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"Etudiants ‘Turning Green’ acteurs du changement ; ‘Jeunes verts mondiaux’ dans l’action ; Mouvement ’Coexister’ interconvictionnel de jeunesse et d’éducation populaire ; Institutions en soutien (Unicef, Nations Unies…)" par Jacques Hallard
dimanche 20 novembre 2022, par
ISIAS Ecologie Alternatives Jeunesse
Etudiants ‘Turning Green’ acteurs du changement ; ‘Jeunes verts mondiaux’ dans l’action ; Mouvement ’Coexister’ interconvictionnel de jeunesse et d’éducation populaire ; Institutions en soutien (Unicef, Nations Unies…)
Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, site ISIAS – 17/11/2022
Plan du document : Introduction Sommaire[ Auteur

Pour les jeunes des centres sociaux, « la nature parle mais les hommes ne l’écoutent pas »
France - Pour les jeunes des centres sociaux, « la nature parle mais ‘les Hommes’ [adultes] ne l’écoutent pas » - Ils se sont réunis à Avignon pour échanger sur « l’urgence écologique » : 109 adolescents des centres sociaux de la France entière ont interpellé l’État, les élus, les entreprises et les générations précédentes. La jeunesse se mobilise, encore, pour le climat…. – Reportage de Pierre Isnard-Dupuy- 12 novembre 2019 – Source : https://reporterre.net/Pour-les-jeunes-des-centres-sociaux-La-nature-parle-mais-les-hommes-ne-l-ecoutent-pas
Ce dossier propose un point sur la position et les engagements de certains jeunes à travers le monde pour des alternatives en matière d’écologie, afin de contribuer si possible à la sauvegarde de l’état de la Planète et de ses habitants actuels et pour les générations futures. Pour mémoire, la population mondiale, nombre d’êtres humains vivant sur Terre à un instant donné, est estimée selon l’ONU à 7,94 milliards à la mi-2022 et à 8 milliards le 15 novembre 2022 – Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Population_mondiale
Les étudiants de ‘Turning Green’ « sont nos artisans du changement. La prochaine génération est notre avenir. L’action est notre espoir collectif »…
Les ‘Jeunes Verts Mondiaux’ (Global Young Greens > GYG), association à but non lucratif, s’engagent à leur manière dans de nombreux pays…
Un Mouvement ‘interconvictionnel’ de jeunesse et d’éducation populaire, reconnu d’intérêt général, aconfessionnel et apartisan, s’organise et travaille d’arrache-pied au sein de ‘Coexister’ ...
La ‘Libre Pensée’ – dont l’histoire est rappelée ici – coopère notamment avec ‘Coexister’ pour la liberté de conscience et la laïcité…
Certains se questionnent : « La jeunesse a-t-elle pris conscience des enjeux environnementaux ? » ; d’autres estiment que les jeunes sont les grands oubliés de l’élection présidentielle en France…
Concernant les jeunes et l’action climatique, l’UNICEF estime qu’il faut mieux faire pour bien entendre la voix des jeunes pour protéger l’avenir de notre planète…
D’autres institutions se font entendre :
*En France, ‘Vie-publique.fr’ costatent que « Les jeunes sont inquiets pour le climat, mais qu’ils continuent de consommer… »
*Les Nations Unies abordent le sujet de « La Jeunesse en action » et préconisent avec vigueur « 9 choses à faire dès maintenant »…
Les documents choisis pour ce dossier, conçu dans un but didactique, sont indiqués avec leurs accès dans le sommaire ci-après
Retour au début de l’introduction
- Communiqué de ‘Turnng Grenn’ : « Les étudiants sont nos artisans du changement. La prochaine génération est notre avenir. L’action est notre espoir collectif » - 04 novembre 2022
- Jeunes Verts Mondiaux (Global Young Greens > GYG) - Association à but non lucratif
- COEXISTER – ‘Coexister’ est un Mouvement interconvictionnel de jeunesse et d’éducation populaire, reconnu d’intérêt général, aconfessionnel et apartisan ...
- Emission de la ‘Libre Pensée’ invitée à ‘France Culture’ - Liberté de conscience et laïcité, échanges entre la Libre Pensée et Coexister - Dimanche 13 novembre 2022 - Provenant du podcast Divers aspects de la pensée contemporaine – Enregistrement de ‘France Culture’ d’une durée de 18 minutes
- Article de Wikipédia sur la ‘Libre Pensée’
- La jeunesse a-t-elle pris conscience des enjeux environnementaux ? - Publiépar Eleve_FRW
- L’écologie et les jeunes : les grands oubliés de cette présidentielle en France - Par Sophie Cayuela13 avril 2022 – Document ‘natura-sciences.com’
- Les jeunes pour l’action climatique - Faire mieux entendre la voix des jeunes pour protéger l’avenir de notre planète. Document ‘UNICEF’
- Les jeunes sont inquiets pour le climat mais continuent de consommer - Par La Rédaction - Publié le 9 janvier 2020 - Document ‘vie-publique.fr’
- #ZEHNLa Jeunesse en action – Document des Nations Unies - un.org/fr/climatechange/youth-in-action’’
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Communiqué de ‘Turnng Grenn’ : « Les étudiants sont nos artisans du changement. La prochaine génération est notre avenir. L’action est notre espoir collectif » - 04 novembre 2022
Le Projet Green Challenge (PGC) informe, inspire et mobilise les lycéens, les étudiants et les diplômés du monde entier autour de l’action climatique, de la santé publique, de la justice sociale et du plaidoyer.
Notre 12ème initiative mondiale annuelle, qui a eu lieu en octobre 2022, a mobilisé des milliers de participants passionnés et motivés, issus de plus de 775 écoles dans 48 États des Etts-Unis et 70 autres nations. Toutes vos contributions, votre temps, votre énergie, votre cœur, votre dévouement et votre croissance sont vus et célébrés par nous tous, vos écoles et le monde entier ! Ce n’est que le début de notre collaboration pour toutes les personnes et la Planète - et nous espérons travailler avec vous tous à l’avenir.
