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"Associée à l’empathie, l’intelligence émotionnelle (IE) vise la prise de conscience de soi, l’autogestion des émotions, la conscience sociale et la gestion des relations humaines avec des négociations constructives" par Jacques Hallard

jeudi 20 juillet 2023, par Hallard Jacques


ISIAS Psychosociologie Relations interpersonnelles Intelligence émotionnelle

Associée à l’empathie, l’intelligence émotionnelle (IE) vise la prise de conscience de soi, l’autogestion des émotions, la conscience sociale et la gestion des relations humaines avec des négociations constructives

Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, site ISIAS – 18/07/2023

Plan du document : Préambule Introduction Sommaire Auteur

Épinglé par Florent Letourneur sur Humour travail | Gestion des ressources humaines, Entreprise libérée, Ressources humaines

Épinglé par Florent Letourneur sur Humour travail


Préambule

Après ce clin d’œil humoristique à propos des formations, ce dossier débute par quelques définitions préalables. On peut soit lire la suite, soir passer directement à l’introduction et / ou au sommaire

La psychosociologie est l’étude des problèmes communs à la psychologie et à la sociologie, s’intéressant en particulier à la façon dont le comportement individuel est influencé par les groupes auxquels appartient l’individu. Wikipédia

Lecture suggérée : « Psychosociologie : quand et pourquoi consulter un psychosociologue ? »

Les relations interpersonnelles, domaine relatif aux relations humaines, ont lieu lorsqu’au moins deux personnes sont en interaction. Il s’agit d’un sujet d’étude clé de la psychologie sociale pour la compréhension des rapports ayant lieu au sein de petits groupes de personnes ou plus largement à l’intérieur de groupes sociaux. Ce sujet étudie comment les comportements individuels sont influencés par ceux des autres personnes et s’y opposent ou s’y adaptent. Il intéresse aussi la sociologie au niveau de la structuration des relations humaines… - Article complet sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Relation_interpersonnelle

Lectures suggérées :

La psychologie aide à comprendre les relations interpersonnelles... 18 avril 2023 — En conclusion, la psychologie est un précieux allié pour mieux comprendre les relations interpersonnelles. Source : https://omagazine.fr/la-psychologie-aide-a-comprendre-les-relations-interpersonnelles/

Relation humaine - Une relation humaine implique au moins deux êtres humains et est souvent décrite via des aspects différents, si l’on s’intéresse à la nature de la relation ou si l’on s’intéresse aux personnes en relation. Plusieurs disciplines universitaires travaillent à l’analyser. Certaines étudient régulièrement les questions que pose la société contemporaine : la psychologie1, les sciences de la communication, la sociologie ; d’autres se placent dans la perspective de l’anthropologie, de la sémiotique ou allient les deux comme l’anthroposémiotique. Deux personnes qui se rencontrent établissent une relation. Pour les chercheurs en sciences de l’information et de la communication descendants intellectuels de l’École de Palo Alto (dont Paul Watzlawick), deux personnes en présence « ne peuvent pas ne pas avoir de comportements », et ceux-ci induisent la relation. Ce qui se passe au cours de la relation est difficile à comprendre rationnellement…

Genres de relations humaines - Les relations humaines peuvent par exemple être basées sur l’amitié, l’amour, le désir, la solidarité, la sincérité, l’hypocrisie, l’opportunisme, le mensonge, le rapport de force, l’admiration, la peur, la jalousie etc… Certaines personnes vivront avec l’autre, un ou plusieurs de ces sentiments, de manière plus ou moins longue…. – Article complet à lire sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Relation_humaine

L’intelligence émotionnelle (IE) se définit par la capacité pour un individu à percevoir, comprendre, maîtriser et exprimer une émotion qui lui est propre et à distinguer et décoder une émotion chez l’autre. Cette forme d’intelligence va au-delà des capacités cognitives et intellectuelles traditionnelles. 8 juillet 2022

Tous les détails sur ce site https://www.intemotionnelle.com/quest-ce-que-lintelligence-emotionnelle/

NB. Ne pas confondre l’intelligence émotionnelle (IE) avec l’intelligence artificielle (IA) : cette dernière est un « ensemble de théories et de techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l’intelligence humaine ». Les assistants personnels intelligents sont l’une des applications concrètes de l’intelligence artificielle dans les années 2010… Wikipédia - L’intelligence artificielle (IA) est un processus d’imitation de l’intelligence humaine qui repose sur la création et l’application d’algorithmes exécutés dans un environnement informatique dynamique. Son but est de permettre à des ordinateurs de penser et d’agir comme des êtres humains… (Google)

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Introduction

Après un brin d’humour et quelques définitions de base rappelées dans unPréambule, ce dossier à visée didactique est entièrement consacré à la notion d’intelligence émotionnelle : quelques documents ont été sélectionnés pour en montrer les différentes facettes, des aspects théoriques et des applications concrètes.

Ce dossier s’achève avec un document en forme de communiqué émanant de l’organisme belge ‘Evolew’ : il propose diverses applications pratiques, dans le but d’établir des relations constructives, comme des démonstrations concrètes de l’utilité de l’’intelligence émotionnelle, dans le domaine de la psychosociologie appliquée.

Les documents sélectionnés et empilés pour ce dossier sont indiqués avec leurs accès dans le sommaire ci-après

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Sommaire

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  • Comprendre la psychologie - Intelligence émotionnelle - Rédigé par des auteurs spécialisés ‘Ooreka ‘
    Sommaire

L’intelligence émotionnelle est une forme d’intelligence qui permet de contrôler ses émotions et celles des autres. Contrairement à l’intelligence rationnelle (le QI), elle s’acquière tout au long de la vie et peut augmenter au fur et à mesure des expériences ou d’un travail sur soi. Particulièrement utile dans le monde du travail, elle aide à prendre des décisions efficaces et à gérer les conflits. Le point.

Intelligence émotionnelle : définition

L’intelligence émotionnelle est une forme d’intelligence qui permet d’orienter ses pensées et son comportement en fonction de ses propres émotions.

Elle permet aussi d’influencer ou de contrôler les émotions des autres. Elle se différencie de l’intelligence rationnelle habituellement mesurée par le quotient intellectuel (QI) et se mesure par le quotient émotionnel (QE).

L’intelligence émotionnelle est une combinaison entre le relationnel et l’émotionnel qui permet l’épanouissement d’une personne. Contrairement à l’intelligence rationnelle qui concerne l’abstraction et le raisonnement logique, l’intelligence émotionnelle offre des capacités de développement pour faire face à toutes les situations.

Intelligence émotionnelle : caractéristiques

L’intelligence émotionnelle est une intelligence tournée vers les émotions. Elle se caractérise par :

  • une meilleure compréhension de ses émotions ;
  • une maîtrise de son comportement et de ses pensées en rapport avec les émotions et les impulsions ;
  • une compréhension des émotions des autres et de leur façon d’agir ;
  • une influence sur les autres ;
  • une meilleure appréhension des conflits.
    Cette intelligence particulière est un véritable moteur qui permet de s’adapter à toutes les situations du quotidien. Elle permet de gérer de façon optimale les relations interpersonnelles, les conflits, et les émotions fortes, sans aucun lien avec la classe sociale ou le niveau socio-économique.

Bienfaits de l’intelligence émotionnelle

Les émotions permettent de signaler un changement, réel ou imaginaire entre la personne, les autres ou son environnement. L’intelligence émotionnelle aide à trouver une réponse adaptée et efficace dans de nombreuses situations. Elle présente de nombreux bienfaits :

  • épanouissement personnel ;
  • bien-être ;
  • meilleures relations sociales ;
  • diminution des conflits avec les autres ou avec soi-même ;
  • meilleure confiance en soi ;
  • choix construits et objectifs.
    Savoir utiliser ses émotions et ses sentiments, ainsi que ceux des autres, permet de distinguer toutes les informations pour orienter son comportement et ses pensées.

Les applications de l’intelligence émotionnelle

L’application de l’intelligence émotionnelle est constante, à n’importe quel moment de la vie. Il peut s’agir par exemple de :

  • gérer ses émotions en cas de frustration, de déception ou de rupture ;
  • communiquer et interagir avec les autres ;
  • travailler en harmonie avec ses collègues ;
  • s’adapter rapidement à une situation émotionnelle ;
  • prendre du recul et savoir gérer un conflit ou une dispute ;
  • observer et comprendre les émotions des autres.
    Cette intelligence particulière est importante, spécifiquement dans le domaine professionnel. Alors que l’intelligence rationnelle permet d’acquérir des diplômes et des compétences, l’intelligence émotionnelle permet d’évoluer plus facilement dans son travail. Le contrôle de ses émotions aide à faire des choix décisifs et à saisir des opportunités de façon plus objective.

L’intelligence émotionnelle peut être développée par un travail sur soi, ou une psychothérapie. Contrairement à l’intelligence rationnelle, les compétences émotionnelles ne sont pas innées, mais acquises au fur et à mesure des expériences de la vie.

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Fichier:Logo ooreka.jpg — Wikipédia

Source : https://psychotherapie.ooreka.fr/astuce/voir/687535/intelligence-emotionnelle

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  • Intelligence émotionnelle : c’est quoi, test, la développer - Article mis à jour le 16/02/22 18:35 - Par Anaïs Thiébaux Mis à jour le 16/02/22 18:35
    L’intelligence émotionnelle est la capacité à percevoir, maîtriser, exprimer et décoder une émotion qui nous est propre ou chez les autres. Quelle influence sur sa vie personnelle ? Au travail ? Dans son rapport à l’autre ? Comment la développer ? Eclairage et conseils de Dana Castro, psychologue.

