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"L’Alliance ‘Ocean & Climate Initiatives’ accueille chaleureusement le Centre ‘Raja Ampat Sea’ !"

Traduction et compléments de Jacques Hallard

dimanche 18 février 2018, par Rédaction d’ISIAS



ISIAS Océans
L’Alliance ‘Ocean & Climate Initiatives’ accueille chaleureusement le Centre ‘Raja Ampat Sea’ !
Le Centre est dédié à la conservation de la vie marine de Raja Ampat - et en particulier des coraux - à travers la science, l’éducation et la sensibilisation.
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Compléments ajoutés sur l’archipel de Raja Ampat

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Source : ’Ocean & Climate Platform’ 30/01/18 10:39

Photo - Situé au cœur du Triangle de Corail, l’archipel de Raja Ampat est considéré comme l’endroit le plus riche en biodiversité de la planète. Plus important encore, les récifs coralliens de Raja Ampat jouent un rôle important dans notre compréhension de l’écologie des récifs tropicaux et de la santé des autres systèmes récifaux dans le monde.

Le Centre Raja Ampat SEA sert de plate-forme pour mener de précieuses recherches scientifiques sur l’écologie marine et l’environnement de la région. Au niveau local, il vise à éduquer et habiliter les générations actuelles et futures à comprendre et à préserver les systèmes extensifs de récifs dans la région de Raja Ampat.

L’ONU a voté un traité de conservation pour protéger la haute mer !

Le 24 décembre 2017, l’Assemblée générale des Nations Unies a lancé un processus de deux ans visant à créer un traité international relatif à la conservation et à l’utilisation durable de la biodiversité marine en haute mer. La haute mer, qui couvre 46% de la planète, fait référence aux eaux internationales où aucun pays n’est compétent et où des lacunes juridiques existent actuellement. Les négociations BBNJ (Biodiversity Beyond National Jurisdiction) visent à aborder les activités affectant la haute mer d’une manière globale, cohérente et fonctionnelle.

Photo - Le nouveau traité vise à définir les règles de la prospection génétique et l’état des ressources génétiques marines ; établir des zones protégées et d’autres aménagements spatiaux marins ; évaluation de l’impact environnemental pour les activités potentiellement dangereuses ; le partage d’informations scientifiques marines et le transfert de technologies marines.
L’Alliance pour les ‘Initiatives Océans et Climat’ est déterminée à rendre ces négociations aussi ambitieuses et efficaces que possible !

’Friends of Ocean Action’ a été lancé lors du Forum économique mondial 2018

Photo - Un nouveau partenariat mondial ambitieux pour sauver la vie dans l’océan - les Amis de l’action océanique - a été annoncé le 25 janvier 2018 lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos.

’Friends of Ocean Action’  : voir [New Global Partnership to Save Life in the Ocean Launched at the World Economic Forum ]

https://yt3.ggpht.com/-XpQot0v3Sc0/AAAAAAAAAAI/AAAAAAAAAAA/F9r7WVJ0eoo/s176-c-k-no-mo-rj-c0xffffff/photo.jpgWorld Economic Forum – Vidéo ajoutée le 25 janv. 2018

2018 will be a year of unprecedented action on the ocean. Building on the momentum of The Ocean Conference held at the United Nations in New York, June 2017, the Friends of Ocean Action will be launched. Co-chaired by the convenors of the Ocean Conference, UN Special Envoy for the Ocean Peter Thomson of Fiji and Deputy Prime Minister of Sweden Isabella Lövin, this will be an informal, multi-stakeholder coalition composed of about forty of some of the worlds most committed and influential activists and thought-leaders to help shape global action to save life in the Ocean. Significant business leaders are supporting the Friends of Ocean Action. Linked to the Special Envoy and these initiatives, the Prime Minister of Norway, Erna Solberg, will also launch a major Inter-governmental Panel on the New Ocean Economy. Speakers : - Marc R. Benioff, Chairman and Chief Executive Officer, Salesforce, USA ; Member of the Board of Trustees, World Economic Forum - Isabella Lövin, Minister for International Development Cooperation of Sweden - Erna Solberg, Prime Minister of Norway - Peter Thomson, United Nations Special Envoy for the Ocean, New York Moderator : - Dominic Kailash Nath Waughray, Head of Public-Private Partnership ; Member of th]e Executive Committee, World Economic Forum http://www.weforum.org/ - Source : https://www.youtube.com/watch?v=ocmOi_n5TZY ]