Nous sommes ravis d’annoncer les finalistes du PGC 2022 > Finalists , 14 jeunes leaders exceptionnels de six pays sélectionnés parmi les participants internationaux du PGC sur la base de leurs points, de la profondeur et de l’étendue de leur engagement, des défis remportés, de la qualité de leur travail, d’un examen final et d’un récapitulatif vidéo de leur voyage de 30 jours.
Félicitations pour leur excellent travail et leur engagement exceptionnel envers le PGC, la santé, les communautés et le monde. L’équipe de Turning Green a hâte d’accueillir ces jeunes leaders extraordinaires en personne à San Francisco pour la finale du PGC à la fin du mois de novembre 2022. Découvrez-les ci-dessous, sur notre site website et dans les jours à venir sur Instagram @TurningGreenOrg > @TurningGreenOrg.
Merci à tous pour l’un des mois les plus inspirants et autonomisants de l’histoire de notre organisation ! Avec gratitude et espoir, L’équipe de Turning Green
FINALE - Le sommet annuel de quatre jours habilite et mobilise les leaders étudiants à agir avec détermination, passion et partenaires solidaires.
Finalistes – Porte-parole – Ambassadeurs – Mentor conseillers > https://projectgreenchallenge.com/ambassadors/
Félicitations aux finalistes du PGC2022, 14 jeunes leaders exceptionnels de six nations sélectionnés parmi les participants du PGC en fonction des points, de la profondeur et de l’ampleur de l’engagement, du nombre de victoires au défi, de la qualité du travail, d’un examen final et d’un récapitulatif vidéo de leur parcours de 30 jours. Notre équipe a hâte d’accueillir ces étudiants extraordinaires en personne plus tard ce mois-ci. Lisez tout sur ces acteurs du changement de nouvelle génération !
Les PGC Finals auront lieu du 17 au 20 novembre 2022 à San Francisco en Californie, un sommet écologique transformationnel de trois jours tous frais payés, construit autour de la passion, du but et de la connectivité. L’événement rassembledes pairs partageant les mêmes idées avec un groupe estimé de leaders écologiques, de conférenciers, de mentors, d’ambassadeurs et de partenaires pour soutenir, équiper et propulser les finalistes avec les outils, les ressources et le savoir-faire nécessaires pour s’élever en tant que leaders avec leurs projets d’action climatique (PAC) et au-delà. Le contenu couvre une multitude de sujets visant à renforcer la capacité de changement sur les campus et entre les communautés, offrant aux étudiants l’occasion de partager leurs expériences, leurs apprentissages, leurs pratiques exemplaires et leurs idées et d’acquérir des idées, des perspectives et des compétences pour poursuivre leur activisme.
Le dimanche, chaque finaliste présente son expérience PGC et son CAP à un public, y compris un panel de juges [voir les presentations en anglais des vidéos de l’évènement PGC en 2021]
Le financement de démarrage du PAC sera accordé sous forme de bourses à plusieurs niveaux. Les finalistes continuent d’élaborer, de construire, de peaufiner et de mettre en œuvre des CAP en partenariat avec une équipe de mentors jusqu’en avril 2023, qu’ils présenteront virtuellement à la fin de la finale PGC — Part 2, le dimanche 23 avril 2023. Ce jour-là, les juges nommeront le champion PGC et remettront le prix vert de 5.000 $, le grand prix.
Faîtes connaissance avec les finalistes du PGC 2022 !
Le Projet Green Challenge (PGC) informe, inspire et mobilise les lycéens, les étudiants et les diplômés du monde entier autour de l’action climatique, de la santé publique, de la justice sociale et du plaidoyer. La 12ème initiative mondiale annuelle a lieu chaque année en octobre, et l’année 2022 est maintenant terminée ! Nous voulons rendre hommage au brillant travail accompli par des milliers de participants de plus de 700 écoles dans 48 États et 68 pays.
Cet appel à l’action puissant et diversifié propose 30 jours de défis sur le thème de l’environnement qui changent les vies, font évoluer les mentalités et donnent aux étudiants les connaissances, les ressources et le mentorat nécessaires pour mener le changement sur les campus et dans les communautés. Par le biais d’un mode de vie conscient, d’une consommation informée et d’une action individuelle et collective en faveur du climat, les participants au PGC sont invités à imaginer et à œuvrer en faveur d’une planète et d’un avenir qui soient sains, justes et résilients dans lesquels ils pourront s’épanouir.
Félicitations aux finalistes du PGC 2022, 14 [individuels ou groupes] de jeunes leaders exceptionnels de six pays sélectionnés parmi les participants au PGC sur la base de leurs points, de la profondeur et de l’étendue de leur engagement, du nombre de défis remportés, de la qualité de leur travail, d’un examen final et d’un récapitulatif vidéo de leur voyage de 30 jours. Notre équipe est impatiente d’accueillir ces étudiants extraordinaires en personne dans le courant du mois. Lisez tout sur cette nouvelle génération de faiseurs de changement !
La finale du PGC aura lieu du 17 au 20 novembre à San Francisco, en Californie. Il s’agit d’un sommet écologique transformateur, tous frais payés, qui rassemble des pairs partageant les mêmes idées et un groupe estimé de leaders écologiques, de conférenciers, de mentors, d’ambassadeurs et de partenaires afin de soutenir, d’équiper et de propulser les finalistes avec les outils, les ressources et le savoir-faire nécessaires pour devenir des leaders dans le cadre de leurs projets d’action climatique (PAC). Les finalistes présentent leur parcours PGC et leurs CAP. De décembre 2022 à avril 2023, les finalistes travaillent avec des équipes de mentors pour développer davantage les PAC, avant de se présenter virtuellement en avril, lorsqu’un champion PGC est nommé et reçoit un prix Acure Green de 5 000 $ et un grand prix.
