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"Les interactions entre chevaux et êtres humains, l’équithérapie et les bienfaits des sports équestres (amélioration du Quotient Intellectuel) ; l’évolution de la culture équestre chinoise millénaire : de l’esthétique à la politique" par Jacques Hallard

dimanche 13 avril 2025, par Hallard Jacques


ISIAS Ethologie Equithérapie Culture Chine

Les interactions entre chevaux et êtres humains, l’équithérapie et les bienfaits des sports équestres (amélioration du Quotient Intellectuel) ; l’évolution de la culture équestre chinoise millénaire : de l’esthétique à la politique

Série ‘Famille des équidés’ Partie 13

Pour mémoire > Présentation de la Série ‘Famille des équidés’ : les 12 articles précédents sur le site ISIAS sont à découvrir à la fin de ce dossier

Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, site ISIAS – 13/04/2025

Plan du document : Préambule Introduction Sommaire Auteur

图片

甲骨文中的“马”字。（图片来源：中国文字博物馆）- Le mot « cheval  » dans les inscriptions sur un os d’oracle - (Source de l’image : Musée des caractères chinois)

Préambule

Quelques précisions préliminaires :

Equithérapie - L’équithérapie est une prise en charge thérapeutique, non conventionnelle et complémentaire aux soins médicaux. Elle prend en considération le patient dans son entité physique et psychologique, et utilise le cheval comme médiateur et partenaire thérapeutique afin d’atteindre des objectifs fixés en fonction de la spécialité du thérapeute ainsi que des besoins du patient… -  Wikipédia

« L’équithérapie est un soin psychique médiatisé par le cheval et dispensé à une personne dans ses dimensions psychiques et corporelles - Cette définition, apportée par la Société Française d’Equithérapie lors de l’adoption de la Charte d’éthique et de déontologie des équithérapeutes en 2006, donne toutes les précisions et nuances susceptibles de repérer et de délimiter le champ d’activité de l’équithérapie, à condition toutefois de bien la comprendre… - A lire par ici > https://www.ifequitherapie.fr/ressources/definitions/definition-equitherapie/

L’éthologie est l’étude scientifique du comportement des espèces animales, y compris l’humain, dans leur milieu naturel ou dans un environnement expérimental, par des méthodes scientifiques d’observation et de quantification des comportements animaux. Wikipédia

Définition du mot « éthologie » - L’éthologie est donc étymologiquement la « science des mœurs ». Elle s’intéresse aux comportements des animaux, y compris ceux de l’Homme, dans des conditions de vie données mais variables (milieu naturel, conditions domestiques, en captivité, lors de tests...).

Quelle est la différence entre écologique et éthologique ? - Les théories éthologiques apportent un certain éclairage sur les processus cognitifs, tandis que les théories écologiques n’ont pas tenté de comprendre l’effet des processus cognitifs sur le comportement

Quel est le but de l’éthologie ? - L’éthologie joue un rôle énorme dans de nombreux domaines ; elle est notamment cruciale pour le bien-être des animaux, la conservation de la nature et la protection des espèces vulnérables et menacées. Par exemple, la compréhension des agissements naturels d’une espèce animale nous aide à mieux la protéger.

Rappel sommaire de la chronologie des Dynasties de Chine à travers l’Histoire

Chronologie des Dynasties de Chine ! : r/UsefulCharts

Voir le schéma après agrandissement

Une autre chronologie du monde chinois établit un historique des évènements liés aux empires chinois passés, mais également au monde chinois moderne dans son entier, c’est-à-dire la Chine continentale, Taïwan, Hong Kong, Macao et Singapour… - Voir le détails pat ici > https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_du_monde_chinois

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provinces de Chine

Pour découvrir ou réviser les 23 provinces de Chine (省) > visiter ce site > https://chinoistips.com/provinces-de-chine/

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Introduction

Ce dossier est la présentation d’une recherche documentaire à partir de textes en chinois traduits et consacrés aux les chevaux. Il constitue la Partie 13 de la Série ‘Famille des équidés’ publiée sur le site ISIAS

Les articles traduits concernent successivement :

1. 中国动物行为学 – L’éthologie en Chine

2. « 马的基本行为及心理 » 转载请注明 - Comportement de base et psychologie des chevaux

3. 骑马是怎样达到康复治疗和心理治疗效果的 - Connaissances équestres – Equithérapie - Comment l’équitation peut produire des effets de rééducation et de psychothérapie

4. « 体育 - 骑马对人的社交、生理、IQ EQ 方面带来的发展优势 » - Sports équestres - Les bienfaits sociaux, physiques, intellectuels et émotionnels - QI et QE de l’équitation - Les avantages de développement que l’équitation apporte aux aspects sociaux, physiologiques et au Quotient Intellectuel (QI) et au Quotient émotionnel (QE) des êtres humains

5. « 道中华丨中华马文化何以数千年奔腾不息 ? » - « Dao Zhonghua » Pourquoi la culture du cheval chinois prospère-t-elle depuis des milliers d’années ? »

6. « 马文化由“政治”到“审美”的流变 - 中国民俗学网 » - L’évolution de la culture équestre : de la « politique » à l’« esthétique - Réseau folklorique chinois

Et finalement, en annexe - : QI, QE, QC, QD : tout n’est donc qu’une histoire de Q ?

Les articles sélectionnés pour ce dossier sont mentionnés avec leurs accès dans le sommaire ci-après

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Sommaire

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  • 中国动物行为学 Ethologie en Chine - Le cœur d’un chien et d’un cheval : les chevaux sont-ils aussi dépendants émotionnellement des gens que les chiens ? – Traduction du 05 décembre 2024 par Jacques Hallard d’un article intitulé « 犬馬之心：馬和狗一樣對人有感情依賴？  », en date du 09 novembre 2020 – Référence https://www.bbc.com/zhongwen/trad/world-54865221 - Diffusion ‘bbc.com’
    Les interactions entre les chevaux et les êtres humains {{}}

Il s’agit d’une étude menée par des chercheurs de l’Université de Linköping en Suède pour déterminer si les chevaux peuvent nouer des liens émotionnels avec les gens ou leur rendre la pareille. Dans le cadre de cette étude, ils ont observé et analysé les interactions entre 26 chevaux et leurs propriétaires dans différentes situations.

L’étude a révélé que la fréquence cardiaque des chevaux augmentait lorsqu’ils étaient séparés de leurs humains, mais ne montrait aucune préférence pour leurs propriétaires ou un parfait inconnu.

Légende de l’image, Les chevaux sont des proies sociales, ils peuvent donc devenir nerveux s’ils sont séparés et seuls

Il est généralement admis que l’entraînement au « renforcement positif » pour les chevaux peut aider les chevaux à nouer un lien émotionnel fort avec les gens. Pour tester cette théorie, ils ont observé des chevaux interagir avec leurs propriétaires, ainsi qu’avec de parfaits inconnus.

Leurs observations ont montré que peu importe avec qui ils se trouvaient, les chevaux semblaient toujours plus détendus lorsqu’ils étaient avec des gens que lorsqu’ils étaient seuls. Les chevaux entraînés avec le « renforcement positif » ont passé plus de temps avec leurs propriétaires dans l’expérience, mais n’ont pas montré plus d’affection pour leurs propriétaires.

Acquérir un sentiment de sécurité{{}}

Les chercheurs affirment que même si les chevaux présentent un certain comportement d’attachement envers les gens, ils ne répondent pas à tous les critères d’un lien, comme le type d’attachement qu’un chien entretient avec une personne ou le lien qu’un enfant entretient avec ses parents. Les chevaux ne présentent pas le genre de comportement émotionnellement dépendant que les chiens ont envers les gens ou que les enfants ont envers leurs parents.

De plus, les chercheurs ont mesuré la fréquence cardiaque des chevaux dans différentes situations, avec leurs propriétaires, avec des inconnus ou sans personne, et les ont comparés. La chercheuse Paulina Lundberg a déclaré dans le rapport du « Daily Mail » : « Les résultats ont montré que les chevaux restaient le plus longtemps près de la porte lorsqu’ils étaient séparés des personnes, et se rapprochaient des personnes lorsqu’ils étaient réunis, que la personne soit le propriétaire du cheval ou un étranger.

Source d’images, CONFIANCE NATIONALE - Légende de l’image :

Les chevaux sont plus nerveux lorsqu’ils sont seuls et la présence de personnes à proximité les aide à se détendre{{}}

Lemberg a déclaré que cela suggère que les chevaux sont plus nerveux lorsqu’ils sont seuls et que le fait d’avoir des personnes à proximité les détend. Elle a déclaré : « De plus, lorsque les chevaux sont séparés des personnes, leur fréquence cardiaque augmente de manière significative ; lorsqu’ils sont à nouveau réunis avec des personnes, leur fréquence cardiaque diminue de manière significative. »

Elle a déclaré que les chevaux étant des proies sociales, ils peuvent vivre la séparation comme une expérience négative et stressante. ’Même si les chevaux sont entraînés à être seuls, séparez-les des autres chevaux, et les chevaux augmenteront leur fréquence cardiaque et deviendront plus fréquents. ’ dit-elle. Ronflement. ’

Les chercheurs affirment que les chiens se sentent nerveux lorsqu’ils sont séparés de leurs propriétaires et qu’une fois réunis, ils se rapprochent des gens, ce qu’on appelle l’effet « refuge ». La présence humaine à proximité a un effet similaire sur les chevaux. Mais les chiens et les humains augmentent leurs comportements de jeu et d’exploration lorsqu’ils sont ensemble, et cela ne se reflète pas dans le comportement des chevaux.

Les chevaux comprennent-ils la nature humaine ? {{}}

Source d’images, Getty Images - Légende de l’image :

Les chevaux n’ont pas les mêmes liens émotionnels avec leurs propriétaires que les chiens, selon une étude{{}}

Les personnes qui sont d’accord avec les conclusions de la recherche pensent qu’il est facile pour les gens de donner de l’intelligence et des émotions à des êtres non intelligents et de comprendre les animaux selon leurs propres souhaits.

Tout comme de nombreux amateurs de chevaux ne sont pas d’accord avec les recherches suédoises, ils fournissent souvent des contre-exemples tirés de leur expérience personnelle pour prouver que les chevaux et leurs propriétaires ont une communication émotionnelle qui dépasse la compréhension humaine.

Les discussions et controverses sur le lien entre les chevaux et les humains portent sur la mesure dans laquelle les chevaux sont prêts à coopérer avec les pulsions humaines, et donc sur l’éthique de la protection des animaux ou de la cruauté dans les sports équestres.

En 2018, des chercheurs japonais ont publié une étude sur le site du British Science Journal affirmant que les chevaux peuvent lire les émotions des gens à travers leurs expressions et leurs vocalisations. Ayaka Takimoto, professeur de psychologie animale à l’Université d’Hokkaido au Japon, et son équipe de recherche pensent que les chevaux, comme les chiens, peuvent ressentir les émotions humaines et se méfier de la colère humaine.

Des chercheurs japonais ont étudié 19 chevaux. Ils ont demandé au cheval d’observer des visages humains sans expression, ils ont émis des sons appelant le cheval et ont enregistré les différentes réactions du cheval. L’étude a conclu que les chevaux réagissent différemment aux différentes expressions de bonheur et de colère, ainsi qu’aux différents sons d’encouragement et de réprimande.

Source : https://www.bbc.com/zhongwen/trad/world-54865221

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  • Comportement de base et psychologie des chevaux – Traduction du 05 décembre 2024 par Jacques Hallard d’un article intitulé « 马的基本行为及心理 » - 转载请注明：【马术微学院/老A 摘自李卫平老师《爱马人手册》】) - Micro Académie Équestre 2018-02-18 17:30:00
    Veuillez indiquer pour réimpression : [Micro-académie équestre / Ancien extrait du ’Manuel des amoureux des chevaux’ du professeur Li Weiping])

Les mouvements corporels du cheval doivent être des réactions sous le contrôle de son idéologie, c’est-à-dire que le comportement est une manifestation concrète de la psychologie. Si vous voulez comprendre la psychologie comportementale des chevaux, vous devez comprendre la nature des chevaux : le désir de survivre en évitant le mal et en recherchant le gain. Éviter le mal, c’est éviter les attaques ennemies, éviter la maladie et éviter le danger. Rechercher le profit, c’est rechercher de la nourriture, de la compagnie et des amis.

