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"Relations diplomatiques entre la France et la Chine, perspectives financières, orientations sociales et prévisions économiques mondiales pour 2018" par Jacques Hallard

samedi 6 janvier 2018, par Hallard Jacques


ISIAS Economie
Relations diplomatiques entre la France et la Chine, perspectives financières, orientations sociales et prévisions économiques mondiales pour 2018
Jacques HALLARD, Ing. CNAM – Site ISIAS – 06 janvier 2018

PLAN  : Introduction Sommaire Auteur


Introduction

Ce dossier à usage didactique propose un tour d’horizon actualisé, spécialement orienté sur les relations en cours entre la France et la Chine, mais abordées et replacées dans le contexte socio-économique du moment et au niveau mondial. Il contrebalance un constat plus affligeant qui a été décrit dans le document ’Le coq finit son année 2017 en colère’ par Jacques Hallard, mercredi 3 janvier 2018.

Un niveau de croissance élevé en Chine comme chez son voisin le Vietnam

La croissance économique chinoise a, comme attendu, ralenti légèrement au troisième trimestre 2017, mais elle témoigne toujours d’une performance économique que les experts qualifient de « robuste ». Le gouvernement basé à Pékin vise une croissance autour de 6,5% en 2017, qui serait pourtant nécessaire en 2018-2020, selon les autorités, mais cette croissance apparaît en léger recul par rapport à son rythme de 2016, qui a été de l’ordre de 6,7%, soit la plus faible qui est observée depuis 26 ans.

Le Vietnam voisin, quand à lui, a enregistré en 2017 sa plus forte croissance depuis les dix dernières années, chiffrée à 6,81%, et en grande partie due aux activités agricoles florissantes dans ce pays. SelonWikipédia, « Si ces dernières années, le Viêt Nam a connu tout comme de nombreux pays du Sud, une urbanisation soutenue, symptomatique d’un rapide développement économique, il n’en reste pas moins un pays profondément rural, marqué par le poids historique de son agriculture, qui aujourd’hui encore, contribue à hauteur de 50 % de son PIB et soutient les trois quarts de sa consommation intérieure… »

Une transition énergétique en marche en France comme en Chine

Face aux diverses pollutions dont souffrent beaucoup de chinois dans leur milieu de vie et dans leurs paysages, une transition énergétique, voire une transition écologique active se met également en place en Chine, comme en France (Voir L’environnement en Chine et Le ministère de la Transition écologique et solidaire met en œuvre les politiques relatives à l’écologie, la politique environnementale, la biodiversité et l’énergie ).

D’après Béatrice Héraud / Novéthic 06 janvier 2017) ; « Il y a une {{}}course aux énergies renouvelables de la Chine : « Face à une pollution devenue intenable au niveau économique, environnemental, sanitaire et social, la Chine doit repenser son mix énergétique, largement dominé par le charbon. Elle investit pour cela massivement à domicile comme à l’étranger dans les énergies renouvelables. Mais les besoins sont colossaux », ce qui fait de « La Chine, un leader mondial des investissements dans les énergies propres  ».

Des incidences internationales sur les cours des matières premières et du gaz

Mais ce qui se passe en Chine à aussi comme conséquence, au niveau mondial, une augmentation des cours des métaux destinés aux industries, de l’acier (La Chine concentre à elle seule environ 50% du marché de l’acier, aussi bien en termes d’offre que de demande), et même du gaz naturel liquéfié (GNL), (Voir Tout savoir sur le gaz naturel liquéfié (GNL) : définition, différentes ...), en raison de la forte demande chinoise et La Chine compte augmenter ses importations degaz naturel (新华网 07/12/2017).

Une attention particulière portée aux risques dans le numérique

En Europe, le mois octobre a été décrété comme le mois de la cybersécurité et des initiatives ont été prises en France à travers « un événement de sensibilisation de premier ordre. Le ‘Mois européen de la cybersécurité’, ou ECSM, est un événement européen de sensibilisation à la sécurité du numérique, organisé chaque année en octobre à l’initiative de l’ ENISA, l’agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information ».

La cybersécurité et les technologies de l’informationet de la communication (TIC : transcription de l’anglais information and communication technologies, ICT), constituent aussi l’un des enjeux majeurs pour la Chine. En accueillant la Conférence mondiale de l’Internet, qui s’y est tenue en décembre 2017 à Wuhan, ce pays confirme sa politique très active dans le secteur du numérique.

Chine et France engagées sur des réformes structurelles volontaristes

Lors des vœux rituels du nouvel an, calés sur les traditions occidentales et en avance par rapport au calendrier chinois qui inscrit cette année le Nouvel An chinois à la mi-février 2018, les présidents chinois et français, qui doivent se rencontrer à nouveau en ce début de 2018, ont l’un et l’autre en commun la volonté de vouloir bousculer le cours des choses dans leur pays respectif, en accélérant dans les prochains mois les réformes structurelles soutenues qui y ont déjà été entreprises. Voir , pour la France et à propos des réformes : « Macron veut garder le tempo des réformes » - Le Monde 03/01/2018

Resserrement des finances en France, avec un test de financement participatif

Le budget de l’État français pour 2018, adopté à la fin de l’année 2017, fixe un cap politique exigeant, notamment en matière de resserrement des contraintes de finances publiques. Sur le plan social, une campagne de financement participatif, (ou ‘‘crowdfunding’ en anglais ou encore socio-financement au Canada), se met en place en France, à titre expérimental, à l’instar de ce qui est également conduit en Allemagne (Voir L’Allemagneexpérimente le revenu universel grâce aucrowdfunding, ‘Le Monde’ 07/02/017.

Wikipédia décrit ainsi ce concept : « Le financement participatif, crowdfunding en anglais ou encore ‘socio-financement’ au Canada, est une expression décrivant tous les outils et méthodes de transactions financières qui font appel à un grand nombre de personnes afin de financer un projet. Le terme crowdfunding est issu du néologisme anglosaxon crowdsourcing inventé et popularisé par Howe dans le magazine Wired en 2006. Ce mode de financement se fait sans l’aide des acteurs traditionnels du financement, et il est dit désintermédié. L’émergence des plateformes de financement participatif a été permise grâce à Internet et aux réseaux sociaux, complétant ou remplaçant la traditionnelle souscription. Cette tendance s’inscrit dans un mouvement plus global : celui de la consommation collaborative et de la production participative. Le financement participatif comprend différents secteurs tels que le don (donation crowdfunding), la récomense (ou don avec contrepartie), le prêt (aussi appelé credit crowdfunding, crowdlendingpeer-to-peer lending ou prêt participatif) et le capital-investissement (equity)… »

Des indicateurs économiques plutôt favorables selon l’OCDE et le FMI

Les indicateurs économiques retiennent toujours une grande attention. Voir les Principaux indicateurs économiques − Tableaux de l’économie ... - Insee. Ces indicateurs économiques suggèrent une tendance plutôt favorable en France et dans la zone euro en général, comme l’a aussi indiqué Christine Lagarde, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) ; elle a déclaré que « La reprise économique mondiale est « plus forte, mieux partagée », et non plus seulement tirée par les économies des pays émergents ». Cette notion n’est pas très précise, bien qu’il y soit souvent fait référence ; voir ‘Pays émergents’ .

Christine Lagarde rappelle que cette tendance économique observée – voir L’embellieéconomiquetire le M&A, la France anime l’Europe Boursorama 01/01/2018 - est propice pour poursuivre les réformes structurelles qui sont nécessaires et elle cite cette formule imagée : « Quand le soleil brille, il faut en profiter pour réparer le toit » !

M&A - Selon Wikipédia, « L’expression ‘fusions & acquisitions’ (parfois aussi appelée « Fusac », ou en anglais M&A, un acronyme pour Mergers and Acquisitions) signifie le regroupement d’entreprise et recouvre les différents aspects du rachat du capital d’une entreprise, d’une division d’entreprise, voire d’actifs, par une autre entreprise. Chaque opération est une transaction habituellement majoritaire, ce qui signifie qu’elle entraîne un échange financier entre un ou plusieurs vendeurs et un acheteur et une modification des droits de propriété de la cible. On distingue une opération de reclassement de capital d’une opération de M&A, lorsqu’une partie minoritaire du capital d’une entreprise est cédée d’un actionnaire à un autre sans entraîner de changements notables dans son management. Dans ce dernier cas, il s’agit essentiellement d’investissement financier plus qu’industriel mais la limite entre les deux peut parfois être ténue sur une longue période…).

La conjoncture économique fait, d’après Wikipédia, « référence aux évolutions économiques de court terme d’un ensemble économique, en général un pays. Elle s’apprécie à l’aide d’indicateurs économiques tels que le taux de croissance du PIB, le taux d’inflation, l’évolution du taux de chômage, la balance commerciale, etc. ..)

Les perspectives de conjoncture économique sont indiquées dans le sommaire suivant avec des accès à différentes sources. En particulier, les experts de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) décrivent une dynamique de croissance économique assez stable dans la zone de l’OCDE (35 pays Membres - Voir Membres et partenaires - OCDE - OECD.org). Dans une note du 28 novembre 2017, l’OCDE déclare que « L’économie mondiale s’est affermie, avec des mesures de relance monétaires et budgétaires soutenant un redressement généralisé, selon les Perspectives économiques de l’OCDE. La croissance devrait s’accélérer en 2018, mais rester inférieure aux niveaux des reprises antérieures ».

Par contre, une croissance du produit intérieur brut (PIB) qui a été stable à 1,0%, au cours du troisième trimestre de 2017 pour les pays du G20. Voir aussi Qu’est-ce que le G20 ?. une note de ‘France Diplomatie - MEAE’.

Selon une ONG belge, 3 risques majeurs planent sur le secteur financier mondial

Toutefois, dans ce contexte mondial présenté sous de bons augures, le Centre national belge de coopération et de développement (CNCD-11.11.11) mentionne « trois bombes à retardement de l’économie mondiale » : le risque d’un « moment Minsky » en Chine, la bulle financière de Wall Stree aux Etats-Unist et le retour de la titrisation en Europe.

Pour plus de détails techniques sur ces sujets, voir notamment : La stabilité financière et le ’moment Minsky’ - Le nouvel Economiste, Le moment Minsky par Cairn.info, 2017, Uun très bon cru…. pourWall Street ! (L’Humanité 2 janvier 2018), Quelles perspectives financières pour 2018 ? (02/01/2018 d’après le Le Billet économiquede Jean-Marc Chardon), La crapulerie des milieux bancaires (Le Club de Médiapart (Blog) 24/12/2017) et puis encore : Fonds vautours : Une espèce méconnue de la jungle financière (Kongo Times 03/01/2018).

Point avec des économistes qui se retrouvent et s’activent régulièrement chaque été à Aix-en-Provence

Finalement, on peut également se référer aux travaux du ‘Cercle des Economistes’, présentés lors des « Rencontres Économiques d’Aix-en-Provence 2017 », et tout particulièrement à leur proposition de 12 mesures pour un contrat social de progrès, à travers un accès à 43 vidéos explicatives. Accès à notre site : ’Retour sur les crises financières, boursières et économiques ’ par Jacques Hallard,mercredi 19 juillet 2017.

Annonce d’un évènement prévu en 2018 par le ‘Le Cercle des Économistes - 30 universitaires et une conviction’ : « Les métamorphoses du Monde - Notre évolution à l’épreuve des révolutions - 6 , 7 et 8 juillet 2018 » Appel à idées – Source : http://lesrencontreseconomiques.fr/2018/

Des activités boursières certes prolifiques dans le cours terme

En conclusion, en Europe, l’année boursière 2017 a été la meilleure année depuis 2013, (Voir L’Europe clôture l’an 2017, sa meilleure année depuis 2013 ... et les signaux vont dans le même sens aux Etats-Unis (Voir Wall Street en hausse, grâce aux records de 2017 Le Figaro 02/01/2018).

Selon Pierrick Fay le 28/11 à 17:07 pour ‘Les Echos.fr’, « Bourse : la Chine met en garde contre les risques de surchauffe » - Photo (Browning/REX Shuttersto/SIPA - La Bourse de Shanghai comme celle de Shenzhen ont fait l’objet de prises de bénéfices ces derniers jours – « Les actions chinoises ont fait l’objet de prises de profits alors que Pékin durcit la réglementation. Certains s’interrogent aussi sur les risques d’un ralentissement économique… » (En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/030946220828-bourse-la-chine-met-en-garde-contre-les-risques-de-surchauffe-2133944.php#k8eaw2R1E5XemKqD.99).

Voir aussi : L’économie européenne a retrouvé sa vigueur - Le Monde » www.lemonde.fr/economie/.../l-economie-europeenne-a-retrouve-sa-vigueur_5237479_... 04/01/2018

Mais une carte géostratégique va se redessiner avec une montée des BRICS

L’agence Sputnik France (voir Sputnik (agence de presse) — Wikipédia) se risquait le 26 décembre 2017 à rapporter un pronostic dans un article de Gaëlle Nicolle daté du 17:06 26.(mis à jour 18:52 26.12.2017), intitulé ‘Économie mondiale en 2030 : l’Asie au top, la France et l’Europe dégringolent’ : « Un récent rapport d’un cabinet britannique place la France, actuelle cinquième puissance économique mondiale, derrière l’Inde, la Grande-Bretagne ou le Brésil d’ici quelques années... La Chine devrait, elle, devenir la première puissance économique mondiale devant les Etats-Unis en 2030 : bienvenue dans un monde multipolaire, où les BRICS raflent la mise ».