Depuis son lancement en 2011, PGC a construit un mouvement de jeunes leaders puissants, engageant plus de 327.510 étudiants directement et des dizaines de millions indirectement sur plus de 13.397 campus dans 50 États des Etats-Unis et dans 164 pays. Nous vous invitons à nous rejoindre pour PGC 2023 et à prendre soin ensemble de la Planète !
Trombinoscope de 14 jeunes leaders finalistes [idividuels ou groupés] du PGC 2022 :

https://d31hzlhk6di2h5.cloudfront.net/20221103/04/8d/45/75/2e3e7ac4282ef91d9ffa14c6_700xauto.png
© Turning Green 2015 - 2022 - Your contribution to Turning Green is tax deductible.
Our Tax ID number is 75-3106659 > Donate.
La présentation détaillée de tous les finalistes, dont les photos sont montrées ci-dessus, et sont à suivre (en anglais) sur le site suivant : https://projectgreenchallenge.com/
Site à découvrir : https://turninggreen.org/

Turning Green - GuideStar Profile
Jeunes Verts Mondiaux (Global Young Greens > GYG) - Association à but non lucratif
Les Jeunes Verts mondiaux (GYG) est une organisation mondiale émergente qui soutient et consolide les efforts des jeunes œuvrant pour la justice sociale, la durabilité écologique, la démocratie de base et la paix. Le GYG est un projet commun de plus de 90 organisations de jeunesse et de plusieurs centaines d’individus, dont la Fédération des Jeunes Verts européens, le Réseau des Jeunes Verts d’Asie-Pacifique, le Réseau de coopération et de développement d’Europe de l’Est, les Jeunes volontaires pour l’environnement, etc…
Message du secrétariat de ‘Global Greens & Global Young Greens’ (GYG)
Salut tout le monde, J’espère que cet e-mail vous trouvera bien. Poursuivant nos webinaires réguliers ’Spotlight Series’, axés sur divers aspects de notre mouvement.
[Voir par exemple ceci : https://www.facebook.com/globalgreens/posts/10159043480012947
https://www.facebook.com/globalgreens ]
Nous avons aussi collaboré avec les Global Young Greens [GYG] pour mettre en lumière le travail incroyable que les jeunes font dans ce mouvement. S’il vous plaît, inscrivez-vous si vous pouvez le faire, et s’il vous plaît, faites passer partout à travers vos propres réseaux et adresses !
Les Global Young Greens et Global Greens sont ravis d’annoncer leur webinaire conjoint, ’Young Greens challenge the Status Quo : It’s up to Youth !’. Nous aimerions vous inviter, vous et vos réseaux, à vous joindre à nous pour une soirée de conversation sur l’engagement, l’autonomisation et la création de mouvements chez les jeunes.
Il s’agit d’une occasion rare d’entendre un panel incroyable de jeunes militants, notamment
Merle Spellerberg, membre du Parlement allemand
Elysée Twizerimana, Parti démocratique vert du Rwanda
Martha Lucia Agredo, conseillère de Popayan
Janmejai Tiwari, secrétaire de Global Young Greens
Alice Hubbard (facilitatrice), Strategy Manager pour la Green European Foundation
Voir leurs actions à cette source : https://www.facebook.com/GlobalYG/videos/
Global Young Greens - Global Young Greens (en), une organisation mondiale émergente qui soutient et consolide les efforts des jeunes qui œuvrent pour la justice sociale.
Jeunes Verts Mondiaux (Global Young Greens) - Association à but non lucratif
Our mailing address is : secretary@globalyounggreens.org
Postal Address : GLOBAL YOUNG GREENS| 34 Rue du Taciturne| B-1000 BRUXELLES | Belgium

Selon Wikipédia : « Global Young Greens (GYG) is an emerging global organisation supporting and consolidating the efforts of young people working towards social justice, ecological sustainability, grassroots democracy and peace. GYG is a joint project of over 70 youth organisations and many hundreds of individuals, including the Federation of Young European Greens, Asia Pacific Young Greens Network, Cooperation and Development Network Eastern Europe, Young Volunteers for the Environment and others. GYG is a non-profit organisation under Belgian law ».
Traduction Jacques Hallard > « Global Young Greens (GYG) est une organisation mondiale émergente soutenant et consolidant les efforts des jeunes œuvrant pour la justice sociale, la durabilité écologique, la démocratie à la base et la paix. GYG est un projet conjoint de plus de 70 organisations de jeunesse et de plusieurs centaines d’individus, dont la Fédération des jeunes verts européens, le réseau des jeunes verts d’Asie-Pacifique, le réseau de coopération et de développement d’Europe de l’Est, les jeunes volontaires pour l’environnement et d’autres... GYG est une association sans but lucratif de droit belge ». Contents : 1 History 2 Principles 3 Objectives 4 Steering Committee (SC) 5 See also 6 References 7 External links » - Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Global_Young_Greens
Voir également : Webinars and Training - Global Green Growth Institute https://gggi.org › flagship-publications
Une série de 4 webinar à écouter (en anglais)
A four-part #GGKP webinar series, The Road to Stockholm+50, organized by the Green Growth Knowledge Platform (GGKP) and United Nations Environment Programme (UNEP), convened sustainability champions from governments, IGOs, NGOs, civil society, and the private sector to exchange insights on relevant themes. The series included sessions on inclusive growth and prosperity through climate action, green recovery and resilience, the transition from climate commitments to action, and reflections on how the world should move forward post-meeting.