Intelligence émotionnelle : c’est quoi, test, la développer© khosrork - 123RF

Sommaire  :

•Définition

•Signes

•Causes

•Bienfaits

•Au travail

•Test QE

•Comment développer ?

•Livres

On mesure souvent l’intelligence de quelqu’un avec un test de QI (Quotient intellectuel). Mais savez-vous qu’il existe d’autres types d’intelligence ? Parmi eux, l’intelligence émotionnelle qui va au-delà des capacités cognitives et intellectuelles attribuées traditionnellement à la notion d’intelligence. L’intelligence émotionnelle correspond à la capacité à avoir une compréhension de soi-même et des autres dans un contexte social. Autrement dit, c’est percevoir, analyser et maîtriser ses propres émotions et composer avec celles des autres. Quelles sont les caractéristiques de l’intelligence émotionnelle ? Quel test pour la mesurer ? Comment la développer ? Dans sa vie personnelle ? Dans sa vie professionnelle ? 

Définition : qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle ?

L’intelligence émotionnelle (abrégée EI ou IE) représente ’la capacité qu’ont certaines personnes à reconnaître, comprendre et à réguler leurs émotions propres, à décoder les émotions des autres, afin de prendre des décisions et de réagir en fonction d’elles. C’est une conscience accrue de ses propres émotions et de celles des autres, ce qui permet une meilleure adaptation de ses actions, définit la psychologue Dana Castro. L’émotion est un signal qui révèle toujours des choses sur soi-même et sur les autres’. Un exemple concret d’intelligence émotionnelle serait d’accepter une critique sans se vexer ou s’effondrer. La première utilisation officielle du terme d’intelligence émotionnelle est attribuée à John Mayer et Peter Salovey en 1990, les premiers psychologues à l’avoir conceptualisée. Selon eux, l’intelligence émotionnelle s’articulerait autour de quatre branches :

Emotions : définition, liste, primaires, comment les gérer ?

Les émotions se manifestent de manière physiologique et nous permettent de nous adapter à notre environnement. Quelles sont les émotions positives et négatives ? Primaires ? Comment faire la différence avec un sentiment ? Comment les gérer ? Réponses de Souad Benchikh et d’Alice Jaget, hypnothérapeutes.

Comment reconnaître l’intelligence émotionnelle chez une personne ?

D’après les travaux de Mayer et Salovey (1997), une personne est dotée d’une intelligence émotionnelle si elle a une habileté à :

  • Etre consciente de ses émotions et les exprimer correctement aux autres.
  • Faire la distinction entre différentes émotions ressenties et reconnaître celles qui influent sur le processus de pensée.
  • Vivre ou abandonner une émotion selon son utilité dans une situation donnée.
  • Comprendre des émotions complexes (éprouver deux émotions simultanément par exemple) et reconnaître les transitions d’une émotion à une autre. 
    Evidemment, le concept d’intelligence émotionnelle regroupe d’autres capacités comme : l’auto-assurance, l’humour auto-dérisoire, l’auto-évaluation réaliste, la fiabilité, l’intégrité, l’envie d’accomplissement, l’optimisme (particulièrement face à l’échec), l’empathie, la sensibilité interculturelle, l’ouverture d’esprit, l’intérêt et la curiosité des autres, l’implication, le pouvoir de persuasion, la remise en question constructive...

D’où vient l’intelligence émotionnelle ?

’Le cerveau est façonné par nos expériences répétées’

On n’a pas tous la même intelligence émotionnelle. C’est d’abord lié aux expériences et aux situations vécues pendant la construction psychique. Il y a aussi une question de caractère, comme quelque chose de presque inné. L’acquisition d’une intelligence émotionnelle en étant adulte implique d’avoir traversé des phases durant l’enfance. Et ces phases, tout le monde ne les a pas connues, explique notre interlocutrice. ’La partie du cerveau sur laquelle s’appuie l’intelligence émotionnelle est le dernier circuit du cerveau à atteindre sa maturité anatomique et, du fait de la plasticité du cerveau, le cerveau est façonné par nos expériences répétées’, a établi Daniel Goleman dans son livre consacré à l’Intelligence émotionnelle (1995). ’Plusieurs études montrent que les enfants qui ont un vocabulaire riche, une aisance verbale, qui aiment lire ou qui sont créatifs ont une plus grande intelligence émotionnelle à l’âge adulte. Il y aurait donc un lien entre la logique, l’ouverture d’esprit, la richesse du vocabulaire, la sensibilité, l’esprit d’analyse et de déduction et la gestion de ses émotions’, précise Dana Castro.

Quels sont les bienfaits d’une intelligence émotionnelle ?

Avoir une intelligence émotionnelle a une influence positive, notamment sur :

  • La maîtrise de soi (le self-control)
  • La confiance en soi, et l’acceptation de ses ressentis, perçus davantage comme des forces plutôt que des faiblesses
  • La motivation dans sa vie professionnelle et personnelle
  • L’intégrité et globalement les relations avec les autres
  • La communication avec son entourage social et professionnel
  • Le développement de ses compétences et aptitudes sociales et professionnelles...
    Quelle est l’importance de l’intelligence émotionnelle au travail ?

Une personne dotée d’une intelligence émotionnelle apparaît comme motrice dans une équipe

Daniel Goleman a démontré à travers ses recherches que le quotient émotionnel était plus important dans le travail que le quotient intellectuel. Selon lui, les 2/3 des résultats d’une entreprise seraient dus aux compétences émotionnelles des gestionnaires. D’une part, parce que l’intelligence émotionnelle inspire la confiance (l’interlocuteur se sent à l’écoute, entendu, compris...), d’autre part, car elle facilite l’aisance sociale, la motivation, l’émergence de nouvelles idées... ’Une personne dotée d’une intelligence émotionnelle apparaît comme motrice dans une équipe’, résume notre psychologue. 

Quel test pour mesurer son intelligence émotionnelle ?

De la même manière qu’il y a un test pour évaluer le quotient intellectuel (QI), il y a un test pour définir le quotient d’intelligence émotionnelle (QE). ’C’est une mesure que l’on compare à une norme’, indique notre experte, après avoir répondu à différentes questions divisées en plusieurs catégories (perception de soi, expression individuelle, gestion du stress, prise de décision, relations humaines...). Le résultat donne un aperçu global du niveau d’intelligence émotionnelle, mais il est à affiner avec des mises en situation, qui ne sont pas mesurables avec un outil. Le test de QE le plus reconnu et utilisé dans le monde serait le diagnostic EQi 2.0 (Emotional Quotient inventory) mis au point en 1997. Il y a plusieurs tests de QE accessibles sur internet mais ils ne sont pas officiellement validés par la communauté scientifique. Ils ne sont pas totalement représentatifs de l’intelligence émotionnelle d’une personne. 

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Quotient émotionnel (QE) : définition, test, moyen, élevé

Le quotient émotionnel traduit l’intelligence émotionnelle d’une personne, sa capacité à comprendre et gérer ses émotions et celles des autres. Comment l’évaluer ? L’améliorer ? Comment savoir si on est Haut Potentiel Emotionnel ? Les réponses avec le Dr Fanny Jacq, psychiatre.

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Haut potentiel émotionnel (HPE) : définition, signes, test

Une personne avec un haut potentiel émotionnel (HPE) sait mieux détecter, comprendre et gérer les émotions que la normale. Quels sont les signes d’un HPE ? Quel test pour le détecter ? Comment vivre avec un HPE ? En amour ? Quelle différence avec le HPI ? Décryptage avec Dana Castro, psychologue.

Comment développer son intelligence émotionnelle ?

A ne pas reconnaître les émotions, on en vient à se faire des idées négatives sur soi-même et sur l’opinion qu’ont les autres de nous.

Les émotions impactent la réflexion et la prise de décision. Elles jouent donc un rôle prépondérant dans nos comportements, d’où l’intérêt de ne pas négliger l’intelligence émotionnelle voire même de la développer si on en manque. Mais pour contrôler ses émotions, il faut d’abord les comprendre. ’A ne pas reconnaître les émotions, on en vient à se faire des idées négatives sur soi-même et sur l’opinion qu’ont les autres de nous. Cela peut engendrer des prises de décision irrationnelles ou démesurées. Ce n’est pas sain. Quand on comprend les signaux inhérents aux émotions, le comportement et la réaction sont toujours plus appropriés à la situation’, observe notre interlocutrice. Le développement de l’intelligence émotionnelle passe donc par la gestion de ses émotions. Voici plusieurs pistes qui, à force d’être pratiquées, vont devenir des automatismes :

  • Essayer de ne pas refouler ou réprimer ses émotions, en prenant conscience du stress, de la colère, de l’anxiété, de la tension, de la tristesse qu’une situation peut engendrer, en posant des mots dessus et en les verbalisant, avec le lexique émotionnel le plus précis possible (’qu’est-ce que je ressens concrètement, est-ce de la colère, de la tristesse, de la culpabilité, de la frustration, de l’oppression ?...’ et connaître ses points sensibles, ses failles, ce qui permet de limiter les réactions impulsives et d’anticiper certaines situations ’à risque’.
  • Ne pas émettre de jugement rapide, sans fondement. Pour cela, il faut prendre en compte le contexte, tous les arguments (et pas seulement ceux qui vont dans notre sens), ignorer aucun paramètre ou élément, tenir compte des potentielles conséquences, mais aussi, laisser ses réflexions mûrir, car la première réaction est souvent dictée par une émotion biaisée
  • Remettre les choses en perspective et dans son contexte, par exemple, en ne prenant pas la critique de manière isolée, mais dans une globalité, dans son contexte. 
  • Bégayer sur ses erreurs, en prenant du recul, sans les oublier pour autant, et en assumant ses responsabilités (autrement dit, ne pas blâmer les autres pour les réactions qu’on peut ressentir). La rumination et la rancune entravent la prise de distance. 
  • Travailler sur son intuition (être sensible aux différents signaux émotionnels envoyés par les autres) et être davantage à l’écoute des autres (ne pas couper la parole, ne pas tout ramener à soi, ne pas calquer son histoire sur la nôtre, ne pas chercher à faire de comparaisons ou des raccourcis maladroits, rester concentré du début à la fin de la confidence...)
    Enfin, ’le développement d’une intelligence émotionnelle peut être l’un des objectifs d’une psychothérapie ou en tout cas d’une aide psychologique, qui permet de trouver avec la personne la bonne méthode pour reconnaître ses émotions et agir en fonction’, précise Dana Castro. 