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Toute vie dans le monde doit éviter les désavantages et rechercher des avantages, et chacun a ses propres armes pour survivre. Par exemple, les serpents sont venimeux, les tigres ont des griffes, les vaches ont des cornes, etc. Comment les chevaux survivent-ils dans la chaîne alimentaire naturelle et sont-ils attaqués par des prédateurs ? La seule arme est la course, et chaque organe et système du corps sert à la course. Cela constitue deux moyens naturels pour les chevaux de communiquer avec le monde extérieur :　　

Le contact avec des prédateurs carnivores représente une lutte pour la vie ou la mort.{{}}

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Communiquer entre individus similaires, se manifestant en agissant selon la hiérarchie au sein du groupe.

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Puisque les humains ont pris le relais de la nature et sont intervenus dans la survie des chevaux, ces derniers ont besoin de suffisamment de temps pour comprendre les intentions des premiers, car le comportement humain peut être des attaques de type carnivore, un évitement de type herbivore ou d’autres comportements similaires….

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Si une personne ne comprend pas la psychologie d’un cheval, il ne se demande pas sérieusement si son comportement peut être mal compris par le cheval. Ensuite, il sera difficile de s’entendre et de communiquer entre humains et chevaux. D’un autre côté, si les gens peuvent comprendre la psychologie du comportement du cheval, ils éviteront non seulement d’être mal compris par le cheval comme un ennemi, mais feront également comprendre au cheval que les gens sont des amis du même genre - le leader avec un haut statut dans le groupe. Ensuite, l’autorité de l’homme sur le cheval s’établira progressivement, et finalement l’objectif de contrôler le cheval et de coopérer entre l’homme et le cheval sera atteint.

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Achat de livres - Cours de formation complet BHS du British Jockey Club　

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Mots clés : Death Flight,Nourrir Spider-Man,Deadly Room,Gravity Double Paupières

Micro Académie Équestre

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Veuillez indiquer lors de la réimpression : [Equestrian Micro Academy/Old A est extrait du ’Horse Lover’s Handbook’ de l’enseignant Li Weiping]

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Source : https://www.sohu.com/a/223125392_495013

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  • Connaissances équestres – Equithérapie - Comment l’équitation peut produire des effets de rééducation et de psychothérapie - 2023-12-04 – Traduction du 05 décembre 2024 par Jacques Hallard d’un article titré « 骑马是怎样达到康复治疗和心理治疗效果的 » - Référence : https://www.c-e-a.org.cn/news-info-3038.html
    La psychothérapie équestre ne se concentre pas que sur l’équitation, mais sur l’établissement d’une relation entre les personnes et les chevaux, pour aider les patients à vivre les expériences et les émotions fondamentales dans les relations interpersonnelles telles que l’attachement, le soutien, la confiance, la responsabilité et les soins, pour résoudre les traumatismes psychologiques et la gestion émotionnelle...{{}}

On dit souvent que l’équitation est un sport bon pour la santé physique et mentale, que ce soit pour la perte de poids, la mise en forme du corps ou la fonction cardio-pulmonaire. De plus, ce que beaucoup de gens ne savent pas, c’est que l’équitation est également une bonne méthode de traitement médical. Certaines maladies qui ne peuvent être guéries par les méthodes conventionnelles peuvent avoir des effets curatifs miraculeux grâce à l’équitation.

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Thérapie de réadaptation équine{{}}

La thérapie équine peut être utilisée pour traiter les patients handicapés. Elle a une histoire de plus de 30 ans en Europe et aux États-Unis et est souvent utilisée dans le traitement de rééducation des patients atteints de paralysie cérébrale, de polio et d’autisme.

La thérapie équine est à la fois une thérapie par l’exercice et une thérapie de divertissement. Elle a un bon impact sur le corps et l’esprit des enfants atteints de paralysie cérébrale. À mesure que le corps du cheval monte et descend, le cavalier acquiert un sentiment d’équilibre, élimine les tensions et vit une expérience positive, un mouvement vers l’avant. Cependant, l’hippothérapie nécessite certaines conditions et il faut veiller à la sécurité, c’est pourquoi elle doit être pratiquée sous la direction d’un médecin professionnel.

L’essence de l’hippothérapie est de permettre aux enfants de s’adapter au rythme du cheval et de réagir en conséquence. L’ensemble de l’entraînement est axé sur la stabilité du tronc, la posture et la coordination des mouvements du bassin, améliorant ainsi la démarche et l’équilibre après la descente.

Au cours d’une séance d’hippothérapie de 20 à 30 minutes, si le cheval fait plus de 2.000 à 3.000 pas, l’enfant aura de multiples occasions de pratiquer le transfert de poids et le contrôle de la posture, ce qui est irréalisable par tout type d’activité d’entraînement.

Psychothérapie équine{{}}

La psychothérapie équestre est une nouvelle méthode de traitement de ces dernières années, adaptée aux adolescents et aux adultes qui souffrent de traumatismes psychologiques, de problèmes émotionnels, de conflits interpersonnels et d’autres problèmes.

La psychothérapie équestre ne se concentre pas sur l’équitation ou l’équitation, mais sur l’établissement d’une relation entre les personnes et les chevaux pour aider les patients à vivre des expériences et des émotions fondamentales dans les relations interpersonnelles telles que l’attachement, le soutien, la confiance, la responsabilité et les soins, etc., pour résoudre problèmes psychologiques. Problèmes psychologiques et de vie en matière de traumatisme, gestion des émotions, estime de soi, confiance en soi, soutien social, etc.

De plus, grâce à diverses activités de travail au sol et d’équitation liées au cheval, les compétences en communication non verbale, en résolution de problèmes, en leadership, en travail d’équipe, etc. peuvent également être améliorées. Ainsi, même s’il n’y a pas de problèmes psychologiques, l’équitation est un bon moyen d’améliorer ses capacités.

Comment les chevaux aident-ils les patients en psychothérapie ?{{}}

Comparés aux autres animaux, les chevaux, en tant que proies, naissent avec la capacité de détecter les intentions des autres espèces et ils peuvent répondre le plus rapidement possible aux intentions et aux besoins des êtres humains.

Les chevaux attachent également une grande importance aux relations sociales. Pour leurs propres besoins de sécurité, ils recherchent le contact, les relations et le leadership avec d’autres êtres à tout moment et en tout lieu.

En observant et en communiquant avec les chevaux, les thérapeutes peuvent découvrir leurs propres modèles relationnels, essayer d’apprendre et de mettre en pratique des modèles relationnels positifs et sains, et traduire ces modèles en relations interpersonnelles et en intimité dans la vie quotidienne.

Les chevaux expriment leurs émotions très directement et peuvent apporter aux thérapeutes un soutien et une attention que les humains ne peuvent pas. Par conséquent, les thérapeutes peuvent complètement abandonner leurs rancunes devant les chevaux, ce qui est également le fondement le plus important de la psychothérapie.

De plus, la thérapie équestre offre au thérapeute un contact étroit avec la nature. L’environnement naturel peut souvent apporter aux gens un pouvoir de guérison magique.

Les gens sont quelque peu « émotifs » de nos jours en raison des diverses pressions environnementales. Si vous souhaitez trouver un moyen de soulager le stress, l’équitation est un bon choix. (Équitation en ligne)

Editeur : Zhang Liwen - Publié par : Zhang Liwen

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Source : https://www.c-e-a.org.cn/news-info-3038.html

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Citation : ’Il y a quelque chose dans l’extérieur d’un cheval qui est bon pour l’intérieur d’une personne’ - Winston Churchill

Winston Churchill, l’un des meilleurs dirigeants de l’histoire occidentale, a été Premier ministre du Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre mondiale, et ses citations raffinées sont également bien connues. La citation avec laquelle nous avons commencé illustre le « lien entre les humains et les animaux ».

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Les sociologues et les comportementalistes animaliers étudient l’impact des chevaux (et autres animaux de compagnie) sur la vie de leurs propriétaires. La recherche scientifique a prouvé que monter à cheval et s’entendre avec les chevaux a un impact positif significatif sur les gens.

En fait, les personnes traumatisées qui passent du temps avec les chevaux peuvent avoir un impact significatif sur leur santé mentale et physique. Les mots de Winston Churchill font vraiment mouche : être avec des chevaux permet aux gens de se sentir mieux.

La communauté médicale et les organisations internationales, telles que la RDA (Reriding Association for the Disabled), utilisent les bienfaits uniques des chevaux pour aider leurs patients. Le sens de l’hippothérapie est : utiliser les chevaux pour aider à la thérapie et utiliser les activités du cheval pour l’orthophonie physiologique et professionnelle.

Les sports équestres : une voie pour développer de meilleures compétences de vie{{}}

L’équitation est un sport élégant dans de nombreux pays, et il en va de même en Chine. Les enfants nés dans des familles économiquement favorisées qui fréquentent souvent les clubs équestres y rencontreront des enfants chanceux issus de familles similaires. Là, les enfants peuvent partager leur joie de l’équitation et nouer des amitiés qui dureront toute une vie. De plus, les enfants peuvent trouver un groupe d’amis qui les soutiennent en dehors de l’école pour les aider à soulager le stress causé par le travail scolaire.

L’écurie est un lieu social positif et sain où les enfants peuvent non seulement développer leurs compétences physiques et mentales, mais aussi trouver des mentors et des amis. Parce que pour réussir, il faut du dévouement, de la détermination et un entraînement constant, les cavaliers plus âgés qui réussissent sont de bons modèles pour les enfants. Pouvoir profiter des loisirs du centre équestre tout en apprenant ces qualités dès le plus jeune âge prépare les enfants à affronter les futurs défis de la vie.　

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Les scientifiques mesurent l’impact des chevaux sur la vie des enfants. Une étude récente a révélé qu’avoir des chevaux dans leur vie améliore les compétences de vie des enfants. L’étude a révélé que les chevaux sont de bons mentors pour les enfants.

Le Centre de recherche laitière et animale de ‘Penn State’ a utilisé une simple analyse de régression linéaire pour quantifier même l’amélioration des compétences de vie que les chevaux apportent aux enfants. Les institutions participantes sont réparties à travers les États-Unis et ont fourni des données sur plus de 450 000 enfants. L’étude montre que 25 % du développement des compétences essentielles des enfants provient du développement de leurs compétences équestres.

Les enfants qui ont acquis des compétences équestres peuvent prendre de meilleures décisions, réfléchir plus rapidement, mieux communiquer et avoir de meilleures capacités de planification d’objectifs et de résolution de problèmes. Que votre enfant espère devenir astronaute, avocat, conseiller financier, professeur ou star de cinéma, de meilleures compétences en matière de planification d’objectifs et de résolution de problèmes le rendent plus compétitif.

En collaboration avec MA, les sujets de recherche développent de précieuses compétences de vie positives qui s’étendent à la vie quotidienne des enfants. Ne parlons pas des compétences de vie. Les sports équestres et les soins aux chevaux ont également des exigences physiques pour les enfants et leur apportent donc des bénéfices.

L’équitation est un sport complexe qui nécessite une certaine forme physique. Grâce à ce sport, les cavaliers peuvent développer et exercer leur coordination, leur équilibre, leur motricité fine, leur force musculaire, leur endurance et leur flexibilité, et peuvent favoriser leur posture et leur santé cardiovasculaire. Cet avantage est particulièrement important si votre enfant espère devenir astronaute à l’avenir !

L’étude a également noté que les enfants qui s’occupaient quotidiennement des chevaux en bénéficiaient davantage.