Pour information complémentaire et d’après Wikipédia, « BRICS est un acronyme anglais pour désigner un groupe de cinq pays qui se réunissent depuis 2011 en sommets annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud (en anglais : Brazil, Russia, India, China, South Africa). Avant l’ajout de l’Afrique du Sud en 2011, le groupe était appelé BRIC, terme initial inventé en 2001 et qui a conduit à l’organisation des premiers sommets à quatre pays en 2009. Rarement utilisés, les équivalents français de cet acronyme - après l’adhésion de l’Afrique du Sud - sont ABRIC (Afrique du Sud, Brésil, Russie, Inde et Chine1), BRASIC ou encore BRICA2. L’acronyme BRICSAM (en anglais : Brazil, Russia, India, China, South Africa, Mexico) est également utilisé pour y adjoindre le Mexique, sans qu’il ne soit membre du groupe… »

Voir aussi : « L’Asie grimpe dans le classement des puissances économiques ... » www.lemonde.fr/economie/.../l-asie-grimpe-dans-le-classement-des-puissances-economi.. 03/01/2018, d’une part, et « L’Asie bouscule l’ordre de l’économie mondiale - LireLactu » lirelactu.fr/source/le-monde/36400626-b749-41f6-8c98-45e0075e7fd 04/01/2018, d’autre part. Et encore : « Le Japon reste la troisième économie de la planète - Le Monde » www.lemonde.fr/.../le-japon-reste-la-troisieme-economie-de-la-planete_5237109_3234.... 04/01/2018.

Des incertitudes financières malgré les mesures prises en Europe

Quoi qu’il en soit, des incertitudes demeurent sur le plus long terme avec des risques financiers difficiles à estimer, malgré le ‘big bang’ enregistré sur les marchés boursiers de l’Union européenne avec l’entrée en vigueur le mercredi 3 janvier 2018 de la directive européenne MIF2, qui encadre davantage les produits dérivés financiers, les obligations et les transactions à haute fréquence et « qui a surtout pour but de mieux protéger les petits investisseurs « .

D’après Concepcion Alvarez @conce1 et Marina Fabre @fabre_marina / Novéthic, « Devoir de vigilance, climat, finance durable : ce qui nous attend en 2018 » – « En ce début d’année, Novethic (Agence de notation sociale et environnementale) fait le point sur les grands dossiers à suivre en 2018. Renforcement du pouvoir des agriculteurs, plan d’action de la Commission européenne sur la finance durable, refonte du code du travail, COP24, (Voir Climat : la COP24 aura lieu en 2018 à Katowice en Pologne ... ), nucléaire ou encore mise oeuvre du devoir de vigilance... l’année s’annonce chargée. Article à lire sur ce site : http://www.novethic.fr/actualite/entreprise-responsable/isr-rse/devoir-de-vigilance-climat-finance-durable-ce-qui-nous-attend-en-2018-145261.html?utm_source=Abonnes+Novethic&utm_campaign=d115e4d873-EMAIL_CAMPAIGN_2018_01_04&utm_medium=email&utm_term=0_2876b612e6-d115e4d873-17105976

Finalement, une question pertinente posée par Kaushik Basu, un expert économiste indien, ancien chef économiste de la Banque mondiale dans une chronique du magazine ‘Alternatives économiques‘ (un mensuel de la presse économique francophone) : « Les politiques doivent-ils écouter les économistes ? ». Traduit de l’anglais par Timothée Demont 05/01/2018 - A lire ur https://www.alternatives-economiques.fr//kaushik-basu/politiques-doivent-ecouter-economistes/00082279

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Sommaire des articles sélectionnés

Les relations sino-françaises en 2017 : la balle est dans le camp français - Par Jacques FourrierMis à jour le 28. 12. 2017 -

2.La Chine a besoin d’une croissance de 6,3% entre 2018-2020Posted by Chine Magazine

3. La sagesse chinoise contribue au développement pacifique - Par Jacques FourrierMis à jour le 30. 10. 2017

4.Le Vietnam enregistre sa plus forte croissance depuis dix ans -Par latribune.frLa Tribune(Avec agences) 27/12/2017

5. Les matières premières dopées par la transition écologique chinoise Document AGEFI.com- 31 décembre 2018

6. La cybersécurité et l’information s’adaptent à la nouvelle normalité chinoise - Par Jacques Fourrier, journaliste et commentateur basé à Beijing - 2016-05-05 

7. Conférence mondiale de l’Internet : la Chine propulse le numérique de la nouvelle ère -French.china.org.cn Mis à jour le 02. 12. 2017

8. Le président chinois prononce son allocution du Nouvel An, s’engageant à pursuire la réforme en 2018

9. Visite prochaine en Chine du président français -French.xinhuanet.com

10. REPLAY. ’Je continuerai à faire ce pour quoi vous m’avez élu’ : regardez les premiers vœux d’Emmanuel Macron aux Français - Pierre Godon France Télévisions - Mis à jour le 31/12/2017

11. Vœux 2018 : sur Facebook, un bonus de 2 minutes de Macron à l’attention des jeunes - Le président a joué les prolongations sur Internet dans sa présentation des vœux aux Français. Rédaction du HuffPost avec AFP - 01/01/2018

12.Bas du formulaire

Perspectives France 2018 : premières réformes structurelles dans un contexte favorable - Document de travail N.65, octobre 2017 - 17/10/2017

13. Budget de l’État français en 2018 Source officielle

14. Une campagne de financement participatif pour expérimenter le revenu de base - Le Monde.fr avec AFP

15. Chômage, croissance, climat des affaires : les bons indicateurs de l’Insee - Par Thomas Schonheere - Publié le mercredi 20 décembre 2017

16. Croissance, zone euro, convergence franco-allemande... « J’ai toujours de l’espoir » assure Christine Lagarde – L’Opinion’ 31 décembre 2017

17. Lagarde : « la reprise économique est plus forte et mieux partagée » Par Luc LenoirAFP agencePublié le 31/12/2017

18. PDF - perspectives économiques 2017-2018 - OFCE https://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/revue/1-151.pdf de É Heyer

19. Economie - Indicateurs composites avancés de l’OCDE - Mise à jour : décembre 2017

20. Croissance trimestrielle du PIB du G20, troisième trimestre 2017, OCDE

21. Où consulter les principaux indicateurs de conjoncture économique ?

22. Les trois bombes à retardement de l’économie mondiale Par Jean-marc B Blog : Le blog de Jean-marc B 30 déc. 2017

Actualités - Big bang sur les marchés financiers de l’Union européenne - LE MONDE ECONOMIE

Actualités - Quelles perspectives financières pour 2018 ? - France Culture.

Autre référence - ISIAS Economie - Retour sur les crises financières, boursières et économiques

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1.

Les relations sino-françaises en 2017 : la balle est dans le camp français - Par Jacques Fourrier - French.china.org.cn- Mis à jour le 28. 12. 2017 - Mots clés : relations sino-françaisesDrapeaux chinois et français. L’année 2017 aura vu deux grands événements politiques en France comme en Chine. En France, Emmanuel Macron a été élu président de la République en mai à la faveur d’un contexte socioéconomique et politique sans doute unique dans l’histoire de la Ve république, marquant la fin d’une époque. En Chine, le XIXe Congrès national du Parti communiste chinois a donné en octobre une impulsion majeure à l’entrée du pays dans une nouvelle phase de développement, ouvrant la voie à une nouvelle ère de prospérité.Entre une France exsangue à la recherche d’un souffle nouveau et une Chine dont l’élan semble irrésistible, les relations entre les deux pays en 2017 ont pris la voie d’une convergence accrue où la Chine joue un rôle moteur. Avec la visite d’Etat de M. Macron en Chine prévue début 2018, la balle est maintenant dans le camp français.Une convergence accrueLes relations diplomatiques et culturelles entre les deux pays ont dans l’ensemble toujours connu des avancées depuis l’établissement des relations diplomatiques en 1964, et sont devenues un acquis précieux ainsi qu’une référence pour les deux pays. C’est principalement sur les questions de développement économique et de partenariat que Beijing et Paris tentent de relancer une dynamique. Plusieurs mécanismes de dialogue ont participé au bon développement du partenariat sino-français, notamment le Dialogue économique et financier de haut niveau Chine-France.La cinquième édition de ce dialogue, créé en 2013, s’est déroulée les 30 novembre et 1er décembre à Beijing en présence du vice-Premier ministre chinois Ma Kai et du ministre français de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire. Deux thèmes centraux et chers aux deux pays ont été abordés. Tout d’abord la gouvernance économique mondiale, M. Le Maire rappelant l’attachement aux règles multilatérales et leur mise en œuvre effective. Ensuite, l’approfondissement des relations commerciales bilatérales, en particulier les partenariats entre les entreprises françaises et chinoises et les questions d’accès au marché dans des piliers traditionnels que constituent l’aéronautique, le nucléaire, l’agroalimentaire et l’automobile notamment.L’innovation était aussi au programme de la visite de M. Jean-Yves Le Drian, ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, qui s’est rendu à Beijing du 24 au 26 novembre pour participer à la 4e session du Dialogue franco-chinois de haut niveau sur les échanges humains aux côtés de la vice-Première ministre chinoise Liu Yandong. Il a à cette occasion souligné le rôle important de la coopération dans l’agroalimentaire, la finance verte, le développement urbain durable, la santé, l’économie du vieillissement et le tourisme. C’est sans doute dans ces domaines que la coopération s’avèrera la plus prometteuse, notamment avec des synergies concrètes entre le plan français « Industrie du futur » et la politique chinoise « Made in China 2025 ».La France, un « partenaire naturel » de la ChineLa France prend lentement conscience du rôle moteur que la Chine joue dans les relations bilatérales. Le président Macron en est d’ailleurs le premier convaincu, désireux de leur donner l’impulsion nécessaire au cours de son mandat.Le président chinois Xi Jinping avait déjà rencontré Emmanuel Macron pour la première fois à l’occasion du G20 à Hambourg les 7 et 8 juillet 2017. Au cours de leur entretien, M. Macron avait salué le pragmatisme de M. Xi, permettant « une vraie avancée et la volonté d’identifier des projets communs que nous pourrions inaugurer ensemble, en tout cas pousser un agenda partagé au-delà de ce que nos deux pays font déjà dans plusieurs domaines, en particulier dans le nucléaire civil ».Emmanuel Dupuy, président de l’Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE), a indiqué le 24 octobre dans un entretien avec Xinhua que les convergences sont nombreuses entre les deux pays, « qu’il s’agisse de la construction d’une communauté de destin écologique, de leur vision du multilatéralisme, de l’initiative de ’La Ceinture et la Route’ ou de leurs positions à l’égard de grands dossiers internationaux ». Ces quatre axes seront au centre des discussions lors de la visite officielle de M. Macron en Chine début 2018, visite dont le terrain a été préparé par Philippe Etienne, conseiller diplomatique du président de la République, et Yang Jiechi, le conseiller d’Etat chinois, dans le cadre de la 14e session du Dialogue stratégique France-Chine à Beijing le 19 décembre.A l’issue de sa visite en Chine, M. Le Maire avait tenu à souligner la volonté française de redonner une nouvelle dynamique aux relations bilatérales. « Nous voulons faire de ce moment le début d’une nouvelle ère économique et financière dans les relations franco-chinoises – qui se concrétisera au moment de la visite d’Etat du président de la République, Emmanuel Macron, en Chine en janvier prochain. »En considérant que les initiatives chinoises devraient faire de la France « un partenaire naturel » de la Chine, la balle se trouve désormais dans le camp français. M. Dupuy se fait l’écho des propos de M. Macron dans « Révolution », son livre programmatique publié en novembre 2016. M. Macron y évoque la Chine dans les chapitres concernant les relations extérieures et l’Europe. Il note ainsi que la France a su tisser des liens privilégiés et uniques avec un certain nombre de grandes puissances : « La Chine occupe bien entendu dans cette liste une place à part. Elle est une grande puissance en passe de devenir la première économie de la planète. Beaucoup de nos compatriotes connaissent mal la Chine. Ils la voient encore comme l’usine du monde, comme un pays de production à bas coûts. Ils la voient comme responsable des délocalisations d’usines, de la désindustrialisation de la France. Mais la Chine, c’est déjà plus que cela. C’est pourquoi nous devons changer notre manière de la voir. Loin de devoir être toujours considérée comme un péril, la Chine peut, si l’on sait s’en donner les moyens, constituer une chance ». Source : french.china.org.cnLire aussi

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La Chine a besoin d’une croissance de 6,3% entre 2018-2020 Posted by Chine Magazine
Déc 23, 2017 ECONOMIE https://www.chine-magazine.com/la-c... Photo.