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Comment avoir (ou reprendre) confiance en soi ?

Avoir confiance en soi. Ce sentiment n’est pas toujours facile à ressentir. La confiance en soi se crée ou se perd pour différentes raisons. Comment avoir confiance en soi ? Physiquement ? Comment reprendre confiance après une dépression ? Une rupture ? Ou dans l’intimité ?

Quels sont les livres sur l’intelligence émotionnelle ?

Voici quelques exemples d’ouvrages qui ont traité le sujet de l’intelligence émotionnelle :

  • L’Intelligence émotionnelle, de Daniel Goleman 
  • Intelligence émotionnelle : améliorer la gestion de ses émotions, la confiance en soi et son propre bien-être, de Chiara Marchitelli
  • L’intelligence émotionnelle : comprendre les émotions, de Kristin Berger-Loewenstein
    Merci à Dana Castro, psychologue.

Autour du même sujet :

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Les émotions sociales ont souvent lieux dans le cadre familial comme illustré sur cette image

L’intelligence émotionnelle (IE) fait référence à la capacité d’une personne à percevoir, comprendre, gérer et exprimer ses propres émotions, ainsi que celles des autres, afin de résoudre les problèmes et réguler les comportements liés aux émotions1,2.

Bien que le terme soit apparu pour la première fois en 19643, il a gagné en popularité dans le best-seller L’Intelligence émotionnelle4, écrit par le journaliste scientifique Daniel Goleman en 1995. Goleman définit l’IE comme l’ensemble des compétences et des caractéristiques qui déterminent les performances en matière de leadership5. Certains chercheurs suggèrent que l’intelligence émotionnelle peut être apprise et renforcée, tandis que d’autres affirment qu’il s’agit d’une caractéristique innée6.

Différents modèles ont été élaborés pour mesurer l’IE. Le modèle des traits, développé par Konstantinos V. Petrides en 2001, se concentre sur l’auto-déclaration des dispositions comportementales et des capacités perçues7. Le modèle des aptitudes, développé par Peter Salovey et John Mayer en 2004, se concentre sur la capacité de l’individu à traiter les informations émotionnelles et à les utiliser pour naviguer dans l’environnement social8. Le modèle original de Goleman peut maintenant être considéré comme un modèle mixte qui combine ce qui a depuis été modélisé séparément comme l’IE des aptitudes et l’IE des traits. Des recherches plus récentes se sont concentrées sur la reconnaissance des émotions, c’est-à-dire l’attribution d’états émotionnels sur la base d’observations d’indices visuels et auditifs non verbaux9,10. En outre, des études neurologiques ont cherché à caractériser les mécanismes neuronaux de l’intelligence émotionnelle11.

Des études ont montré que les personnes ayant une IE élevée ont une meilleure santé mentale et physique12, de meilleures performances professionnelles13 et de meilleures compétences en matière de leadership14, bien qu’aucune relation de cause à effet n’ait été démontrée.[réf. nécessaire] L’IE est généralement associée à l’empathie, car elle implique qu’un individu relie ses expériences personnelles à celles des autres.[réf. souhaitée] Depuis sa popularisation au cours des dernières décennies, les méthodes de développement de l’IE sont largement recherchées par les personnes qui souhaitent devenir des leaders plus efficaces.[réf. nécessaire]

Les critiques se sont concentrées sur la question de savoir si l’IE est une véritable intelligence et si elle a une validité supplémentaire par rapport au QI et aux cinq grands traits de personnalité15. Cependant, des méta-analyses ont montré que certaines mesures de l’IE ont une validité même en contrôlant le QI et la personnalité16.

Histoire

Le concept de Force Emotionnelle a été introduit pour la première fois par Abraham Maslow dans les années 195017. Le terme ’intelligence émotionnelle’ semble être apparu pour la première fois dans un article de M. Beldoch en 19643 et dans l’article de B. Leuner intitulé Emotional intelligence and emancipation, publié en 1966 dans la revue psychothérapeutique Practice of child psychology and child psychiatry18.

En 1983, Howard Gardner a publié Frames of Mind : The Theory of Multiple Intelligences19 qui introduit l’idée que les types traditionnels d’intelligence, tels que le QI, ne parviennent pas à expliquer pleinement les capacités cognitives. Il a introduit l’idée d’intelligences multiples comprenant à la fois l’intelligence interpersonnelle (la capacité de comprendre les intentions, les motivations et les désirs des autres) et l’intelligence intrapersonnelle (la capacité de se comprendre soi-même, d’apprécier ses sentiments, ses peurs et ses motivations)20.

La publication du terme ’QE’ (quotient émotionnel) est un article de Keith Beasley paru en 1987 dans le magazine britannique Mensa21.

En 1989, Stanley Greenspan a proposé un modèle pour décrire l’IE, suivi d’un autre par Peter Salovey et John Mayer publié l’année suivante22.

Cependant, la vulgarisation du concept de l’intelligence émotionnelle intervient avec la publication du livre de Daniel Goleman, Emotional Intelligence : Why it can matter more than IQ (1995)4, qui devient un succès de librairie international. Goleman a ensuite publié plusieurs ouvrages similaires qui renforcent l’utilisation du terme : Working with emotional intelligence (1998)23, The Brain and Emotional Intelligence : New insights (2011)24, Leadership : The Power of Emotional Intelligence (2011)25.

Fin 1998, l’article de Goleman dans la Harvard Business Review intitulé ’What Makes a Leader’5 a attiré l’attention de la direction générale de Johnson & Johnson, précédemment Johnson & Johnson Consumer Companies (JJCC). L’article soulignait l’importance de l’intelligence émotionnelle (IE) dans la réussite du leadership et citait plusieurs études démontrant que l’IE est souvent le facteur distinctif entre les grands leaders et les leaders moyens. La JJCC a financé une étude qui a conclu à l’existence d’un lien étroit entre les dirigeants les plus performants et les compétences émotionnelles, ce qui confirme les suggestions des théoriciens selon lesquelles l’ensemble des compétences sociales, émotionnelles et relationnelles, communément appelé intelligence émotionnelle, est un facteur distinctif de la performance des dirigeants26.

Les tests mesurant l’IE n’ont pas remplacé les tests de QI en tant que mesure standard de l’intelligence27, et l’intelligence émotionnelle a fait l’objet de critiques quant à son rôle dans le leadership et la réussite des entreprises28.

Hypothèse de Mayer et Salovey

Outre le fait d’avoir une bonne cohérence interne et un pouvoir prédictif substantiel, toute théorie scientifique se doit d’utiliser avec pertinence et précision le langage technique (Mayer, Salovey, & Caruso, 2000). Or, un problème majeur lorsque l’IE est étudiée, c’est que certaines théories se rapportent précisément aux émotions et à l’intelligence alors que d’autres, beaucoup plus larges, intègrent de nombreux autres concepts par exemple la motivation, le niveau de conscience29 ou encore la persistance.

Émotions et cognitions dans le modèle de Mayer et Salovey Cette section a besoin d’être recyclée (27 février 2017). Une réorganisation et une clarification du contenu sont nécessaires. Améliorez-le ou discutez des points à améliorer.

Les émotions sont reconnues comme étant un des trois ou quatre types d’opération mentale, à savoir : la motivation, les émotions, les cognitions et (moins fréquemment) la conscience30. Ces concepts sont définis selon la plupart de ces auteurs, tels que Mayer, Salovey et Caruso (2000) en font la synthèse.

Les motivations de base surviennent en réponse à des états internes et incluent donc des « moteurs » tels que la faim, la soif, le besoin de contacts sociaux et le désir sexuel. Le rôle des motivations est de diriger l’organisme dans la réalisation d’actes simples pour satisfaire les besoins de survie et de reproduction. Dans leur forme basique, les motivations suivent un cycle temporel relativement déterminé (ex : la soif augmente jusqu’à ce qu’elle soit étanchée) et sont généralement satisfaites d’une façon spécifique (la soif est satisfaite par le fait de boire).

En ce qui concerne les émotions, il semblerait qu’elles apparaissent chez les mammifères pour signaler les changements (réels ou imaginaires) dans les relations entre un individu et son environnement afin de fournir une réponse adéquate. Par exemple, la colère apparaît en réponse à une menace ou une injustice ; la peur apparaît en réponse au danger. Les émotions ne suivent pas un cycle temporel rigide, mais répondent aux changements externes dans les relations (ou la perception interne de ceux-ci). De plus, chaque émotion organise plusieurs réponses comportementales de base à ces relations ; par exemple, la peur organise l’attaque ou la fuite. Les émotions sont par conséquent plus flexibles que les motivations, mais pas encore autant que ne le sont les cognitions.