Les activités de soins du cheval comprennent : le brossage du cheval, le nettoyage de l’écurie, l’alimentation du cheval avec de la nourriture et de l’eau, et les soins du cheval avant et après l’équitation. Ces activités peuvent rendre les enfants plus forts physiquement et développer progressivement leur « sens des responsabilités » envers toutes les créatures vivantes. Les enfants chinois vivant dans les villes ont rarement l’occasion de participer à des activités physiques aussi saines et régulières. Même les enfants qui rejoignent les équipes sportives de l’école peuvent ne pas être en mesure de faire de tels exercices.

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La recherche montre également que le développement mental résultant du partenariat que les enfants développent avec les chevaux peut leur être bénéfique des années plus tard. De plus, les sports équestres enseignent aux enfants le « travail d’équipe » de manière très directe. Par exemple, le cavalier doit transmettre des instructions au cheval de manière rapide et efficace pour franchir les obstacles, sinon il risque de heurter le poteau d’obstacle.

Dans le processus d’établissement de cette méthode de communication, les cavaliers doivent non seulement prêter attention à leurs chevaux, mais également participer à de nombreux aspects tels que la vision, le toucher et l’ouïe. Comparé au plaisir d’être suffisamment habile pour guider son cheval d’un obstacle à l’autre, le plaisir des jeux informatiques n’est tout simplement rien.

Des études ont également montré que les sports équestres peuvent également apporter aux enfants estime de soi et confiance en eux. Les enfants bénéficient également émotionnellement du lien avec les chevaux. Prendre soin des chevaux permet aux enfants de développer des liens durables avec les animaux et de développer des compétences en matière de soins. Accomplir quotidiennement des tâches liées au cheval aide les enfants à développer un sens des responsabilités, de l’empathie et de la compassion. Ces qualités les aident à établir et à entretenir des relations avec les autres.

Les ‘Jockey Clubs’ offrent une acceptation inconditionnelle et un soutien émotionnel aux enfants dont ils ont la garde. Les chevaux, en tant que mentors… apportent des bienfaits physiques, mentaux et émotionnels aux enfants. Lorsque les enfants atteignent un objectif avec leur compagnon cheval, la fierté qui en résulte les pousse à travailler vers l’objectif suivant.

L’étude américaine a révélé que la majorité des enfants étudiés étaient des filles (86,9 %) et que la plupart possédaient leurs propres chevaux (87,8 %). D’autres enfants partagent des chevaux avec d’autres ou les louent. Plus de 90 % des enfants interrogés pensaient qu’il était important pour eux de s’amuser avec les chevaux. 80 % des enfants pensent que monter à cheval est important pour eux.

Il est intéressant de noter que moins de 50 % des enfants estiment qu’il est important d’obtenir des résultats dans les compétitions équestres. Cela peut nous dire que le simple fait de monter à cheval et de prendre soin d’un cheval peut développer d’importantes compétences de vie chez les enfants, qu’ils réussissent ou non dans des compétitions équestres. Pour les enfants petits, timides, faibles ou peu compétitifs, participer à des sports équestres ou simplement passer du temps avec des chevaux, présente des avantages considérables.

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Les résultats de l’étude montrent que les enfants participant à des sports équestres devraient continuer à développer et à développer leurs compétences équestres et leurs compétences de vie. Il est également recommandé aux entraîneurs équestres de mettre davantage l’accent sur la sécurité à cheval, la gestion de la santé et la nutrition, car les résultats des recherches montrent que ces éléments contribuent également de manière significative au développement des compétences de vie.

Equitation : Quels sont les traits de personnalité qui font un bon cavalier ?{{}}

Alors, quels traits de caractère affichent les cavaliers ? Y a-t-il des différences entre ceux qui montent à cheval et ceux qui ne le font pas ?{{}}

La réponse est : la différence existe. Les cavaliers sont plus déterminés et passionnés, avec une meilleure posture et un meilleur équilibre. Les cavaliers font preuve d’un meilleur leadership, sont plus affirmés, plus compétitifs et mieux capables de s’adapter.

La plupart des cavaliers ne jurent que par l’impact positif des chevaux sur le développement des enfants, et en fait, les chevaux ont également le même impact positif sur les adultes !

De nombreux parents chinois espèrent que leurs enfants poursuivront des activités saines qui les aideront à accroître leur indépendance et à mener une vie réussie. Désormais, selon cette étude allemande, c’est une bonne idée que les parents s’impliquent également dans les sports équestres !

‘Top riders’ : supériorité physique ou force mentale ?{{}}

Dans un environnement hautement concurrentiel, il est crucial de développer les compétences et les qualités nécessaires pour réussir. Les chercheurs ont découvert les « facteurs psychologiques » clés qui permettent d’être un cavalier de saut d’obstacles de haut niveau, en identifiant un élément qui permet aux cavaliers de haut niveau de se démarquer particulièrement de la foule.

Il ne fait aucun doute que l’entraînement athlétique et la condition physique d’un cavalier jouent un rôle important dans le saut d’obstacles. Cependant, des chercheurs se sont récemment concentrés sur les compétences psychologiques que possède un cavalier, telles que la concentration, le contrôle émotionnel et la capacité à gérer les pensées négatives. . La recherche dans d’autres sports montre que ces capacités ont un impact significatif sur la réussite des athlètes.

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Les chercheurs ont présenté leurs résultats lors de la réunion annuelle de la Société internationale pour les sciences de l’équitation dans le Delaware, aux États-Unis. Ils ont interviewé 70 cavaliers de saut d’obstacles et d’autres cavaliers américains qui concourent aux niveaux international, national et régional.

Avant la course, les coureurs ont rempli un questionnaire explorant : l’autosuggestion, le contrôle émotionnel, l’autodiscipline, l’établissement d’objectifs, la conscience visuelle, la relaxation, le contrôle des pensées négatives et le contrôle de l’attention.

Les résultats les plus révélateurs de cette enquête tournent principalement autour de « l’automaticité ». En saut d’obstacles, des années d’entraînement minutieux confèrent aux meilleurs cavaliers une ’automaticité’ - la capacité d’effectuer des actions physiologiques inconscientes, comme donner des instructions à un cheval pour qu’il atteigne un objectif en montant. L’étude montre que les coureurs internationaux ont un degré d’automaticité nettement plus élevé que les coureurs nationaux et régionaux ».

Plus le niveau d’un conducteur est élevé, plus il peut faire réagir son corps rapidement sans trop réfléchir. Cela peut libérer l’esprit du cavalier et se concentrer sur les capacités mentales importantes requises pour la compétition. L’étude a également révélé que les meilleurs cavaliers comprennent mieux l’importance de la capacité mentale et d’une attitude positive que les cavaliers amateurs.

Chevaux et enfants timides{{}}

Les chevaux sont des animaux instables et leur taille peut faire craindre certains adultes, sans parler des enfants. Quand j’ai appris à monter à cheval, on m’a dit ’Ne laissez pas le cheval savoir que vous en avez peur’ car le cheval peut ’sentir’ votre peur et donc pousser plus fort et devenir plus agressif, vous faisant ainsi plus peur. En fait, cette suggestion n’aide pas beaucoup l’enfant, au contraire, elle l’inquiète davantage. Alors, cette affirmation est-elle correcte ? Une personne timide pourrait-elle déclencher une réaction de stress ou amener le cheval à se comporter de manière dangereuse ? Explorons ce mythe et voyons s’il est vrai d’un point de vue scientifique.

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L’Université de Guelph en Ontario, au Canada, a publié les résultats d’une étude dans le ‘Journal of Animal Behaviour’. L’étude a testé des chevaux confrontés à :

  • Une personne timide (c’est-à-dire psychologiquement anxieuse) ;
  • Une personne qui vient de faire un exercice intense (physiquement épuisée) ;
  • Une personne calme et à l’aise avec les chevaux.
    Les chercheurs ont testé si les humains émettaient des signaux de peur ou d’anxiété lorsqu’ils interagissaient avec des chevaux, et comment les chevaux réagissaient.

Sujets d’étude : Les chevaux et les humains portaient tous des moniteurs de fréquence cardiaque, et les chercheurs ont observé les réactions des chevaux face aux trois types de personnes.

Les chercheurs ont été surpris de constater que lorsque la peur d’une personne augmente, la fréquence cardiaque du cheval diminue et le rythme du cheval devient plus lent lorsqu’il se trouve à proximité d’une personne. En fait, lorsque les gens ont peur, les chevaux sont de plus en plus calmes !

Les chercheurs ont conclu : avec des mesures de sécurité normales en place, il ne devrait y avoir aucun risque supplémentaire lorsque les chevaux sont en présence de personnes timides - en particulier « des personnes qui se sentent mal à l’aise en présence des chevaux ».

Il existe certaines qualités que possèdent les chevaux, tant externes qu’internes, qui sont vraiment bonnes pour nous à l’intérieur. Cet article est extrait d’une citation du Dr Katherine Davis

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Le matin du 08 juillet 2024, les 12èmes Jeux nationaux de sports équestres traditionnels ont débuté dans le comté de Zhaosu, préfecture autonome kazakhe d’Ili. (Source de l’image : Quotidien de la nationalité chinoise)

[Addenda - « La préfecture autonome kazakhe d’Ili (ou Ily) (chinois : 伊犁哈萨克自治州 ; pinyin : Yīlí hāsàkè Zìzhìzhōu ; kazakh : ىله قازاق اۆتونوميالىق وبلىسى / Іле Қазақ автономиялы облысы / Ilye kazak avtonomiyali oblisi ; ouïghour : ئىلى قازاق ئاپتونوم ئوبلاست / Ili Kazak Aptonom Oblasti) est une subdivision administrative de la région autonome du Xinjiang en Chine. Elle prend son nom de la rivière Ili, qui la traverse avant de couler au Kazakhstan. Son chef-lieu est la ville de Yining. Elle est l’unique préfecture autonome à avoir le statut de préfecture autonome sous-provinciale en Chine. Cela lui confère, d’avantage d’autonomie vis-à-vis de la région autonome qui l’abrite, par rapport aux autres préfectures autonomes….

Préfecture autonome kazakhe d’Ili

Localisation de Préfecture autonome kazakhe d’Ili

A gauche - Localisation de la préfecture d’Ili (en jaune : subdivisions administrées directement par la préfecture d’Ili ; en écru : subdivisions administrées par les préfectures d’Altay et de Tacheng)… - A droite - Géolocalisation sur la carte : Chine - Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9fecture_autonome_kazakhe_d%27Ili ]

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Dans la longue histoire de la nation chinoise, le cheval, créature vigoureuse et agile, a toujours occupé une place centrale. C’est un symbole de force et de vitesse, et un important vecteur de culture et d’esprit, porteur de milliers d’années de sagesse et d’émotion de la nation chinoise. Les chevaux jouent un rôle important dans la culture chinoise, et tous les groupes ethniques ont conjointement enrichi et développé la culture équestre qui s’est transmise jusqu’à ce jour.

Un voyage dans le temps et l’espace de la culture chinoise et du cheval{{}}

Les ruines de Yin, en tant que premières ruines de capitale de la dynastie Shang dans l’histoire de mon pays avec des documents documentés et des confirmations archéologiques, ont été témoins de l’antiquité et de la profondeur de la civilisation chinoise. La fosse à chars et à chevaux de la dynastie Shang rassemblée au musée Yinxu de la ville d’Anyang, province du Henan, est les premiers restes de chars et de chevaux découverts en Chine.

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Les ruines des chars et des chevaux de la dynastie Shang exposées au musée Yin Xu. (Source de l’image : Visuel Chine)

Les inscriptions sur os d’oracle découvertes dans les ruines de Yin contiennent déjà le hiéroglyphe signifiant « cheval » : visage long, grands yeux, crinière volante, longue queue et sabots. Cette description dans les inscriptions sur os d’oracle est encore très présente à l’époque moderne. Dans diverses polices apparues dans les générations ultérieures, le glyphe pour « cheval » en est également l’origine. On peut dire qu’au moins les premières pousses de la culture du cheval sont apparues sous la dynastie Shang il y a plus de 3.000 ans.

