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"Une alimentation biologique pendant la grossesse réduit le risque de malformations congénitales chez les garçons " par la Dr Eva Sirinathsinghji

Traduction et compléments de Jacques Hallard

samedi 17 octobre 2015, par Sirinathsinghji Eva

ISIS Santé
Une alimentation biologique pendant la grossesse réduit le risque de malformations congénitales chez les garçons
Les risques d’apparition d’anomalies urogénitales chez les descendants mâles sont réduits lorsque les futures mères se nourrissent essentiellement de produits issus de l’agriculture biologique. Dr Eva Sirinathsinghji

Rapport de l’ISIS en date du 30/09/2015

Une version entièrement référencée de cet article iintitulé Organic Food during Mother’s Pregnancy Reduces Risk of Male Birth Defects est affiché et accessible par les membres de l’ISIS sur le site {{}}http://www.i-sis.org.uk/Organic_Food_Reduces_Birth_Defects.php et cette version est également disponible par téléchargement ici
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Une grande étude épidémiologique établit une relation entre la consommation d’aliments issus de l’agriculture biologique et la diminution d’apparition de deux types courants d’anomalies urogénitales à la naissance chez les garçons : ces deux défauts sont l’hypospadias [se traduisant par un double jet de miction sur une verge] et la cryptorchidie [qui est caractérisée par l’absence d’un ou des deux testicules dans le scrotum] [1]. Ceci constitue la première étude prospective pour trouver un lien significatif entre la consommation d’aliments biologiques et la réduction du risque de manifestation de l’hypospadias chez les garçons..

L’étude portant sur l’analyse de plus de 37.000 paires de femmes et d’enfants, a permis de constater que les femmes, qui consomment de la nourriture biologique pendant la grossesse, sont 0,42 fois moins susceptibles de donner naissance à un garçon avec l’hypospadias que celles qui déclarent manger rarement ou jamais des aliments biologiques. Cette baisse du risque est modeste mais significative, et elle se fonde sur une liste croissante d’études établissant un lien entre les pesticides et d’autres perturbateurs endocriniens à ces types d’anomalie.

De tous les groupes d’aliments analysés (légumes, fruits, céréales, produits laitiers, œufs et viandes), la consommation de légumes biologiques, ainsi que des produits laitiers biologiques, a été le plus fortement associée à l’effet protecteur, chez les jeunes garçons qui sont 0,30 fois moins susceptibles de présenter l’hypospadias, lorsque leurs mères consomment soit des produits laitiers biologiques, soit des légumes biologiques.

Pour la cryptorchidie, une association négative limite a été trouvée uniquement avec la consommation de lait / produits laitiers biologiques : les cas des mères qui consomment ce groupe d’aliments biologiques étant 0,65 fois moins susceptibles de donner naissance à un garçon avec cet état. Les résultats ont été ajustés pour les apports alimentaires, les variables sociodémographiques et les facteurs de style de vie, bien que ces facteurs aient une influence marginale sur les résultats.

L’étude publiée dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives a été dirigée par le Dr. Anne Lise Brantsæter à l’Institut norvégien de santé publique d’Oslo ; les données utilisées pour la recherche ont été recueillies auprès de la Norwegian Mother and Child Cohort Study’, une étude norvégienne de cohorte mères / enfants. Cette dernière porte sur 110.000 femmes enceintes et qui vise à fournir une base de ressources statistiques pour évaluer le rôle des expositions environnementales et d’autres, dans la santé des femmes et de leurs enfants ; elle a été menée par l’Institut norvégien de santé publique. Pour cette étude en particulier, les données ont été utilisées pour découvrir l’étiologie inconnue de ces anomalies génito-urinaires.

Les taux de malformations urogénitales sont en hausse dans de nombreuses régions du monde

L’hypospadias est une malformation congénitale de l’urètre masculin sur laquelle l’ouverture urinaire n’est pas située au bon endroit à la partie supérieure du pénis. Elle est la deuxième anomalie congénitale la plus fréquente chez les garçons : elle affecte environ 1 personne sur 250 aux États-Unis, et 3 sur 1.000 en Europe [2].