La Chine a besoin d’une croissance de 6,3% entre 2018-2020« La Chine a besoin d’une croissance annuelle de 6,3% sur la période 2018-2020 pour atteindre en 2020 un PIB deux fois supérieur à celui de 2010« , a déclaré Yang Weimin, chef adjoint de la direction générale du Groupe dirigeant central pour les affaires financières et économiques, lors d’un forum économique.Ce dernier a indiqué que « prenant en considération la performance économique actuelle, il n’y aura pas de grands obstacles dans la réalisation de cet objectif« . Raisons pour lesquelles, le gouvernement a décidé de doubler son PIB et les revenus par habitant en 2020 sur la base de 2010.Le PIB a progressé de 6,9% en glissement annuel sur les trois premiers trimestres de l’année 2017, avec un taux de croissance supérieur à l’objectif d’environ 6,5% fixé par le gouvernement pour l’ensemble de l’année.La Banque mondiale revoit ses prévisionsLa Banque mondiale a revu à la hausse sa prévision de croissance en 2017, passant de 6,7% à 6,8%, en fonction de l’augmentation du revenu des ménages et de l’amélioration de la demande extérieure.Il s’agit de la 2nde révision à la hausse de la Banque mondiale, après celle d’avril, qui avait vu la prévision de croissance passer de 6,5% à 6,7%. « La Chine a consolidé sa croissance et gagné en réformes, car les autorités ont pris une série de mesures visant à réduire les déséquilibres macroéconomiques et à contrôler les risques financiers sans impact notable sur la croissance« , a expliqué John Litwack, économiste en chef de la Banque mondiale pour la Chine.« Par conséquent, le rééquilibrage économique a été renforcé. Les hausses du revenu des ménages et de la consommation ont accéléré par rapport aux investissements« , a ajouté ce dernier.Il a souligné l’impact positif des exportations nettes sur la croissance, l’amélioration de la confiance du milieu des affaires, la création d’emplois vigoureuse, la stabilité des sorties de capitaux, et l’appréciation de la monnaie renminbi face au dollar.La banque a prévu que la croissance du PIB baisserait à 6,4% en 2018 et à 6,3% en 2019, en raison d’une « politique monétaire prudente, du contrôle plus strict sur le secteur financier, et d’efforts constants du gouvernement pour restructurer l’économie et pour contrôler le rythme de l’effet de levier devraient contribuer à la modération de la croissance », selon le rapport de la banque.Les mesures gouvernementales saluées « Les conditions économiques favorables créent un moment particulièrement propice pour réduire davantage les vulnérabilités macroéconomiques et poursuivre les réformes visant une meilleure qualité, un développement plus efficace, plus juste et plus durable« , a indiqué Elitza Milieva, économiste en chef de la Banque mondiale et co-auteur du rapport.Le rapport indique que l’application réussie de réformes sur le budget du gouvernement et le système de pension sont « essentiels à la stabilité macro-économique, le rééquilibrage économique et la transformation sociale du pays au cours des prochaines années« .« En dépit du ralentissement récent, le crédit continue à augmenter plus rapidement que le PIB. Les prêts bancaires en cours ont atteint 150% du PIB en novembre 2017, contre 103% fin 2007« , a souligné le rapport.Le PIB a enregistré une croissance de 6,9% sur un an au cours des trois premiers trimestres, au-dessus de l’objectif du gouvernement d’environ 6,5% pour l’année. Face à cette conjoncture élevé, le Fonds Monétaire International a aussi révisé à la hausse ses prévisions concernant la Chine pour la 4ème fois cette année, à 6,8% en 2017 et à 6,5% pour l’année prochaine.

Chine MagazineChine Magazine Service de presse en ligne consacré à la Chine (société, culture, économie, politique, relations internationale, science et technologie… MENTIONS LEGALES PLAN DU SITE PRESENTATION PUBLICITE Source :https://www.chine-magazine.com/la-chine-a-besoin-dune-croissance-de-63-entre-2018-2020/Retour au sommaire 3.
La sagesse chinoise contribue au développement pacifique - Par Jacques Fourrier - French.china.org.cn 

 Mis à jour le 30. 10. 2017   Mots clés : sagesse chinoise,développement pacifique,Congrès,PCC Illoustration.Dans son rapport au XIXe Congrès du Parti communiste chinois (PCC) le 18 octobre 2017, le président chinois et secrétaire général du Parti Xi Jinping a évoqué à plusieurs reprises la sagesse chinoise et sa contribution au développement de la Chine et de l’humanité.Si la mention de la « sagesse chinoise » peut paraître incongrue dans un discours politique, elle s’inscrit dans la vision que la Chine a développée depuis l’élection du Comité central du PCC - avec Xi Jinping comme noyau dirigeant – fin 2012. Cette vision consiste en la réalisation des objectifs dits des « deux centenaires » qui constituent le « rêve chinois » du grand renouveau national : l’édification intégrale d’une société de moyenne aisance d’ici au centenaire de la création du PCC et l’édification intégrale d’un pays socialiste moderne d’ici au centenaire de la Chine nouvelle.Que signifie la « sagesse chinoise » et comment contribue-t-elle au développement pacifique ? Les deux notions sont en effet intimement liées car elles répondent aux questions de la communauté internationale sur la montée en puissance de la Chine. Dans son rapport, Xi Jinping l’a souligné : la Chine va « poursuivre une voie de développement pacifique et faire progresser la construction de la communauté de destin pour l’humanité ».La sagesse chinoise, un « soft power » pour le XXIe siècleLa sagesse chinoise est non seulement le fruit de son histoire plurimillénaire, mais elle s’incarne aussi dans ce qui Xi Jinping a appelé la « pensée du socialisme à la chinoise de la nouvelle ère ». Il s’agit, selon le secrétaire général, du « dernier acquis de la sinisation du marxisme ainsi que de la cristallisation de l’expérience et de la sagesse collective du Parti et du peuple ».Après près de 40 années de réforme et d’ouverture, la Chine a en effet accumulé une riche expérience du développement sur la base de ses caractéristiques nationales tout en s’adaptant à l’environnement international. Le pays en a tiré une sagesse grâce à laquelle il a pu surmonter les grandes contradictions tant économiques que politiques et sociales et devenir la seconde économie mondiale en un temps record.Cette sagesse trouve son origine non seulement dans les accomplissements et les réussites de la Chine, mais aussi dans son rayonnement dans le monde. Si la montée en puissance de la Chine a pu inquiéter certains pays, elle est maintenant le garant de la paix et du développement mondial. La sagesse chinoise est d’ores et déjà un élément primordial du « soft power » chinois, avec une dimension essentielle : le partage des expériences réussies dans une optique de développement pacifique.La sagesse chinoise, un modèle pour le développement mondial Le modèle de développement de la Chine a déjà prouvé qu’il pouvait jouer un double rôle : il a su stimuler la croissance mondiale et donner aux pays en développement les outils de leur propre modernisation et une plus grande voix au chapitre.Depuis la crise financière internationale de 2008 et avec la crise de la dette en Europe qui ont complètement perturbé et modifié l’échiquier international, la Chine a participé de façon croissante et dans une proportion de plus en plus importante au commerce internationale et à la croissance mondiale. La Chine accomplit par ailleurs depuis quelques années un « atterrissage en douceur » de son économie en accentuant la réforme et en s’ouvrant davantage à la concurrence internationale.Ces cinq dernières années ont aussi été marquées par une accentuation du rôle de la Chine sur la scène internationale. Le Sommet de Johannesburg du Forum sur la Coopération Chine-Afrique fin 2015 a vu la Chine s’engager de plain-pied dans la modernisation de l’Afrique, et la proposition chinoise dès 2013 de l’initiative « la Ceinture et la Route » est un projet de promotion de coopération internationale sans précédent dans l’histoire qui donne déjà des résultats impressionnants. La Chine est ainsi non seulement disposée à s’ouvrir au monde et à partager les opportunités et les fruits de son développement, mais aussi à renforcer la solidarité et la coopération avec les autres pays en développement.C’est à cet égard que la sagesse chinoise s’exprime le mieux : au-delà des préoccupations liées au développement et à la modernisation, la Chine propose une nouvelle conception de la gouvernance mondiale. Xi Jinping s’est d’ailleurs clairement exprimé à ce sujet : « La Chine continuera à jouer son rôle en tant que grand pays responsable, participera activement à la réforme et au développement du système de gouvernance mondiale, pour y apporter continuellement la sagesse chinoise et la force chinoise. »La sagesse chinoise a ainsi commencé à donner une direction au XXIe siècle en mettant en avant la notion de communauté de destin pour l’humanité. Elle annonce la fin d’une conception unilatérale et antagoniste des relations et la mise en place d’un cadre global de coordination et de coopération visant à la convergence des intérêts. A cet égard, la sagesse chinoise trouve son expression la plus pure dans la conception de gouvernance mondiale dite de « concertation, synergie et partage » visant à l’équilibre et à la stabilité.Dans son rapport devant le XIXe Congrès, Xi Jinping aura lancé un message à la communauté international : « Le PCC se dévoue toujours à sa mission d’apporter de nouvelles et plus grandes contributions à l’humanité. » C’est l’essence de la sagesse chinoise qu’il a ainsi voulu rappeler et qu’il a condensée dans la Pensée du socialisme à la chinoise de la nouvelle ère.Copyright © China Internet Information Center. All Rights Reserved E-mail : webmaster@china.org.c Tel : 86-10-88828000 京ICP证 040089号 京公网安备110108006329号

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Le Vietnam enregistre sa plus forte croissance depuis dix ans - Par latribune.fr La Tribune (Avec agences) 27/12/2017, 12:10 - Photo - Le Vietnam a enregistré en 2017 sa plus forte croissance des dix dernières années à 6,81%. (Crédits : Reuters/Thomas Peter) Le Vietnam enregistre en 2017 une croissance à 6,81%, dopée entre autres par la production agricole. A l’instar de la Corée du Sud et de la Chine, une telle croissance sera ’difficile à maintenir’ en 2018, selon la Banque mondiale. Du jamais vu depuis dix ans. Le Vietnam a enregistré en 2017 sa plus forte croissance des dix dernières années à 6,81%. Le pays communiste, qui est l’une des économies les plus performantes de la région ces dernières années, est parvenu à faire légèrement mieux que ses prévisions (6,7%) grâce à des exportations en plein essor malgré un premier trimestre décevant.’Le rebond de la production agricole et le développement du secteur aquaculture sont les principales raisons de la croissance’, a expliqué à la presse Nguyen Bich Lam, responsable du département général des statistiques.Au total, les exportations ont été également portées par les produits fabriqués à bon marché comme les téléphones Samsung et les chaussures Nike, ont fait un bond de 21% par rapport à 2016.Une croissance difficile à maintenir en 2018Toutefois, pour Sebastian Eckardt, représentant de la Banque mondiale au Vietnam, ’la croissance est si élevée cette année, qu’il sera difficile de la maintenir à ce niveau l’an prochain’. Le Vietnam n’est pas le seul pays dans ce cas de figure. La Corée du Sud, quatrième puissance économique asiatique, anticipe également une croissance ralentie en 2018 dû à la modération attendue des investissements et la diminution accélérée de la population active. En effet, le gouvernement sud-coréen a annoncé ce mercredi un léger repli de la croissance à quelque 3% en 2018 après une hausse prévue de 3,2% pour cette année. La Banque de Corée, légèrement plus pessimiste, table sur une hausse du PIB (produit intérieur brut) de 2,9%.L’économie chinoise devrait aussi être marquée par une baisse de sa croissance l’année prochaine. Après avoir enregistré une croissance de 6,7% en 2016 - sa plus faible performance depuis 26 ans - Pékin tablait en octobre dernier sur une croissance de 6,5% pour 2017. Le FMI (Fonds monétaire international) prévoyait une croissance semblable pour la Chine en 2018 dans un rapport publié en octobre dernier.Réduire sa dette publiquePour la banque mondiale, la croissance du Vietnam devrait cependant rester supérieure à 6% en 2018, et se situer autour de 6,5%. Malgré cette économie florissante, Hanoï ne parvient pas à réduire sa dette publique dans un pays à deux vitesses, avec d’un côté un secteur privé florissant et de l’autre des entreprises publiques (qui représentaient encore en 2015 un tiers du produit intérieur brut du pays) peu performantes.Le régime communiste s’est donc lancé dans un vaste programme d’ouverture du capital d’une partie des mastodontes publics : cela a concerné plus de 500 entreprises d’Etat entre 2011 et 2015. Selon les analystes, ce mouvement de privatisation est essentiel pour maintenir la croissance forte que connaît le pays ces dernières années.