Les cognitions permettent à l’organisme d’apprendre de son environnement et de résoudre des problèmes dans des situations nouvelles. Ces apprentissages se font souvent dans le but de satisfaire les motivations ou afin de créer ou de maintenir des émotions positives. La cognition comprend l’apprentissage, la mémoire et la résolution de problèmes. Elle se fait en direct et implique un traitement intentionnel de l’information basé sur l’apprentissage et la mémoire (voir Mayer et al., 1997 pour une revue détaillée de ces concepts). Ces trois types d’opération mentale de base s’intègrent et se combinent dans une structure plus large (system framework) pour engendrer des mécanismes plus complexes pour former la personnalité d’un individu.

Selon Mayer, Salovey et Caruso (2000), c’est uniquement au niveau de l’interaction entre les émotions et les cognitions que doit se situer le concept d’intelligence émotionnelle. Dans cette optique, il était donc nécessaire de clarifier le sens que donnent ces auteurs aux termes, car cela permet de constater qu’un grand nombre d’autres modèles d’IE débordent en fait du cadre originel. Ainsi, par exemple, quand Goleman intègre la notion de self-concept à son modèle, il introduit dans l’IE un construct de personnalité beaucoup plus complexe qui implique aussi un autre niveau de traitement : celui des motivations.

L’expression intelligence émotionnelle, implique donc quelque chose qui appartient à l’intersection des émotions et des cognitions. Selon cette perspective, afin d’évaluer une théorie touchant un tant soit peu à l’intelligence émotionnelle, il faut mesurer le degré auquel la théorie en question se rapporte à cette intersection.

Conceptions de l’intelligence

Différentes significations sont données au terme d’intelligence. Toutefois, que l’on parle d’intelligence artificielle, d’intelligence humaine ou d’intelligence économique, toutes impliquent le fait de rassembler de l’information, d’apprendre de celle-ci et de raisonner avec elle ; elles impliquent toutes une habilité mentale associée à des opérations cognitives. Le modèle des habiletés mentales a été représenté dans sa forme pure par Lewis Terman31[réf. non conforme] qui affirmait que l’intelligence d’un individu était fonction de sa capacité à mener un raisonnement abstrait (voir l’article QI). En fait, les conférences académiques sur l’intelligence concluent immanquablement que le premier signe d’intelligence est un niveau élevé d’habiletés mentales tel que le raisonnement abstrait32[réf. non conforme].

Peter Salovey et John Mayer1 (1990), qui situaient l’IE uniquement à l’intersection des cognitions et des émotions, ont depuis continué leurs recherches sur l’importance de ce concept (Mayer, Salovey, Caruso et Sitarenios, 2003). Ces auteurs soutiennent que les êtres varient dans leur capacité à traiter l’information d’une nature émotionnelle et leur capacité à établir un lien entre ce traitement émotionnel et la cognition générale. Ils posent ensuite l’hypothèse que cette capacité se manifeste dans certains comportements d’adaptation (Mayer, Salovey et Caruso, 2000).

Selon ces auteurs, l’intelligence émotionnelle comporte deux dimensions : la dimension expérientielle (la capacité à percevoir et à manipuler l’information émotionnelle ainsi qu’à y réagir sans nécessairement la comprendre), et la dimension stratégique (la capacité à comprendre et à gérer les émotions sans nécessairement bien percevoir les sentiments ou les éprouver complètement). Chaque dimension est ensuite divisée en deux branches qui vont des processus psychologiques de base aux processus plus complexes intégrant l’émotion et la cognition [réf. nécessaire].

La première branche, celle de la perception émotionnelle, correspond à la capacité à être conscient de ses émotions et à exprimer ses émotions et besoins émotionnels correctement aux autres. Cela inclut la capacité à faire la distinction entre des expressions honnêtes et malhonnêtes des émotions. La seconde branche, celle de l’assimilation émotionnelle, renvoie à la capacité à faire la distinction entre différentes émotions ressenties et à reconnaître celles qui influent sur les processus de pensée. La troisième branche, celle de la compréhension émotionnelle, est la capacité à comprendre des émotions complexes (comme le fait d’éprouver deux émotions distinctes en même temps) et celle de reconnaître les transitions d’une émotion à une autre. Enfin, la quatrième branche, celle de la gestion des émotions, correspond à la capacité à vivre ou à contrôler une émotion selon son utilité pertinente dans une situation donnée (Mayer et Salovey, 1997).

Modèles mixtes

Les modèles mixtes de l’intelligence émotionnelle diffèrent de façon substantielle, des modèles des capacités mentales. En fait, dans les premiers articles académiques sur l’IE, les deux types de modèles ont été proposés33,1. Ces articles présentaient une conception « capacité mentale » de l’intelligence émotionnelle tout en décrivant librement des caractéristiques de personnalité qui pourraient l’accompagner, telles que l’authenticité, le fait d’être chaleureux, la capacité à faire des plans pour l’avenir, la persévérance, etc1. Mais très vite, les mêmes auteurs ont reconnu que leur travail théorique serait plus utile s’ils se contraignaient à envisager l’intelligence émotionnelle comme une capacité mentale et s’ils la séparaient des traits de personnalité mentionnés précédemment. En faisant cette distinction, il serait possible d’analyser indépendamment le degré d’influence de l’IE dans la vie d’une personne. Bien que les auteurs ne négligent pas l’importance des traits de personnalité comme la chaleur, il vaut mieux, selon eux, s’y intéresser directement (Mayer & Salovey, 1993, 1997).

Modèle de Bar-On

Reuven Bar-On a mis au point une des premières mesures de l’intelligence émotionnelle suivant l’expression « quotient émotionnel ». Son modèle gravite autour du potentiel de rendement et de succès, plutôt que du rendement ou du succès comme tels, et est considéré comme étant orienté vers le processus plutôt que vers les résultats34. Il est centré sur une gamme de capacités émotionnelles et sociales, comprenant les capacités à (Bar-On, 1997) :

  • être conscient de soi ; Intelligence Intrapersonnelle
  • se comprendre et s’exprimer ; Humeur Générale
  • être conscient des autres, les comprendre et entretenir des rapports avec eux ; Intelligence Interpersonnelle
  • faire face à des émotions fortes ; Gestion du Stress
  • s’adapter au changement et régler des problèmes de nature sociale ou personnelle ; Adaptabilité
    Bar-On justifie comme suit son utilisation du terme intelligence émotionnelle : « L’intelligence décrit l’agrégation d’habilités, de capacités et de compétences […] qui […] représente une collection de connaissances utilisées pour faire face à la vie efficacement. L’adjectif émotionnel est employé pour mettre en relief que ce type spécifique d’intelligence diffère de l’intelligence cognitive » (Bar-On, 1997, p. 15).

Dans son modèle, Bar-On distingue cinq composantes de l’intelligence émotionnelle : l’intrapersonnel, l’interpersonnel, l’adaptabilité, la gestion du stress et l’humeur générale. Ces composantes comportent des sous-composantes.

Selon Bar-On, l’intelligence émotionnelle se développe avec le temps, et il est possible de l’améliorer par la formation et la thérapie34. Bar-On pose l’hypothèse que les personnes qui ont un QE supérieur à la moyenne réussissent en général mieux à faire face aux exigences et aux pressions de l’environnement. Il ajoute qu’une déficience dans l’intelligence émotionnelle peut empêcher le succès et traduire l’existence de problèmes psychologiques. Par exemple, selon lui, des problèmes d’adaptation au milieu sont particulièrement répandus parmi les personnes qui présentent des déficiences sur les sous-échelles d’épreuve de la réalité, de résolution de problèmes, de tolérance au stress et de contrôle des impulsions.

En général, Bar-On estime que l’intelligence émotionnelle et l’intelligence cognitive contribuent autant l’une que l’autre à l’intelligence générale d’une personne, qui constitue par conséquent une indication de son potentiel de réussir dans la vie34.

Modèle de Goleman

Daniel Goleman, psychologue et journaliste scientifique pour le New York Times, a écrit un ouvrage qui a popularisé le concept d’intelligence émotionnelle (Goleman, 1995a).

Le modèle de Goleman et ses collègues propose quatre grandes sphères de l’intelligence émotionnelle35 :

  • La première sphère, la conscience de soi, est la capacité à comprendre ses émotions, à reconnaître leur influence à les utiliser pour guider nos décisions.
  • La deuxième, la gestion de soi, consiste à maîtriser ses émotions et impulsions et à s’adapter à l’évolution de la situation.
  • La troisième, l’intelligence interpersonnelle ou conscience des autres, englobe la capacité à détecter et à comprendre les émotions d’autrui et à y réagir.
  • Enfin, la gestion des relations, correspond à la capacité à inspirer et à influencer les autres tout en favorisant leur développement et à gérer les conflits (Goleman, 1998).
    Goleman inclut un ensemble de compétences émotionnelles correspondant à chacun de ces concepts.

Les compétences émotionnelles ne sont pas des talents innés, mais plutôt des capacités apprises qu’il faut développer et perfectionner. Ces compétences sont organisées en « grappes » ou « groupes de synergie » qui se complètent et se renforcent réciproquement (Boyatzis, Goleman et Rhee, 1999).