Sa prévalence est en hausse dans de nombreuses parties du monde, y compris dans de nombreux pays en Europe, en Amérique et en Asie. L’augmentation des taux dans 7 pays européens a été signalée par le Centre international des systèmes de surveillance pour les anomalies congénitales, une organisation non gouvernementale auprès de l’Organisation mondiale de la Santé, dans les années 1960, 1970 et 1980 [3].

Parallèlement, une étude danoise a rapporté une hausse des taux passant de 0,24 % de la population en 1977, à 0,52 % en 2005, ce qui correspond à une augmentation annuelle de 2,4 % [4].

Aux États-Unis, le Centre for Disease Control and Prevention, le Centre de contrôle et de prévention des maladies a signalé un doublement du taux de 1968 à 1993 [5]. Cette analyse a inclus des données provenant du registre basé sur la population qui utilise des études de cas actifs dans 22 hôpitaux et cliniques dans deux Etats différents, à Atlanta et en Géorgie.

Le Programme américain de surveillance des anomalies congénitales, qui regroupe les diagnostics de sortie des nouveau-nés à travers le pays, signale une augmentation de l’hypospadias : elle est passée de 20,2 pour 10.000 naissances vivantes en 1970 à 39,7 pour 10.000 en 1993, presque un doublement des taux dans une période de 14 ans [6 ].

Les données du centre international japonais de la recherche et de la surveillance des malformations congénitales, montrent que la prévalence de l’hypospadias au Japon de 1997 à 2002 et de 2003 à 2006, était de 3,43 pour 10.000 et 4,23 pour 10.000 naissances, respectivement [7].

En Chine, la hausse des taux se trouve dans les populations rurales et chez les enfants de mères ayant un âge élevé à la procréation, avec une augmentation annuelle nationale de la prévalence de 7,43 %, qui est rapportée dans une étude [8]. Cependant, il semble y avoir des variations géographiques des taux de maladies. Toutes les régions ni tous les pays ne connaissent pas une augmentation de cette maladie : soit la maladie se stabiliser, soit son taux décroit, comme par exemple en Californie, au Mexique, en Israël, en Australie et dans certaines zones géographiques en Europe [3].

La cryptorchidie est diagnostiquée lorsque l’un ou les deux testicules ne sont pas descendus dans le scrotum. La prévalence varie en fonction de la situation géographique, avec des taux de 2 à 8 % de toutes les naissances mâles [9].

Des études de cohortes prospectives ont indiqué une prévalence accrue de cette anomalie en Angleterre (entre les années 1950 et les années 1980) et au Danemark (entre les années 1960 et les années 2000) [10].

L’hypospadias, les hormones et les perturbateurs endocriniens

Le développement de l’appareil génital mâle externe est un processus complexe qui implique deux voies hormono-dépendantes et indépendantes androgènes qui sont également sensibles à d’autres maladies endocriniennes et à des influences environnementales. Les influences non-hormonales qui ont été identifiées comprennent une restriction de croissance fœtale et la pré-éclampsie (un état des femmes enceintes caractérisé par une pression artérielle élevée et des protéines dans l’urine), qui ont été systématiquement associés à l’hypospadias ; ceci suggère que l’insuffisance placentaire peut être un facteur qui intervient [11].

Il est connu que l’alimentation maternelle influence la fonction placentaire, le niveau de l’inflammation et de l’approvisionnement en éléments nutritifs du fœtus [12], ce qui indique que le régime alimentaire peut être lié à l’hypospadias via ce mécanisme.

Les influences hormonales sont manifestes par leur implication complexe dans le développement du système reproducteur au début de la vie du fœtus. Initialement, les systèmes reproducteurs mâles et femelles suivent un schéma similaire de développement et à 6 semaines d’âge, la différenciation des organes génitaux externes n’a pas encore eu lieu. Au bout de 9-10 semaines, la région de détermination du sexe du chromosome Y (SRY) est nécessaire pour initier la différenciation gonadique mâle, y compris la différenciation des cellules de Sertoli dans les testicules, ainsi que des cellules de Leydig qui produisent la testostérone.