Résultat de recherche d’images pour ’la tribune logo’Source : https://www.latribune.fr/economie/international/le-vietnam-enregistre-sa-plus-forte-croissance-depuis-dix-ans-762963.htmlRetour au sommaire5.
Les matières premières dopées par la transition écologique chinoise Document AGEFI.com- 31 décembre 2018Les analystes prédisent une poursuite de cette hausse des prix en 2018, à la faveur aussi de l’accélération de la croissance dans les grandes ... n’était que de 1 GW en 2000, et elle devrait encore doubler d’ici à 2020, selon des prévisions de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena).Les analystes prédisent une poursuite de la hausse des prix des matières premières en 2018. Photo - La Chine a procédé à la fermeture pour des raisons environnementales d’usines sidérurgiques chinoises produisant un acier de qualité médiocre. (Keystone)La bataille engagée par Pékin contre la pollution a propulsé le cours de métaux industriels, du gaz naturel liquéfié (GNL) et même de l’acier à des plus hauts grâce la demande chinoise pour des énergies fossiles plus propres et pour des matériaux essentiels aux technologies vertes. Les analystes prédisent une poursuite de cette hausse des prix en 2018, à la faveur aussi de l’accélération de la croissance dans les grandes économies et de l’augmentation attendue des dépenses en infrastructures. ’Je pense que c’est la fin des prix bas sur les matières premières puisque les fonds d’investissement devraient se porter sur cette classe d’actifs en 2018, dans un contexte de forte croissance économique’, a déclaré Terry Reilly, analyste sur les matières premières chez Futures International. Les métaux utilisés dans le secteur des énergies renouvelables, comme le cuivre qui sert dans la fabrication des lignes de transmission et le câblage des panneaux solaires, ont connu une forte demande et vu leur prix s’envoler. Le même phénomène a également concerné l’aluminium, très utilisé dans les véhicules électriques. Les cours du cuivre et de l’aluminium ont augmenté de près de 33% cette année pour atteindre en cette fin d’année, un plus haut depuis quatre ans à respectivement 7259 dollars (plus de 7000 francs) et 2270 dollars la tonne. La valeur du cuivre pourrait continuer d’augmenter de plus de 25% au cours des deux prochaines années pour faire face à la croissance de la demande mondiale, selon les estimations de Pan Pacific Copper, la plus grande fonderie de cuivre du Japon. En raison de la fermeture pour des raisons environnementales d’usines sidérurgiques chinoises produisant un acier de qualité médiocre, les contrats à terme sur les barres d’armature à la Bourse Shanghai ont grimpé de près de 45% cette année, à plus de 3.815 yuans (489,10 euros) la tonne. Les prix de l’acier ont aussi été portés par une activité soutenue du secteur de la construction. La Chine à plein gazLe GNL a connu une année en deux temps en partie pour des motifs saisonniers. Baissier en début d’année, son cours n’a quasiment pas cessé de se redresser depuis la fin de l’été. En Asie, les prix au comptant de GNL ont atteint leur plus haut niveau depuis la fin d’année 2014, soit plus de 11 dollars par million de BTU. Cette remontée du cours s’appuie sur une importante transition cette année en Chine qui a vu des industries et des millions de ménages passer du charbon au gaz. Ce plan de gazéification massif de la Chine vise à réduire drastiquement la consommation de charbon afin de tenter de réduire la pollution que subissent les villes chinoises depuis des années. ’Ces mesures sévères de lutte contre la pollution en Chine vont stimuler la demande de métaux et de gaz’, a ajouté Terry Reilly. Dans le cadre de son combat contre la pollution, la Chine investit dans le même temps massivement dans la production d’énergie renouvelable. La capacité mondiale d’énergie solaire a atteint environ 300 gigawatts (GW) alors qu’elle n’était que de 1 GW en 2000, et elle devrait encore doubler d’ici à 2020, selon des prévisions de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena). Cette croissance est en grande partie tirée par la Chine, qui approche à elle seule les 100 GW de capacité. Selon l’Irena, le pays pourrait y ajouter une capacité de 50 GW par an. Malgré la dynamique chinoise en faveur des énergies renouvelables, les prix du charbon se sont relativement bien comportés en 2017, mais cela reste aussi lié à la lutte contre la pollution en Chine. Les prix du charbon australien ont augmenté de 10% à plus de 100 dollars la tonne en raison de la décision de Pékin de fermer plusieurs de ses mines. La Chine a dû en conséquence importer davantage. Sur le marché du pétrole, la matière première la plus activement échangée au monde, le baril de Brent a franchi en cette fin d’année la barre des 67 dollars pour la première fois depuis la mi-2015. Son cours affiche une hausse de 17% sur l’année tandis que les volumes traités ont bondi de 50%. Cette hausse du cours du brut est liée aux efforts de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de la Russie pour réduire leur production, afin de soutenir les cours. La production de pétrole des Etats-Unis a grimpé de plus de 16% depuis la mi-2016 et s’approche de 10 millions de barils par jour, freinant le redressement des cours. La production américaine est seulement dépassée par celles de l’Arabie saoudite et de la Russie. Récoltes abondantesContrairement à l’énergie et aux produits industriels, la plupart des produits agricoles finiront 2017 avec des prix orientés à la baisse, mis sous pression par une production record. Le sucre brut a perdu près du quart de sa valeur, avec un excédent mondial de 5 millions de tonnes en 2017/2018, contre un déficit de 3,1 millions en 2016/2017 selon l’Organisation internationale du sucre. Le café est en baisse de 20% avec des conditions météorologiques favorables qui ont stimulé la production du Vietnam, deuxième producteur mondial derrière le Brésil. La production mondiale de maïs progresse a atteint un nouveau record la huitième fois en dix ans. Celle de soja a battu des records pour la quatrième fois en cinq ans, selon le ministère de l’agriculture américain (USDA) entraînant une baisse de 5% des cours. Le blé va réaliser un modeste gain de 5% en 2017, après avoir perdu du terrain ces quatre dernières années, mais l’offre mondiale de blé riche en protéines se resserre en raison du phénomène climatique La Niña, qui occasionne des pertes de récoltes aux Etats-Unis et en Australie. Le prix de l’huile de palme malaisienne a chuté de 10% en 2017, avec une production qui a dépassé la demande de gros importateurs comme la Chine et l’Europe. (awp)© 2018 - agefi.com - L’AGEFI Nouvelle Agence Economique et Financière SA Route de la Chocolatière 21 Case postale 61 1026 Echandens – Denges Suisse - https://www.agefi.com/home/news/detail-ageficom/edition/online/article/les-analystes-predisent-une-poursuite-de-la-hausse-des-prix-des-matieres-premieres-en-2018-467429.htmlRetour au sommaire6.
La cybersécurité et l’information s’adaptent à la nouvelle normalité chinoise - Par Jacques Fourrier, journaliste et commentateur basé à Beijing - 2016-05-05 · Source : French.china.org.cn - Illustration

Depuis l’arrivée au pouvoir de la nouvelle équipe dirigeante en 2012, la Chine est entrée dans une période de mutations socioéconomiques et de réformes politiques cruciales et déterminantes pour l’avenir du pays. L’innovation et la sécurité sont indispensables au développement économique et à la stabilité sociale et le gouvernement a placé le numérique et l’innovation au cœur de cette stratégie. La cybersécurité et l’information sont des enjeux majeurs. Les récentes interventions du président chinois au cours des derniers mois le montrent. La dernière en date, une allocution remarquée prononcée le 19 avril lors d’un colloque à Beijing sur la cybersécurité et le développement des technologies de l’information, va dans la droite ligne des initiatives récentes sur la sécurité du pays et le contrôle de l’opinion.Le 16 décembre 2015, lors de la seconde Conférence mondiale sur internet qui s’est tenue à Wuzhen, une petite ville pittoresque de la province orientale du Zhejiang, en Chine, Xi Jinping avait déjà formulé devant l’élite mondiale du secteur les grandes lignes de sa vision en calquant les grands principes de sécurité, de souveraineté territoriale, d’ouverture et de gouvernance sur le cyberespace et en formulant une série de suggestions, notamment le libre choix de la voie de développement du cyberespace en fonction des spécificités de chaque pays. C’est sur la cybergouvernance que le président chinois avait insisté en appelant de ses vœux la constitution d’une communauté de destin dans un cyberespace géré de façon multilatérale pour le bénéfice de tous.Le 19 février 2016, en qualité de secrétaire général du Parti communiste chinois, il avait effectué une tournée dans trois organes de presse d’Etat, à savoir le Quotidien du peuple, l’agence Xinhua et la Télévision centrale de Chine. Il avait rappelé le rôle crucial des médias pour guider l’opinion publique et les avait encouragés notamment à accroître leur influence et leur crédibilité.Le 19 avril 2016, le président chinois participait au colloque sur la cybersécurité et le développement des technologies de l’information et le 28 avril, il intervenait lors de l’inauguration de la 5ème réunion des ministres des Affaires étrangères de la Conférence pour l’interaction et les mesures de confiance en Asie (CICA) pour insister sur le lien intime entre développement et sécurité.Cette insistance s’explique par la conjonction de plusieurs facteurs.La Chine est entrée dans une période de « nouvelle normalité » au terme de plus de trente années de réforme et d’ouverture. D’un modèle étatique de modernisation et de développement rapide reposant sur l’industrialisation et les exportations qui a rendu possible le « miracle chinois », le pays s’oriente maintenant vers l’économie de marché et la priorité donnée à la consommation intérieure, aux services et à l’innovation. Cette transition s’accompagne de bouleversements. Dans le tissu social d’abord : les Chinois sont en passe de devenir majoritairement urbains pour se constituer en une classe moyenne éduquée. Dans le tissu économique ensuite : la réforme de la structure économique passe par la déréglementation et des ajustements souvent difficiles qui créent des foyers de tension potentiels. Enfin, sur le plan international, la Chine est devenue une grande puissance et doit relever des défis proportionnels à son statut. La cybersécurité a donc pour fonction principale d’assurer la stabilité et le développement, mais aussi de garantir la souveraineté du pays.C’est dans cette configuration unique qu’internet et les technologies numériques et de l’information se sont développées en Chine. Dans son allocution le 19 avril, Xi Jinping se réjouit des progrès accomplis : « Le pays compte 700 millions d’internautes, c’est un chiffre remarquable, c’est aussi un résultat remarquable. » Il salue aussi les prouesses des grands acteurs chinois du secteur qui ont contribué et accompagné la révolution numérique et le développement de la nouvelle économie. « L’économie chinoise est entrée dans une période de nouvelle normalité qui nécessite de nouvelles forces motrices. Internet peut jouer un rôle important » Il cite la mise en place d’internet + (lien entre internet et les secteurs d’activité) qui soulève une vague d’innovation et précise que la part de l’économie de l’information dans la valeur ajouté ne cesse de croître. « Le XIIIème plan quinquennal prévoit une stratégie de grande puissance de la toile mondiale, un plan d’action pour internet + et le développement de la datamasse. »Les potentialités du numérique et d’internet, sont aussi « une arme à double tranchant ». Xi Jinping souligne la nécessité de guider l’opinion publique. Il invite à faire de la toile « une nouvelle plateforme d’échange et de communication avec les masses ; une nouvelle modalité de résolution des difficultés des masses pour comprendre les masses, de se rapprocher des masses ; un nouveau canal pour développer la démocratie populaire et accepter la supervision du peuple. » La toile peut jouer un rôle de supervision et Xi Jinping accueille favorablement, voire même appelle de ses vœux, les critiques « bien attentionnées » et la supervision d’internet à l’égard du Parti et du gouvernement, qu’elles soient « cordiales ou désagréables ».C’est surtout sur la cybersécurité que Xi Jinping concentre son attention. Le pays est vulnérable aux cyberattaques qui peuvent déstabiliser et paralyser des pans stratégiques de l’économie nationale. Il note que la rivalité entre grandes puissances dans la cybersécurité concerne la technologie, mais aussi l’idéologie et le discours. La Chine préconise le respect de la cybersouveraineté et l’établissement d’une communauté de destin de l’espace constitué par la toile mondiale. Le pays accuse néanmoins un retard au niveau des technologies clés qu’il doit combler en accentuant la coopération entre les entreprises et l’Etat, mais aussi avec l’étranger. Il préconise l’élaboration d’un concept de cybersécurité adapté aux circonstances de la Chine.En quelques mois seulement, le président chinois a donc été sur tous les fronts pour mobiliser les acteurs de premier plan des médias et d’internet et expliquer sa vision dans les forums nationaux et internationaux. Le sommet du G20 à Hangzhou en Chine les 4 et 5 septembre prochain sera pour lui l’occasion de réitérer son propos pour l’intégrer dans son « concept d’économie mondiale innovante, revigorée, interconnectée et inclusive ». 

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Conférence mondiale de l’Internet : la Chine propulse le numérique de la nouvelle ère - French.china.org.cn | Mis à jour le 02. 12. 2017 | Mots clés : Conférence mondiale de l’internet,numérique

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La 4e Conférence mondiale de l’Internet qui se déroule cette année du 3 au 5 décembre 2017 à Wuzhen, dans la province orientale du Zhejiang, revêt une signification particulière au lendemain du XIXe Congrès national du Parti communiste chinois. Elle annonce en effet l’entrée de plain–pied de la Chine dans le numérique de la nouvelle ère : le thème de cette édition 2017 « Développer l’économie numérique pour l’ouverture et les bénéfices partagés – Bâtir une communauté d’avenir partagé dans le cyberespace » se fait d’ailleurs l’écho de la pensée de Xi Jinping sur le socialisme à la chinoise de la nouvelle ère.

« Internet+ », un tournant irréversible en Chine

Quiconque se rend en Chine ne peut que constater les avancées rapides du numérique, qu’il s’agisse des émules régionales de la Silicon Valley comme à Hefei, le chef–lieu de la province de l’Anhui, qui est devenu en moins de cinq ans le laboratoire de l’intelligence artificielle de la Chine, mais aussi des géants du commerce en ligne comme Alibaba qui affichent année après année des chiffres d’affaires records, ou encore des groupes aux activités tentaculaires spécialisés dans les médias et les loisirs comme Tencent. Le numérique est devenu un secteur à part entière tourné vers les 724 millions de Chinois connectés à internet via leur smartphone, et de plus en plus, vers les utilisateurs du monde entier.

Le numérique en Chine a pris un tournant décisif début 2015 avec la formulation de la stratégie « Internet+ » par le premier ministre Li Keqiang. Il s’agissait alors d’un plan d’action visant à intégrer l’internet aux secteurs socioéconomiques à l’horizon 2018 pour faire du numérique un nouveau moteur de la croissance. La stratégie « Internet+ » s’intègre dans la politique du côté de l’offre en stimulant la création d’entreprises et l’innovation, en jouant un rôle clé dans la fourniture des services publics et en fusionnant harmonieusement l’économie réelle et virtuelle. Cette initiative aura permis à la Chine de s’adapter avec succès à la nouvelle normalité du développement économique, de créer de nouvelles dynamiques de développement, et d’accompagner la montée en gamme de son économie en la centrant sur la qualité et l’efficacité.

Depuis, l’informatique en nuage et la datamasse sont entrées dans la vie quotidienne des Chinois et des entreprises. Lors de la Conférence Yunqi 2017 à Hangzhou, qui s’est déroulée du 11 au 14 octobre dernier, on a pu constater la généralisation de l’inclusion de l’intelligence artificielle dans un nombre accru de produits et services, notamment la reconnaissance faciale et vocale qui trouve des applications dans les secteurs de la médecine, de la finance, de la logistique et de la robotique.

Plus proche de nos habitudes, tout devient maintenant à portée d’un smartphone en Chine : passer une commande, effectuer un paiement, participer à l’économie du partage sont devenus des gestes quotidiens qui permettent à l’économie chinoise de promouvoir le cercle vertueux de l’innovation et de l’efficacité.