Goleman reconnaît qu’il est passé de l’intelligence émotionnelle à quelque chose de beaucoup plus large. Il va si loin dans son livre qu’il dit que « il existe un vieux mot pour représenter l’ensemble des compétences liées à l’intelligence émotionnelle : le caractère ». (Goleman, 1995a, p. 285). Par ailleurs Goleman (1995a, 1998a, b) n’hésite pas à clamer l’extraordinaire pouvoir prédictif de son modèle mixte. Hormis le fait qu’elle favorise la réussite professionnelle et privée, l’auteur dit que l’IE permet aux jeunes d’être moins « rustres », moins agressifs et plus populaires (Goleman, 1995a, p. 192). Il va même jusqu’à affirmer qu’elle leur permet de prendre de meilleures décisions en ce qui concerne « les drogues, le tabac et le sexe » (Goleman, 1995a, p. 268).

D’une façon plus générale, l’intelligence émotionnelle conférera donc, selon Goleman, un avantage dans tous les domaines de la vie aussi bien dans les relations affectives et intimes que dans l’appréhension des règles implicites qui régissent la réussite dans les politiques organisationnelles (Goleman, 1995a, p. 36).

Intelligence émotionnelle et empathie

L’empathie désigne la faculté de se mettre à la place d’autrui. Il s’agit à la fois de percevoir et comprendre ce que ressent l’autre, tout en distinguant ces émotions des siennes. Plusieurs articles et ouvrages, dont celui de Daniel Goleman36 soutiennent l’idée que l’empathie joue un rôle important dans l’intelligence émotionnelle, car elle permet de comprendre et maîtriser ses propres émotions, et d’adapter son comportement face à un interlocuteur.

Composantes génétiques et environnementales de l’empathie

En mars 2018, des équipes de l’université de Cambridge, de l’Institut Pasteur et de l’université Paris Diderot publient une étude dans Translational Psychiatry démontrant qu’une partie des capacités d’empathie sont génétiquement déterminées. Les chercheurs ont identifié 11 loci. Ils estiment qu’environ 10% des variations d’empathie entre individus sont liées à la génétique, démontrant ainsi le rôle prépondérant de l’environnement sur le développement de ces capacités.

L’étude confirme également que les femmes ont un quotient empathique plus élevé que les hommes, cependant cette différence ne serait pas directement génétique, mais liée à l’influence de facteurs biologiques non génétiques, tels que les hormones prénatales, ou bien de facteurs environnementaux tels que l’éducation ou la manière de se socialiser37,38. De plus, la recherche neurologique a visé à caractériser les mécanismes neuronaux de l’intelligence émotionnelle39.

Empathie émotionnelle et empathie cognitive

Il est important de distinguer deux types d’empathie : l’empathie émotionnelle et l’empathie cognitive40.

L’empathie émotionnelle renvoie à l’émotion sous-jacente qui permet de ressentir ce que l’autre ressent en se mettant à sa place.

L’empathie cognitive quant à elle est une capacité qui peut se développer. La mobiliser permet de comprendre ce que pense ou bien ce que ressent son interlocuteur, sans toutefois le ressentir soi-même.

Dans les métiers altruistes (aide, santé, accompagnement, etc.), il est essentiel pour les professionnels de faire la distinction entre les deux formes d’empathie afin de pouvoir se protéger de la souffrance exprimée et répondre à la demande de manière la plus adaptée possible.

Applications

Dans le monde professionnel

L’intelligence émotionnelle intervient dans de nombreux domaines professionnels, dans lequel ces compétences peuvent être utilisées pour améliorer le management41, la gestion des ressources humaines, ou encore le leadership42. Plusieurs études soutiennent que les personnes ayant une intelligence émotionnelle élevée sont souvent des leaders plus efficaces et peuvent mieux gérer les conflits au sein des équipes de travail.

L’IE peut également être très bénéfique dans des domaines tels que l’entrepreunariat43 ou la négociation44. Elle est également très présente dans des domaines tels que l’éducation, la justice ou encore le droit.

Négociation

Peu de travaux sur la notion d’intelligence émotionnelle ont porté sur la négociation. Mais en tant qu’activité de communication et d’interaction, la négociation va de pair avec les émotions et celles-ci peuvent influencer positivement ou négativement son déroulement45. Des recherches sur des entretiens qualitatifs et des tests statistiques ont permis de montrer l’influence des émotions en négociation. Un négociateur coopératif émet des émotions positives tandis qu’un négociateur compétitif émet des émotions plutôt négatives. Aussi, grâce à des tests statistiques, il a été démontré que l’intelligence émotionnelle corrèle positivement avec les aptitudes en négociation telles la créativité, l’aptitude verbale et l’aptitude au raisonnement. Ainsi, l’intelligence émotionnelle peut s’avérer un atout fondamental pour le négociateur qui sait en tirer profit46.

Entrepreneuriat

Une étude exploratoire a recueilli par le biais du Web des données d’autoévaluation portant sur les compétences émotionnelles des jeunes entrepreneurs à succès. Ceux-ci ont affirmé posséder un haut niveau de confiance en soi, de loyauté, de sens du service et de l’accomplissement, d’ouverture au changement, de travail d’équipe et de collaboration. La loyauté était première au classement des 18 compétences émotionnelles évaluées. La même étude a également mis l’accent sur l’importance de pouvoir travailler en équipe et de collaborer pour de nouveaux projets47.

Éducation

Dans le domaine de l’éducation, l’intelligence émotionnelle peut jouer un rôle important au niveau de la réussite scolaire et du développement social des enfants. Plusieurs études vont en faveur d’une corrélation positive entre l’intelligence émotionnelle et les résultats scolaires48, les engagements sociaux (le bénévolat par exemple)49 ou encore la tendance à mieux se comporter en classe.

Du côté des enseignants, ceux dotés d’une intelligence émotionnelle accrue seraient plus à même de comprendre les besoins émotionnels de leurs élèves et d’adapter leur enseignement en conséquence.

Droit et justice

L’intelligence émotionnelle peut avoir un impact significatif dans les domaines de la justice et du droit. En effet, elle peut aider les professionnels à mieux comprendre leurs clients, à communiquer efficacement avec leurs collègues et d’autres parties prenantes, et à prendre des décisions judicieuses et éthiques50.

Dans la sphère privée

Au-delà du domaine professionnel, l’intelligence émotionnelle peut être particulièrement bénéfique au quotidien. En comprenant mieux ses émotions et celles des autres, l’IE permet d’être plus à même de construire des relations de qualité et de communiquer efficacement. Dans les situations conflictuelles, bien gérer ses émotions et prendre en compte celles de son interlocuteur permet d’aller plus rapidement vers une résolution du conflit. De même, l’IE semblerait avoir un impact positif sur les capacités d’adaptations et la résistance face au stress51.

En développement personnel, l’intelligence émotionnelle constitue en elle-même une ressource thérapeutique forte52, en particulier dans la thérapie cognitivo-comportementale (TCC). La capacité à identifier et à réguler ses émotions peut être particulièrement bénéfique dans le cadre de la TCC, car elle aide les individus à développer des stratégies d’adaptation pour faire face à la détresse émotionnelle53.

Source de la totalité de l’article avec Notes et références sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_%C3%A9motionnelle

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La définition de l’« Intelligence Emotionnelle » peut sembler surprenante car le concept mêle deux notions que l’on a habituellement coutume d’opposer. On y trouve d’un côté le mot « intelligence » qui désigne la capacité de raisonnement et d’analyse et d’un autre côté le mot « émotion  » qui désigne les réactions primaires difficilement contrôlables survenant suite à l’occurrence d’un événement bien précis ou dans certaines situations. Bien souvent la capacité de raisonnement est réduite lors d’un accès émotionnel…..

NB. Intemotionnelle Copyright 2022. Toutes reproductions sans autorisation interdites.

Document à lire sur ce site : https://www.intemotionnelle.com/quest-ce-que-lintelligence-emotionnelle/

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En tant que Chef du Protocole des Chanceliers allemands Merkel et Schröder, j’ai expérimenté la pratique diplomatique aux plus hauts niveaux et eu accès à la prise de décision en matière de politique étrangère, lors de réunions et de séances de ‘remue-méninges’ avec leurs conseillers, confidents, chefs d’État ou de gouvernement ou autres homologues internationaux, au-delà des contacts occasionnels avec les médias ou les universitaires.

I. L’intelligence émotionnelle dans la recherche académique

Tout d’abord, quelques idées précieuses du milieu universitaire qui peuvent fournir des connaissances d’orientation pertinentes pour les politiques et habiliter la pensée prospective :

Au cours des dernières décennies, les psychologues ont composé des définitions et des caractéristiques de l’intelligence émotionnelle, en insistant en fin de compte sur les points suivants : reconnaître et comprendre les dynamiques émotionnelles personnelles et interpersonnelles afin de bénéficier de croissance individuelle et collective (émotionnelle).

L’un des principaux modèles d’intelligence émotionnelle, le modèle mixte créé par Goleman, décrit l’intelligence émotionnelle comme la somme de quatre domaines qui ajoutent chacun un ensemble important de compétences au leadership, à savoir : la conscience de soi, l’autogestion, la conscience sociale et la gestion des relations (Goleman, 1998).

De plus, la discipline du leadership connaît une transition dans ses définitions. Alors que les premières théories étaient basées sur des traits physiques ou l’héritage d’un leader, les théories modernes initialement déplacé vers une approche de leadership situationnel, dans laquelle les dirigeants doivent examiner une situation donnée et choisir entre diriger, encadrer, soutenir et déléguer.

Ce virage a poursuivi son chemin vers une théorie comportementale, en se concentrant sur des modèles de comportement ‘apprenables’ qu’un le leader exécute, et conduit finalement à un leadership transformationnel, une approche populaire et actuelle pour comprendre l’efficacité des leaders.