La testostérone induit le développement de l’épididyme (un canal très compliqué derrière le testicule, le long duquel passe le sperme par un canal déférent), le canal déférent et les vésicules séminales. Vers les 10-12èmes semaines, les organes génitaux sont différenciables. La testostérone est également un substrat pour l’enzyme ‘5α-réductase’ qui transforme la testostérone en dihydrotestostérone. Ces androgènes sont encore plus puissants pour activer la croissance des organes génitaux externes et celle de la prostate [13].

Les études de la génétique de l’hypospadias pointent vers des anomalies hormonales comme une cause fondamentale. Bien qu’elle soit considérée comme une maladie complexe avec des causes à la fois génétiques et environnementales, quelques traits monogéniques peuvent conduire à l’hypospadias, y compris le syndrome d’insensibilité partielle aux androgènes, la carence en testostérone 5α-réductase et le syndrome Drash [14].

Des études cliniques indiquent également que les défauts dans le métabolisme de la testostérone ou des récepteurs de la testostérone sont une cause potentielle de l’hypospadias. L’exposition aux œstrogènes et progestatifs utilisés pour les contraceptifs ou la reproduction assistée synthétique s’est trouvée liée à cette anomalie.

Les études réalisées sur des animaux montrent l’importance des voies hormono-dépendantes dans le développement de la reproduction. Le blocage expérimental de la dihydrotestostérone chez les lapins se traduit par une féminisation des organes reproducteurs mâles chez les lapins.

Des rats exposés à des anti-androgènes produisent une féminisation ainsi qu’une cryptorchidie. Des pesticides tels que le linuron [un herbicide] et la vinclozoline * [un fongicide] causent la féminisation des organes génitaux externes et une ouverture anormale de l’urètre chez les rats et les souris.

Voir aussi les articles suivants qui concernent le vinclozoline :

Le pesticide vinclozoline perturbe l’accouplement - www.actualites-news-environnement.com/20070328-pesticide-vinclozoli... 28 mars 2007 - Le pesticide vinclozoline, un fongicide fréquemment utilisé dans l’industrie viticole, perturbe l’accouplement.

BVS 13 - Effets endocriniens du fongicide vinclozoline et de deux retardateurs de flamme organophosphorés Soumis par Redaction BVS le mar, 01/03/2011 - 00:00 – Source :https://www.anses.fr/fr/content/bvs-13-effets-endocriniens-du-fongicide-vinclozoline-et-de-deux-retardateurs-de-flamme

Effets d’une exposition à la Vinclozoline et à la Génistéine de la gestation à l’âge adulte sur la fonction de reproduction du rat Wistar mâle : protocole et résultats préliminaires – Source : http://www.researchgate.net/publication/226251918_Effets_dune_exposition__la_Vinclozoline_et__la_Gnistine_de_la_gestation__lge_adulte_sur_la_fonction_de_reproduction_du_ratWistar_mle_protocole_et_rsultats_prliminaires

Lesphtalates sont des produits chimiques qui sont ajoutés à une grande variété de produits, de pilules pharmaceutiques, de gélifiants et d’émulsifiants, des adjuvants agricoles, des matériaux de construction, des produits de soins personnels ou cosmétiques, ainsi que des peintures, des textiles et des produits en plastique, tels que les jouets et les emballages alimentaires pour enfants.

Les phtalates agissent aussi comme anti-androgènes et il a été démontré qu’ils causent la féminisation et l’hypospadias chez les rats mâles (voir [14] pour un résumé des études sur les rôles hormonaux dans le développement de la reproduction chez les animaux).

Des études effectuées sur les êtres humains ont également démontré un lien entre l’hypospadias et l’exposition aux phtalates. Il est suggéré que l’exposition humaine aux phtalates se passe le plus souvent par ingestion : soit par la contamination des aliments par l’intermédiaire de l’utilisation des phtalates comme un adjuvant pour les pesticides ou pour les emballages alimentaires, ainsi que par la succion des jouets par les enfants. Ils ont été détectés dans la plupart des groupes d’aliments, des viandes aux légumes et aux grains [15].

D’une manière générale, les pesticides sont l’autre candidat évident pour la disparité observée dans les taux de maladies entre ceux mangeant des aliments biologiques, par rapport à ceux qui se nourrissent d’aliments dits ‘conventionnels’.