Le 11 novembre 2017, les ventes en ligne ont battu un nouveau record pour la Journée des célibataires. Ce qui a surtout été noté, c’est l’aboutissement de l’intégration entre l’économie numérique et l’économie réelle. Une transformation radicale qui a attiré une nouvelle fois l’attention mondiale.

Le numérique à la chinoise, une aubaine pour le monde

Le numérique de la nouvelle ère se veut aussi une source d’inspiration et d’exemple, mais aussi de réflexion pour le reste du monde. L’expérience chinoise pourrait ainsi permettre de dissiper les inquiétudes suscitées par le développement de l’économie virtuelle, dont certains estiment qu’elle nuirait aux secteurs traditionnels et à l’économie réelle.

Cette tendance est cependant irréversible et va s’accélérer car elle répond aux besoins d’utilisateurs de plus en plus connectés, d’entreprises de plus en plus tournées vers l’innovation par le numérique, dans une économie sans cesse plus urbaine et globalisée. Le temps où les innovations technologiques mettaient des décennies à se propager est désormais révolu : la Chine, qui prône activement l’ouverture et l’inclusion, joue à la fois un rôle d’initiateur et de catalyseur de cette révolution numérique en la faisant parvenir à maturité et en la développant dans tous les domaines de l’économie réelle.

Ainsi, Didi Chuxing, le Uber chinois qui développe et exploite des applications mobiles de mise en contact d’utilisateurs avec des conducteurs réalisant des services de transport, met en place des systèmes de transport intelligents pour réduire les embouteillages, et développer la conduite intelligente afin de renforcer la sécurité grâce à la datamasse et à l’intelligence artificielle.

Autre exemple, les plateformes chinoises de commerce en ligne, qui associent le commerce traditionnel aux technologies du numérique les plus avancées pour réduire les coûts d’exploitation et favoriser un environnement d’achat plus stimulant.

Les bénéficiaires du numérique à la chinoise seront principalement les pays en développement et les pays participant à l’initiative de « La Ceinture et la Route ». La transition sera néanmoins plus lente, mais inéluctable, dans certains pays développés où les résistances et les contraintes sont plus difficiles à surmonter pour des raisons socioéconomiques et historiques, mais surtout, en raison d’une absence de vision politique. C’est sans doute le grand mérite de la Conférence mondiale de l’Internet de Wuzhen que de susciter la réflexion, d’engager le dialogue sur les modalités d’application satisfaisantes du numérique et de formuler une vision commune pour le numérique de demain. 

Par Jacques Fourrier - (L’auteur est un journaliste et commentateur français basé à Beijing)

【老外】法国学者谈世界互联网大会 :中国推进新时代数字经济

    第四届世界互联网大会将于12月3日至5日在浙江乌镇举行。本次大会在中共十九大后召开,意义非凡,将推动中国数字经济在新时代的进一步发展。本次大会的主题“发展数字经济 促进开放共享----携手共建网络空间命运共同体”,和习近平提出的新时代中国特色社会主义思想相呼应。

联网+,不可抗拒的转折点

    安徽省省会合肥效仿美国硅谷,在不到五年时间内成为了中国人工智能实验室的基地;像阿里巴巴一样的电商,年复一年不断创下销售神话;亦或是腾讯这种业务多样的公司,都让来中国的人惊叹中国数字经济的飞速发展。中国的数字产业,不仅仅面向中国7.24亿手机用户,同时也面向世界各地的用户。

    2015年中国提出了“互联网+”行动计划,中国的数字产业从此进入一个全新的发展阶段。“互联网+”明确提出,到2018年互联网与制造业融合进一步深化,数字经济成为中国经济发展的新引擎。“互联网+”的理念也融入到供给侧改革政策之中,扩大有效供给,促进实体经济和虚拟经济的有效融合。“互联网+”使得中国成功地适应了经济发展新常态,创造了新的发展活力,实现了高质高效的经济升级。

    如今,云计算和大数据进入了中国老百姓和中国企业的日常。2017云栖大会10月11日至14日在杭州举办。在这次大会上,我们看到嵌入人工智能的产品和服务越来越普遍,特别是人脸识别和声音识别技术,被广泛应用于医疗、金融、物流和机器人产业。

    在生活中,只要拥有一台能上网的智能手机就能实现网上下单、付款并享受共享经济带来的便利。中国经济走入了一个注重创新和效率的良性循环。

    在光棍节这一天(11月11日),中国各大电商的销售额再创历史新高,体现了实体经济和虚拟经济的完美结合。中国经济的巨大变化再一次吸引了全世界的目光。

中国式数字经济 为全球提供样板

    中国数字经济的发展既为全球提供了灵感和榜样,也引发了全世界的思考。中国的经验有助于消除某些人对虚拟经济的恐惧,他们认为虚拟经济会损害传统行业和实体经济。

    然而在城镇化和全球化的大背景下,数字经济的发展不可逆转且势不可挡,因为人们对互联网依赖越来越大,而企业也希望通过互联网不断创新。技术创新需要几十年才得以普及的时代已经过去了:追求开放和包容的中国,扮演着这场数字革命的开创者和催化剂的双重角色,致力于推动数字产业日臻成熟,帮助数字产业在实体经济的各个领域开花结果。

    比如滴滴出行(类似美国的手机应用软件优步,把乘客与司机紧密相连),正在推出智能交通系统,有望缓解交通拥堵,并通过大数据和人工智能发展智能驾驶技术,从而进一步加强道路安全。

    再比如中国的电商平台,把传统商业和最先进的数字技术结合起来,降低了运作成本,创造了一个更具活力的购物环境。

    发展中国家、 “一带一路”倡议框架下的国家将是中国式数字经济的主要受益者。而在发达国家,从传统经济到数字经济的转型趋势虽不可阻挡,但相对而言进度较慢。从这个角度而言,乌镇世界互联网大会最大的价值无疑是引领思考,开启关于数字经济应用模式的对话,并形成对未来数字经济的共识。

雅克•傅里叶(Jacques Fourrier) 法国 在京工作记者、评论员

Source : http://french.china.org.cn/china/txt/2017-12/02/content_50082332_0.htm

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Le président chinois prononce son allocution du Nouvel An, s’engageant à poursuivre la réforme en 2018 - Photo

Le président chinois, Xi Jinping, a déclaré dimanche 31/12/2017 dans un discours du Nouvel An que la Chine mènerait de manière déterminée la réforme en 2018.

Xi Jinping met l’accent sur la réforme lors d’un rassemblement pour le Nouvel An

Le discours du Nouvel An de Xi Jinping renforce la motivation du peuple chinois

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Source : http://french.news.cn/

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9.
Visite prochaine en Chine du président français - French.xinhuanet.com | Publié le 2018-01-02 à 13:37

BEIJING, 2 janvier 2017 (Xinhua) — Le président français Emmanuel Macron effectuera une visite d’Etat en Chine du 8 au 10 janvier, à l’invitation du président chinois Xi Jinping, a annoncé mardi Lu Kang, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

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Sponsored by Xinhua News Agency. Copyright © 2000-2017 XINHUANET.com All Rights Reserved. – Source : http://french.xinhuanet.com/2018-01/02/c_136866636.htm

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10.
REPLAY. ’Je continuerai à faire ce pour quoi vous m’avez élu’ : regardez les premiers vœux d’Emmanuel Macron aux Français - Pierre Godon France Télévisions - Mis à jour le 31/12/2017 | 21:16 publié le 31/12/2017 | 19:31 – Document ‘francetvinfo’.

Le chef de l’Etat français a choisi de maintenir cette tradition des vœux télévisés, en vigueur depuis Charles de Gaulle.

Ce qu’il faut savoir

’Je continuerai à faire ce pour quoi vous m’avez élu’ : voilà la promesse d’Emmanuel Macron aux Français, dimanche 31 décembre, à l’heure où l’année 2017 s’achève. Le président de la République a respecté la tradition, en vigueur depuis le général de Gaulle, en présentant les premiers vœux aux Français de son quinquennat, sur fond de net regain pour lui dans les sondages. Vous pouvez les revoir en intégralité sur franceinfo.fr.

>> VIDEO. Cheminée, sous-titres ou pupitre... Comment chaque président a imposé son style pour ses premiers vœux

Une forme classique. L’Elysée avait maintenu jusqu’au bout le suspense sur le cadre choisi par le président. Il s’est finalement exprimé depuis son bureau, le même où il avait donné sa dernière interview télévisuelle. Comme les années précédentes, l’image de la façade du palais présidentiel, sur fond de Marseillaise, a précédé son allocution.

Sur le fond, ’des pensées de solidarité’. Le président de la République a commencé par adresser ses vœux à ceux qui travaillent en ce soir de réveillon, mais aussi à ceux qui ’sont seuls, souffrent, ou sont malades’. ’Je veux leur dire qu’ils appartiennent à une grande nation’, a expliqué le président.

’Je n’arrêterai pas d’agir’, promet Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat a fait le bilan de ses premiers mois de mandat, vantant des ’transformations profondes’. ’[Elles] ont commencé, et se poursuivront avec la même force pour l’année 2018, a-t-il prévenu. Nous construisons là une bonne part de notre avenir.’

Le président à nouveau sur le terrain médiatique. Ces vœux sont une étape supplémentaire dans la nouvelle séquence de communication initiée par le chef de l’Etat. Après quelques jours de vacances dans les Pyrénées, Emmanuel Macron a organisé samedi, devant les caméras, une cérémonie de signature de trois lois. Il en a profité pour confirmer la suppression totale de la taxe d’habitation pour tous en 2020, dans le cadre d’une réforme.

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Allocution à écouter à la source : https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/direct-regardez-les-premiers-voeux-aux-francais-d-emmanuel-macron_2539379.html

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Vœux 2018 : sur Facebook, un bonus de 2 minutes de Macron à l’attention des jeunes - Le président a joué les prolongations sur Internet dans sa présentation des vœux aux Français. Rédaction du HuffPost avec AFP - 01/01/2018 05:40 CET | Actualisé 01/01/2018 09:52 CET

2018 - Ce dimanche 31 décembre 2017, Emmanuel Macron a mis la cohésion sociale au centre de ses vœux pour 2018, sans pour autant modifier ses projets de réformes qu’il entend mener ’avec la même force et le même rythme’ l’an prochain.

’Nous avons besoin de repenser un grand projet social pour notre pays, que je déploierai durant l’année’, a-t-il lancé en présentant depuis son bureau de l’Elysée les premiers vœux de son quinquennat dans une allocution de 17 minutes.

Finalement classique sur la forme, le président a toutefois innové avec des vœux postés sur Facebook destinés à la jeunesse en version ultra-courte de 2 minutes, comme on peut le voir dans la vidéo accessible à la source ci-dessous.

’J’ai besoin de vous, jeunes Européens, de tous les pays de l’Union, pour que vous vous engagiez dans ces consultations citoyennes, dire quelle Europe vous voulez, nous aider à la reconstruire, la refonder, avoir plus d’ambitions européennes’, lance notamment Emmanuel Macron à l’attention des jeunes.

Lire aussi :

Macron a adressé aux Français des premiers vœux très convenus pour 2018

Mais quel est ce tableau de Marianne derrière Macron à l’Élysée ?

QUIZ - Êtes-vous incollable sur les vœux présidentiels ?

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© 2017 Le Huffington Post SAS. Tous droits réservés. Une partie de HuffPost News – Source : http://www.huffingtonpost.fr/2017/12/31/voeux-2018-sur-facebook-un-bonus-de-2-minutes-de-macron-a-lattention-des-jeunes_a_23320699/

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Perspectives France 2018 : premières réformes structurelles dans un contexte favorable - Document de travail N.65, octobre 2017 - 17/10/2017 – Document du Centre d’observation économique et de Recherche pour l’Expansion de l’économie et le Développement des Entreprises - Page d’accueil > Analyses et prévisions > Documents de travail

Le contexte conjoncturel est favorable aux réformes structurelles en France. Les mesures destinées à lever les obstacles bridant le travail et le capital sont une avancée significative de ce début de quinquennat. D’autres réformes de plus longue haleine devraient contribuer à renforcer la croissance potentielle à terme. Dans l’immédiat cependant, la politique de compétitivité-coût marquera le pas et la réduction de la dépense publique est incertaine.

• Notre scénario pour 2018 : un contexte favorable

 La croissance mondiale s’est renforcée dans la plupart des pays. en partie stimulée par des facteurs temporaires, elle est proche de son niveau maximum (3,6% en 2017, 3,5% en 2018).

 Le rythme de croissance de la zone euro s’infléchirait légèrement à 1,8% en 2018, après 2,1% en 2017 avec l’effacement de la triple impulsion triptyque pétrole-taux-change.

 En France, la dynamique est positive et la croissance devrait se maintenir au-dessus de sa tendance passée (1,7% en 2017, 1,6% en 2018).

• Perspectives des finances publiques

L’hypothèse de croissance retenue dans le projet de Loi de finances 2018 (1,7%) parait crédible. Par contre celle de la trajectoire pluriannuelle semble élevée (1,7% par an jusqu’en 2021, 1,8% en 2022). Si la croissance fléchissait au cours du quinquennat, les baisses d’impôts ou les dépenses d’investissement risqueraient d’être atténuées, d’autant que les objectifs ambitieux de réduction de la dépense publique sont encore peu documentés.

Or, des freins structurels à la croissance française demeurent. Le Gouvernement s’attaque à certains (droit du travail, fiscalité) mais relâche l’effort sur d’autres (compétitivité-coût).

