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"De nouveaux cas observés montrent que le moustique Culex est aussi un vecteur inattendu du virus Zika" par Susan Milius

Traduction et compléments de Jacques Hallard

dimanche 22 janvier 2017, par Milius Susan



ISIAS Santé
De nouveaux cas observés montrent que le moustique Culex est aussi un vecteur inattendu du virus Zika
Les premières données obtenues à partir de nouveaux tests réalisés en laboratoire, remettent à l’ordre du jour la possibilité de l’existence d’autres vecteurs, en plus du moustique connu de l’espèce Aedes
L’article d’origine de Susan Milius intitulé « New case emerging for Culex mosquito as unexpected Zika spreader  », a été publié le 28 septembre 2016 par Science News Animals, Biomedicine ; il est accessible sur le site suivant : https://www.sciencenews.org/article/new-case-emerging-culex-mosquito-unexpected-zika-spreader?utm_source=Society+for+Science+Newsletters&utm_campaign=0d89017024-editors_picks_week_of_092616_10_2_2016&utm_medium=email&utm_term=0_a4c415a67f-0d89017024-104721209

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James Gathany / CDC

NOUVELLES PROPAGATIONS - L’idée controversée selon laquelle un moustique de l’espèce Culex (voir l’image ci-dessus) pourrait propager le virus Zika, suggère un nouvel examen des données qui émergent de laboratoires distincts.

[Virus Zika – Questions-réponses sur la maladie à virus Zika et ses complications - 15 novembre 2016 - Résumé de la situation – Document de l’Organisation Mondiale de la Santé © OMS 2017 – Source : http://www.who.int/features/qa/zika/fr/ ].

[Voir le document officiel de santé publique « Zika : comprendre et agir » sur le site http://inpes.santepubliquefrance.fr/10000/themes/maladies-moustiques/zika/index.asp].

ORLANDO, Floride, Etats-Unis - De nouvelles données provenant d’autres laboratoires distincts, soutiennent l’idée controversée que le moustique Culex sp., jusque-là négligé et inattendu, pourrait également propager le virus Zika.

[ Selon Wikipédia, «  Culex définit un genre de moustiques dont plusieurs espèces sont vecteurs de maladies importantes, telles que la fièvre du Nil occidental (West Nile), l’encéphalite de Saint Louis, la filariose (Culex quinquefasciatus), l’encéphalite japonaise (C. spp.), l’encéphalite de la Murray Valley (MVEV) (C. annulirostris) et le paludisme aviaire (Culex pipiens)…] Article complet à consulter sur le site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Culex ].

Le moustique Culex quinquefasciatus, est commun dans les Amériques. Constância Ayres, en collaboration avec la ‘Fondation Oswaldo Cruz’ du Brésil à Recife, a déjà surpris les chercheurs qui travaillent sur le virus Zika, avec sa proposition inquiétante selon laquelle ce moustique pourrait être aussi un transmetteur furtif du Zika.

Deux groupes de chercheurs américains ont testé l’idée de base, mais ils n’ont pas pu obtenir de données indiquant que le virus pourrait infecter cette espèce de moustique. Toutefois, les résultats préliminaires de Constância Ayres et deux autres groupes de recherche relancent la discussion.

Les données, présentées le 26 septembre 2016 au Congrès international d’entomologie, suggèrent que Zika peut s’accumuler dans les glandes salivaires du moustique, qui constituent une étape clé, pour être en mesure de transmettre la maladie. La physiologie de base des insectes n’est cependant qu’une partie du casse-tête. Même s’il est prouvé que les moustiques sont capables de transmettre le Zika, la question est de savoir si leurs goûts, leurs comportements et l’écologie vont les amener à le faire effectivement.

Dans l’épidémie actuelle, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis l’accent sur les moustiques qui appartiennent à un genre différent : l’espèce Aedes, et notamment Aydes aegypti, le vecteur principal de la maladie. Mais Constância Ayres avait annoncé, il y a plusieurs mois, la découverte du virus chez les moustiques Culex quinquefasciatus au Brésil (SN Online : 7/28/16 : This week in Zika : Revised risk, new mosquito threat, U.S. on the brink).