Traduction Jacques Hallard > Une série de webinaires #GGKP en quatre parties, The Road to Stockholm+50, organisée par Green Growth Knowledge Platform (la plateforme de connaissances sur la croissance verte) (GGKP) et United Nations Environment Programme (le Programme des Nations Unies pour l’environnement) (PNUE), a réuni des champions de la durabilité issus de gouvernements, d’OIG, d’ONG, de la société civile et du secteur privé pour échanger des idées sur des thèmes pertinents. La série comprenait des sessions sur la croissance inclusive et la prospérité grâce à l’action climatique, la relance verte et la résilience, la transition des engagements climatiques par l’action, et des réflexions sur la façon dont le monde devrait aller de l’avant après la réunion.
Origine : Stockholm+50 : a healthy planet for the prosperity of all – our responsibility, our opportunity (Stockholm+50 : une planète saine pour la prospérité de tous - notre responsabilité, notre chance)
© UNEP Terms of use Privacy Report a project concern – Source : https://www.stockholm50.global/
Lire plus en anglais sur ce site https://wedocs.unep.org/bitstream/handle/20.500.11822/37743/SAP.pdf?sequence=3&isAllowed=y

Stockholm+50
NB. Informations sur Global Young Greens (GYG) transmises par Guy BENARROCHE Sénateur des Bouches-du-Rhône, Vice-président de la commission des lois - Tél : 01 42 34 44 30 - Mail : g.benarroche@senat.fr - Site : guy-benarroche.fr - Twitter : @GuyBenarroche

COEXISTER – ‘Coexister’ est un Mouvement interconvictionnel de jeunesse et d’éducation populaire, reconnu d’intérêt général, aconfessionnel et apartisan ...
Agir pour mieux vivre ensemble - La devise des Coexistants est « Diversité de convictions, Unité dans l’action ». Dans 45 villes en France, 2300 Coexistants coordonnent 1350 événements de dialogue permettant de développer l’esprit critique des citoyens, 450 opérations de solidarité favorisant l’engagement civique des jeunes et 550 ateliers de sensibilisation et d’éducation au vivre ensemble auprès des collégiens et lycéens.
Qui sommes-nous ? Un mouvement d’éducation populaire - Coexister est un Mouvement interconvictionnel de jeunesse et d’éducation populaire, reconnu d’intérêt général, aconfessionnel et apartisan, permettant à des jeunes de 15 à 35 ans de créer du lien social et de promouvoir un mieux vivre ensemble.
témoignages - Les coexistant·es, premiers bénéficiaires
En tant que Coexistante, j’ai appris plein de choses comme la valeur de l’engagement et du travail collectif. Mais surtout j’ai appris énormément sur moi, sur ma foi, sur la manière dont je souhaite contribuer à la société. J’ai redécouvert mes rêves simplement en discutant ou en écoutant les autres Coexistants. Élodie, 23 ans - Coexistante à Nice depuis 2014
J’ai connu Coexister à un moment assez difficile de ma vie. Je sortais des études et j’avais du mal à trouver mon premier emploi. Je remettais en cause toutes mes capacités, mon savoir-faire et même mon savoir-être. Grâce à Coexister, j’ai repris confiance en moi. Mes capacités, mon engagement, mon travail, mon identité étaient enfin reconnus, et cela m’a fait un bien fou. Salima, 27 ans - Coexistante à Valence depuis 2016
Moi, athée, et à la base anticlérical, je me retrouve dans un groupe de gens qui parlent tous de leur vision de la religion, de leur rapport avec la spiritualité et le tout sans s’engueuler ni se taper dessus. C’est ça qui m’a le plus impressionné ! Gérald, 33 ans - Coexistant à Brest depuis 2016
… ils vous en parlent !
« Avec Coexister, des jeunes de convictions différentes prônent le vivre-ensemble » - Brut a rencontré Samuel, Maud, Gabin, et Radia, quatre Coexistants « persuadés que leurs différences de convictions peuvent être un levier pour mieux vivre ensemble ». Dans un article relayant la vidéo, Franceinfo reprend les mots de Radia : « Apprendre à vivre ensemble est fondamental face aux dérives de l’extrémisme et du communautarisme ». Regarder la vidéo
« Dans les écoles, l’association Coexister rappelle, entre autres, qu’on peut être “musulman et laïque” » - Le Monde a réalisé un reportage au cours d’un atelier de sensibilisation animé par des bénévoles de Coexister dans un collège de la banlieue parisienne. Lire l’article
« Les chrétiens sont-ils « coincés » ? Tous les juifs sont-ils riches ?… Des élèves apprennent à déconstruire les préjugés sur les religions » - Depuis 10 ans, les membres de l’association Coexister interviennent dans les collèges et les lycées pour éclairer les jeunes au sujet des religions. Regarder la vidéo
« Les jeunes ont peu de préjugés sur les religions »
La Croix publie les résultats de l’enquête de Coexister sur les préjugés des jeunes en matière de religion. L’association qui met en place des ateliers de sensibilisation à la laïcité dans les établissements scolaires, a analysé dans le cadre de cette enquête, les réponses de 2000 élèves. Lire l’article
« Coexister, portrait de l’un des mouvements les plus optimistes de l’époque ! »
Annabelle Baudin dépeint l’évolution de Coexister et son extension progressive, notamment avec le lancement d’InterFaith Tour. La journaliste évoque également l’impact social du projet à travers des témoignages de « Coexistants ». Lire l’article
« 4 jeunes, 20 pays, 1 objectif : promouvoir le dialogue entre religions »
Socialter propose une description du projet InterFaith Tour, en présentant l’équipe qui réalise la 3ème édition (2017/2018). Plusieurs étapes du tour du monde interreligieux sont détaillées, assorties des témoignages des 4 jeunes choisis pour cette édition. Lire l’article
« Radia Bakkouch : Notre identité convictionnelle est une richesse pour notre identité nationale » - Cet article évoque la situation française post-attentats de 2015 et la façon dont Coexister a pris part au « réveil citoyen » qui en a résulté. Lire l’article
Et maintenant ? Passez à l’action ! - Faire ensemble pour mieux vivre ensemble. La devise des Coexistant·es est « Diversité de Convictions, Unité dans l’Action ».