• Les mesures sur le travail permettront une meilleure adaptation des entreprises à la conjoncture

Les ordonnances sur la réforme du code du travail auront un impact positif sur la compétitivité et sur l’emploi. Elle permettront d’abord aux salaires d’être davantage en phase avec les gains de productivité. Dans l’hypothèse où l’écart entre salaires réels et productivité serait réduit de moitié, environ 160.000 emplois pourraient être créés ou sauvegardés à moyen terme (2022). Par ailleurs, davantage de mobilité de la main d‘oeuvre devrait permettre aux entreprises de se réorganiser plus facilement et aux salariés de s’orienter vers les secteurs les plus porteurs, ce qui est favorable à la productivité et donc à la croissance potentielle.

• La réforme de la fiscalité personnelle du capital stimulera la croissance

Avec la suppression de l’ISF sur les capitaux mobiliers, le PLF 2018 fait disparaître l’anomalie française de la double progressivité des taux d’imposition sur les revenus du capital et sur le capital lui-même, qui aboutit actuellement à des taux marginaux dépassant largement 100%. Ce taux marginal d’imposition se rapprochera de ceux de nos voisins. On peut attendre de la réforme un supplément de croissance potentielle de 0,2 à 0,3 point de PIB par an à terme, soit un pouvoir d’achat annuel supplémentaire d’au moins 30 milliards d’euros.

• Les autres mesures fiscales : CSG, taxe d’habitation, IS

Les autres mesures nouvelles du PLF et du PLFSS (suppressions des cotisations salariales chômage et maladie et hausse de la CSG, suppression progressive de la taxe d’habitation pour 80% des ménages, baisse de l’impôt sur les sociétés) devraient entraîner une très légère baisse des prélèvements obligatoires en 2018 (-0,6 milliard d’euros pour les ménages et -1,9 milliard d’euros pour les entreprises). On notera que la baisse de l’IS diminue le coût du capital pour les entreprises (en réduisant le montant des bénéfices avant impôt que les entreprises doivent dégager pour garantir une rémunération donnée à leurs actionnaires) et devrait stimuler l’investissement productif.

Pour renforcer notre compétitivité et assurer une trajectoire budgétaire et économique cohérente avec les ambitions européennes, d’autres étapes restent à franchir : alléger les prélèvements qui pèsent sur les coûts de production,réduire vraiment le poids de la dépense publique, favoriser les transferts de patrimoine vers les jeunes générations.

Voir les documents :

Coe-Rexecode : études et conjoncture économiques Accueil Plan du site PresseContactMentions légales- Source : http://www.coe-rexecode.fr/public/Analyses-et-previsions/Documents-de-travail/Perspectives-France-2018-premieres-reformes-structurelles-dans-un-contexte-favorable

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13.
Budget de l’État français en 2018 Source officielle

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Le budget de l’État français pour 2018 fixe les recettes et les dépenses prévues pour l’année. Il doit être adopté, fin 2017, par le Parlement français sur proposition du gouvernement, suivant les règles fixées par la loi organique relative aux lois de finances (LOLF).

Dans sa version initiale1,2, le projet de budget se fonde sur une prévision de croissance du PIB en volume de 1,7 % chaque année de 2017 à 2021. Il prévoit un déficit budgétaire de l’État de 82,9 milliards d’euros et un déficit public égal à 2,6 % du PIB. Les dépenses nettes de l’État seraient de 386,3 milliards d’euros en 2018, contre 384,8 en 2017, et les recettes nettes de 302 milliards d’euros, contre 303,1 en 2017.

Article principal : Budget de l’État français.

Sommaire

Article complet sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Budget_de_l%27%C3%89tat_fran%C3%A7ais_en_2018

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14.
Une campagne de financement participatif pour expérimenter le revenu de base - Le Monde.fr avec AFP | 03.11.2017 à 11h38 • Mis à jour le 03.11.2017 à 12h32

Cette campagne doit permettre d’offrir un salaire de 1.000 euros par mois, pendant un an, à une personne tirée au sort. Ce pourrait être l’une des premières expérimentations sur un sujet longuement débattu. Le porte-parole d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et conseiller régional Julien Bayou a annoncé jeudi 2 novembre 2017 le lancement d’une opération de crowdfunding, « financement participatif », pour mettre en place une première expérience de revenu universel. Les gagnants, qui seront tirés au sort, pourraient en bénéficier durant un an.

« On s’est dit que le revenu de base était un concept un peu révolutionnaire, comme pouvaient l’être les congés payés ou la retraite, et que c’est difficile de se le figurer », a expliqué M. Bayou sur le plateau de LCI, en annonçant l’ouverture du site monrevenudebase.fr.

Le revenu universel, c’est quoi ? Lire nos explications

Son idée est donc d’offrir à une personne tirée au sort un revenu de 1 000 euros par an, sans condition de revenus ou d’âge. Les personnes pouvant participer au tirage au sort devant seulement être majeures.

Selon M. Bayou, ce premier essai pourrait permettre de « balayer toutes les idées reçues » sur cette idée vieille de plusieurs siècles, qui est revenue dans le débat public lors de la campagne présidentielle, sous l’impulsion notamment du candidat socialiste, Benoît Hamon. « La manière la plus simple de l’expérimenter, c’est qu’on le fasse nous-mêmes », a-t-il poursuivi, évoquant le « besoin de se projeter dans une protection sociale du XXIsiècle plutôt que de courir après le plein-emploi ».

Cette opération se déroulera par étapes, selon l’évolution des sommes récoltées. Au début de décembre, une fois la somme de 12 000 euros recueillie, un premier tirage au sort sera effectué afin de désigner le bénéficiaire des 1 000 euros par mois pendant un an.

Plus de 13.000 euros collectés

Le projet n’a pas manqué d’intéresser les internautes, puisque vendredi matin, alors que l’opération de financement avait été lancée la veille, plus de 13 000 euros avaient déjà été récoltés, avec près de 500 donateurs. L’objectif est d’atteindre la somme de 24 000 euros, afin de pouvoir offrir un revenu à une deuxième personne, elle aussi tirée au sort.

Le site d’inscription à la loterie, quant à lui, est indépendant de celui du financement participatif et est ouvert à tous, y compris les non-donateurs. Les deux sites, créés à l’initiative de Julien Bayou, sont gérés par une association indépendante, dévolue à l’opération, et comprenant des personnalités n’appartenant pas à EELV.

Lire aussi : Qui défend vraiment le revenu universel, idée à la mode de la présidentielle 2017 ?

Il s’agit, a détaillé le responsable politique, d’« amener la société à réfléchir à ce revenu de base : est-ce qu’on s’arrête de travailler ? Est-ce qu’on travaille moins ? Est-ce qu’on travaille mieux ? Est-ce qu’on se nourrit mieux ? Est-ce qu’on prend du temps pour soi, pour ses proches ? »

L’initiative s’inspire d’une expérimentation similaire menée en Allemagne. En deux ans et demi, l’association allemande Mein Grundeinkommen avait récolté assez d’argent, soit plus d’un million d’euros, pour distribuer un revenu de 1 000 euros par mois pendant un an à 74 personnes. Julien Bayou cite cet exemple, où « plus de 100 revenus de base » ont été distribués. « Ils commencent à avoir du recul, un bon échantillon, pour mener des évaluations et puis surtout ils ont amené 700 000 personnes à se poser la question : Mais moi, qu’est-ce que je ferais avec un revenu de base ? », a commenté M. Bayou.

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Sur le même sujet

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Source : http://www.lemonde.fr/emploi/article/2017/11/03/eelv-lance-un-crowdfunding-pour-experimenter-le-revenu-de-base_5209631_1698637.html

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15.
Chômage, croissance, climat des affaires : les bons indicateurs de l’Insee - Par Thomas Schonheere - Publié le mercredi 20 décembre 2017 à 12h14

L’Insee relève à nouveau sa prévision de croissance pour 2017. Ce qui devrait s’accompagner d’une légère baisse du chômage l’année prochaine.

Illustration - L’Insee table sur 1,9% de croissance en 2017. © Maxppp / Sébastien Jarry

Les prévisionnistes de l’Insee ont déjà commencé à déballer les cadeaux de Noël. Ce mardi, l’Institut national de la statistique et des études économiques a une nouvelle fois relevé sa prévision de croissance pour 2017. Passé de +1,6% à +1,8% en octobre dernier, on arrive cette fois à +1,9%, du jamais vu depuis 2011.

La croissance dopée par le climat des affaires

Avec cet indicateur, l’Insee va même plus loin que le gouvernement, qui a placé la barre à +1,8%. Les prévisionnistes calquent leur optimisme sur celui des chefs d’entreprises : le climat des affaires a atteint au mois de novembre son plus haut niveau depuis le début de l’année 2008. Ainsi, toujours selon l’Insee, l’investissement des entreprises devrait continuer à progresser de 1,2% au dernier trimestre de 2017. La fin de l’année devrait être également marquée par une augmentation des exportations et des chiffres du tourisme consolidés.

© Visactu

Le chômage devrait légèrement baisser

Selon l’Insee, la cadence suivie par la croissance française depuis fin 2016 (environ +0,5% par mois), devrait se maintenir jusqu’au milieu de l’année 2018. Pour autant, le taux de chômage ne baisserait pas dans les mêmes proportions : l’indicateur passerait de 9,7% à 9,4% de la population active. L’explication : la diminution du nombre d’emplois aidés, limités à 310.000 en 2017 (contre 459.000 en 2016), ils plafonneront, comme le veut le gouvernement, à 200.000 en 2018. 

D’ici mi-2018, l’Insee prévoit la création de quelque 98.000 emplois.

Faut-il se fier aux prévisions ?

En 2016, la croissance du PIB français a plafonné à 1,1%. Soit légèrement moins que ce qu’avait prévu l’Insee en octobre 2015 (+1,2%) et largement moins que ce que les statisticiens annonçaient au printemps précédent (+1,6%). Ainsi, pour l’année prochaine, le secteur du BTP anticipe une croissance d’activité moitié moins élevée qu’en 2017.

Concernant la consommation et le pouvoir d’achat des Français, les six premiers mois de l’année 2018 s’annoncent en demi-teinte. Entre la hausse de la CSG et celle des taxes sur le tabac et le carburant, la consommation devrait être freinée dans un premier temps, avant de remonter sous l’effet de baisses de cotisations sociales.

Mots-clés : Économie Insee chômage croissance - Editions médiateur mentions légales annonceurs fréquences OJD – Source : https://www.franceinter.fr/economie/chomage-croissance-et-production-les-bons-indicateurs-de-l-insee-pour-2017-et-2018

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16.
Croissance, zone euro, convergence franco-allemande... « J’ai toujours de l’espoir » assure Christine Lagarde – Document l’Opinion média quotidien, libéral, européen et pro-business - ‘L’Opinion’ 31 décembre 2017 à 16h59 - Photo - La directrice générale du FMI se montre raisonnablement optimiste

Pour la directrice du FMI, l’heure est aux réformes structurelles

Dans les colonnes du JDD, Christine Lagarde salue la tendance à la reprise de l’économie mondiale et encourage aux réformes. Elle revient aussi sur ce qu’il reste à faire.

« Quand le soleil brille, il faut réparer le toit », manière de dire pour Christine Lagarde que «  la reprise mondiale est propice, soit à poursuivre les réformes structurelles lorsqu’elles ont été engagées, soit à décider de les mener  ». En cette veille de 1er janvier 2018, la directrice générale du Fonds Monétaire Internationallivre au Journal du Dimanche ses analyses et ses prévisions pour la croissance mondiale.

Et le constat de l’ancienne ministre de l’Économie est globalement positif. « En 2017, pour la première fois depuis longtemps, nous avons revu à la hausse nos prévisions de croissance dans le monde », commence-t-elle. « Avec une croissance de 3,6 %, l’économie mondiale reviendra au taux moyen des deux décennies qui ont précédé la grande crise financière de 2007-2008.  »

« Gage de crédibilité ». Sur la question de la France et des réformes engagées par Emmanuel Macron depuis son élection, Christine Lagrade explique à l’hebdomadaire que «  la réalisation de réformes structurelles importantes doit constituer pour la France un gage de crédibilité afin d’engager ensuite un dialogue de fond sur la modification des institutions européennes ou aller plus loin dans l’intégration européenne  ».

Concernant la zone euro justement, que la directrice générale du FMI qualifie de «  création magistrale unique qui constitue une alternative à la Chine et aux États-Unis », il faut rester prudent. Si Christine Lagarde reconnaît qu’« elle est fortement consolidée par rapport à ce qu’elle était en 2008 », elle alerte : « toutefois, la mission n’est pas accomplie - et peut-être ne le sera-t-elle jamais - parce que l’Europe n’est pas unie pour aller vers plus d’intégration tout en maintenant la souveraineté des États ». Concernant les envies d’Emmanuel Macron de la doter d’un budget, d’un Parlement et d’un ministre des Finances, elle souligne qu’il s’agit d’un « débat (...) extraordinairement salutaire ».

Pour l’avenir, elle va donc observer avec intérêt le rapprochement qui pourrait se produire entre Emmanuel Macron et Angela Merkel sur les projets européens. « J’ai toujours de l’espoir. Avoir des projets de défense commune dans le contexte international que l’on connaît, une politique énergétique convergente ou une ligne européenne de défense de l’environnement, tout cela peut servir les générations d’Européens à venir ».

À propos de l’Opinion : Qui sommes-nous ? Contact La rédaction -

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Source : https://www.lopinion.fr/edition/economie/croissance-zone-euro-convergence-franco-allemande-j-ai-toujours-l-140705

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17.
Lagarde : « la reprise économique est plus forte et mieux partagée » Par Luc LenoirAFP agencePublié le 31/12/2017 à 12:28 – Document difusé par ‘le figaro.fr économiie’ – Photo : Christine Lagarde, en septembre 2017 au Global Business Forum. Mark Lennihan/AP

Dans un entretien au JDD, la directrice du Fonds monétaire international se félicite des prévisions de croissance dans le monde et appelle les pays à en profiter pour se désendetter. Concernant la France, l’ancienne ministre salue le « calendrier » d’Emmanuel Macron.