Il a été démontré que plusieurs classes de pesticides peuvent avoir des effets perturbateurs endocriniens dont les matières actives suivantes : le glyphosate, le 2,4-D, l’atrazine, l’endosulfan, le linuron, la vinclozoline et le dichlorodiphényldichloroéthylène (DDE) [16].

Une méta-analyse portant sur 9 études a montré un risque marginal mais significatif de l’hypospadias qui est associée aux expositions maternelles et paternelles aux pesticides : elle indique une augmentation de 1,4 fois de l’apparition de l’hypospadias, suite à une exposition maternelles aux pesticides [17].

Des études individuelles ont permis de constater une augmentation des taux d’hypospadias chez les enfants (les garçons indiens du Nord [18] issus des personnes qui vivent ou qui travaillent dans des environnements agricoles ; la même chose a été observée avec une augmentation de cryptorchidie chez les jardiniers au Danemark [19].

Les garçons grecs présentant l’hypospadias, ainsi que leurs parents, montrent la présence de pesticides avec des composés organophosphorés et organochlorés dans des échantillons de cheveux, et notamment chez les mères qui montrent des niveaux significativement plus élevés que chez les pères. Mais ces résultats sont de portée limitée du fait du manque de témoins de contrôle [20].

Il a également été suggéré que les herbicides à base de glyphosate contribuent à l’hypospadias, d’après une revue récente de la baisse du niveau de bonne santé chez les personnes et les animaux sauvages vivant dans l’État du Montana, aux Etats-Unis, au cours des 20 dernières années, ce qui est en corrélation avec l’utilisation accrue de la matière active à effet herbicide glyphosate [21].

Le glyphosate a été largement rapporté comme pouvant être la cause des anomalies à la naissance et il a été démontré comme un agent perturbateur des voies endocriniennes telles que la voie de signalisation de l’acide rétinoïque et de l’activité de l’enzyme aromatase, qui convertissent les précurseurs de la testostérone en œstrogènes (voir [22] Banishing Glyphosate *.

[* Voir aussi à l’annexe 1 une sélection d’articles traitant du glyphosate].


Le mécanisme biochimique rapporté ici peut entraîner une perturbation de la signalisation de la testostérone qui pourrait conduire à l’élaboration de l’hypospadias, mais cela n’a pas encore été étudié de façon systématique.

Hypospadias, cryptorchidie et ’syndrome de dysgénésie testiculaire’

Certains chercheurs ont en outre suggéré que l’hypospadias et la cryptorchidie sont liés et qu’ils partagent une cause commune avec d’autres anomalies dans la santé reproductive masculine qui a fortement augmenté au cours des 50 dernières années, en nommant le groupe d’anomalies désignées comme les « syndromes de dysgénésie testiculaire’ (TDS).

D‘autres anomalies regroupées dans cette catégorie comprennent le cancer des testicules et la réduction de la qualité du sperme. Le cancer des cellules du testicule est la forme la plus courante de cancer chez les jeunes hommes dans de nombreux pays ; il est associé à une qualité insuffisante du sperme et la baisse de la fécondité (voir [23] Glyphosate/Roundup & Human Male Infertility, SiS 62) *.

* ’L’herbicide ‘Roundup’ à base de glyphosate et la stérilité chez les êtres humains de sexe masculin’ par le Dr Mae-Wan Ho. Traduction et compléments de Jacques Hallard, dimanche 14 juin 2015 - ISIS Santé Pesticides. « La forte baisse du nombre des spermatozoïdes chez les hommes est concomitante avec la montée des cancers au niveau des cellules germinales des testicules, avec les malformations congénitales de l’appareil reproducteur masculin et une baisse des teneurs en testostérone sérique : tous ces événements pointant vers l’exposition croissante aux herbicides Roundup à base de glyphosate, au cours des dernières décennies : cela est maintenant corroboré par les résultats de laboratoire… »

Article complet sur le site : http://www.isias.lautre.net/spip.php?article360&lang=fr

Conclusion

Des études comme celles-ci mettent en évidence notre besoin de protéger l’intégrité de notre approvisionnement alimentaire et nous invite à approfondir le préjudice potentiel que nous causons à nos enfants.