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Le mot « cheval » dans les inscriptions sur os d’oracle. (Source de l’image : Musée des caractères chinois)

Sous la dynastie Zhou, la culture chinoise du cheval s’est développée avec une domestication et une utilisation en profondeur des chevaux, intégrés aux « rituels » et sont devenus un symbole du pouvoir et du statut royal. L’émergence du système rituel de « l’attelage » a mis en évidence les différences de niveaux et a jeté les bases du développement diversifié de la culture du cheval.

Pendant la période du roi Xiao de Zhou, Feizi de Qin a obtenu un fief pour son service méritoire dans l’élevage de chevaux et est devenu le monarque fondateur de l’État de Qin. À partir de ce moment-là, Qin est devenu prospère et a fait d’importants préparatifs pour le futur État de Qin, afin d’unifier les six pays et établir la première dynastie unifiée de Chine.

Lorsque les chevaux sont directement impliqués dans des combats à grande échelle, leur rapidité et leur puissance sont pleinement utilisées. Au milieu de la période des Royaumes combattants, le roi Wuling de Zhao a travaillé dur pour devenir plus fort et a déclenché une vague de réformes de « Hufu, équitation et tir », qui ont changé le système militaire de l’État de Zhao et les habitudes vestimentaires quotidiennes de la population à cette époque. Il a aussi rendu le pays prospère et puissant.

Jusqu’à présent, la relation entre les humains et les chevaux a impliqué divers aspects tels que l’étiquette, les affaires militaires et la vie, et le prototype de la culture équestre a continué à se développer et à s’améliorer….Enfin, sous l’intersection et la collision des deux civilisations du nomadisme et de l’agriculture, la culture chinoise du cheval s’est formée conjointement avec ces deux éléments…

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Sculpture emblématique de Handan « Hufu Riding and Shooting ». (Source de l’image : Visuel Chine)

Sous la dynastie Han, la culture du cheval était florissante. L’empereur Wu de la dynastie Han aimait les chevaux, introduisit d’excellentes races de chevaux et élevait des chevaux militaires à grande échelle. Les chevaux n’étaient pas seulement utilisés dans l’armée mais aussi dans l’agriculture. L’invention et la vulgarisation des étriers n’ont pas seulement été utilisées dans les affaires militaires, mais les sports équestres ont également vu le jour. La culture équestre de la dynastie Han est devenue de plus en plus riche. La description de Cao Zhi dans ’Famous Capitals’ de ’monter à cheval et frapper le sol avec une aisance et une habileté sans fin’ est une représentation vivante des gens qui jouaient au polo à cette époque.

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Un cheval en bronze doré de la dynastie des Han occidentaux découvert dans le mausolée Maoling de l’empereur Wu de la dynastie Han. (Source de l’image : Musée Maoling)

Sous la dynastie Tang, lorsque l’économie et la culture étaient d’une prospérité sans précédent, la culture du cheval a atteint son apogée. Le sport du polo a prospéré pendant un certain temps, l’artisanat regorgeait d’éléments équestres, les poèmes faisaient l’éloge du cheval sans fin et la publication d’ouvrages pertinents complétait le système de connaissances sur la culture équestre.

Depuis les hiéroglyphes d’il y a des milliers d’années jusqu’au développement conjoint des civilisations nomades et agricoles, du développement vigoureux de la dynastie Han jusqu’à l’apogée historique de la danse équestre sous la dynastie Tang, la culture équestre chinoise a galopé avec le développement de la société et les progrès de la culture, Il a également été accompagné de l’esprit du cheval qui se transmet jusqu’à nos jours depuis que nos ancêtres ont conquis et transformé la nature.

Une légende commerciale millénaire{{}}

Historiquement, en raison de l’environnement naturel et des conditions climatiques, les régions du nord et de l’ouest de la Chine ont toujours compté sur l’élevage comme principale méthode de production et disposent d’avantages uniques en matière d’élevage et de domestication des chevaux. Ces zones géographiques sont sèches et sans pluie toute l’année. Les nomades locaux mangent principalement de la viande et boivent du lait, et il existe une demande potentielle de thé qui a pour fonction de soulager la graisse, de faciliter la digestion, de produire des fluides corporels et d’étancher la soif.

La région du sud a une longue histoire de plantation d’arbres à thé. La production de thé s’est développée à grande échelle sous la dynastie Tang, et les zones de production de thé ont continué à se développer à Yiling, Badong et dans d’autres endroits proches du Qinghai, Plateau du Tibet. La taxe sur le thé est devenue un enjeu national important.

Pour les zones agricoles, les chevaux constituent non seulement une force animale très importante pour la production agricole, mais aussi la principale force de transport. Plus important encore, dans l’histoire, la quantité et la qualité des chevaux étaient directement liées à l’issue des guerres. Cependant, pour diverses raisons telles que le climat et les conditions géographiques, la plupart des régions des plaines centrales n’étaient pas adaptées à l’élevage de chevaux.

Le développement de la production de thé, la demande potentielle de thé de la part des populations nomades et la demande particulière de chevaux dans les plaines centrales, ont fourni des conditions objectives extrêmement importantes pour l’essor du commerce mutuel des chevaux et du thé.

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L’ancienne auberge Tea Horse dans la vieille ville de Shangli, Ya’an, Sichuan, Chine. (Source de l’image : Visuel Chine)

Alors que les échanges économiques et culturels entre les plaines centrales et les zones frontalières devenaient de plus en plus fréquents, la dynastie Sui avait déjà créé une agence spécifiquement chargée de gérer les marchés organisés mutuellement : la supervision mutuelle des marchés. Avec l’approfondissement des échanges entre les différents groupes ethniques, les peuples nomades ont progressivement pris conscience des effets particuliers du thé et le commerce lié des chevaux et du thé a commencé.

Dans les « Fengshi Hearing and Seeing Notes » compilées par Feng Yan de la dynastie Tang, il est dit que la coutume de boire du thé « sortait au-delà de la Grande Muraille » et que « les Ouïghours sont venus dans la dynastie, ont conduit des chevaux célèbres et sont rentrés chez eux après avoir commercé avec le thé’.

Lorsque la dynastie des Song du Nord fut établie, les Khitans avaient déjà établi la dynastie Liao dans le nord. Par la suite, les membres du parti se sont soulevés et ont établi le régime Xixia. Sous la dynastie des Song du Nord, les terres propices à l’élevage de chevaux ont fortement diminué et les chevaux de guerre étaient rares. La dynastie Song avait une grande demande en chevaux de guerre. A cette époque, les tribus Tubo, riches en chevaux de guerre et ayant un besoin urgent de thé, entrèrent dans le champ de vision de la dynastie Song. La dynastie des Song du Nord attachait une grande importance au commerce du thé et des chevaux avec Tubo. Le commerce du cheval de thé entre la dynastie des Song du Nord et le Tibet a toujours occupé une position dominante. La dynastie des Song du Sud a encore élargi la portée du commerce du thé et des chevaux. Non seulement elle a ouvert des marchés de commerce du thé et des chevaux dans la région occidentale, mais elle a également acheté des chevaux de guerre dans le sud-ouest. Le système commercial mutuel de chevaux de thé de la dynastie Song a eu un impact profond sur les générations suivantes, et certains systèmes étaient encore utilisés sous la dynastie Qing.

Kaiyuan est la ville routière la plus septentrionale de la Grande Muraille de la dynastie Ming. Elle est située sur la rive est du cours moyen de la rivière Liaohe et à l’extrémité nord du Liaodong. La Grande Muraille est-ouest rencontre la rivière Liaohe nord-sud.

Afin d’atténuer la pénurie de chevaux, la dynastie Ming a acheté un grand nombre de chevaux aux tribus mongoles et Jurchen. Elle a également adopté le système d’hommage « les récompenses sont supérieures à l’hommage », pour inciter les tribus Jurchen et mongoles à se rendre et à venir à Pékin pour rendre hommage aux chevaux. La dynastie Ming a établi des marchés aux chevaux à Guangning et à Kaiyuan, qui étaient principalement des marchés de commerce de chevaux. Il était stipulé que se rendre au marché ne nécessitait pas de se rendre dans la capitale.

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Ruines du marché de Hongmenkou Ma de la Grande Muraille de la dynastie Ming. (Capture d’écran du documentaire Hebei TV)

Les échanges sur les marchés aux chevaux sont souvent dirigés en personne par les dirigeants de divers ministères, allant de quelques personnes à des centaines ou des milliers de personnes. Avec la prospérité du commerce du marché aux chevaux, le marché aux chevaux de la région de Kaiyuan a ajouté le marché aux chevaux tatar de Xin’anguan aux marchés d’origine de Guangshun Guanma et de Zhenbei Guanma, s’étendant à « trois cols et trois villes », il a été ajouté à Qingheguan, atteignant « quatre cols et quatre villes ». L’expansion de l’échelle des transactions a grandement favorisé les échanges et l’intégration des différents groupes ethniques.

Au début, les marchés aux chevaux étaient tous des marchés officiels mis en place par le gouvernement. Avec les besoins du commerce et des échanges, les marchés officiels rigides ne pouvaient plus répondre aux besoins des gens, c’est pourquoi un marché privé – un marché civil – a été formé. Le marché civil est situé à l’extérieur de la porte sud de la ville de Kaiyuan, où le commerce a lieu tous les jours, ce qui le rend pratique et flexible. Les articles échangés sur le marché civil sont divers et concernent tous les aspects de la production et de la vie. On y trouve non seulement des chevaux, des bovins et des moutons, mais aussi divers produits sauvages, du sel, de la ferronnerie, des outils de production, etc. Le commerce du marché aux chevaux a aidé Kaiyuan Sanwanwei à devenir l’un des trois principaux centres de fusion du fer de la dynastie Ming, ce qui a eu un impact énorme et de grande envergure sur les zones frontalières.

Le commerce du cheval de thé au début de la dynastie Qing suivait essentiellement le système de la dynastie Ming. Au début de la dynastie Qing, le commerce du cheval de thé était relativement actif dans la région du nord-ouest. Pendant la période Kangxi, à la demande du Dalaï Lama, la dynastie Qing a approuvé la création de marchés de thé et de chevaux du Yunnan-Tibet à Beishengzhou (aujourd’hui Yongsheng), à Zhongdian et dans d’autres endroits du Yunnan. Plus tard, Heqing, Lijiang et d’autres lieux ont été ajoutés aux lieux d’échanges mutuels. À la fin de la dynastie Qing, Lanzhou est devenue le centre de distribution du thé dans le commerce national du cheval de thé.

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L’attraction touristique de l’ancienne route du thé et des chevaux dans la ville de Pu’er, province du Yunnan. (Source de l’image : Visuel Chine)

[Addenda – Pu’er (chinois : 普洱市 ; pinyin : pǔ’ěr shì) est une ville de la province du Yunnan en Chine. Son ancien nom de Simao (思茅, Sīmáo) a été officiellement remplacé le 8 avril 2007 par celui du thé particulièrement renommé dont cette ville est le marché depuis l’Antiquité, le pu-erh, produit dans la région voisine de Xishuangbanna[2] , reprenant ainsi le nom qui avait été le sien avant 1950

Pu’er

Localisation de la ville-préfecture de Pu’er (en jaune) sur la carte du Yunnan - Géolocalisation sur la carte : Chine – Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pu%27er ]

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A mesure que la dynastie Qing relâchait progressivement son contrôle sur le commerce du thé et des chevaux, le commerce du thé et des chevaux, une forme de troc qui avait longtemps été contrôlée par l’État et dont les principaux objets commerciaux étaient le thé et les chevaux, s’est progressivement transformé en un marché plus riche avec une grande variété d’objets et de formes de commerce plus flexibles.{{}}

Les images colorées de la culture équestre de divers groupes ethniques

Il y a des chevaux mongols au nord de la Chine, des chevaux tibétains et des chevaux du Xinjiang à l’ouest, et des chevaux du Sichuan et des chevaux du Yunnan au sud. Ces chevaux sont principalement produits dans le nord-est de la Chine, en Mongolie intérieure, au Xinjiang, au Tibet et dans les régions adjacentes. Ils sont fondamentalement cohérents avec la « ceinture de transmission culturelle en demi-lune » proposée par les universitaires et constituent également le « Cercle culturel du cheval » de Chine.