La reprise économique mondiale est « plus forte, mieux partagée », et non plus seulement tirée par les économies émergentes, se félicite la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, dans une interview au Journal du dimanche, tout en appelant les pays à des réformes en profondeur. « En 2017, pour la première fois depuis longtemps, nous avons revu à la hausse nos prévisions de croissance dans le monde - auparavant, nous les révisions plutôt à la baisse », souligne-t-elle dans l’entretien.

Avec une croissance de 3,6 % cette année, « l’économie mondiale reviendra au taux moyen des deux décennies qui ont précédé la grande crise financière de 2007-2008 », relève la responsable. Pour 2018, le FMI table sur une accélération à +3,7%. En France, l’Insee a relevé ses prévisions à 1,9% pour 2018.

 » LIRE AUSSI - Avec 1,9 % de croissance, la France presque en surchauffe

 » LIRE AUSSI - Apprentissage, assurance-chômage, retraites : les réformes sociales de 2018

« Quand le soleil brille, il faut en profiter pour réparer le toit »

« Cette reprise est propice, soit à poursuivre les réformes structurelles lorsqu’elles ont été engagées, soit à décider de les mener », estime Christine Lagarde, répétant sa formule fétiche : « Quand le soleil brille, il faut en profiter pour réparer le toit. » La patronne du FMI indique que sur ce sujet, l’institution est toutefois attentive à ce que les pays mettent en place des réformes permettant une « croissance inclusive », qui n’aggrave pas les inégalités. À propos de son propre pays, l’ancienne ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy (de 2007 à 2011) estime que « la réalisation de réformes structurelles importantes doit constituer pour la France un gage de crédibilité afin d’engager ensuite un dialogue de fond sur la modification des institutions européennes ou aller plus loin dans l’intégration ». « Je crois que le président Macron a un train de réformes successives en tête avec un calendrier », se félicite-t-elle à ce sujet.

 » LIRE AUSSI - Compétitivité : le FMI prône une profonde refonte de la fiscalité pour la France

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L’euro « fortement consolidé » par rapport à la crise de 2008

Christine Lagarde indique en effet qu’elle a « toujours de l’espoir » dans le projet européen, citant les idées de défense commune, d’une politique énergétique convergente ou d’une ligne européenne de défense de l’environnement. Et quand bien même le projet d’union monétaire européenne ne sera « peut-être » jamais achevé « parce que l’Europe n’est pas unie pour aller vers plus d’intégration tout en maintenant la souveraineté des États, elle juge que « l’euro se porte bien ». La zone euro « est fortement consolidée par rapport à ce qu’elle était en 2008 », constate-t-elle. « À l’époque, on était en risque permanent, on se demandait si l’euro allait tenir bon et on attendait l’ouverture des marchés dans l’angoisse. Depuis, il y a eu l’adoption d’un mécanisme de stabilité (et) le début d’une Europe bancaire. »

Trump et la Chine, le « problème » de la démographie africaine et la stratégie du FMI

Interrogée sur les autres grands sujets de la politique économique mondiale, l’ancienne avocate s’est montrée prudente, mais aussi déterminée sur les choix du FMI. Sur la présidence Trump, Christine Lagarde constate que le protectionnisme américain affiché répond essentiellement à « des enjeux intérieurs », et lorsqu’on lui demande si la Chine pourrait prendre aux États-Unis sa place de leader dans la mondialisation économique, celle-ci se montre circonspecte : « je suis un peu échaudée par les discours. Il faut juger aux actes ».

Sur l’Afrique, la directrice de l’institution veut parier sur l’éducation des femmes pour réguler la démographie, et apaiser l’économie : « on observe des corrélations tellement fortes entre l’évolution de la courbe de natalité et l’éducation des jeunes filles que ne pas parier sur ce combat serait une faute ». D’autre part, « il y a un énorme manque à gagner » lorsqu’on maintient les femmes à l’écart de la vie économique ». Enfin, un autre grand combat actuel du FMI concerne la corruption : Christine Lagarde indique qu’elle coûte 2 points de PIB mondial, et constate que l’assistance technique pour lutter contre le blanchiment est une activitée particulièrement demandée par les gouvernements.

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Source : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2017/12/31/20002-20171231ARTFIG00051-lagarde-la-reprise-economique-est-plus-forte-et-mieux-partagee.php

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18.
PDF - perspectives économiques 2017-2018 - OFCE https://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/revue/1-151.pdf de É Heyer - ‎Autres articles

Prévision de l’OFCE, malgré diverses menaces sur l’économie mondiale ... de l’Asie hors Chine, la croissance reste bien orientée, notamment en ... bénéficieraient de la remontée du prix. Tableau 1. Perspectives de croissance mondiale. Taux de croissance annuels, en %. PIB en volume1. 2015. 2016. 2017. 2018. DEU.

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19.
Economie - Indicateurs composites avancés de l’OCDE - Mise à jour : décembre 2017

Croissance stable dans la zone OCDE

Version complète du communiqué (graphiques et tableaux inclus - PDF 120KB)

11/12/2017 - Les indicateurs composites avancés (ICA) de l’OCDE, conçus pour anticiper les points de retournement de l’activité par rapport à sa tendance avec six à neuf mois d’avance, continuent de signaler une croissance stable dans la zone OCDE dans son ensemble. 

Les ICA signalent une croissance stable aux États-Unis, au Japon, au Canada et dans la zone euro dans son ensemble, notamment en France. Une inflexion positive de la croissance est attendue en Allemagne et en Italie. Au Royaume-Uni en revanche, les perspectives de croissance continuent se détériorer et les signes d’infléchissement de la croissance sont de plus en plus nombreux.

S’agissant des principales économies émergentes, les ICA continuent d’indiquer une inflexion positive de la croissance dans le secteur industriel en Chine et une consolidation de la croissance au Brésil. En Russie et en Inde, les ICA signalent une croissance stable. 

Dynamique de croissance stable dans la zone OCDE

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http://www.oecd.org/media/oecdorg/directorates/statisticsdirectorate/2017/CLI500-12-17.fw.png‌‌‌‌‌‌‌‌‌‌‌‌

Accéder aux données : Indicateurs composites avancés, base de données Tableaux et graphiques (PDF)  des indicateurs composites avancés pour 33 pays membres de l’OCDE et 6 économies non-membres.

 Besoin d’aide avec nos données ? Vous pouvez consulter : 

Questions souvent posées

Informations méthodologiques détaillées

Glossary for OECD Composite Leading Indicators and Business & Consumer Tendency Surveys

OECD Business Cycle Analysis Database

Prochaine date de publication : 15 janvier 2018 - calendrier des parutions

Contacts : pour plus d’information, les journalistes sont invités à contacter la Division des Relations avec les Medias de l’OCDE au (33) 1 45 24 97 00 ou à news.contact@oecd.org ; les non journalistes peuvent contacter la Direction des statistiques à stat.contact@oecd.org.

Lien vers les communiqués de presse précédents

Plus d’informations sur les indicateurs avancés à www.oecd.org/std/cli-fr

http://www.oecd.org/media/oecdorg/directorates/statisticsdirectorate/2016-1/blue-logo.fw.png‌‌‌ 

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@OECD_STAT – Source : http://www.oecd.org/fr/presse/indicateurs-composites-avances-de-l-ocde-mise-a-jour-decembre-2017.htm

Voir aussi :

La croissance atteindrait 2,3 % dans l’Union européenne en 2017 www.lemonde.fr/.../la-croissance-atteindrait-2-3-dans-l-union-europeenne-en-2017_521... 9 nov. 2017

La croissance mondiale devrait atteindre 3,7 % en 2018, selon l’OCDE www.lemonde.fr/.../la-croissance-mondiale-devrait-atteindre-3-7-en-2018-selon-l-ocde_... 28 nov. 2017

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20.
Croissance trimestrielle du PIB du G20, troisième trimestre 2017, OCDE

Croissance du PIB stable à 1,0% au troisième trimestre de 2017

Version complète du communiqué (graphiques et tableaux inclus - PDF)

14/12/2017 - Le produit intérieur brut (PIB) réel de la zone G20 a augmenté de 1,0% au troisième trimestre de 2017, au même rythme qu’au trimestre précédent mais avec de grandes divergences entre les pays, selon des estimations provisoires. 

La croissance a fortement augmenté en Corée au troisième trimestre de 2017 (à 1,5%, comparé à 0,6% au deuxième trimestre), et dans une moindre mesure en Inde (à 1,6% contre 1,4%) et en Allemagne (à 0,8% contre 0,6%). La croissance s’est aussi accélérée marginalement (à 0,4% contre 0,3%) en Italie et au Royaume-Uni et a été stable en Indonésie (1,2%) et aux États-Unis (0,8%). 

Par ailleurs, la croissance a fortement ralenti en Turquie (à 1,2% contre 2,2%), en Russie (à 0,1% contre 1,0%), au Canada (à 0,4% contre 1,0%), au Brésil (à 0,1% contre 0,7%) et au Mexique (à moins 0,3% contre 0,3%). La croissance s’est également affaiblie en Australie (à 0,6% contre 0,9%), en Afrique du Sud (à 0,5% contre 0,7%), en Chine (à 1,7% contre 1,8%), au Japon (à 0,6% contre 0,7%) et en France (à 0,5% contre 0,6%). 

En glissement annuel, la croissance du PIB de la zone G20 a augmenté à 3,9% au troisième trimestre de 2017 (contre 3,7% au trimestre précédent), avec la Turquie (10,2%) enregistrant la plus forte croissance et le Brésil la plus faible (1,0%).

 

Croissance du PIB stable à 1,0% au troisième trimestre de 2017‌‌‌‌‌‌

Note : Les taux de croissance présentés dans ce graphique sont fondés sur des données avec plusieurs décimales. ‌
Lien vers les données - Source : Comptes nationaux trimestriels

Prochaine date de publication : 13 mars 2018

Pour plus d’information, les journalistes sont invités à contacter la Division des Relations avec les Medias de l’OCDE au (33) 1 45 24 97 00 ou à news.contact@oecd.org ; les non journalistes peuvent contacter la Direction des statistiques à stat.contact@oecd.org.

Lien vers les communiqués de presse précédents

Plus d’informations sur les comptes nationaux trimestriels à www.oecd.org/std/cnt

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@OECD_STAT – Source : http://www.oecd.org/fr/presse/croissance-trimestrielle-du-pib-du-g20-troisieme-trimestre-2017-ocde.htm

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21.
Où consulter les principaux indicateurs de conjoncture économique ?

Le portail de l’Économie, des Finances, de l’Action et des Comptes publics

De nombreux indicateurs statistiques sont accessibles en ligne sur les sites publics. Nous vous proposons un accès rapide à chacune des rubriques proposant les principales données conjoncturelles. Vous pouvez également consulter notre question-réponse recensant les principaux indices et taux officiels.

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Source : https://www.economie.gouv.fr/cedef/indicateurs-conjoncture-economique

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22.
Les trois bombes à retardement de l’économie mondiale Par Jean-marc B Blog : Le blog de Jean-marc B 30 déc. 2017

En complément à mon billet du 23 décembre (https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/231217/vers-une-crise-sans-precedent-en-2018), voici la mise en garde de Arnaud Zacharie sur trois risques majeurs : la bulle de crédits en Chine, la bulle boursière à Wall Street et la fragilité du système bancaire européen.

27 déc 2017 - Arnaud Zacharie - Imagine Magazine

Dix ans après la crise mondiale de 2008, l’économie mondiale semble enfin se redresser. L’OCDE, qui se félicite d’une amélioration conjoncturelle de plus en plus synchronisée entre les pays, prévoit ainsi une croissance mondiale de 3,7 % en 2018. Les faibles taux d’intérêt, tirés vers le bas par les injections massives de liquidités des banques centrales, ont favorisé la reprise de l’investissement, du commerce international et de la création d’emplois.

Malgré cette embellie de la conjoncture économique internationale, des doutes subsistent quant à sa robustesse. Le niveau des investissements reste faible et la productivité continue de baisser au niveau mondial, tandis que l’amélioration du taux d’emploi, très inégale, masque la multiplication des emplois de mauvaise qualité et la trop modeste progression des salaires – surtout en ce qui concerne les salaires les moins élevés.

Mais plus inquiétants encore sont les déséquilibres qui s’exacerbent dans les principaux pôles de l’économie mondiale : la bulle de crédits en Chine, la bulle boursière à Wall Street et la fragilité du système bancaire européen. Ces trois déséquilibres représentent autant de bombes à retardement au cœur de l’économie mondiale.

Le risque d’un « moment Minsky » en Chine

La Chine entretient depuis les années 1980 un rythme de croissance qui lui permet chaque décennie de doubler son PIB. Toutefois, cette croissance est de plus en plus alimentée par une accumulation excessive de dettes. Cela a particulièrement été le cas depuis la crise mondiale de 2008 : la dette totale de la Chine est passée de 162 % à 260 % de son PIB entre 2008 et 2016 – et pourrait atteindre 320 % en 2021 au rythme actuel [1].