La perturbation endocrinienne conduit non seulement à des problèmes de développement, mais également à d’autres maladies telles que les cancers. La contamination de notre alimentation et de notre environnement par tous ces produits chimiques doit être évitée à tout prix.

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Addition d’articles sur la pollution chimique des enfants

Des enfants qui naissent « pré-pollués » in LE MONDE | 01.10.2015 à 10h04 • Mis à jour le 01.10.2015 à 12h13 – [Extraits]

« Les substances chimiques auxquelles les populations sont quotidiennement exposées ont des effets sur la santé de plus en plus manifestes. C’est le sens de l’alerte publiée jeudi 1er octobre dans l’International Journal of Gynecology and Obstetrics par la Fédération internationale de gynécologie et d’obstétrique (FIGO). Elle met en avant la responsabilité de certains polluants de l’environnement dans les troubles de la fertilité et souligne l’urgence d’agir pour réduire l’exposition aux pesticides, aux polluants atmosphériques, aux plastiques alimentaires (bisphénol A, phtalates…), aux solvants, etc… »

« C’est la première fois qu’une organisation regroupant des spécialistes de santé reproductive s’exprime sur les effets délétères de ces polluants, présents dans la chaîne alimentaire et dans l’environnement professionnel ou domestique. Un appel soutenu par des ONG dont Women in Europe for a Common Future (WECF) et Health & Environment Alliance (Heal)… « 

[Lire la suite de cet article à la source indiquée in fine]. Sous titres des auteurs : Stéphane Foucart et Pascale Santi

Constat préoccupant

Lire aussi : Les polluants entraîneraient retards et malformations chez l’enfant

Lire aussi : « Chute spectaculaire de la qualité du sperme »

Hausse des pathologies

Abonnez-vous au Monde.fr dès 1 € - © Le Monde.fr – Source :http://mobile.lemonde.fr/planete/article/2015/10/01/environnement-les-enfants-naissent-pre-pollues_4779381_3244.html?xtref=https://www.google.fr


ANNEXE 1 - Glyphosate Sélection d’accès à des articles d’ISIS et autres postés sur le site ISIAS concernant le glyphosate 11 octobre 2015

’Maladies dues aux pesticides et aux sojas génétiquement modifiés (OGM) Appel pour une interdiction de l’épandage aérien des pesticides en Argentine’ par le Dr Eva Sirinathsinghji

dimanche 29 janvier 2012 par Sirinathsinghji Eva - français

²

’Il faut interdire les OGM dès maintenant à cause des risques sanitaires et environnementaux et surtout à la lumière des connaissances actuelles en génétique’ par le Dr. Mae-Wan Ho et le Dr. Eva Sirinathsinghji

vendredi 7 juin 2013 par Sirinathsinghji Eva, Ho Dr Mae-Wan - français

’ Il faut interdire les herbicides à base de glyphosate dès maintenant’, par le Dr. Mae-Wan Ho

mercredi 15 juillet 2009 par Ho Dr Mae-Wan - français

’Le scandale de la réévaluation de la matière active herbicide glyphosate en Europe’ par le Dr. Mae Wan Ho

dimanche 21 juin 2015 par Ho Dr Mae-Wan - français

Manifeste de scientifiques indépendants contre la matière active herbicide glyphosate

vendredi 7 août 2015 par ISIS - français

’Le Sri Lanka interdit partiellement le glyphosate à cause d’une épidémie de maladie rénale mortelle’ par le Dr Eva Sirinathsinghji

samedi 20 juin 2015 par Sirinathsinghji Eva - français

’OGM Prenons-en encore une louche’ par Jacques Hallard

mercredi 17 octobre 2012 par Hallard Jacques - français

’Une étude de laboratoire établit un lien entre le glyphosate et des anomalies congénitales’ par le Dr. Mae-Wan Ho

lundi 4 octobre 2010 par Ho Dr Mae-Wan - français

’Le glyphosate tue les cellules testiculaires chez le rat’ par le Dr Eva Sirinathsinghji

mercredi 21 mars 2012 par Sirinathsinghji Eva - français

’Les cultures de plantes tolérantes au glyphosate apportent des maladies et la mort’ par le Dr. Mae-Wan Ho et Brett Cherry