Devenir Coexistant·e - écosystème de coexister
Ils nous soutiennent financièrement

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À PROPOS DE COEXISTER FRANCE - Coexister est un mouvement interconvictionnel permettant à des jeunes de 15 à 35 ans de créer du lien social et de promouvoir un mieux vivre ensemble. EN SAVOIR +
NOUS CONTACTER : Coexister France 50 rue de Montreuil 75011 Paris – France - Téléphone : +33 (0)6 29 13 11 05 - Email : contact@coexister.fr
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Coexister | Le mouvement interconvictionnel des jeunes
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Coexister , une nécessité
Blog de JackGoher : Coexister, une nécessité - Voir son profil - Plus d’actions▼
Emission de la ‘Libre Pensée’ invitée à ‘France Culture’ - Liberté de conscience et laïcité, échanges entre la Libre Pensée et Coexister - Dimanche 13 novembre 2022 - Provenant du podcast Divers aspects de la pensée contemporaine – Enregistrement de ‘France Culture’ d’une durée de 18 minutesDivers aspects de la pensée contemporaine carré
Dans un communiqué commun du 12 octobre 2022, l’association « Coexister » et « l’Institut de Recherche et d’Étude de la Libre pensée » rappelaient leurs engagements communs en faveur de la liberté de conscience et de la laïcité, telle que formulée par la loi de 1905.
Les deux associations rappellent leurs vives inquiétudes concernant les limitations apportées à la liberté d’association par les Contrats d’Engagement Républicain. Et soulignent la nécessité d’une éducation populaire de qualité et la diffusion des connaissances sans limitation ni exclusion, une dimension culturelle forte commune aux deux associations.
C’est dans cet esprit que la Fédération Nationale de la Libre pensée invite « Coexister » à poursuivre ce dialogue dans le cadre de l’émission « Divers aspects de la pensée contemporaine », en compagnie d’Alix Rémy - Vice-Présidente de ’Coexister’ et d’Anne Plouy - Directrice de ’Coexister’.
L’équipe - Christophe Bitaud Production - Luc-Jean Reynaud Réalisation - Claire Poinsignon Collaboration
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Radio France présente une nouvelle marque : histoire, signification de l’emblème
Article de Wikipédia sur la ‘Libre Pensée’
La notion de libre-pensée, apparue pour la première fois dans un discours de Victor Hugo de 1850N 1, désigne un mode de pensée et d’action débarrassé des postulats religieux, philosophiques, idéologiques ou politiques, mais se fierait principalement aux propres expériences existentielles du libre-penseur, à la logique et à la raison (rationalisme, empirisme pour se faire une opinion, doute pour éviter tout dogme).
Dans la pratique, même si tous les libre-penseurs s’affirment rationalistes, leur idéal est difficile à atteindre et la nature contestataire des mouvements libres-penseurs, l’opposition en particulier aux autorités et aux dogmes religieux qui y est centrale, ainsi que les divergences sur les moyens à employer pour parvenir à des sociétés moins inéquitables, ont mené à des scissions entre libres-penseurs athées, agnostiques ou déistes
Définition
Il existe des liens étroits entre la libre-pensée, l’athéisme, le scepticisme, le rationalisme ou encore l’humanisme. Toutefois, la définition précise de la libre-pensée n’a jamais fait l’objet d’un consensus.
Par exemple, en principe, un libre-penseur peut croire en l’existence d’un dieu, si la base de cette conviction est un argument rationnel, plutôt qu’un argument fondé sur une autorité ou une tradition. Toutefois, certains libre-penseurs athées, qui considèrent qu’il n’y a pas d’argument rationnel en faveur de l’existence d’un dieu, auront du mal à accepter que de tels croyants se disent libre-penseurs. Chez certains libres-penseurs (particulièrement en Belgique), cette attitude fait également intervenir la notion de libre examen. La libre-pensée ne peut, selon eux, être seulement une notion d’opposition au dogme ou à des principes mais implique une capacité à examiner avec honnêteté ses propres préjugés et ses stéréotypes par introspection, car, entraînant notre adhésion systématique à une idéologie, ces derniers empêchent chez l’individu, par le conformisme qu’ils induisent, l’expression de la libre pensée1.
Histoire
De l’antiquité à la date symbolique (1600)
De la Grèce antique à la Chine de la dynastie Song en passant par la Perse médiévale, l’histoire de la libre-pensée trouve sa richesse au travers de diverses époques et civilisations. Un auteur typique de la libre-pensée est François Rabelais. En tant que mouvement culturel, dans le monde francophone la libre-pensée est principalement issue des développements de la Révolution française.
L’année 1600 est souvent considérée comme fondatrice de la libre-pensée moderne. Le 17 février 1600, à l’instigation du pape Clément VIII, l’ancien moine dominicain Giordano Bruno est brûlé vif pour hérésie. Par cruauté et afin de le réduire au silence, on lui a cloué la langue... Mais avant et après lui, dans toute l’Europe chrétienne, maints individus meurent sur un bûcher pour avoir soutenu une opinion qui s’oppose au dogme. Citons, entre autres :
- Gherardo Segarelli († 18 juillet 1300 à Parme) ;
- Marguerite Porete († 1erjuin 1310 à Paris) ;
- Walter Lollard († 1322 à Cologne) ;
- Cecco d’Ascoli († 10 septembre 1327 à Florence) ;
- Jeanne Daubenton († 1372 à Paris) ;
- Jean Hus († 6 juillet 1415 à Constance) ;
- Jérôme de Prague († 30 mai 1416 à Constance) ;
- Henri Voes et Jean Van Eschen († 1erjuillet 1523 à Bruxelles) ;
- Balthazar Hubmaïer († 10 mars 1528 à Vienne) ;
- Michel Servet († 27 octobre 1553 à Genève) ;
- Francesco Gesualdo († 5 novembre 1554 à Il-Birgu, sur l’Île de Malte) ;
- Hugh Latimer et Nicholas Ridley († 16 octobre 1555 à Oxford) ;
- Thomas Cranmer († 21 mars 1556 à Oxford) ;
- Isaac de Castro Tartas († 15 décembre 1647 à Lisbonne) ;
- Diego La Matina († 17 mars 1658 à Palerme)...