Pourtant, la dette publique de la Chine reste relativement modeste : 46,9 % du PIB en 2016. L’accumulation excessive de dettes concerne en réalité deux secteurs : le secteur immobilier et les entreprises. D’une part, la dette des ménages a fortement augmenté suite à l’accumulation de crédits alimentant la spéculation immobilière. D’autre part, la dette des entreprises, nourrie par les crédits aux investissements, atteint le montant record de 171 % du PIB, soit plus du double de la dette des entreprises aux Etats-Unis avant la crise de 2008. Particulièrement inquiétant est le fait qu’une part significative de ces dettes concerne des entreprises d’Etat en surcapacité dont la rentabilité est faible, ce qui débouche immanquablement sur l’accumulation de créances douteuses qui rendent le secteur bancaire vulnérable – d’autant plus qu’il recourt massivement au « système bancaire parallèle » (shadow banking) dont l’opacité exacerbe les risques systémiques.

La bulle de Wall Street

L’ampleur de cette bulle de crédits est telle que le gouverneur de la banque centrale chinoise, Zhou Xiaochuan, a averti en octobre 2017 que l’économie chinoise courrait le risque d’un « moment Minsky », c’est-à-dire un effondrement auto-entretenu des prix provoqué par la revente massive des actifs par les investisseurs surendettés [2]. L’indicateur permettant d’identifier un tel risque est l’« écart de crédit au PIB » (credit-to-GDP gap), c’est-à-dire la tendance à long terme du rapport entre les niveaux du crédit et du PIB. Or selon une étude de la banque UniCredit, qui se base sur sept sévères crises bancaires récentes, l’écart de crédit au PIB [3] en Chine est près de quatre fois plus élevé que le niveau au-delà duquel apparaît le risque d’une crise bancaire majeure [4].

Certes, cela ne signifie pas qu’une telle crise va obligatoirement survenir de manière imminente en Chine. La croissance alimentée par la dette peut en effet encore durer plusieurs années. La crise qui en résulterait n’en serait toutefois que plus sévère. Le gouvernement chinois a en outre adopté une série de mesures pour enrayer les déséquilibres (relâchement du soutien aux entreprises d’Etat, régulation des emprunts bancaires à court terme, rétablissement de contrôles des capitaux, etc.). Il n’est toutefois pas certain que ces mesures se révèlent suffisantes pour éviter une crise majeure. Or une telle crise aurait des effets de contagion très importants au sein de l’économie mondiale.

Aux Etats-Unis, les faibles taux d’intérêt ont alimenté la hausse des cours à Wall Street, qui atteignent des sommets historiques : la valeur boursière du « S&P 500 », l’indice des 500 principales firmes cotées aux Etats-Unis, représente 135 % du PIB des Etats-Unis. Le président Trump n’a de cesse de se réjouir sur les réseaux sociaux de cette envolée boursière, qui est selon lui le signe de l’efficacité de sa politique économique. Il s’est d’ailleurs donné pour objectif de démanteler les réglementations financières du Dodd-Frank Act adopté en 2010 par l’administration Obama.

Pourtant, cette euphorie boursière pourrait masquer des déséquilibres susceptibles de déboucher à terme sur une forte correction. Le rachat de leurs propres actions par les entreprises cotées a ainsi représenté un des principaux moteurs de la hausse boursière. Profitant des faibles taux d’intérêt, les entreprises ont pu facilement emprunter pour doper leur valeur boursière : plus de 500 milliards de dollars annuels ont été dépensés dans ce but par les entreprises du « S&P 500 » au cours des dernières années. Attirés par les profits potentiels d’une bourse en hausse continue, les ménages américains se sont progressivement remis à y investir une partie de leur épargne, après plusieurs années de scepticisme suite aux déboires de 2008.

Le retour de la titrisation en Europe

Les dérives ayant mené au désastre de 2008 semblent ainsi se remettre progressivement en place : une bulle spéculative alimentée par de faibles taux d’intérêt, une politique de déréglementation financière et des ménages incités à investir leur épargne en bourse. Le risque est que la hausse des taux d’intérêt, entamée en 2016 par la Réserve fédérale, ne débouche à terme sur une crise financière – comme ce fut le cas lors du krach boursier de 1987, de l’éclatement de la bulle Internet de 2000 et de la crise des « subprimes ». Tout l’enjeu pour la Réserve fédérale consiste à relever les taux au rythme adéquat, afin de favoriser un atterrissage en douceur plutôt qu’un krach brutal. Un défi que peu de banques centrales ont réussi à relever par le passé.

Après avoir expérimenté une double récession, l’économie européenne s’est redressée suite à la baisse des taux d’intérêt et au relâchement de l’austérité dans plusieurs pays : la croissance de la zone euro a atteint 2,4 % en 2017. Toutefois, l’Union européenne n’a pas réussi à suffisamment nettoyer les comptes de ses banques, qui restent dès lors plombés par des centaines de milliards d’euros de mauvaises créances découlant des « produits toxiques » révélés par la crise de 2008. Malgré les stress tests réalisés par la BCE, le système bancaire européen reste vulnérable – comme l’ont notamment illustré ces derniers mois les déboires de trois banques italiennes (Monte Dei Paschi, Popolare di Vicenza et Veneto Banca) et de Banco Popular en Espagne.

Or, plutôt que finaliser l’Union bancaire et réglementer le shadow banking, l’Union européenne a décidé de renouer avec la « titrisation », c’est-à-dire la conversion des créances en titres négociables. Cette pratique avait été prohibée après 2008, car elle avait contribué à exacerber les risques systémiques. En effet, si la titrisation, qui permet aux banques de vendre leurs créances douteuses sous la forme de titres financiers, est un moyen de nettoyer leurs bilans en répartissant le risque au sein du système financier, elle a aussi eu pour effet de disséminer des produits toxiques à travers l’ensemble du système bancaire. Il est dès lors à craindre que les mêmes causes entraînent à terme les mêmes effets – surtout que le nouveau règlement européen prévoit que les banques ne doivent conserver dans leurs comptes que 5 % de leurs créances titrisées.

En conclusion, la récente embellie de l’économie mondiale ne doit pas masquer les déséquilibres qui la menacent d’une sérieuse rechute à terme. Plutôt que reprendre démesurément goût au risque, les gouvernements seraient mieux inspirés de coopérer pour enrayer les déséquilibres et stabiliser le système financier international. A défaut, ils ne feront que préparer la prochaine crise.

Par Arnaud Zacharie, secrétaire général du CNCD-11.11.11 - (@ArnaudZacharie) - Découvrir le CNCD-11.11.11 Qui sommes-nous ? - Selon Wikipédia « Le Centre national de coopération au développement (CNCD-11.11.11) est une organisation non gouvernementale belge de solidarité internationale active depuis 1966.- Association fédérative francophone, le CNCD-11.11.11 regroupe quatre-vingts associations et ONG de développement ainsi que des organisations sociales qui ont pour objectif un monde où des états de droit, suffisamment financés, coopèrent entre eux pour garantir la paix et le respect des droits fondamentaux de chacun… »

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Médiapart Le Journal Le Studio Le Club - Le Club est l’espace de libre expression des abonnés de Mediapart. Ses contenus n’engagent pas la rédaction. Mentions légales Charte éditoriale CGVConfidentialité – Source : https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/271217/les-trois-bombes-retardement-de-l-economie-mondiale

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Actualités - Big bang sur les marchés financiers de l’Union européenne - LE MONDE ECONOMIE | 02.01.2018 à 13h00 • Mis à jour le 03.01.2018 à 06h34 | Par Eric Albert (Londres, correspondance)

La directive MIF 2, qui entre en vigueur mercredi 3 janvier 2018, encadre davantage les produits dérivés, les obligations et le trading à haute fréquence.

Pour Brian Schwieger, cadre dirigeant à la Bourse de Londres, il s’agit de « la plus grande réforme des marchés financiers depuis le “big bang” [la dérégulation mise en place par la première ministre britannique Margaret Thatcher, en 1986] ». Pour être paré pour le jour de son instauration, il a dû mobiliser près de trois cents personnes ces trois dernières années.

Mercredi 3 janvier, la deuxième directive européenne sur les marchés d’instruments financiers, dite « MIF 2 », va entrer en vigueur. Dix ans après la crise de 2008, son objectif est d’apporter plus de transparence et de promouvoir un meilleur encadrement des marchés. A l’avenir, les produits dérivés et les obligations, traditionnellement échangés « de gré à gré », sans passer par des Bourses, vont en principe être mieux contrôlés. « Le changement est majeur », confirme Grant Lee, du cabinet d’audit PwC.

Les leçons de la crise

En 2007, l’Union européenne (UE) a adopté la « MIF 1 », qui a révolutionné les marchés actions. Les vieilles Bourses d’antan ont perdu leur monopole. Il est dorénavant possible d’échanger des actions sur des plates-formes concurrentes, par lesquelles transitent le tiers des opérations boursières. Sous pression, les places historiques ont dû baisser les commissions qu’elles faisaient payer à leurs clients et offrir de meilleurs services.

Mais, alors que cette réforme n’en était qu’à ses prémices, la crise financière a éclaté. Le problème n’est pas venu des marchés actions, mais de produits « exotiques » dont presque personne n’avait entendu parler, et qui étaient passés sous le radar des régulateurs. « La crise a révélé un grand manque de transparence », analyse M. Schwieger.

En avril 2009, les dirigeants de la planète se sont réunis à Londres, lors d’un G20 historique. Ils ont alors adopté une feuille de route claire : mieux réguler les banques – ce qui est globalement chose faite – et mieux encadrer...

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Source : http://www.lemonde.fr/economie/article/2018/01/02/big-bang-sur-les-marches-financiers-de-l-union-europeenne_5236750_3234.html

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Actualités - Quelles perspectives financières pour 2018 ? - France Culture. Dans le cadre de l’émission Le Billet économiquepar Jean-Marc Chardon - 02/01/2018 – Ecoute de 3 minutes à la source  : « Après les craintes de 2017, les menaces de krach boursier ont reculé ». Photo : Des hausses de cours à deux chiffres sur la plupart des places financières.• Crédits : Visactu

Un rapide tour d’horizon des perspectives financières mondiales montre que les scénarios optimistes l’emportent sur les autres. Dans l’ensemble, ceux qui annonçaient des risques de krach financier en 2017 ont perdu leur pari : à combien de reprises n’a-t-on pas entendu qu’une tempête boursière pourrait survenir vers la fin de l’année ? C’est la menace d’un scénario qui est revenu sur la répétition de crises boursières qui se sont télescopées avec les années en 07, de 1977 à 2007. 

1977 et le second choc pétrolier, 1987, lorsqu’en octobre le dow jones a connu la plus forte baisse de son histoire en une seule séance, entraînant les bourses mondiales dans sa chute ; 1997, crise financière en Asie : les investisseurs internationaux désertent les places financières, exceptée celle de la Chine. et 2007 : C’est la crise des subprimes venue des Etats-Unis, issue de la surabondance des crédits immobiliers auprès des ménages américains, qui plonge la finance mondiale dans les turbulences financières. 

Toutes ces crises financières ne se ressemblent pas, sauf qu’elles ont fait dégâts. 

Sur le rebond d’événements géo-politiques en 1977, d’une bulle spéculative à Wall Street en 1987, avant tout monétaire en Asie en 1997, et corrélée avec le crédit outre atlantique en 2007. Autant de crises qui ont freiné l’élan de l’année suivante : au moins sur les 6 premiers mois, comme en 1988, nettement plus longtemps avec la crise de 2007 dont les conséquences se sont déchaînées l’année d’après, avec les faillites retentissantes de grands établissements aux Etats unis, à commencer par Lehman Brothers… Qu’un scénario voisin puisse se déclencher de nouveau, c’est la crainte qui a persisté tout au long de l’année dernière. Elle s’est quelque peu dissipée, sans avoir disparu pour autant.

Les risques de nouvel éclatement de bulle ne sont donc pas exclus. 

Ils peuvent être différés de plusieurs mois ou d’années. Cela provient du fait que les marchés ont tellement monté dans le monde, qu’ils atteignent des niveaux de valorisation surprenants, d’avant 2008. Les risques de chute sont réels, à quoi des économistes font remarquer que pour autant les marchés ne sont pas déconnectés de l’économie réelle qui est en forte expansion, et que l’essentiel, c’est de garantir la confiance, en maintenant les feux de la croissance...Le faire en privilégiant des politiques monétaires suffisamment souples, comme c’est le cas aux Etats-Unis et en Europe. Des économistes estiment qu’en procédant comme ils l’ont fait, les gouverneurs des banques centrales européenne et américaine ont évité une déflation qui aurait eu des effets pires que tout, financiers et économiques à la fois. Ceux-là disent aujourd’hui qu’ils ne voient pas ce qui pourrait casser la dynamique européenne et américaine, laquelle a déjà enchaîné 34 trimestres de hausse. Selon ces schémas, 2018 serait plutôt une année de de poursuite du développement économique et de consolidation financière. Pour l’accompagner, agir en évitant des mesures monétaires brusques, par à coups... De celles qui sont déjà à l’œuvre, en procédant simplement à des corrections par paliers et des ajustements par touches successives. Bien évidemment, c’est encore à démontrer.

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Source : https://www.franceculture.fr/emissions/le-billet-economique/le-billet-economique-mardi-2-janvier-2018

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Autre référence

ISIAS Economie - Retour sur les crises financières, boursières et économiques
Aux Rencontres Économiques d’Aix-en-Provence 2017, Le ‘Cercle des Economistes’ propose 12 mesures pour un contrat social de progrès et donne accès à 43 vidéos explicatives - Jacques HALLARD, Ing. CNAM – SiteISIAS – 14/07/2017

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Auteur  : Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 06/01/2018

Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales

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Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

Fichier : ISIAS Economie Relations diplomatiques entre la France et la Chine, perspectives, orientations sociales et prévisions économiques mondiales pour 2018 .4

Mis en ligne par Pascal Paquin de Yonne Lautre, un site d’information, associatif et solidaire(Vie du site & Liens), un site inter-associatif, coopératif, gratuit, sans publicité, indépendant de tout parti,

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