Les chevaux mongols sont l’une des races de chevaux les plus anciennes de Chine et même du monde. Ils sont principalement produits dans les prairies de la Mongolie intérieure. Ils ont été domestiqués par les groupes ethniques du nord de la Chine il y a quatre à cinq mille ans et sont aujourd’hui principalement élevés et distribués dans le nord de la Chine, le nord-est de la Chine et le nord-ouest de la Chine.

Les Mongols sont connus comme le « peuple du cheval ». Les chevaux jouent un rôle important dans leur vie, dans le travail de production, les opérations de marche, la vie sociale, les coutumes sacrificielles, la littérature et l’art. Le festival Naadam est un événement sportif et de divertissement pour le peuple mongol, et les courses de chevaux attirent beaucoup d’attention et de participation. Lors de cette convention, la « poésie de course » est récitée pour féliciter le cheval et le cavalier vainqueurs.

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Courses de chevaux pendant le festival Naadam, une fête traditionnelle mongole. (Source de l’image : Visuel Chine)

La culture du cheval mongol a été clairement démontrée dans les chansons folkloriques, et les chevaux sont un thème éternel dans les chansons folkloriques mongoles. Les Mongols vivent à cheval dans la mélodie du Morin Fhuur, ils louent le cheval et expriment leurs émotions, formant ainsi une culture équestre unique.

Les chevaux kazakhs sont produits au Xinjiang et constituent également une race de chevaux des prairies. Aujourd’hui, la préfecture autonome kazakhe d’Ili est le royaume de Wusun dans les régions occidentales de la dynastie Han. Il y a deux mille ans, sous la dynastie des Han occidentaux, l’empereur Wu de la dynastie Han envoya Zhang Qian trois fois dans les régions occidentales à la recherche de bons chevaux. Les chevaux qu’il obtint pourraient être les prédécesseurs des chevaux kazakhs. Au milieu de la dynastie Tang, les Ouïghours vendaient des chevaux à la dynastie Tang, jusqu’à 100.000 chevaux par an. Selon des recherches menées par des scientifiques, beaucoup d’entre eux appartiennent à des chevaux kazakhs.

La plupart des races de chevaux du nord-ouest de la Chine ont des liens de sang avec les chevaux kazakhs. Le célèbre « Tianma » est produit dans la région de Yili, dans la préfecture d’Ili, au Xinjiang, et est également appelé cheval Yili. C’est un hybride basé sur le cheval kazakh.

De nombreux groupes ethniques du Xinjiang aiment également les chevaux et savent les monter. Le peuple kazakh ne peut pas se passer de chevaux toute l’année. Les chevaux sont leur principal outil et source de production de pâturage et de vie.

Les principales fêtes traditionnelles du peuple kazakh, notamment le festival de Nowruz, le festival de Roz et le festival de Corban, organisent souvent des célébrations animées, et les courses de chevaux, la détention de moutons, la prospection pour les filles, la lutte luttes entre les chevaux et d’autres activités de compétition équestre sont les plus populaires.

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Le concours traditionnel kazakh d’élevage de moutons. (Source de l’image : Visuel Chine)

Le proverbe chinois « Les héros comptent sur les chevaux et les oiseaux comptent sur les ailes » reflète pleinement l’importance que les Kazakhs attachent aux chevaux. Ils connaissent la nature équestre et considèrent les chevaux comme une richesse dans la vie. La réunion des courses de chevaux qu’ils organisent est également un grand événement pour sélectionner de bons chevaux, et les courses de chevaux qui remporteront la première place recevront la plus haute récompense.

L’équitation est la première compétence maîtrisée par les Kirghizes. Lorsqu’un enfant naît, les parents le laissent monter à cheval et marcher pendant un moment sous la protection de la mère. Les aînés kirghizes disent souvent qu’il existe « quatre trésors inestimables » : une belle fille, un aigle capable de chasser, un cheval rapide et un chien de chasse capable de chasser. Cela souligne la place importante des chevaux dans la vie culturelle du peuple kirghize.

Les Kirghizes dépendent des chevaux pour diverses activités telles que l’agriculture, se déplacer pour rendre visite à des parents et amis, garder des moutons, garder des chameaux, chasser, faire la guerre en se déplaçant pour changer de lieu.

Le Festival du lait de jument est une fête importante pour le peuple kirghize. Ce jour-là, les gens organisent des compétitions sportives traditionnelles pour prier pour « des seaux remplis de lait de jument, des prairies pleines de bétail et une vie heureuse ». Les sports équestres kirghizes comprennent des jeux équestres et des compétitions hippiques qui constituent une partie importante de la culture équestre kirghize.

Les chevaux tibétains sont des chevaux de plateau typiques qui tolèrent une alimentation brute : ils ont une forte résistance aux maladies et une bonne endurance. Ils peuvent travailler sur des plateaux d’une altitude de 3.500 à 4.000 mètres, voire 5.000 mètres. Monter et transporter dans les montagnes, avec un rythme est agile et régulier, c’est l’un des principaux moyens de transport du peuple tibétain.

Le cheval Hequ, qui est étroitement apparenté au cheval tibétain, est également une ancienne race de cheval locale et a souvent été utilisé comme hommage au cours de l’histoire. Il est originaire de la jonction des provinces du Gansu, du Qinghai et du Sichuan et du premier méandre du cours supérieur du fleuve Jaune, d’où son nom.

　　La culture équestre tibétaine est colorée et les Tibétains ont une longue histoire de compétences équestres. Les courses de chevaux sont l’un des sports les plus appréciés et les plus répandus du peuple tibétain.

Les courses de chevaux tibétaines ont une longue histoire. En plus des courses de chevaux organisées à des moments et dans des lieux spécifiques, il y aura également des activités liées aux chevaux telles que les courses, le culte ou les louanges lors des bénédictions du Nouvel An, lors des mariages, des cérémonies, des longs voyages et d’autres activités.

Le peuple Yugu vivant dans les méandres Hexi a également une affection particulière pour les chevaux et il organise chaque année une très grande réunion de courses de chevaux. Le Jockey Club est rempli d’une ambiance festive, attirant des spectateurs de partout.

L’intégration du divertissement, des coutumes populaires et de la vie{{}}

La culture chinoise du cheval contient des connotations riches et profondes et des formes colorées. Les compétences équestres démontrent la sagesse des peuples anciens dans la domestication des chevaux ; l’équipement équestre démontre le talent créatif humain ; les chevaux et la guerre reflètent la stratégie militaire ; la politique du cheval reflète la gestion de l’industrie du cheval par les dynasties : une amitié profonde et les chevaux dans les œuvres littéraires et artistiques montrent le charme de l’art autour des chevaux...

Parmi les activités de divertissement, les courses hippiques, le cirque, le polo, etc… se présentent sous des formes diverses et ont une longue histoire. Ils ne sont pas seulement un moyen pour les gens de se divertir, mais aussi un canal important pour afficher leurs compétences et transmettre leur culture.

Selon les données archéologiques, les premiers à avoir inventé l’équitation en Chine devraient être les nomades vivant dans le nord. Il existe un grand nombre de peintures rupestres sculptées par des ancêtres primitifs sur les gorges et les falaises de la vallée Hexi au Gansu. Ces peintures rupestres contiennent un grand nombre d’images de chasse et de combat d’ancêtres anciens, notamment des scènes de chevaliers tirant leur arc pour chasser.

Selon des recherches préliminaires menées par des archéologues, on pense que ces peintures rupestres ont été sculptées il y a entre 4 000 et 10 000 ans et seraient des reliques culturelles des ancêtres d’anciennes tribus nomades. Dans les années 1970, les archéologues ont découvert une « boucle en cuivre de chasse au lapin de cavalerie » dans le cercueil en pierre supérieur n° 3 de la culture Xiajiadian à Nanshan, comté de Ningcheng, Ligue de Zhaowuda, dans l’est de la Mongolie intérieure, dans lequel un lapin qui court est projeté devant un cheval, qui est une forme vivante d’un chasseur de lapins

Les chevaux de dressage et la conduite de calèches sont également apparus dans les anciennes plaines centrales sous les dynasties Shang et Zhou. L’un des six arts de l’époque était le « Yu » (l’habileté de conduire une calèche). Les chars tirés par des chevaux étaient également utilisés au combat durant cette période.

Les courses de chevaux étaient très populaires à la période du printemps et de l’automne. « Documents historiques : Biographie de Sun Tzu Wu Qi » raconte l’histoire de Sun Bin aidant Tian Ji à remporter la course de chevaux : le roi Wei de Qi et le ministre Tian Ji ont couru en premier, ils avaient chacun trois chevaux, en haut, au milieu et en bas. À la suite du match, Tian Ji a perdu trois matchs sur trois. Plus tard, le stratège militaire Sun Bin a eu une idée et a ajusté l’ordre des chevaux pendant la compétition : le cheval supérieur contre le cheval du milieu, le cheval du milieu contre le cheval inférieur et le cheval inférieur contre le cheval supérieur. Le résultat fut une défaite, deux victoires et la victoire au classement général. L’histoire des « courses de chevaux de Tian Ji » est largement diffusée en Chine. Bien que les courses de chevaux, à cette époque, n’étaient qu’une activité de jeu et de divertissement pour les princes et les nobles, cela montre que les gens de cette époque possédaient de grandes compétences dans le contrôle des chevaux.

Parmi les jeux de ballon de la Chine ancienne, outre le football-Cuju, il existe un autre sport étroitement lié à l’équitation, qui est le polo, appelé « juju ». Le polo est un sport de compétition dans lequel on monte à cheval et frappe la balle avec un club. Le polo s’est grandement développé de la dynastie Han à l’ensemble des dynasties Sui et Tang, et était particulièrement populaire sous la dynastie Tang. Le polo a des exigences très élevées en matière de compétences d’équitation. Les participants doivent avoir des compétences d’équitation très qualifiées et travailler en étroite collaboration pour gagner. Le polo n’est donc pas seulement un jeu de ballon, mais aussi une compétition d’équitation qui teste les compétences du cavalier.

En outre, le cirque était également l’un des contenus principaux des 100 activités d’opéra à cette époque, et les spectacles de cirque étaient passionnants. D’innombrables artistes ont laissé des représentations exquises du cirque de cette époque sur les pierres à portraits, les peintures murales et les peintures sur laque. Parmi les peintures murales à grande échelle en 100 actes découvertes à Yinan, dans la province du Shandong, il y a une scène d’enfants exécutant un cirque, ce qui est très excitant.

Sous les dynasties Ming et Qing, outre les civils, les spectacles équestres constituaient également une partie importante de l’entraînement militaire. Le peintre de la cour Qing, Lang Shining, a peint un « tableau équestre » qui reflétait l’entraînement équestre de l’armée Qing, montrant divers aspects des Qing avec l’entraînement équestre de l’armée. Diverses actions et méthodes sont très fascinantes.

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Parchemin du « Tableau équestre », peint par Qianlong de la dynastie Qing, Lang Shining et d’autres. (Source de l’image : Musée du Palais)

Après la fondation de la Nouvelle Chine, les sports équestres ont retenu l’attention. À la fin des années 1950, le pays décida de lancer les sports équestres à l’échelle nationale. L’Association équestre chinoise a été créée en 1979 et a rejoint la Fédération équestre internationale en 1982. Depuis 1983, les compétitions équestres nationales, les épreuves olympiques (dressage, course d’obstacles et épreuve de trois jours) et les sports équestres folkloriques ethniques ont repris.