Premiers essais (1848-1871)
Expériences de la Deuxième République (1848-1851)
Le 21 mars 1848 : apparition de la Société démocratique des libres-penseurs. Elle est présidée par Jules Simon et l’un de ses vice-présidents était Jules Barni. Lors de cette période, apparaissent plusieurs sociétés de libres-penseurs à Paris ou en province :
- la Société des libres penseurs, le 11 mars 1848 au sein d’une université de médecine ;
- l’Association de libres-penseurs, en 1849 à Melun, créée par de jeunes militants ;
- les Carbonari, en 1850 à Lyon.
Si ces sociétés sont « libres-penseuses » par leurs convictions, elles ne pratiquent pas encore les enterrements civils, la dernière a, elle, un comportement typiquement libre-penseur : enterrements civils, baptêmes civils comme ce libre-penseur Boniface qui « baptise au nom de la république démocratique et sociale, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ».
Le Second Empire (1852-1870)
À la suite du coup d’État du 2 décembre 1851, les meilleurs militants de Paris et de la province furent dispersés de par le monde.
Réfugiés en Belgique, à Londres, à Jersey, en Suisse, en Amérique, ils devaient continuer en terre d’exil leur propagande. Ils furent les pionniers des premiers cercles de libre-pensée de Belgique et ailleurs, des adversaires déterminés de l’Église. Église qui donna son soutien au coup d’État et dont Victor Hugo (plus tard président d’honneur de l’Union démocratique de propagande anticléricale et de la société de Libre-Pensée de Besançon) répondra, au Te Deum du 1er janvier 1852, par ces mots :
Les proscrits sont partis, aux flancs du ponton noir,
Pour Alger, pour Cayenne ;
Ils ont vu Bonaparte à Paris, ils vont voir
En Afrique l’hyène.
Ouvriers, paysans qu’on arrache au labour,
Le sombre exil vous fauche !
Bien, regarde à ta droite, archevêque Sibour,
Et regarde à ta gauche :
Ton diacre est Trahison et ton sous-diacre est Vol
Vends ton Dieu, vends ton âme.
Allons, coiffe ta mitre, allons, mets ton licol,
Chante, vieux prêtre infâme !
Mais le décret du 25 mars 1852, s’ajoutant à la loi du 18 juin 1849, n’est pas propice à l’apparition de sociétés libres.
Ce n’est qu’au début des années 18602 que l’on peut retrouver une activité (et la création de nouvelles sociétés), grâce à la tendance de libéralisation du régime.
- De 1860 à 1862 : parution d’un hebdomadaire, Le Libre-Penseur du XIXe siècle. Journal des idées nouvelles.
- 1862 : Agis comme tu penses est créée.
- Octobre 1863 : fondation du Comité des libres-penseurs pour les enterrements civils.
- 1864 : les libres-penseurs de France et particulièrement les proscrits du 2 décembre 1851 jouent un rôle de premier plan dans la création à Londres de l’Association internationale des travailleurs (AIT), plus connue sous le nom de Première Internationale, en compagnie de Karl Marx, Bakounine, Engels, etc.
- 1866 : parution de La Libre Pensée, hebdomadaire parisien dont le gérant est Émile Eudes, qui sera général de la Commune et le rédacteur en chef, Albert Regnard. Le journal a été lancé par les blanquistes. Ainsi fut lancé, non seulement un journal, mais un mot qui devait servir d’enseigne à tout le mouvement anticlérical et antireligieux. Voir la lettre no 1 du dimanche 21 octobre 1866 (lire en ligne [archive]).
- 20 juin 1869 : création de la Société de secours mutuels des familles affranchies de toutes pratiques religieuses : aide apporté aux sociétaires en cas de maladie, accident, chômage, adoption des orphelins, assistance aux veuves.
Les libres-penseurs de France et des autres pays se rencontrent à la fin de l’Empire à Genève, au Congrès de la Libre Pensée et au Congrès de la Paix. Victor Hugo, Louis Blanc, Georges Clemenceau, Alexandre Ledru-Rollin assistent à ces congrès et collaborent à leurs travaux. En Italie, lors du concile Vatican I en 1870, se tient à Naples un anti-concile international (8 décembre 1869) au cours duquel on développe les principes de la libre-pensée et du rationalisme et on critique ardemment la politique de la Papauté.
Les enterrements civils, sous Napoléon III, sont une occasion de manifestations où se retrouvent ouvriers et étudiants ainsi que les banquets du Vendredi saint qui apparaissent dès 1869.
La Commune de Paris (1870-1871)
Les libres-penseurs (parmi eux Louise Michel, la « vierge rouge ») se retrouvent avec les républicains les plus énergiques et les révolutionnaires les plus décidés.
Le décret du 2 avril prononce à la fois la séparation de l’Église et de l’État, la suppression du budget des cultes ; les biens, dits de mainmorte, appartenant aux congrégations religieuses, meubles ou immeubles, sont déclarés propriétés nationales.
Il existera un Club de la libre-pensée se réunissant dans l’église de Saint-Germain-l’Auxerrois. Tavernier sera le candidat de la Libre-pensée aux élections complémentaires dans le XIe arrondissement.