Essentiellement, le leadership transformationnel favorise la création d’une vision partagée et une compréhension de la motivation personnelle, grâce à une collaboration étroite et à une confiance mutuelle, conduisant finalement à renforcer les relations et accroître l’engagement. Bass (1985) décrit la transformation, le leadership moral en tant qu’ensemble de quatre comportements spécifiques, en particulier la motivation inspirante, l’influence idéalisée, la stimulation intellectuelle et la considération individualisée.

Source d’Inspiration

La motivation est pratiquée en alignant de manière charismatique les parties prenantes sur l’objectif actuel et ce qui les rend passionnés. Prendre la position d’un modèle et agir en conséquence, grâce à l’intégrité et à la compassion, il s’agit d’une influence idéalisée.

Des leaders créatifs qui permettent à leur environnement de mettre en pratique de nouveaux processus de prise de décision, stimulent l’innovation et se déploient dans une stimulation intellectuelle.

Enfin, la considération individualisée porte sur la gestion et la construction de relations à long terme, répondant aux besoins individuels, conduisant finalement à la croissance individuelle et la satisfaction.

Dans le monde complexe d’aujourd’hui de la concurrence des grandes puissances, l’application des informations émotionnelles … ne se limite pas à une diplomatie féministe : même le président Biden est connu pour aller en finale “vérifiez les tripes’ avec son entourage (’historiens Biden’) avant de prendre une décision politique. Vous poiuvez l’appeler intuition, instinct ou.......Intelligence émotionnelle.

II. L’intelligence émotionnelle dans la pratique diplomatique internationale

Alors que la plupart des universitaires se sont concentrés sur le contexte de l’entreprise, il existe un manque fondamental de recherche empirique sur l’intelligence émotionnelle dans le contexte de la diplomatie internationale et des processus de politique étrangère. Cela est dû à l’exclusivité, à la confidentialité et au secret qui détermine les processus de politique étrangère, basés sur le mythe fondateur du ministère des Affaires étrangères : les affaires comme une boîte noire imaginée (Dittmer, 2020).

C’est dans l’intérêt de ceux qui déploient une diplomatie émotionnelle de garder la composition et la bureaucratie de cette prise de décision, un processus officieux. L’ouverture et l’élaboration de stratégies ne sont pas nécessairement des amies du tout : le public connaît moins l’aspect managérial de la planification des politiques dans la diplomatie émotionnelle (faible transparence) et plus les intentions stratégiques restent en arrière-plan, plus les perspectives de diplomatie émotionnelle pour réussir.

L’intelligence émotionnelle dans la diplomatie internationale (avec les tensions de la colère, de la sympathie et de culpabilité) et ses pratiques, par les dirigeants en tant qu’élément de leur compétence politique, ont été mieux exploités par Hall (2015) et Hutchison (2018). La performance des émotions a toujours été le cœur ainsi que le pouls de la diplomatie. Ainsi, le déploiement du comportement émotionnel est au cœur d’une diplomatie réussie.

Bien que les approches traditionnelles de la pratique de l’art de gouverner se concentrent sur un calcul raisonné des intérêts, l’essence de la nature plus que rationnelle de diplomatie réalisée par des êtres humains pour des êtres humains, assurent la sécurité humaine et mondiale des biens publics (Solana, 2020), résident dans l’art d’influencer.

Expressions d’empathie, de sympathie, la colère et même la culpabilité sont la clé de négociations diplomatiques efficaces, car les acteurs étatiques entreprennent des expressions émotionnelles explicites et coordonnées dans le cadre d’une stratégie politique délibérée.

Malgré les progrès technologiques en cours, la connaissance objective des connaissances factuelles reste limitée. Contrairement à la doxa d’une rationalité purement matérielle et calculatrice (comme l’homme qui s’est intéressé au syndrome coût-bénéfice ou à l’erreur axiomatique de la décision rationnelle idéale), le processus psychologique individuel et collectif de la gestion des connaissances fonctionne à travers un prisme émotionnel subjectif de perception de l’information situationnelle et contextuelle, du cadrage, de l’analyse et du positionnement.

La cognition émotionnelle et le fonctionnement sont liés à des catégories psychologiques, telles que l’empathie, la sympathie, la compassion, la solidarité d’un côté et la peur, l’anxiété, la colère, l’humiliation de l’autre. Ils présupposent et incluent la volonté de reconnaître l’existence des autres, leur identité et leurs intérêts en tant que boussole morale de la diplomatie…

La diplomatie nécessite aujourd’hui un changement majeur d’orientation vers une nouvelle unité d’analyse et d’action : les êtres humains, faisant de l’individu, le principal bénéficiaire de la politique (Solana, 2020) et mettre en relation, plutôt que de transaction dans le centre.

L’essence de cette diplomatie stratégique est morale (par opposition à la diplomatie de puissance exclusive avec “l’intérêt national d’abord”) : elle reconnaît l’univers moral de l’autre (revendications et griefs), afin de rechercher et de s’engager pacifiquement dans des objectifs communs, grâce à une interaction sociale (Bolewski, 2021).

La prise de décision humaine en tant que carte de l’esprit, s’avère donc être une combinaison d’intuition et le raisonnement (Raelin, 2020), où l’argumentation rationnelle et la stratégie post-factum servent principalement comme justification et légitimation dans et pour la sphère publique pour “couvrir ’ les émotions comme de véritables motivations pour les choix politiques. La raison est une mentalité de second ordre (Rose, 2021), l’émotion étant la première.

En politique étrangère, comme dans toute interaction humaine, il y a deux manières d’influencer les relations et les résultats : par la raison pour persuader ou par l’émotion pour motiver et influencer.

En tant que praticien diplomatique, j’ai expérimenté qu’il est plus efficace d’influencer ensuite pour persuader, puisque la dynamique durable est du côté de l’émotion, pas de la raison.

La politique gouvernementale fonctionne en réponse aux exigences de la société en matière d’efficacité et dans ses actions, en fonction des circonstances sociales et des attentes publiques en général.

Le succès politique est une construction sociale qui reflète les relations de pouvoir existantes dans un contexte spécifique de temps, d’espace et de culture.

Quelques exemples récents de la politique de la chancelière Merkel peuvent illustrer les avantages de l’ingénierie émotionnelle pratiquée : comme conduire l’acceptation et le maintien du grand public, la capacité du processus de décision afin d’éviter une crise de confiance dans les valeurs fondamentales, ainsi que dans le système de gouvernance.

* 2011 : Fukushima (catastrophe naturelle et nucléaire), avec un renversement du nucléaire de Merkel la politique du pouvoir comme exemple de l’interdépendance des sphères étrangères et nationales.

• 2015 : la politique de la porte ouverte de Merkel pour les migrants (’culture d’accueil’), avec des légitimations telles que l’humanité basée sur l’impact des images publiques, la réputation historique de l’Allemagne, le besoin d’intégration de la main-d’œuvre étrangère.

• 2020 : Fonds de reconstruction COVID de l’UE, avec des légitimations de l’humanité au-dessus de la fraude fiscale, concernent le moment de l’Europe qui créée un précédent pour la solidarité future, le changement d’esprit et de la politique de Merkel : ’des circonstances extraordinaires exigent des mesures inhabituelles”.

• 2021 : Proposition de Merkel de collaboration avec Poutine sur le vaccin COVID en Europe, malgré de nombreuses controverses politiques et systémiques.

L’intelligence émotionnelle en tant qu’ingénierie sociale nécessite un processus d’apprentissage basé sur la pratique et un changement de mentalité relationnelle sur la base de la connexion avec les autres et de la mise à l’épreuve des idées par le brainstorming, une mise à l’épreuve des idées

L’apprentissage des politiques, comme l’intelligence émotionnelle, est généralement associé à des conséquences intentionnelles, progressives et cognitives, résultant de l’évaluation des politiques. Ce type d’apprentissage social implique une adaptation de la construction sociale de la politique par les décideurs politiques dans un domaine politique donné. Il s’agit de repenser les aspects fondamentaux d’une politique, qui se rapportent aux problèmes, aux interventions et aux objectifs ainsi qu’aux conflits d’intérêts.

L’apprentissage politique par l’intelligence émotionnelle s’est avéré être une ligne directrice précieuse pour le succès de l’élaboration des politiques.

Le potentiel de l’intelligence émotionnelle comme stratégie de communication et pour l’engagement dans la diplomatie peut mieux se manifester en période d’urgence et de crise politiques, afin d’identifier de nouvelles façons de résoudre des problèmes insolubles et de tester des solutions innovantes.

III. L’avenir de l’intelligence émotionnelle en politique étrangère

L’avenir de l’intelligence émotionnelle en politique étrangère dépend de la volonté et de l’ouverture des acteurs-clés dans le vaste contexte politique et commercial international, pour combiner les efforts afin de comprendre les croyances émotionnelles de l’opposition, avec une direction transformationnelle moderne, une approche entrepreneuriale.

Ce nouvel état d’esprit, avec de nouveaux résultats, pourrait guider les dirigeants actuels et futurs à travers les temps agités et l’incertitude ambiante. Les temps turbulents exigent des solutions créatives et innovantes, des solutions au niveau mondial : il faut donc maintenir des relations diplomatiques constructives.

Corresponding Author : Wilfried Bolewski, wb.diplo@hotmail.com

Citation : Bolewski, W., Sandu, D. (2021). Emotional Intelligence in Foreign Policy Processes. Academia Letters, Article 1245. https://doi.org/10.20935/AL1245

Une vision et une motivation partagées parmi les responsables de la politique étrangère et leurs assemblées diplomatiques, pourraient mobiliser les solutions durables appropriées pour les défis futurs pour un dernier « contrôle digestif » avec son entourage (« les historiens de Biden »), avant de prendre une décision politique. Vous pouvez appeler cela l’intuition, l’instinct ou ... l’intelligence émotionnelle !