mercredi 26 mai 2010 par Ho Dr Mae-Wan, Cherry Brett - français

’La tragédie humaine du ‘Roundup’ en Argentine’ par Claire Robinson

mercredi 6 octobre 2010 par Robinson Claire - français

’Le glyphosate et le cancer’ par le Dr Mae Wan Ho

samedi 13 juin 2015 par Ho Dr Mae-Wan - français

’’Roundup’ et glyphosate : mortifères par empoisonnements multiples’ par le Dr. Mae-Wan Ho et Brett Cherry

jeudi 12 février 2009 par Ho Dr Mae-Wan, Cherry Brett - français

’Un scientifique américain de l’USDA révèle tous les dangers du glyphosate sur les plantes, les sols, les animaux et les consommateurs’ par le Dr Eva Sirinathsinghji

dimanche 30 septembre 2012 par Sirinathsinghji Eva - français

’Dix ONG demandent à la Chine d’arrêter la production du glyphosate pour protéger la santé publique mondiale’ par Dix Organisations Non Gouvernementales (ONG)

vendredi 10 juillet 2015 par isias - français

’La contamination par le glyphosate s’est largement répandue aux Etats-Unis ’ par le Dr Eva Sirinathsinghji

vendredi 26 juin 2015 par Sirinathsinghji Eva - français

’Le glyphosate est toxique pour les cellules buccales et il endommage l’ADN. Le ‘Roundup’ est bien pire encore’ par le Dr Eva Sirinathsinghji

dimanche 20 mai 2012 par Sirinathsinghji Eva - français

’Même la revue Scientific American fait de la désinformation sur les OGM’ par les Dr Mae Wan Ho , Dr Eva Sirinathsinghji et Prof Peter Saunders

lundi 21 octobre 2013 par Sirinathsinghji Eva, Ho Dr Mae-Wan, Saunders Professeur Peter - français

’Pour avoir caché la toxicité du glyphosate, les autorités chargées de la règlementation auprès de l’Union Européenne, ainsi que Monsanto, sont démasqués et dénoncés’ par le Dr Eva Sirinathsinghji et le Dr Mae-Wan Ho

mardi 13 septembre 2011 par Sirinathsinghji Eva, Ho Dr Mae-Wan - français

’Des chercheurs scientifiques révèlent que le glyphosate empoisonne les plantes cultivées et les sols’ par le Dr. Mae-Wan Ho

mercredi 19 mai 2010 par Ho Dr Mae-Wan - français

mardi 31 août 2010 - français

’Commentaire : mise à disposition de la pétition pour la détermination du statut non réglementé du maïs MON 87411 de Monsanto, un OGM résistant à la chrysomèle des racines et tolérant au glyphosate’ par la Dr Eva Sirinathsinghji

dimanche 12 juillet 2015 par Sirinathsinghji Eva - français

’L’herbicide ‘Roundup’ à base de glyphosate et la stérilité chez les êtres humains de sexe masculin’ par le Dr Mae-Wan Ho

dimanche 14 juin 2015 par Ho Dr Mae-Wan - français

’On ne peut plus ignorer l’alerte sur les cancers résultant des OGM’ par le Prof Peter Saunders et le Dr Mae-Wan Ho

vendredi 2 novembre 2012 par Ho Dr Mae-Wan, Saunders Professeur Peter - français

’Pourquoi le glyphosate, matière active à effet herbicide, devrait être interdit’ par le Dr Eva Sirinathsinghji et le Dr Mae-Wan Ho

dimanche 18 novembre 2012 par Sirinathsinghji Eva, Ho Dr Mae-Wan - français

Sélection de Jacques Hallard sur le site ISIAS le 11 octobre 2015 ---

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Traduction en français, compléments entre […], addition d’articles sur la pollution chimique des enfants, articles traitant du glyphosate et insertion de liens hypertextes donnant accès à plus d’informations :

Jacques Hallard, Ing. CNAM, consultant indépendant.

Relecture et corrections : Christiane Hallard-Lauffenburger, ex professeure des écoles. Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France.

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

Fichier : ISIS Santé Organic Food during Mother’s Pregnancy Reduces Risk of Male Birth Defects Frencg version.2

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