L’expansion, l’apogée et le déclin des sociétés de Libre-Pensée (1872-1940)
Expansion et apogée (1880-1912)
- 1880 : fondation de l’Internationale de la Libre Pensée, qui tient à Bruxelles son premier congrès la même année. Parmi les fondateurs de l’Internationale libre-penseuse, on relève les noms de Ludwig Büchner, le savant matérialiste allemand (auteur de Force et matière), Wilhelm Liebknecht, le seul député allemand qui a le courage, avec Bebel, de protester au Reichstag en 1871 contre l’annexion de l’Alsace et de la Lorraine ; Herbert Spencer, le grand sociologue, Charles Bradlaugh, le premier député anglais qui ose refuser de prêter serment sur la Bible et qui est, pour cela, expulsé de la Chambre des Communes, Annie Besant, vice-présidente de l’Internationale de Libre-Pensée ; César De Paepe, un des fondateurs du Parti ouvrier belge, Charles Renouvier, illustre philosophe français, Clémence Royer, Carl Vogt (Suisse) et Moleschott (Italie) physiologistes, Eugène Hins et Désirée Brismée, Belges qui ont fait partie de la Première Internationale. Après l’amnistie des communards, le mouvement libre-penseur se structure.
- 1881 : le congrès international de Paris définit la Libre-Pensée comme une « société rationaliste et athéistique ».
- Septembre 1889 : à Paris, Congrès universel de la Libre-Pensée, qui affirme « La libre-pensée a été, est et sera la véritable émancipation de l’humanité ». Lorsqu’elle aura accompli son œuvre, « nous pourrons voir notre idéal se réaliser, c’est-à-dire voir : la paix internationale, la paix intérieure, l’outil à l’ouvrier, la terre au laboureur, enfin la fortune publique à tous, la Liberté, l’Égalité, la Fraternité ne plus être de vains mots, et la République être triomphante ».
- 1890 : création de la Fédération française de la Libre-Pensée.
- Novembre 1902 : à l’initiative de Victor Charbonnel, directeur de l’hebdomadaire anticlérical La Raison formation d’une Association nationale des libres-penseurs de France qui « agira parallèlement à la fédération française ». Dans la Commission exécutive :
- des socialistes, comme Jean Allemane, Aristide Briand, Marcel Sembat ;
- des radicaux, comme Ferdinand Buisson ;
- des dreyfusards, comme Alphonse Aulard ;
- des anarchistes, comme Sébastien Faure.
- Janvier 1903 : Marcellin Berthelot, rejoint un peu plus tard par Anatole France, accepte la présidence d’honneur du mouvement. À cette époque La Raison tire à 37 000 exemplaires et évalue le nombre de ses lecteurs à 150 000. La Raison fait campagne contre les infiltrations cléricales dans l’Université, soutient la politique d’Émile Combes. L’Association nationale contribue largement, sous la direction de Ferdinand Buisson, à créer l’atmosphère et à propager l’état d’esprit d’où doit sortir la séparation.
- 1904 : fin septembre, se tient le Congrès international des libres penseurs dit le « Congrès de Rome », avec grand défilé à la Porta Pia au chant des hymnes révolutionnaires. Son succès est éclatant par le nombre (3 000 personnes) et la valeur des personnalités qui participent à ses travaux. Le Congrès de Rome marque une date mémorable dans l’histoire de la Libre-Pensée mondiale3. La Libre-Pensée détermine sa position à partir des trois grands principes définis par la charte qui est adoptée à l’unanimité au Congrès international de Rome (22 septembre 1904) : « La Libre-Pensée est démocratique, laïque et sociale. Au nom de la dignité humaine, elle rejette le triple joug : du dogmatisme dans tous les domaines et en particulier, en matière religieuse et morale, du privilège en matière politique, du profit en matière économique ». En mai de cette année-là, Didier Dubucq a lancé son journal Les Corbeaux, résolument anticléricaliste.
- 1905 : Congrès mondial à Paris au palais du Trocadéro, auquel assiste André Lorulot, marqué par une solennelle réception des congressistes à l’Hôtel de ville et par l’inauguration, le 3 septembre, face au Sacré-Cœur, de la statue du chevalier de la Barre (statue détruite sous Pétain et jamais remplacée). Le Congrès se montre favorable à l’adhésion des libres-penseurs aux sociétés pacifistes, au désarmement général, à l’arbitrage international imposé et adopte la devise « Guerre à la guerre ». À l’occasion du congrès la Fédération française de la Libre-Pensée devient la Fédération nationale de la libre-pensée.
- 9 décembre 1905 : la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. La Libre-Pensée triomphe.
- 1906 : fondation du journal La Calotte.
- Octobre 1912 : constitution à La Rochelle de l’Union fédérative de la Libre Pensée de France et des colonies…………
Lire la suite et l’article en toalité sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Libre-pens%C3%A9e
La jeunesse a-t-elle pris conscience des enjeux environnementaux ? - Publié par Eleve_FRW | Juil 24, 2022 | Document ‘e-writers.fr’ Écologie & Éthique
Inondations à répétition, feux de forêt dévastateurs, sécheresse, perte de la biodiversité, pollution, effet de serre, réchauffement climatique… Les problèmes écologiques se multiplient et prennent de l’ampleur. Aucune nation n’est épargnée par ces phénomènes. Si pour certains, ces bouleversements climatiques sont des aléas naturels temporaires et lointains, les conséquences sur la planète et l’avenir des enfants risquent d’être irrémédiables. D’ailleurs, ce sujet rencontre de plus en plus une large adhésion auprès de la nouvelle génération. Auparavant, il était difficile de concevoir un lien entre les jeunes et l’environnement. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Les cadets n’hésitent plus à s’engager en tant que militants écologiques pour revendiquer leur droit de vivre et critiquer le comportement de leurs aînés. La jeunesse a-t-elle alors pris conscience des enjeux environnementaux ?
Les problèmes écologiques : une réalité pour la nouvelle génération
Les bouleversements climatiques sont bien là !