Lors du congrès, un collègue de Constância Ayres, de la même Fondation, Duschinka Guedes, a rapporté que les moustiques élevés en captivité et nourris de sang contaminé par le virus Zika, avait de plus en plus de virus dans leurs propres entrailles et dans leurs glandes salivaires au bout de quelques jours. Cependant, le virus ne se propage pas à chaque fois que le moustique piqueur a du sang contaminé sur son rostre. Pour passer du moustique à ce qu’il pique, les virus doivent infecter l’intestin moyen des insectes, puis se déplacer dans les glandes salivaires et fabriquer assez de particules virales pour qu’une dose infectieuse soit introduite dans la prochaine victime. Lorsque Duschinka Guedes a proposé aux moustiques infectés une carte spéciale à piquer, ceux-ci ont laissé le virus témoin dans les traces de salive, ce qui un signe de ce qu’ils pourraient faire en piquant et donc en infectant un sujet réel.

Des chercheurs originaires de Chine et du Canada, mais qui ne sont pas à l’origine du programme du symposium, ont également insisté pour partager leurs résultats, dont certains sont inédits. Certains travaux en sont encore aux premiers stades des recherches, mais les deux laboratoires ont montré que le virus Zika est synthétisé et fabriqué dans une espèce de moustiques du genre Culex.

A l’Institut de microbiologie et d’épidémiologie de Pékin, Tong-Yan Zhao a trouvé un pic du virus dans ces moustiques, huit jours après leur première prise contaminée. Comme test du pouvoir infectieux des moustiques, des chercheurs ont laissé des insectes porteurs du Zika, mordre de jeunes souris au laboratoire. Plus tard, le virus est apparu dans le cerveau chez huit des neuf souris testées au laboratoire. Les résultats ont été signalés le 7 septembre 2016 dans la revue scientifique ‘Emerging Microbes & Infections’.

[Voir l’article original intitulé « Culex pipiens quinquefasciatus : a potential vector to transmit Zika virus » - Citation : Emerging Microbes & Infections (2016) 5, e102 ; doi:10.1038/emi.2016.102 - Published online 7 September 2016 – Auteurs : Xiao-xia Guo1,*, Chun-xiao Li1,*, Yong-qiang Deng2,*, Dan Xing1, Qin-mei Liu1, Qun Wu1, Ai-juan Sun1, Yan-de Dong1, Wu-chun Cao3, Cheng-feng Qin2 and Tong-yan Zhao1 – 1 Department of Vector Biology and Control, State Key Laboratory of Pathogen and Biosecurity, Institute of Microbiology and Epidemiology, Beijing 100071, China – 2 Department of Virology, State Key Laboratory of Pathogen and Biosecurity, Institute of Microbiology and Epidemiology, Beijing 100071, China – 3 Department of Epidemiology, State Key Laboratory of Pathogen and Biosecurity, Institute of Microbiology and Epidemiology, Beijing 100071, China - Correspondence : CF Qin ; TY Zhao, E-mail : qincf@bmi.ac.cn ; tongyanzhao@126.com - *These authors contributed equally to this work. Received 24 June 2016 ; Revised 27 July 2016 ; Accepted 8 August 2016. Source : http://www.nature.com/emi/journal/v5/n9/full/emi2016102a.html ].

Fiona Hunter, travaillant à l’Université Brock, à St. Catharines au Canada, a trouvé des signes que 11 moustiques sur 50, appartenant à l’espèce Culex pipiens , vivant à l’état sauvage, avaient ramassé le virus quelque part sur leur corps. Jusqu’à présent, elle a complètement analysé un moustique et elle a signalé que le virus était en effet présent dans sa salive.

Toutefois, ces résultats positifs contredisent les tests réalisés à l’Université du ‘Texas Medical Branch’ à Galveston, avec des moustiques de l’espèce Culex. Ces tests, réalisés avec les moustiques américains, n’a apporté aucune preuve que les moustiques Culex. quinquefasciatus pourraient ramasser et transmettre une infection par le virus Zika, comme l’indique l’étude du co-auteur Scott Weaver, Stephen Higgs, du ‘Kansas State University’ à Manhattan, et ses collègues, qui ont obtenu des résultats similaires. « Nous sommes bien capables d’infecter des moustiques », dit Higgs ; il songe maintenant à expérimenter pour savoir si certaines souches de virus ne pourraient pas infecter des moustiques provenant de lieux particuliers.

Actuellement, le principal risque concernant le moustique du genre Culex c’est de nous distraire, a averti Roger Nasci, du ‘North Shore Mosquito Abatement District’ à Northfield, dans l’état de l’Illinois aux Etats-Unis. Après ces entretiens, il se leva parmi l’auditoire pour dire que le moustique Aydes aegypti est un ennemi bien connu et bien identifié et que les ressources pour les études étant limitées, il ne fallait pas se détourner de ce sujet et qu’il fallait continuer à le combattre.