Références

Bass, Bernhard (1985), Leadership and performance beyond expectations, New York, TheFree PressBolewski,

Wilfried (2021), ‘Compass for public/private management in turbulent times : cor-porate diplomacy’, International Journal of Diplomacy and Economy, Vol. 7, No. 1, pp.4-18

Dittmer, Jason (2020), ‘Distributed agency : Foreign policy sans MFA’, The Hague Journalof Diplomacy, Vol. 15, No. 1-2, pp. 155-164

Goleman, Daniel (1998), Working with emotional intelligence, New York, Bantam BooksHall,

Todd H. (2015), Emotional diplomacy : Ocial emotion on the international stage,Ithaca, NY, Cornell University PressHutchison,

Emma (2018), ’Why study emotions in International Relations ?’, E-Relations,https// :www.e-ir.info/2018/03/08/why-study-emotions-in-international-relations/ Railin,

JosephA.(2020), ‘Towards a methodology for studying leadership-as-practice’, Lead-ership, Vol. 16, No. 4, pp. 480-508

Rose, Philip (2021), ‘Speculative philosophy and the tyranny of the practical’, AcademiaLetters, Article 168, https://doi.org/10.20935/AL168.

Solana, Javier (2020), ’The case for “Human Diplomacy”, The Hague Journal of Diplomacy,Vol. 15, No. 1-2, pp. 670-680

For further theoretical framework, see : Adler-Nissen, Rebecca /Andersen, Katrine Emilie/Hansen, Lene (2018), ‘Images, emotions,and international politics : the death of Alan Kurdi’, Review of International Studies, Vol. Academia Letters, June 2021

Corresponding Author : Wilfried Bolewski, wb.diplo@hotmail.com

Academia Letters - Press Blog People Papers Topics Academia Biology Academia Engineering - Letters, Article 1245. https://doi.org/10.20935/AL1245. 2021 by the authors — Open Access — Distributed under CC BY 4.0 – Source de l’article traduit : https://www.academia.edu/49343874/Emotional_Intelligence_in_Foreign_Policy_Processes

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  • Établir des relations constructives - Rédigé par Antoni le 27/04/2022 – Document en forme de communiqué émanant de l’organisme belge ‘Evolew’
    Etablir des relations constructives est la première étape pour que toutes vos relations démarrent sur le bon pied. Des relations qui ne sont pas constructives ne vous apporteront rien de bon dans votre vie si ce n’est une parte de temps ainsi que de la négativité. Apprenez donc, par le biais de cet article, à améliorer vos relations.

Les relations constructives

Dans cette article, nous allons vous présenter comment établir des relations constructives. Ces relations favorisent la communication, la collaboration entre collègues, la formation des nouveaux. Il s’agit d’une nécessité pour mettre en pratique la coopération entre collaborateurs, gage de la qualité des services et d’un dialogue constructif dans votre entreprise.

Suivre une formation pour mieux comprendre ses relations

Etat des relations au quotidien

Les relations entre collaborateurs occupent une place majeure dans un environnement de qualité. Les prérequis sont l’autonomie et le respect au sein d’une équipe. Les comportements toxiques peuvent engendrer des situations stressantes, des conflits, un cadre anxiogène et des situations complexes à gérer.

Demander un devis pour une formation

Une relation constructive, qu’est-ce que c’est ?

Les relations constructives sont les fils qui tissent des liens pour épanouir les personnes qui les créent et qui s’y attachent. Une relation constructive est une relation qui se caractérise par des objectifs communs, le souci mutuel des collaborateurs, une place pour l’autonomie et le respect, une information partagée, ainsi que d’autres facteurs différents et variés. Ainsi, dans une relation constructive, les personnes impliquées sont donc préoccupées par les besoins des autres.

prendre le temps de bien s’entourer

Prendre le temps de bien s’entourer

Il existe des personnes qui donnent des formations pour aider les gens qui éprouvent des difficultés à avoir des relations. Celles-ci les aident à atteindre leurs objectifs quels qu’ils soient en faisant des mises en situation pour les aider au mieux possible. Le techniques reçues au cours des formations prévoient des outils et des prérequis nécessaires pour le nouveau projet qui est avoir des relations d’une façon efficace et nourrissante à la fois. Les formateurs ou formatrices créent une mise en situation et les mettent dans les conditions pour les aider à acquérir toutes les informations, et pour aussi assimiler les pratiques. La formation a rencontré un franc succès auprès de tout profil dans le besoin. Ces formations sont tendance.

formation des relations amoureuses

Formation aux relations amoureuses

Pourquoi créer des relations constructives ?

Pour avoir un bon relationnel ainsi qu’une bonne communication dans la société. Il est important d’être dans de bonnes conditions d’écoute et d’adopter le meilleur des comportements pour arriver à une bonne entente. Une relation nécessite de la confiance, du respect, de la loyauté, de la réciprocité ainsi que l’ouverture d’esprit. Sans cela, la relation échouera et il sera alors inutile de commencer ou de la poursuivre.

apprendre à coexister ensemble

Apprendre à coexister ensemble

Pour les étudiants

Il faut favoriser un environnement d’enseignement et d’apprentissage chaleureux qui va permettre aux élèves de se sentir à l ‘aise et soutenus, et où ils n’auront pas peur de poser des questions quand ils ne comprendront pas. Ce qui favorise également la réussite des étudiants est justement d’établir des relations constructives, en plus du process d’apprentissage. Les élèves qui sont en collaboration, et qui mettent en pratique ou qui se mettent en situation, ont une plus grande compréhension de leur formation à l ‘école. L’ensemble des élèves qui n’ont pas assez de prérequis ou de connaissances doivent poser la question au professeur pour ainsi intégrer l’ information.

suivre une formation au niveau relationnel

Suivre une formation au niveau relationnel

De plus, il faut identifier les prérequis, et reconnaître ses capacités et ses compétences. Le service pédagogique peut offrir aux étudiants la possibilité de sélectionner des activités et des programmes qui conviennent aux intérêts du groupe, comme par exemple la mise en situation. On peut définir les attentes et les règles de la classe dans la formation des élèves. Une approche juste et amicale s’avère indispensable lors de toute coopération avec les élèves.

Cependant, ce sont les élèves qui possèdent le plus d’assurance qui ont le plus d ‘influence dans leurs interactions avec l’enseignant, ainsi que leurs autres comportements quand ils sont en classe. Le profil, l’âge, l’origine des élèves montrent leur motivation et leurs intérêts. Le cadre de la coopération, la qualité des apprentissages, la description et les objectifs de l’activité de formation doivent se trouver au menu de la première séance de cours.

apprendre à bien communiquer dès l’enfance

Apprendre à bien communiquer dès l’enfance

Pour les parents

L ‘enseignant doit se comporter de manière amicale et informer les parents du contenu de la formation de leur enfant à l ‘école. Il peut éventuellement organiser une journée portes ouvertes ou bien des rencontres parents-professeurs, pour offrir l ‘occasion de développer des discussions informelles et enrichissantes avec les parents sur ce que les élèves apprennent en classe. Ces pratiques contribuent à la promotion de l ‘école auprès des familles. Le professeur doit se rendre accessible aux parents pour répondre à toutes les préoccupations et questions qu’ils pourraient se poser. Cela crée un lien fort entre les parties prenantes.

apprendre à son enfant à se faire comprendre

Apprendre à son enfant à se faire comprendre

Pour le personnel

Dans le monde du travail, engager des discussions professionnelles avec les collègues de travail reste primordial pour établir des relations constructives. Cela permet de développer une bonne communication et une collaboration avec eux pour devenir un membre de l ‘équipe compétent, tout en évitant les situations de conflit. Cela contribue à un environnement de qualité dans votre organisation.

faire un devis pour une formation d’entreprise

Faire un devis pour une formation d’entreprise

Assister à des réunions et contribuer à la planification d’équipe, être ouvert au partage d’idées et de ressources, communiquer avec assertivité favorisent les relations de manière saine et dans la durée. Rechercher continuellement des conseils et des commentaires de collègues afin d’améliorer la pratique, la coopération, la collaboration et les techniques de communication.

Assister à des réunions régulières du personnel, participer à des discussions sur la question de la stratégie, et discuter de tout problème ou préoccupation et de la façon dont nous pouvons modifier le produits et services pour mieux s’aligner avec le marché.

suivre une formation professionnelle

Suivre une formation professionnelle

A la maison

Il est nécessaire d’avoir une bonne relation avec sa famille surtout dès l ‘enfance pour éviter toute situation de conflit. Il faut donner la priorité à une bonne communication. Cela est prouvé grâce aux connaissances des experts qui ont tous les prérequis nécessaires à la recherche et l ‘analyse pour organiser des pratiques d’apprentissage. Ainsi les enfants auront une bonne éducation et auront de bons comportements envers leurs parents.

prendre le temps d’être ensemble

Prendre le temps d’être ensemble

Comment créer des relations sociales ?

La survie de l’humain dépend également de la capacité de pouvoir établir des relations sur le plan social. La majeure partie de l’histoire humaine a été passée en groupes de personnes dans lesquels chaque individu dépendait des autres pour sa survie.

