art - Actualités, vidéos et infos en directhttps://www.lemonde.fr › M Campus
Informations /https://www.google.fr/url?sa=t&...STARTAteliers, performances artistiques, conférences. Proposé par ‘Le Monde’ et Télérama les 30 novembre & 1er décembre 2019 – Cent Quatre 5 rue Curial 75019 Paris.
Dossier : L’IA, une vraie fausse révolution - In ‘Le Monde Idées’ 17 & 18/11/2019, pages 26 à 27. « Nouveaux marchés et gain de temps ou dérive consumériste et contrôle social renforcé ? l’intelligence artificielle suscite autant de convoitises économiques que d’angoisses dystopiques » [Dystopie : récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie…] - Contributions :
« Intelligence artificielle : le risque d’un « Netflix du droit » Tribune - Fabrizio Papa Techera ; Juriste – « L’entrée dans l’ère de l’« open data judiciaire » représente une manne pour les intelligences artificielles et les géants du numérique. Mais, s’inquiète le juriste Fabrizio Papa Techera, dans une tribune au « Monde », cela pourrait conduire à un appauvrissement de la culture juridique française… »
« Il est difficile de voir un progrès social dans l’intelligence artificielle »Tribune - Hugues Bersini. Spécialiste de l’intelligence artificielle – « On peut s’inquiéter de la « mainmise » des grands groupes de l’Internet sur ce champ disciplinaire, observe le chercheur en informatique Hugues Bersini… »
« Choisir l’“IA douce” contre l’“IA Big Brother” » Tribune - Mari-Noëlle Jégo-Laveissière. « Loin des angoisses et des enthousiasmes, le développement des systèmes d’intelligence artificielle exige des chercheurs comme des entreprises le respect de principes d’éthique et d’utilité sociale… »
« Intelligence artificielle : « Remettre à leur juste place les thèses apocalyptiques » - Tribune – « La controverse de Valladolid, en 1550 en Espagne, a opposé théologiens et juristes sur la légitimité morale de la conquête du Nouveau Monde. La capacité de l’IA à « transmuer » notre société doit faire l’objet de la même attention », plaide Christophe Bourguignat, dirigeant d’une société informatique, dans une tribune au « Monde ».
Remerciements :
* William pour son appui technique au Ciné Palace, et la municipalité de Saint Rémy de Provence 13, pour la mise à disposition de la salle à l’association ‘Cour des Arts’.
* Bastien Maleplate pour ses apports scientifiques et techniques sur l’IA et les ARTS
* Clément Bouroulet pour son aide à la manipulation du logiciel Powerpoint
Auteurs : Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 29/
11/2019
Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales
Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France
Courriel : jacques.hallard921@orange.fr
Fichier : ISIAS IA Conférence Saint Rémy 12 12 2019.2
Mis en ligne par Pascal Paquin de Yonne Lautre, un site d’information, associatif et solidaire(Vie du site & Liens), un site inter-associatif, coopératif, gratuit, sans publicité, indépendant de tout parti.
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