George Peck, qui dirige la surveillance des moustiques sur le territoire du ‘Clackamas County’ dans l’état de l’Oregon aux Etats-Unis, n’est pas convaincu que les concentrations élevées de virus, obtenues à partir des dosages expérimentaux sur les moustiques, soient bien réalistes. Pourtant, il reste attentif à ce problème parce que, comme beaucoup de territoires de la partie septentrionale de l’Amérique du Nord, le comté Clackamas n’héberge pas le moustique Aydes aegypti vecteur du Zika. Par contre, il y a là-bas beaucoup de moustiques du genre Culex.

Note de l’éditeur : ce texte a été mis à jour le 30 septembre 2016, avec un ajout des informations relatives à l’étude du chercheur pékinois Tong-Yan Zhao.

Citations

C. Ayres. Tracking the incrimination of Aedes aegypti as a Zika virus vector. International Congress of Entomology, Orlando, Fla., September 26, 2016.

S. Higgs. Zika virus in the Americas : 2015 to the present. International Congress of Entomology, Orlando, Fla., September 26, 2016.

D. Guedes. Dynamics of Zika virus replication in Aedes aegypti and Culex quinquefasciatus. International Congress of Entomology, Orlando, Fla., September 26, 2016.

D.R.D. Guedes et al. Zika virus replication in the mosquitoCulex quinquefasciatusin Brazil. bioRxiv. Posted online September 2, 2016. doi : http://dx.doi.org/10.1101/073197

X.-x. Guo et al. Culex pipiens quinquefasciatus : a potential vector to transmit Zika virusEmerging Microbes & Infections. Vol. 5. Published online September 7, 2016, p. e102. doi : 10.1038/emi.2016.102

Further Reading - Lectures complémentaires

S. Milius. Efforts to control mosquitoes take on new urgency. Science News. Vol. 189, April 7, 2016.

M. Rosen. This week in Zika : Revised risk, new mosquito threat, U.S. on the brink. Science News Online, July 28, 2016.

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Autres articles en français sur ce sujet

Le moustique Culex disculpé dans la transmission du virus Zika au Brésil – Document ‘Pasteur France’ - Moustique Culex Brésil Actualité 27.09.2016 - zika

Suspectés de jouer un rôle central dans la rapidité d’expansion du virus Zika au Brésil, les moustiques Culex quinquefasciatus ont finalement été mis hors de cause. Une étude menée par l’Institut Oswaldo Cruz (Ministère de la Santé brésilien) en collaboration avec l’Institut Pasteur, vient en effet de mettre en évidence, en laboratoire, que les moustiques Culex ne sont pas capables de transmettre le virus Zika.

Depuis mai 2015, le virus Zika frappe le Nord-Ouest du Brésil et se répand à travers le continent avec une vitesse et une ampleur surprenante. Pour expliquer cette épidémie, deux espèces de moustiques sont en ligne de mire : le moustique Aedes aegypti, connu pour transmettre de nombreux virus comme celui de la dengue ou de chikungunya, mais aussi le moustique Culex quinquefasciatus, qui pullule en milieu urbain. Or, jusqu’à présent, aucun moustique Culex naturellement infecté par le virus Zika n’a été retrouvé sur le terrain. Et aujourd’hui, une nouvelle étude menée en laboratoire par l’Institut Oswaldo Cruz, en collaboration avec l’unité Arboviroses et insectes vecteurs, dirigée par Anna-Bella Failloux à l’Institut Pasteur, vient conforter l’idée que cette espèce n’est pas responsable de l’épidémie de Zika qui sévit dans le pays.

Les chercheurs ont collecté des œufs et des larves de Culex quinquefasciatus dans quatre quartiers de Rio de Janeiro touchés par la maladie. Une fois adulte, les moustiques ont été nourris en laboratoire avec du sang infecté par des souches locales du virus Zika – prélevées sur des patients de la capitale brésilienne. Plusieurs jours après ces repas, différentes parties du corps des moustiques ont été analysées : l’abdomen et le thorax où le sang est digéré et où sont situées les glandes salivaires, la tête afin de vérifier si le virus se dissémine dans le corps après l’ingestion de sang infecté, et la salive pour contrôler la possibilité de transmission virale au moment de la piqûre.