En 1900, la première compétition équestre internationale a eu lieu aux deuxièmes Jeux Olympiques de Paris, en France, avec des courses de chevaux, des obstacles plus larges et des obstacles plus hauts. Douze ans plus tard, les cinquièmes Jeux Olympiques organisèrent à nouveau des compétitions équestres, avec le nombre d’épreuves porté à cinq, dont les courses de chevaux (individuelles et par équipes), l’équitation d’officiers (individuelles et par équipes) et le dressage individuel. Depuis, l’équitation est devenue une épreuve officielle des Jeux Olympiques. Après plusieurs changements, ce n’est qu’aux IXes Jeux Olympiques que les éléments de compétition furent officiellement déterminés et sont poursuivis jusqu’à ce jour. Les épreuves équestres des Jeux Olympiques modernes sont constituées de dressage, d’épreuves de trois jours et d’épreuves d’obstacles, avec des épreuves par équipe et des épreuves individuelles. En 1921, la Fédération équestre internationale a été créée et officiellement reconnue par le Comité international olympique. Elle compte actuellement plus de 70 pays membres.

Contrairement aux Jeux Olympiques, les sports traditionnels des minorités ethniques de mon pays [Chine] deviendront plus colorés. Les épreuves hippiques des 12e Jeux nationaux de sports traditionnels ethniques actuellement organisés sont divisées en deux catégories : les épreuves de compétition et les épreuves de performance, y compris les courses de chevaux ethniques, les courses de chevaux et le tir à l’arc, les courses de chevaux et le Hada, et le diathlon individuel. Il existe trois catégories d’épreuves de performance : compétitives, techniques et complètes.

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Les 12èmes Jeux nationaux des sports traditionnels ethniques commenceront bientôt. (Source de l’image : Quotidien de la nationalité chinoise)

En 1986, l’équitation a été inscrite pour la première fois comme épreuve de compétition lors des troisièmes Jeux nationaux de sports traditionnels ethniques organisés au Xinjiang. Depuis lors, lors des Jeux nationaux de sports traditionnels ethniques, les épreuves de courses de chevaux ont été continuellement enrichies et développées, notamment les courses de chevaux de vitesse, la marche à cheval, le tir hippique, le tir à l’arc hippique, les courses de chevaux et la sélection Hada, etc. La compétition équestre nationale est non seulement hautement professionnelle et ornementale, mais elle reçoit également l’attention et l’amour enthousiastes du public, et continue de briller avec un nouvel éclat lors des événements sportifs traditionnels des minorités ethniques.

Dans le folklore, l’image du dragon et du cheval est pleine de charme mystérieux et est associée à de nombreux lieux d’intérêt. Et les légendes comme « La Dame à tête de cheval » ne sont pas seulement légendaires, mais expriment également le désir des gens d’une vie meilleure.

De l’ancienne coutume de l’équitation aux mariages forcés, en passant par les coutumes de mariage unique, jusqu’à l’élément cheval dans les cérémonies funéraires, la culture du cheval imprègne tous les recoins de la vie des gens. L’évolution des vêtements est également étroitement liée aux chevaux. « L’équitation et le tir Hufu » apportent non seulement des changements dans la forme vestimentaire, mais constituent également un témoignage puissant d’échange et d’intégration culturels.

À l’époque actuelle, bien que les chevaux aient progressivement disparu de l’arène agricole et militaire, l’industrie équestre de la nouvelle ère est en plein essor et la culture équestre chinoise est durable. C’est un trésor de l’excellente culture traditionnelle de la nation chinoise et un symbole de notre esprit national.

Comme l’a déclaré le secrétaire général Xi Jinping  : « La construction d’un pays nécessite l’élan de milliers de chevaux au galop, la promotion du développement nécessite l’énergie d’une accélération, et le fait d’être pionnier et innovateur nécessite le courage de prendre les devants.

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Le cheval au galop de Xu Beihong. (Source photo : Actualités culturelles chinoises)

La culture équestre chinoise est comme un torrent sans fin, qui traverse l’histoire et relie les temps anciens et modernes. C’est la fierté de la nation chinoise et un élément important de la lignée nationale. Dans le futur, nous devons transmettre et perpétuer cette excellente culture, afin que la culture équestre chinoise puisse briller encore plus dans la nouvelle ère.{{}}

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　　Planification | Yan Yong - 　　Producteur | Wang Xiangyu - 　　Editeur | Cai Liyuan - 　　Production | (Editeur : Ma Yong )

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10 juillet 2024 — 汉朝时，马文化蓬勃兴起。汉武帝钟情于马，引进优良马种，大规模饲养军马。马匹不但用于军事，还在农耕领域发挥效用。马镫的发明和普及，不仅用于军事，马上运动 ... - 10 juil. 2024 - Pendant la dynastie Han, la culture du cheval a prospéré. L’empereur Wudi de Han aimait les chevaux, introduisit d’excellentes races de chevaux et éleva des chevaux militaires à grande échelle. Les chevaux ne sont pas seulement utilisés dans l’armée, mais aussi dans le domaine de l’agriculture. L’invention et la vulgarisation des harnachements et étriers ne sont pas seulement utilisés dans l’armée, mais aussi dans les sports...

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Source de l’article traduit : http://www.mzb.com.cn/html/report/24070977-1.htm

Les Chinois semblent avoir des émotions différentes envers les chevaux et envers les autres animaux. Dès l’Antiquité, les chevaux existaient comme outil pour aider les divinités… Comme les chevaux sont étroitement liés à la vie humaine, à l’armée et à d’autres pratiques sociales, la conscience des gens pour l’amour des chevaux évolua vers la déification des chevaux. La virilité pleine d’entrain et d’énergie, qu’incarne le cheval, semblable à celle du dragon ; ainsi le cheval devint le substitut du dragon dans le domaine de la perception de la réalité. {{}}

Lorsque la création littéraire s’est développée dans la société, l’image du cheval a inspiré sans fin les lettrés et les poètes. De la dynastie pré-Qin à la dynastie Qing, d’innombrables poèmes ont laissé la trace de la figure vigoureuse du « cheval » et, en dehors de la littérature, l’image du cheval : sautant « du papier » dans les « maisons des gens ordinaires », les ustensiles et objets en forme de cheval sont progressivement devenus des ornements courants dans les maisons des princes, des nobles et des lettrés.

Parmi les nombreuses reliques culturelles découvertes au cours des générations ultérieures, les sculptures en forme de cheval peuvent également être trouvées partout. Des légendes impériales aux gens ordinaires, de la politique à l’esthétique, l’image du cheval a connu de nombreux changements historiques dans le domaine culturel...

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Le totem du dragon et du cheval symbolise la royauté - le cheval remplace le dragon{{}}

Les anciens croyaient que les chevaux avaient la capacité de prédire la volonté de Dieu. Dès l’Antiquité, les chevaux existaient comme un outil pour aider les divinités. Dans la légende, les chevaux ont pour fonction d’assister les dieux. D’une part, les gens croient que les chevaux sont des animaux sacrés et intelligents dotés d’une divinité, et d’autre part, ils adorent le dieu cheval, à mesure que les chevaux se rapprochent de la production humaine, de la vie courante, chez les militaires et dans d’autres pratiques sociales,

Dans ce cadre, l’importance des chevaux est de plus en plus découverte et reconnue par les populations. La conscience des gens de l’amour et d’aimer les chevaux se développe jusque vers la déification des chevaux, et des activités d’adoration des dieux des chevaux ont alors émergé.

Depuis la dynastie Zhou, il existe des rituels pour vénérer Mazu aux quatre saisons. Les anciens ont étendu le culte primitif des ancêtres au dieu cheval, intégrant le culte des ancêtres au culte des animaux, et les chevaux sont progressivement devenus comme sacrés. Plus tard, les gens ont trouvé l’image du dragon imaginaire dans l’image du cheval. ’Lu Shi Chun Qiu’ (faveur originale) a déclaré : ’La beauté du cheval est le cheval du dragon vert, la chevauchée de l’héritage du peuple’. Je pense que le cheval a un grand effet sur l’esprit et qu’il est spirituel. Son animal bien-aimé ne peut être égalé que par le dragon dans le ciel.

Le « dragon » a toujours été une créature planant dans le ciel, dans l’esprit des anciens. Il a le pouvoir magique de chasser les nuages, de répandre la pluie et de contrôler les plans d’eau. Mais pour la plupart des lettrés, les dragons sont, après tout, des objets imaginaires, très éloignés de la vie quotidienne. L’une des raisons importantes de la persistance des peuples anciens à adorer le dragon est que cela produit un effet de reconnaissance sur le cheval qui est habitué à l’expérience et la revit constamment.

La combinaison de la culture du cheval et de la culture du dragon, a donné naissance à l’image du dragon et du cheval. Dans les générations suivantes, il y avait un dicton selon lequel « lorsqu’il vole dans le ciel, c’est un dragon, et lorsqu’il marche sur le sol, c’est un cheval ». ’ La combinaison du dragon et du cheval a ajouté au mystère du cheval, et le cheval est progressivement devenu de plus en plus mystérieux. Il est passé d’une chose ordinaire, soutenant les divinités au statut de Dieu. Dans l’ancienne théorie de l’induction entre le ciel et l’homme, les anciens croyaient que le ciel répondrait aux gens s’ils étaient vertueux. Les chevaux agissaient souvent comme des messagers des dieux, représentant les dieux pour prédire la fortune au monde – Li Yun ’.

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Aux yeux des anciens, le cheval est devenu l’incarnation de Dieu. Il était capable d’accepter la volonté de Dieu et l’induction de la vertu humaine. C’était une chose divinisée qui pouvait montrer le bien et le mal du monde. Dans la vision du monde, le cheval dragon a été assimilé à la tige du soleil pur. Il est synonyme de robustesse, de luminosité, d’enthousiasme et d’ascension.

Le ’Livre des changements’ dit simplement ’sec comme un cheval’. Il symbolise la signification du monarque, de Dieu, de la majesté, de la vitalité, de la santé, de la loyauté, etc., et il est devenu un représentant de presque tous les excellents caractères et esprit. 　　

[Addenda - ’Livre des changements’ ou Yi Jing (chinois simplifié : 易经 ; chinois traditionnel : 易經 ; pinyin : yì jīng ; Wade : i4ching1, également orthographié Yi King ou Yi-King), est un des classiques chinois, dont le titre peut se traduire par « Livre des mutations », « Classique des changements » ou « Canon des mutations » ou encore « Livre des transformations ». Il s’agit à l’origine d’un traité de divination, appelé Zhou Yi (chinois : 周易 ; pinyin : Zhōu Yì ; Wade : Chou1 I4 ; litt. « Mutations des Zhou ») dont l’élaboration date du Ier millénaire av. J.-C. Il repose sur 8 trigrammes et 64 hexagrammes, constitués respectivement de 3 et 6 lignes brisées ou continues dont il donne un commentaire bref qui laisse la place à de nombreuses interprétations. Le tirage divinatoire de l’un d’eux est obtenu avec des tiges d’achillée millefeuille, en les comptant d’une certaine manière. Dans le courant de la seconde moitié du Ier millénaire av. J.-C. plusieurs commentaires, dont le plus célèbre est le « Grand commentaire », Da Zhuan (ou Xi ci), le dotent de nouveaux niveaux de lecture et le transforment en traité cosmologique sur les mutations, les évolutions de la forme des hexagrammes et de leurs lignes renvoyant à la mutabilité des éléments constituant le monde, les interprétations du Yi Jing prenant alors une dimension philosophique. Dès lors le Yi Jing, premier des cinq classiques, occupe une place fondamentale dans l’histoire de la pensée chinoise et peut être considéré comme un traité unique en son genre dont la finalité est de décrire les états du monde et leurs évolutions. Il fait l’objet de nombreuses relectures durant les différentes phases de l’histoire chinoise, qui renouvellent son interprétation.