Ce partenariat multipartite comprendra des dirigeants de groupes scientifiques, technologiques, commerciaux et non gouvernementaux. Il rassemblera une quarantaine d’activistes et de leaders d’opinion des océans les plus engagés et les plus influents au monde pour aider à façonner l’action mondiale en vue d’atteindre l’objectif de développement durable des Nations Unies 14. En savoir plus, ici >>> Read more, here..

www.ocean-climate-alliance.org - #OceanforClimate - Droit d’auteur © 2018. Ocean & Climate Platform. Photo : G.Bounaud / Tara Expéditions. Tous les droits sont réservés. Propulsé par Net Hélium

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Compléments ajoutés sur l’archipel de Raja Ampat

L’archipel indonésien des Raja Ampat, d’après Wikipédia

L’archipel indonésien des Raja Ampat (’les quatre rois’) est situé près de la côte nord-ouest de la Nouvelle-Guinée. Il est constitué de quelque 1 500 îles, souvent montagneuses, dont les plus grandes sont Waigeo, Batanta, Salawati et Misool. La superficie totale de l’archipel est d’environ 46 000 km2.

L’archipel est situé à la limite occidentale de l’océan Pacifique et, à son niveau, se rencontrent les eaux des océans Pacifique et Indien, ce qui donne naissance à un fort courant et des marées puissantes si bien que les eaux sont souvent sombres et troubles. La majorité de ses îles s’appuie sur le plateau continental du Sahul.

Administrativement, les Raja Ampat forment un kabupaten de la province de Papouasie occidentale dont le ’chef lieu’ est Sorong, porte d’accès par avion également. Celle-ci a été détachée de la province de Papua en 2003. L’archipel a alors gagné son statut actuel. Le recensement de 2001 indique une population de 47 771 personnes.

Sommaire

Article complet sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Eles_Raja_Ampat

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Indonésie : les îles de Raja Ampat, un paradis en sursis – Environnement - Publié le 22/09/2017 à 09:21 par ‘LaDépêche.fr - Photo - Vue sur l’archipel Raja Ampat, en Indonésie, le 21 août 2017 GOH CHAI HIN / AFP

Avec ses eaux turquoise, ses plages de sable blanc et ses coraux multicolores, l’archipel de Raja Ampat attire des visiteurs du monde entier. Mais ce coin de paradis perdu en Indonésie est menacé par le tourisme de masse, et ses habitants s’inquiètent pour l’environnement.

Les îles de Raja Ampat — qui signifie ’les quatre rois’ en indonésien — abritent 1.400 espèces de poissons et 600 variétés de coraux qui en font l’une des plus grandes biodiversité marine de la planète.

Cet archipel de 1.500 îles souvent montagneuses situé en Papouasie occidentale (est), où se rencontrent les océans Indien et Pacifique, est une destination prisée des amateurs de plongée sous-marine.

’C’est incroyable. Nous sommes allés sur des millions d’îles et je dirais que celle-ci est la plus belle’, confie à l’AFP Angelika Redweik-Leung, une touriste canadienne de 51 ans, en contemplant la vue depuis un poste d’observation de l’île Pianemo.

Difficiles d’accès, ces îles lointaines aux 750 km de plage abritent pour le moment un nombre limité d’hôtels et de bungalows.

Mais les intentions du gouvernement indonésien de faire de Raja Ampat un nouveau Bali — île la plus touristique de ce pays d’Asie du Sud-Est — inquiètent d’autant plus les habitants qu’ils se plaignent déjà de ne pas profiter des retombées du tourisme.

Paquebots et dégâts

Pour attirer davantage de visiteurs, les autorités veulent accroître les liaisons aériennes et aménager un plus grand port pouvant accueillir des paquebots.