Moustique Culex - Institut Pasteur

Photo - Culex quinquefasciatus mâle. © Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie

Les chercheurs ont montré que sur le millier d’échantillons analysés, prélevés sur près de 400 moustiques, seuls deux spécimens ont développé une infection précoce. Et pour ces deux moustiques, aucune particule virale n’a été détectée dans la tête ou dans la salive. Autrement dit, ces résultats mettent en évidence que le moustique Culex quinquefasciatus n’est pas capable de transmettre le pathogène, puisqu’aucune particule virale infectieuse n’est présente dans la salive expulsée par le moustique pendant la piqure. Ce résultat a été conforté par l’inoculation d’une forte dose de virus dans le corps du moustique, ce qui permet de s’affranchir du tube digestif qui d’ordinaire est une barrière naturelle contre les pathogènes. Ainsi, même de cette manière, il n’a pas été possible de détecter le virus dans la salive du moustique.

D’après cette étude, publiée dans la revue PLOS Neglected Tropical Diseases, les moustiques Culex quinquefasciatus de Rio de Janeiro sont incapables de transmettre le virus Zika à l’homme et sont donc mis hors de cause dans l’épidémie qui sévit au Brésil. A l’inverse, les moustiques Aedes aegypti n’ont pas été disculpés puisque 90 % d’entre eux ont expulsé le virus infectieux dans leur salive 14 jours après le repas de sang infectieux. Les stratégies de lutte antivectorielle doivent donc se concentrer en premier lieu sur l’élimination des sites de reproduction du moustique Aedes aegypti, comme cela est classiquement entrepris pour lutter contre la dengue et le chikungunya.

Source : « Culex quinquefasciatus from Rio de Janeiro Is Not Competent to Transmit the Local Zika Virus », Plos Neglected Tropical Diseases, 6 septembre 2016
Rosilainy Surubi Fernandes1*, Stéphanie Silva Campos1*, Anielly Ferreira-de-Brito1, Rafaella Moraes de Miranda1, Keli Antunes Barbosa da Silva1, Marcia Gonçalves de Castro1, Lidiane M. S. Raphael2, Patrícia Brasil3, Anna-Bella Failloux4, Myrna C. Bonaldo2, Ricardo Lourenço-de-Oliveira1*
(1) Laboratório de Mosquitos Transmissores de Hematozoários, Instituto Oswaldo Cruz, Rio de Janeiro, Brazil
(2) Laboratório de Biologia Molecular de Flavivírus, Instituto Oswaldo Cruz, Fiocruz, Rio de Janeiro, Brazil
(3) Laboratório de Pesquisa Clínica em Doenças Febris Agudas, Instituto Nacional de Infectologia, Rio de Janeiro, Brazil
(4) Institut Pasteur, Arboviruses and Insect Vectors, Paris, France
* These authors contributed equally to this work.

Source : https://www.pasteur.fr/fr/journal-recherche/actualites/moustique-culex-disculpe-transmission-du-virus-zika-au-bresil

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D’autres moustiques porteurs du virus Zika découverts à Miami Beach - Publié le samedi 1er octobre 2016 à 21 h 13

Les populations d’insectes piqueurs profitent d’une saison estivale pluvieuse pour se reproduire. Photo : iStockphoto

D’autres moustiques porteurs du virus Zika ont été capturés à Miami Beach, en Floride, cette fois dans un nouveau quartier. Selon ‘The Associated Press’.

Le département de l’Agriculture de l’État américain a annoncé, samedi, que c’était la sixième fois que des moustiques transportant le virus étaient découverts à Miami Beach et la première fois en deux semaines.

Zika peut causer des dommages au cerveau des fœtus, dont la microcéphalie, lorsque les futures mères sont infectées. L’espèce de moustique qui transmet le virus est aussi responsable de la propagation de la dengue.

Zika, un virus transmis par un moustique, entraîne des malformations dévastatrices, dont la microcéphalie. Photo : Mario Tama

Selon le département floridien de l’Agriculture, plus de 4000 échantillons de moustiques ont été testés depuis mai, mais la présence du virus a été détectée seulement dans six d’entre eux.

Tous ces échantillons de moustiques contaminés ont été prélevés à Miami Beach à compter du 1er septembre 2016.

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Prenant acte du fait que Zika peut infecter les spermatozoïdes, les autorités sanitaires américaines conseillent désormais aux hommes de ...

Le virusZikaprésent à l’intérieur des spermatozoïdes franceinfo-30 sept. 2016

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L’OMS préconise des « mesures plus fortes » contreZika LE MATiN-

Le Vietnam se prépare à combattre le virusZika Vietnam+— Hanoi (VNA) - Le ministère de la Santé a demandé aux localités de renforcer les mesures de prévention et de lutte contre le virus Zika

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Traduction, compléments entre […], autres articles en français, sélection d’articles d’actualité et intégration de liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 22/01/2017

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Fichier : ISIAS Santé New case emerging for Culex mosquito as unexpected Zika spreader French Version.2

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