Le Yi Jing est l’un des principaux classiques chinois, et l’un des ouvrages les plus importants dans l’histoire de la culture chinoise. Il a suscité de nombreuses réflexions, sa symbolique (trigrammes, hexagrammes, diagrammes) a exercé une grande influence et se retrouve couramment dans la société chinoise. Ce classique a également une grande importance dans les pays voisins de la Chine qui ont reçu son influence (Corée, Japon, Vietnam). Il a également reçu un écho en Occident, en dehors des milieux académiques, notamment dans les milieux artistiques et chez les personnes intéressées par l’ésotérisme… - Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yi_Jing ]

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Dans les temps anciens, en tant que symbole des totems, le totem de “Huayi” à l’est était “Oiseau Phénix”, tandis qu’à l’ouest, le clan “Zhuxia” utilisait comme totem le “Cheval Dragon”.

La légende raconte que le dragon et le cheval sont tous deux des incarnations de l’Empereur Jaune, et le grand-père de l’Empereur jaune est l’Empereur Jaune. L’ancien dicton “L’empereur jaune est entouré de quatre côtés”, c’est-à-dire “La forme divine de l’Empereur jaune, quatre visages”, est les quatre totems vénérés par les descendants de l’Empereur Jaune : dragon, cheval, ours et tortue.

Par conséquent, la forme divine de cette “communauté de dragons et de chevaux” est le totem vénéré par la famille de l’Empereur Jaune, qui s’appelle “ailes de dragon et corps de cheval, et l’Empereur jaune monte dessus et devient immortel.’

Par conséquent, la masculinité vigoureuse et vigoureuse du cheval, semblable au dragon, compensait efficacement les lacunes des attentes des anciens vis-à-vis du dragon, et le cheval est devenu un substitut du dragon dans le domaine de la perception de la réalité, et le “dragon et l’esprit du cheval” est la représentation la plus appropriée des deux.

La nation chinoise s’est toujours targuée d’être les ’descendants du dragon’ et a toujours incarné le grand esprit du peuple chinois avec ”l’esprit du dragon et du cheval’.

Source : https://www.chinafolklore.org/web/index.php?NewsID=12306

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Observer les chevaux parmi les anciennes reliques culturelles chinoises{{}}

Auteur : Yang Hong | China Folklore Network Date de sortie : 2014-02-03 Nombre de clics : 13074

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Cheval de bronze Shang découvert à Ganquan, Shaanxi

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Cheval en bronze du tombeau de Leitai à Wuwei, province du Gansu, communément appelé « cheval marchant sur des hirondelles volantes »

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L’image de Pégase sur la tombe murale de la période des Seize Royaumes à Dingjiazha, Jiuquan, Gansu

Le beau cheval a toujours été aimé du peuple chinois. L’équitation a une longue histoire dans les temps anciens. Parmi les vestiges des dynasties Yin et Shang du Henan, du Shaanxi, du Shandong et d’autres endroits, on a découvert des calèches en bois à deux roues et des chevaux de trait de cette époque. Malheureusement, seuls les squelettes des chevaux ont été conservés, ce qui rend leur observation difficile pour leur aspect d’origine.

Heureusement, deux chevaux en bronze coulés sous la dynastie Shang ont été trouvés à Ganquan, dans la province du Shaanxi, nous permettant de voir l’apparence des chevaux Shang - corps court, cou épais, membres courts et grandes oreilles, et pas très beaux en apparence. Les chevaux de bronze découverts dans les dynasties Zhou occidentales et orientales ont la même forme que les chevaux Ganquan Shang, et ils sont tous moulés dans une posture rigide, debout à quatre pattes, reflétant les caractéristiques physiques des chevaux de la période pré-Qin. Seuls les quatre chevaux de bronze volés et exhumés du mausolée Zhao Wang à Handan, en posture de marche, semblent vivants.

Les caractéristiques physiques des sculptures de chevaux de la dynastie Qin sont les mêmes que celles de la période pré-Qin. Cela se reflète clairement dans les chevaux en terre cuite découverts dans la fosse des guerriers et des chevaux en terre cuite du mausolée de Qin Shihuang, qui ont été façonnés selon les proportions de vrais chevaux. Parmi les deux chars et chevaux en bronze découverts dans le mausolée de Qin Shihuang, le cheval de bronze ne fait que la moitié de la taille d’un vrai cheval et sa fabrication est bien plus exquise que celle du cheval en poterie, mais ses caractéristiques s’expriment pleinement, physiques restent les mêmes que celles du cheval en poterie. Ce dernier et le cheval de bronze sont respectivement recouverts de marron et de blanc. Cela peut indiquer que la couleur du pelage des chevaux ordinaires de la dynastie Qin était marron, tandis que les célèbres chevaux conduits par l’empereur étaient blancs. On dit que parmi les chevaux appartenant à Qin Shihuang, il y a des noms tels que White Rabbit et Bendian, qui pourraient être les beaux chevaux blancs.

Les caractéristiques artistiques des chevaux au début de la dynastie des Han occidentaux sont encore similaires à celles de la dynastie pré-Qin à la dynastie Qin. Même les chevaux dans les grandes sculptures en pierre : « Le cheval piétinant les Huns » dans la tombe de Huo Qubing ont également de grandes têtes et des cous courts, tout en respectant le style de la posture corporelle traditionnelle consistant à se tenir à quatre pattes. Bien qu’on puisse le voir sur la petite sculpture en jade d’un immortel (homme à plumes) chevauchant un Pégase trouvée près du tombeau Pinling de l’empereur Zhaodi dans le Shaanxi en 1966, il y avait aussi des sculptures de chevaux montrant des postures de course sous la dynastie des Han occidentaux, mais le corps sa forme était encore courte et épaisse, sans l’apparence d’un cheval divin.

Source : https://www.chinafolklore.org/web/index.php?NewsID=12307

Référence de l’article : Quotidien du Peuple - Quotidien du Peuple 1er février 2014 10h15
[Rédacteur en charge de cet article : Si Wei]

De la « politique » à « l’esthétique » – Ma Gou allie élégance et vulgarité{{}}

Avec le développement de la société, l’image du cheval s’est également étendue des simples légendes aux œuvres littéraires. Parmi elles, dans le « Livre des Chants », le « cheval » est l’un des animaux les plus représentatifs parmi les bêtes, comme le montre le nombre de fois où le mot cheval est utilisé. Avec plus de 50 fois, Mabu possède le plus grand nombre de caractères chinois et le plus grand nombre d’utilisations parmi les bêtes.

[Addenda - Le livre de chants ou le Classique des vers (chinois simplifié : 诗经 ; chinois traditionnel : 詩經 ; pinyin : Shījīng ; Wade : Shih¹-ching¹ ; EFEO : Che king) s’est d’abord appelé les Poèmes, ou les Trois Cents Poèmes (chinois : 詩三百) puisqu’il compte trois cent cinq poèmes. Ce recueil est une anthologie rassemblant des textes qui vont du xie au ve siècle av. J.-C., provenant de la Plaine centrale (les royaumes occupant le nord et le sud de la vallée du fleuve Jaune), et est l’un des rares textes de l’Antiquité chinoise à avoir survécu à la destruction des livres opérée par l’empereur Qin Shi Huangdi après son accession au pouvoir en 221 av. J.-C. On y trouve les plus anciens exemples de la poésie chinoise1. Composition - Le Classique des vers contient 305 poèmes répartis en quatre catégories (Sishi 四始) … - Source ]

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À l’époque du « Livre des Chants », les chevaux étaient principalement utilisés pour être conduits, et la conduite des chevaux était principalement utilisée pour la chasse et certaines activités royales. Il y a dix batailles impliquant des chevaux dans le poème. C’est l’utilisation la plus importante et la plus originale des chevaux.

’Shuowen’ : ’Le cheval signifie colère et arts martiaux.’ - ’Livre de la dernière dynastie Han, Ma Yuan Zhuan’ : ’Le cheval est le fondement de l’armure et des soldats, et la grande utilité du pays.’ les chevaux étaient étroitement liés à la guerre dans les temps anciens.

En tant qu’œuvre littéraire, ’Le Livre des Chants’, le culte des chevaux de son auteur se reflète également dans ses chants répétés et ses descriptions des chevaux. Cela se reflète principalement dans l’utilisation intensive d’adjectifs pour décrire l’apparence, le mouvement, le son et le comportement du cheval. Grâce à la description tridimensionnelle complète des caractéristiques du cheval, la posture de course grande, puissante, forte et bonne du cheval est clairement visible sur la page.

Sous la dynastie des Zhou occidentaux, en raison d’une culture plus développée, les capacités cognitives des chevaux ont été grandement améliorées. Ce sens du culte s’exprimait de manière vivante à travers des descriptions écrites. Il exprimait également le goût esthétique des habitants de la dynastie Zhou qui considéraient la grandeur, la beauté et la force comme admirable.

Depuis que l’empereur Wu de la dynastie Han, ravi de ses réalisations, a introduit les chevaux au ‘sang de sueur de Dawan’, la tendance dominante de la culture équestre est progressivement passée du politique à l’esthétique. On raconte que l’empereur Wu de la dynastie Han a écrit un jour « La chanson de Tianma » : « Le Tianma vient à l’ouest, parcourt des milliers de kilomètres pour retourner vers les vertueux, hérite de l’inspiration des pays étrangers et patauge dans les sables mouvants jusqu’à conquérir tous les barbares.’

Le ’Shen Yi Jing - Zhong Huang Jing’, nommé d’après Dongfang Shuo He, a un jour exagéré l’expansion et le changement de valeur de l’observation des chevaux après le passage de la dynastie Han dans les régions occidentales. Aux yeux du peuple Han qui « voit la grandeur comme la beauté » et a une forte atmosphère spirituelle, le paysage exotique et étrange dégagé par « Tianma » ajoute une couleur grandiose et majestueuse au système d’image du cheval et au paysage culturel.

Après les dynasties Wei et Jin, les plaines centrales étaient en proie à des troubles et l’influence de la culture nomade du nord s’est intensifiée. L’admiration pour les arts martiaux s’exprime souvent dans des chants tels que « Le vieil homme est en difficulté et vise mille kilomètres » et « White Horse Pian » de Cao Zhi.

C’est précisément parce que l’image du cheval suscite l’enthousiasme de personnes ayant de nobles idéaux et de bienveillance pour servir le pays, conquérir l’armée et réaliser des exploits que sa valeur esthétique est de plus en plus découverte et médiatisée. ’Horse Présentation Table’ de Cao Zhi, ’Gaming Horse Shooting Ode’ de Fu Xuan, ’Horse’ de Guo Pu, etc., bien qu’il y ait des remarques occasionnelles sur le maître, elles révèlent quand même un esprit d’entreprise dans l’ensemble, qui reflète au moins la culture du cheval, la richesse de l’accumulation et la valorisation de la sensibilité esthétique des peuples contemporains.

La littérature équestre de la dynastie Tang était encore plus spectaculaire. Parmi les articles, ’Horse Theory’ de Han Yu est le meilleur, et parmi les poèmes se trouvent 23 ’Horse Poems’ de Li He. Le premier crie au plus haut degré les plaintes concernant des talents méconnus, tandis que le second montre les connotations complexes et riches de la culture du cheval sous de nombreux aspects. La tendance de la peinture de chevaux est également apparue et Du Fu a écrit avec émotion « Dan Qing Yin présenté au général Cao Ba », Du Fu et Gu Yun ont écrit un jour des poèmes faisant l’éloge de la peinture de chevaux de Han Qian. Yan Liben et d’autres de la dynastie Tang utilisaient souvent ce tableau comme titre, et Yuan Qi, Du Xunhe, Luo Yin, etc. le scandaient également. D’un autre côté, les chants des chevaux dans les dynasties du Sud et du Nord ont enrichi l’esprit héroïque riche et puissant du peuple Tang.

Tout comme les gens de la dynastie Tang déploraient que « personne n’apprécie les os d’un cheval, mais leurs oreilles sont vides et leurs chevaux s’envolent », les gens de la dynastie Song ont également déploré qu’« il n’y a pas de cheval de mille milles dans le monde, et il est difficile pour les gens d’atteindre la source à neuf directions’. On peut dire que le rêve de Bole Meng parmi les lettrés à travers les âges a atteint son apogée sous la dynastie des Yuan. Hao Jing a déploré le département de recrutement de talents du roi Yan Zhao à cette époque : « Mo a dit que Qi Ji peut parcourir des milliers de kilomètres, mais il ne valorise que l’or et non les talents, toujours exprimé de manière ordonnée jusqu’à Gong Zizhen de la dynastie Qing, comme ’Sao Ma Xing’ : ’Ne voyez-vous pas Taihang Dieu Ji conduire son char de sel, debout dans une bataille silencieuse de trois couleurs ?’