Aujourd’hui, le temps nécessaire pour rejoindre cet archipel d’îles éparpillées sur 67.000 kilomètres carrés au large de la Papouasie occidentale, des deux côtés de l’équateur, a de quoi dissuader bien des amateurs : depuis la capitale indonésienne Jakarta, il faut quatre heures d’avion pour rejoindre Sorong, où se trouve l’aéroport le plus proche, puis deux heures de bateau pour gagner Wasai, la capitale de l’archipel, et deux de plus pour une île de rêve...

Nombre d’habitants de cette province indonésienne s’inquiètent des menaces que fait peser le tourisme de masse sur les sites naturels de Raja Ampat.

En mars, un bateau de croisière appartenant à une société britannique a percuté des récifs coralliens uniques près de l’île de Kri, site de plongée mondialement connu, provoquant la colère des habitants.

Le Caledonian Sky, un paquebot de 4.200 tonnes, avait heurté ces rochers pendant la marée basse.

Bloqué dans les récifs, le bateau, qui transportait 102 passagers et 79 membres d’équipage, avait été remis à flot par un remorqueur avant de poursuivre sa croisière, laissant derrière lui des dégâts considérables : quelque 13.500 mètres carrés de récifs coralliens avaient été endommagés.

Leur restauration pourrait coûter plus de 15 millions d’euros, selon des experts locaux. La société exploitant le paquebot, Noble Caledonia, devrait être jugée prochainement en tant que personne morale par un tribunal de Papouasie.

Exclus et ’trahis’

Après cet accident, des itinéraires pour bateaux de croisière ont été établis afin de prévenir une nouvelle catastrophe. Mais de nombreux indigènes sont depuis devenus méfiants à l’égard du tourisme.

Sur une île à deux heures de bateau de Waisai, des habitants expliquent à l’AFP ne rien tirer de l’arrivée de 15.000 touristes par an désormais, contre moins de 5.000 en 2010. Les villageois continuent de vivre dans des huttes sans électricité ni eau potable. Très loin du collège et du lycée de Waisai.

’Nous les indigènes, nous ne ressentons pas les effets du développement’, déplore Paul Mayor, chef de la tribu des Byak Betew.

Nombre d’entre eux s’estiment exclus. A leurs yeux, le tourisme ne fait que nuire à l’environnement. ’Ils ont pris nos terres, notre eau, notre forêt. Nous nous sentons trahis’, dit M. Mayor.

La Papouasie occidentale, vaste région peu peuplée et riche en ressources naturelles, a été annexée en 1969 par l’Indonésie, à l’issue d’un conflit sanglant, après plus d’un siècle de colonisation néerlandaise.

Revendications

De nombreux Papous, peuple ancestral d’origine mélanésienne, réclament l’indépendance comme la Papouasie Nouvelle-Guinée, l’autre moitié de cette grande île qui l’a obtenue en 1975 après avoir été une colonie australienne.

Le président indonésien Joko Widodo a promis après son arrivée au pouvoir en 2014 d’accélérer le développement de la Papouasie, mais la tribu des Byak Betew voit peu de résultats.

Ses membres disent avoir besoin de communications par satellite, d’électricité, de meilleures infrastructures, et réclament le droit de gérer eux-mêmes leur région.

’Le gouvernement devrait avoir une approche basée sur nos besoins culturels, il devrait intervenir en écoutant les aspirations culturelles des habitants de la région’, estime le chef de la tribu.

Au village, d’autres comme Medzke Karoswaf sont malgré tout favorables à l’afflux de touristes. ’C’est un monde moderne. Nous ne pouvons pas vivre isolés comme dans une grotte. Nous devons avoir l’esprit ouvert. Qu’on le veuille ou non, nous ne vivons pas seuls dans ce monde.’

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© 2017 AFP - La Dépêche.fr EnvironnementAccédez à 100% des articles locaux] à partir d’1€/mois - Source https://www.ladepeche.fr/article/2017/09/22/2650669-indonesie-les-iles-de-raja-ampat-un-paradis-en-sursis.html

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Traduction, compléments entre […] dont l’archipel de Raja Ampat et liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 02/02//2018

Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales

http://www.isias.lautre.net/

Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

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