Sur internet

L ‘individu qui recherche à établir des relations constructives va généralement se créer un profil sur un réseau social. Il tente de rentrer en communication avec d ‘autres personnes, à distance ou non afin de créer des interactions.

construire des relations via les réseaux sociaux

Construire des relations via les réseaux sociaux

Dans la vraie vie

Pour établir des relations constructives, il existe plusieurs endroits qui y sont favorables comme par exemple le lieu de travail, les endroits culturels, les mouvements de jeunesse, les clubs de sports ou encore les lieux d’activité extra-scolaires. Sur ces lieux, on y voit plusieurs comportements tous différents selon notre culture et nos origines. Il se peut que certains individus n’aient pas les mêmes objectifs, ce qui peut engendrer une situation de conflit à cause d’éléments perturbateurs.

suivre une formation sur les nouveaux médias

Suivre une formation sur les nouveaux médias

Comment faire pour avoir une vie sociale ?

Dans la vraie vie

Pour avoir une vie sociale, on peut s’inscrire à un club de sport, de lecture ou encore à un mouvement de jeunesse. Grâce à cela, on se trouve dans des situations qui nous amènent à pratiquer des techniques différentes de communication.

bien communiquer avec son réseau professionnel

Bien communiquer avec son réseau professionnel

La vie sociale médiatisée

Les personnes qui vivent isolées éprouvent le sentiment de cultiver des liens de qualité sur les réseaux sociaux.

Les gens gardent la liberté de construire leur vie sociale en ligne et hors ligne. Leurs cercles sociaux peuvent inclure la famille, les amis, les mentors professionnels et d’autres personnes importantes dans leur vie. Les liens sociaux en ligne peuvent être une puissante source de soutien social et de joie, en particulier pour les personnes isolées pour des raisons géographiques. Cependant, rien ne remplace l ‘interaction en face à face, et ceux qui passent du temps entre amis et en famille rapportent des niveaux de bien-être plus élevés que les personnes ayant moins de liens « dans la vie réelle ».

apprendre à bien utiliser les réseaux sociaux

Apprendre à bien utiliser les réseaux sociaux

Comment construire des relations constructives au travail ?

Pouvoir établir des relations constructives au travail

Dans plusieurs entreprises, il existe la possibilité de trouver une place dans des formations. Pour ceux qui n’auraient pas la possibilité d’avoir une place pour y assister, il est possible de les télécharger via un lien en PDF ou de visionner des vidéos qui nous apprendront tous les prérequis et les techniques importantes à mettre en pratique. Le désavantage de ces formations reste dans le fait qu’elles soient organisées à distance. Difficile pour établir des relations constructives. Le souci est que si l’on éprouve le besoin de poser des questions, on pourra être bloqué dans le développement de ses pratiques. Mais l’avantage de la formation à distance, c’est qu’elle est disponible pendant une durée indéterminée et sous certaines conditions.

suivre une formation en communication

Suivre une formation en communication

Communication

L ‘humain a besoin d’interagir avec d’autres personnes pour trouver un équilibre pour vivre. L’individu va alors créer des relations avec autrui pour qu’elles soient de qualité, ce qui lui permettra de s’épanouir.

Une relation de travail de qualité exige de la confiance, du respect ainsi qu’une communication ouverte.

prendre le temps de suivre une formation

Prendre le temps de suivre une formation

Confiance et confiance en-soi

Quand vous créez un lien de confiance avec les membres de votre équipe, vous contribuez à établir des relations constructives. Vous pouvez être ouvert et honnête dans vos pensées, dans votre communication et dans vos actions envers vos collaborateurs.

On peut éprouver des difficultés pour réussir notre projet d’entreprise si nos clients, nos fournisseurs et nos employés ne nous font pas confiance.

En effet, si les employés manquent de confiance en nous ou en notre entreprise, ils n’auront donc pas envie de s’engager et ne seront pas enthousiastes à l’idée de prendre des initiatives pour nous.

Lorsqu’on développe la confiance, nous développons une image positive et constructive de notre entreprise qui se construit sur des valeurs de crédibilité, de sécurité et de fiabilité.

avoir confiance en soi à tout âge

Aavoir confiance en soi à tout âge

Respect

Les différentes équipes qui travaillent ensemble dans le respect mutuel valorisent la contribution des autres et trouvent ainsi des solutions qui sont basées sur la perspicacité collective, la gentillesse et la créativité.

Etablir un cadre de communication ouverte reste plus avantageux que d’exiger une obéissance pure et dure. Des employés respectés montreront beaucoup plus d’entrain au travail et parleront autour d’eux de la bonne ambiance qui domine dans leur entreprise

respecter l’avis des autres

Respecter l’avis des autres

Avantages des relations constructives au travail

Dans le monde du travail, avoir des relations constructives avec ses collègues offre de nombreux avantages :

  • Communication ‘impactante’
  • Mieux gérer sa carrière et ses relations
  • Gérer les tensions plus facilement : lorsque l’entente est bonne, le climat est propice à un échange et à un dialogue constructif, ce qui facilite la gestion d’éventuelles tensions au sein de de son entreprise
  • Mieux appréhender le changement
  • Gagner en efficacité et en qualité de travail
  • Meilleure confiance en soi
  • Se rendre des services entre collègues
  • Mettre en pratique ou en place des éléments pertinents dans tout projet de collaboration.

    collaborer en formation pour mieux se connaître

Collaborer en formation pour mieux se connaître

D ‘autre part, pour le manager, une bonne entente dans son équipe sera un véritable atout, car cela aura pour conséquences :

  • Booster l’intelligence collective : qui dit bonnes relations, dit communication fluide et climat de confiance, un terrain favorable aux partages, aux propositions innovantes, aux prises de décision et performance renforcée
  • Favoriser la coopération entre les différents individus de son équipe
  • Renforcer la cohésion de son équipe
  • Trouver des solutions plus innovantes plus aisément : une bonne entente au sein de l ‘équipe favorise l’effervescence intellectuelle et créative en faisant reculer les barrières de jugement et autres freins à l’innovation
  • Sortir plus facilement des périodes de crise : un dialogue ouvert et qui est constructif permet une sortie qui sera plus rapide et positive des périodes difficiles.

    suivre une formation donnée par un coach

Suivre une formation donnée par un coach

L ‘établissement et le maintien de bonnes relations de travail vous rendront plus engagé dans votre travail, amélioreront votre potentiel de carrière et élèveront tous les collaborateurs de l’équipe sur la durée.

Utilisez les différentes stratégies suivantes pour construire de bonnes relations de travail avec vos collègues ou votre clientèle :

  • Identifiez vos besoins relationnels
  • Développez vos compétences relationnelles
  • Concentrez-vous sur votre intelligence émotionnelle
  • Pratiquez l’écoute consciente
  • Gérez vos limites
  • Planifiez du temps pour établir des relations
  • Appréciez les autres
  • Soyez positif
  • Évitez les commérages dans le dos des personnes ainsi que les conflits.

    suivre une formation à distance

Suivre une formation à distance

La relation, tout un art

Accepter l’autre comme ils sont dans toute situation

Identifiez ces situations pour combler les besoins des autres et nourrissez leurs attentes. Cela représente les éléments d’une relation stable dans la durée.

Donner des signes de reconnaissance

Suivez une formation en ligne pour en connaître les prérequis et apprivoisez les techniques qui permettront à votre entourage de grandir grâce à leur chef qui donne des bons feedbacks.

Exprimer ses attentes réciproques dans la relation

Exprimez vos besoins réciproques, garder un subtil équilibre entre ceux-ci et osez demander. La formation peut aussi vous aider à évoluer à ce niveau. Développez des pratiques réflexives sur toute situation tendue et apprenez de vos erreurs.

Ne jugeons pas les autres : chacun a sa vision de la relation

Nos objectifs réciproques peuvent être contradictoires. Nous pouvons alors combler nos besoins avec d’autres relations. Exploitez toute situation pour vous élargir votre vie sociale.

Osez demander

Cela vous permettra de vous respecter vous-même.

Montrez-vous flexible

Il s’agit de s’ouvrir aux cadres de référence de toute personne dans toute situation.

Soyez spécifique dans votre approche

Nous avons cette habitude à nous exprimer par l’usage de généralités. Améliorez vos pratiques de communication en énonçant des faits précis

Conclusion

Les relations constructives représentent une nourriture pour tout être humain.

Que ce soit par la formation ou toute mise en situation, l’ouverture à différentes pratiques ou méthodes, vous pouvez maintenant tester de nouvelles approches et valider leur bon fonctionnement.

Tout chef d’entreprise aura compris l’importance de fixer des objectifs de développement à son équipe, afin d’observer un impact sur sa structure. Il s’agit là d’un prérequis pour la croissance et une mise à la page pour tout entrepreneur.

Sur notre site internet, vous pouvez prendre contact via notre formulaire se trouvant en haut de la page, afin de faire une demande de formation donnée par un coach professionnel. Cette formation vous aidera à améliorer les aspects que vous voulez. Vous pourrez également obtenir un devis si vous désirez poursuivre cette formation. Ce devis vous sera communiqué dès que possible et ce devis vous permettra d’en savoir plus sur nos tarifs.

Photo d’illustration de Evolew

Evolew vous propose du contenu de qualité pour vous accompagner dans la transformation de votre entreprise. Vous souhaitez en savoir plus ou voir une démo de notre produit ? Appelez-nous (+33 1 86 26 46 63), envoyez-nous un email (mail@coachhub.com) ou cliquez sur le lien ci-dessous.

Evolew Rue de Courcelles, 2F 6044, Charleroi Belgique - BCE : 0825.079.426 +32 476 93 98 19 contact@evolew.be

Source d’accès à ces conseils pratiques par informations en forme de communiqué : https://www.evolew.be/blog/relation/etablir-des-relations-constructives/

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Collecte de documents et agencement, traduction, [compléments] et intégration de liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 18/07/2023

Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales

Site : https://isias.info/

Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

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