Le système de culture équestre reflète clairement la division et l’intégration des deux principaux niveaux d’élégance et de coutume dans la culture chinoise. Le cheval dans la culture élégante se reflète principalement dans les œuvres lyriques. Les individus de son groupe d’images sont influencés par les époques et les traditions, et présentent souvent des connotations relativement stables, le rôle initial de ton du prototype est souvent décisif.

La littérature équestre, qui était active dans la culture d’élite aux premiers stades de l’histoire littéraire, s’est progressivement sécularisée des Six Dynasties à la Dynastie Tang et a pénétré dans la littérature narrative. Cette tendance esthétique historique est indissociable de la croyance des gens dans la spiritualité et l’humanité de BMW.

La nature humaine et la divinité du cheval sont naturellement prises en compte et intégrées, émergeant de l’intérêt philosophique et de la culture des élites, et couplées à des facteurs liés à la culture Hu, elles sont pleines de vitalité et se transforment « en fleurs colorées » dans le domaine laïc.

Source : https://www.chinafolklore.org/web/index.php?NewsID=12306

Addenda - Qu’est-ce que la culture HU ? – Hu ( chinois :胡 ; pinyin : Hú ; Wade–Giles : Hu ; API : [xǔ] ) également Huren (胡人, « peuple Hu ») ou Huzu (胡族, « tribus Hu »), était un terme assez vague pour désigner les anciens barbares, à savoir les populations au-delà des plaines centrales , généralement au nord et à l’ouest du royaume Huaxia . Les Hu sont généralement des nomades à cheval ou à cheval. [ 2 ] - Selon Hill (2009) : « Le terme hu 胡 était utilisé pour désigner les populations chinoises non Han . Il est souvent traduit, de manière assez peu satisfaisante, par « barbare ». Bien qu’il ait parfois été utilisé de cette manière générale pour décrire les personnes d’origine non Han et qu’il ait eu les mêmes connotations négatives que le terme anglais, ce n’était pas toujours le cas. Le plus souvent, il était utilisé pour désigner les personnes, généralement d’apparence caucasienne ou partiellement caucasienne, vivant au nord et à l’ouest de la Chine. [ 3 ] - Les dynasties chinoises anciennes, comme la dynastie Shang et la dynastie Zhou , jusqu’à la période des Printemps et Automnes , vers 770 – vers 481 av. J.-C. [[ 1 ][ a ] ​​], relatent de nombreuses rencontres avec les tribus nomades des steppes du nord et d’autres tribus étrangères… » - Source

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Annexe - QI, QE, QC, QD : tout n’est donc qu’une histoire de Q ? - Écrit par Clarisse Watine - 25 mai 2020- Décryptage des tendances - Monde des grandes écoles et universités LE JOURNAL • N°91 • Mai 2020 -


Quotient intellectuel (QI), quotient émotionnel (QE), quotient de niveau de conscience (QC) et même quotient digital (QD) : autant de mesures qui ont la faveur des recruteurs pour détecter les meilleurs talents. Mais que désignent-ils vraiment ? Décryptage – Par Clarisse Watine {{}}

Le QI : une valeur sûre… qui décline{{}}

Tester son QI revient à évaluer sa logique, sa compréhension et son aptitude à l’analyse. Des qualités essentielles à tout bon manager. Le QI moyen oscillant autour de 100, sachez qu’à 130 vous serez considéré comme un surdoué. Mais pour passer à la case génie, il faudra pulvériser le score. Alors que le QI d’Einstein s’élevait à 160, Terence Tao, mathématicien australien titulaire de la médaille Fields culmine aujourd’hui à 230 ! Une exception dans un monde où l’effet de Flynn (selon lequel le QI moyen ne cesse d’augmenter dans la population), semble peu à peu s’inverser. En cause ? Un certain appauvrissement de la langue et de ses subtilités : multiplication des anglicismes, disparition de certains temps de conjugaison complexes, généralisation du tutoiement, simplification de la ponctuation… De quoi généraliser l’utilisation du plus-que-parfait dans les réunions ?

Le saviez-vous ? Selon une récente étude menée par la neuroscientifique Tara Swart, notre QI se verrait amputé de 5 % par des nuits courtes ou de mauvaise qualité perdurant dans le temps.

Le QE : le plus trendy{{}}

Théorisé par les psychologues américains Peter Salovey et John Mayer dans les années 90, le quotient émotionnel renvoie à « une forme d’intelligence qui suppose la capacité à reconnaitre, comprendre et contrôler ses propres émotions et à composer avec celle des autres ». Entre connaissance de soi et empathie, le parfait combo des soft skills tant recherchées par le recruteur du 21e siècle. Six managers sur dix estiment d’ailleurs que le quotient émotionnel est au moins aussi important que le quotient intellectuel et plus de 70 % des recruteurs estiment important de retrouver cette compétence chez une personne à recruter.

Le QC : le plus prédictif{{}}

Nouveau venu au pays des Q, le quotient de niveau de conscience a pour objectif de calculer la capacité d’une personne à prendre des décisions en intégrant les impacts de celles-ci sur les générations futures. Ou la meilleure arme pour dompter et agir en complémentarité de l’Intelligence Artificielle. Alors que votre QI est gravé dans le marbre, votre QC peut en revanche augmenter tout au long de votre carrière. Vous permettant ainsi de nourrir votre vision sur le développement de votre entreprise et donc de prendre de meilleures décisions stratégiques. En clair, travailler votre QC vous permettra de gravir les échelons à vitesse grand V. Une norme personnelle vouée à devenir organisationnelle : quoi de plus ‘challenging’ pour une entreprise que d’agir en mesurant son impact financier, humain, sociétal et écologique ? QC et RSE : même combat.

Le QD : le plus « esprit critique »{{}}

A l’ère de la numérisation et de l’ubérisation, le quotient digital est plus que jamais central. Il désigne en effet la capacité d’acquérir et d’appliquer de nouvelles connaissances et de nouvelles compétences liées aux technologies digitales. Un quotient qui se construit et qui évolue au fil des interactions avec les technologies digitales mais qui ne se résume pas aux compétences nécessaires pour utiliser ces technologies. Il s’agit en réalité de la « somme des capacités sociales, émotionnelles et cognitives permettant aux individus de relever les défis et de s’adapter aux exigences de la vie numérique » selon le DQ Institute. Une compétence plus qu’indispensable dans le monde des réseaux sociaux et de la prolifération des fake news.

Ubérisation - L’ubérisation, ou la plateformisation, est un phénomène récent dans le domaine de l’économie consistant en l’utilisation de services permettant aux professionnels et aux clients de se mettre en contact direct, de manière quasi instantanée, grâce à l’utilisation d’une plateforme numérique... -  Wikipédia

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Source : https://www.mondedesgrandesecoles.fr/qi-qe-qc-qd-tout-nest-donc-quune-histoire-de-q-2/

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Annexe - Présentation de la Série ‘Famille des équidés’ publiée sur ISIAS{{}}

Partie 1 - ’Chevaux, poneys, ânes, zèbres possèdent un panel varié de couleurs de la peau, des poils et des crins (à partir des robes noire, Bai ou Alezan) - Diversification à partir des steppes du Kazakhstan et du Caucase’ par Jacques Hallard 25 janvier 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 1 axée sur la Biologie et la génétique de la couleur des robes des chevaux et autres équidés : dont Génétique de la couleur de la robe (épiderme, poils et crins) et reproduction - Caractéristiques physiologiques et aptitudes à ses usages divers de ces animaux

Partie 2 - ’Les Fêtes des charrettes ‘Carreto Ramado’ en Provence figurent à l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel de la France : religieuses (catholiques) ou laïques, elles sont vivaces en Petite Crau, Pays d’Arles et Camargue’ par Jacques Hallard 29 janvier 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 2 couvrant spécialement les traditions en Provence

Partie 3 - ’Des traditions festives provençales avec chevaux et taureaux, aux patrimoines multiples avec les équidés en France (dont l’équitation de tradition française), exemples en Bretagne et en Europe : Italie, Espagne, Portugal, Islande’ par Jacques Hallard 30 mars 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 3 Anthropologie Europe

Partie 4 – ’L’Asie : berceau de la domestication des premiers équidés (cheval de Przewalski), avec chevaux et charrettes depuis 2.400 ans en Chine, cheval de Mongolie et compétitions équestres traditionnelles Bouzkashi en Ouzbékistan’ par Jacques Hallard - 03 avril 2024, par Rédaction d’ISIAS - Famille des équidés Partie 4 Anthropologie Asie

Partie 5 - ’Chevaux Dongola (Afrique subsaharienne), Oromos et Abyssinien (Ethiopie), Boerperd (Afrique du Sud), sauvage du Namib, pur-sang arabe barbe (Tiaret Algérie, Maroc : fantasia tbourida), équitation western et criollo (Amériques)’ par Jacques Hallard- 07 avril 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 5 Génétique Anthropologie Afrique Amériques

Partie 6 - ’Couleurs des animaux et chevaux dans le patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO : traditions d’élevage des Lipizzan et Akhal-Teke, et les chevaux des Amérindiens dont les Appaloosa à robe souvent tachetée (N-O États-Unis)’ par Jacques Hallard - 13 avril 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 6 Génétique Patrimoine culturel

Partie 7 - ’Les chevaux sont capables de lire les émotions humaines dont les expressions faciales et de demander de l’aide aux humains ; ils ne font aucune distinction de genre et la manipulation compétente est plus importante que le lien’ par Jacques Hallard - 19 avril 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 7 Ethologie Relations Humains-Chevaux

Partie 8 - ’Les missions de service public d’une municipalité équine : transport scolaire, ramassage des déchets, brigade équestre de prévention et sécurité, tourisme en calèche, entretien d’espaces verts ou naturels, chemins et plages’ par Jacques Hallard - 20 avril 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 8 Usages Cheval territorial

Partie 9 – ’Comportement, dressage équestre du cheval (éthologie équine) - Bien-être animal (équitation éthologique) - Réadaptation par le cheval en hippothérapie et thérapie assistée par le cheval partenaire de soin en équithérapie’ par Jacques Hallard- 29 avril 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 9 Ethologie Equitation Hippothérapie

Partie 10 – ’Usages militaires et civils des équidés : brigade sécuritaire, transport hippomobile, entretien environnement, médiation équine, jeux, sports, loisirs, tourisme, travaux agricoles et forestiers – Filière équine et métiers équestres’ par Jacques Hallard - samedi 8 juin 2024 - ISIAS Famille des équidés Partie 10 Usages Métiers

Partie 11 - ’La traction équine en agriculture : pratique folkloriste ou facteur de transition agro-écologique ? Recherches en cours, expérimentations techniques, réalisations en micro-fermes et évaluation de sa durabilité’ par Jacques Hallard - 10 octobre 2024 - ISIAS Agriculture Traction animale Maraîchage

Partie 12 - ’Dilemme de la prolifération des chevaux sauvages dans la Nation Navajo ‘Diné’ du sud-ouest des Etats-Unis, symboles de l’esprit amérindien et de la communication physique et émotionnelle entre humains et chevaux - Cayol’ par Jacques Hallard 22 novembre 2024 - ISIAS Famille des équidés Ethologie Navajo Art Littérature Cayol

Partie 13 - Les interactions entre chevaux et êtres humains, l’équithérapie et les bienfaits des sports équestres (amélioration du Quotient Intellectuel) ; l’évolution de la culture équestre chinoise millénaire : de l’esthétique à la politique

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Collecte de documents et agencement, traduction, [compléments] et intégration de liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant 2024- 2025

Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales

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