L’empreinte de l’individu sur l’écosystème pour combler ses besoins et améliorer sa condition de vie est incontestable. Les jeunes l’ont compris et ils se sentent de plus en plus impuissants. Par ailleurs, les scientifiques ne sont plus en mesure de supposer de la capacité des écosystèmes à soutenir les générations futures tant les conséquences environnementales sont importantes et réelles :
- une pollution croissante (de l’air, des sols, des eaux) ;
- une disparition de la couche d’ozone ;
- un déséquilibre de l’écosystème (acidification des océans, réchauffement climatique, arrivée des espèces envahissantes, augmentation des températures et du niveau des océans…) ;
- des pluies acides qui polluent nos cours d’eau et affectent nos sols ;
- des destructions de diverses espèces.
Et la liste est loin d’être exhaustive !
Au-delà des faits, les spécialistes du climat multiplient les rapports alarmistes et insistent sur la nécessité d’agir maintenant pour préserver l’avenir de nos enfants. Les derniers en date sont ceux du GIEC (groupe d’experts intergouvernementaux sur l’évolution du climat) et de l’OMM (18 août 2022). Ils démontrent la réalité des changements climatiques et leurs répercussions néfastes et permanentes sur le développement durable et sur les écosystèmes.
Ce constat affecte de plus en plus la jeunesse qui place l’environnement en tête de leurs préoccupations.
L’environnement : 1ère préoccupation pour les jeunes

Les problèmes environnementaux inquiètent de plus en plus les jeunes
Photo - Les jeunes s’inquiètent des déréglementations climatiques. Crédit photo : Pixabay
En France, selon une étude réalisée par le Crédoc, 32 % des jeunes de 18-30 ans sont préoccupés par l’environnement, loin devant les problèmes d’immigrations (19 %) et de chômage (17 %). Sur le plan international, des scientifiques d’universités britanniques, américaines et finlandaises ont effectué une étude auprès de personnes âgées de 16 à 25 ans dans une dizaine de pays. Cette enquête évalue leur niveau d’inquiétude face aux bouleversements climatiques et les conséquences sur leur vie. Validée par le journal scientifique The Lancet Planetary Heath en septembre 2021, elle est la plus importante des analyses faites sur l’anxiété climatique chez les enfants et les jeunes. Elle révèle que 84 % d’entre eux étaient soucieux face à cette crise écologique (59 % très, voire extrêmement inquiets). Ce sondage met en lumière un phénomène de plus en plus évoqué ces dernières années : l’éco-anxiété.
L’inquiétude des jeunes : l’éco-anxiété
Tout d’abord, sur le plan médical, il n’existe pas de définition commune de l’éco-anxiété. De plus, il ne figure pas parmi les listes des maladies mentales. Appelés aussi dépression verte, deuil climatique ou solastologie, ces termes caractérisent une anxiété liée à la crise climatique mondiale et à la menace d’une catastrophe environnementale. Elle se manifeste par des émotions négatives telles que la peur, la tristesse, la colère, l’impuissance ou encore la culpabilité.
Elle touche particulièrement les jeunes générations. Les chiffres, validés par The Lancet Planetary Heart, sont éloquents :
- 56 % considèrent que l’humanité est condamnée.
- 55 % jugent qu’ils auront moins d’opportunités que leurs aînés.
- 52 % pensent que la sécurité de leur famille « sera menacée ».
- 39 % hésitent à avoir des enfants.
De plus, cette souffrance psychologique est amplifiée par une défaillance de la jeunesse envers leurs gouvernants :
- 61 % des sondés jugent que leurs responsables politiques ne sont pas « digne de confiance ».
- 64 % estiment qu’ils ne prennent pas sérieusement en compte leurs préoccupations.
- 60 % pensent qu’ils font « fi de la détresse des gens ».
La détresse climatique et une action gouvernementale inappropriée sont des facteurs de stress qui pourraient mettre à mal la santé mentale et le bien-être des enfants du monde entier. Toutefois, elle pourrait être aussi un moteur de mobilisation de la jeune génération pour sauver la planète.
Les jeunes et l’environnement : les acteurs du changement

Les jeunes manifestent pour lutter contre le réchauffement climatique
Photo - Manifestation de la jeunesse pour le climat. Crédit photo : Pixabay
Les jeunes en action
La jeunesse est consciente que le monde actuel est en péril et qu’ils ont un rôle à jouer dans la transition environnementale. Loin d’être des victimes passives, ils se montrent plus responsables sur le sujet. En témoigne l’action menée par une Suédoise Greta Thunberg. Militante écologiste, en 2018, elle est à l’origine d’un mouvement mondial des jeunes : fridays for future (les vendredis pour le futur). Ainsi, chaque vendredi, de nombreux élèves du monde entier font la grève pour faire pression sur les décideurs dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Depuis, d’autres jeunes engagés l’ont rejointe dans ce combat pour la défense de la planète :
- Vanessa Nakate (Ouganda) est devenue une référence sur le continent africain. Elle crée le mouvement « Youth For Future Africa ».
- Camille Étienne (France) est la porte-parole de « on est prêt ». Ce collectif de vidéastes milite pour la sensibilisation et la mobilisation sur les enjeux environnementaux, dontla lutte contre le gaspillage.
- Anuna De Wever est l’initiatrice du mouvement « Youth For Climate » en Belgique.
- Jamie Margolin (États-Unis) est déçue que les adultes et les politiciens n’agissent pas assez. Elle a lancé le mouvement « zero hour ». Elle affirme que « le changement climatique est le point culminant de tous les systèmes d’oppression ».
- Ralyn Satidtanasarn (Thaïlande), appelée « lily » combat la propagation du plastique.
⏩ À lire aussi sur le même sujet : retour aux sources pour lutter contre la pollution plastique des océans.
« Nous sommes les moins responsables, mais les plus vulnérables au changement climatique ». Vanessa Nakate.
La jeunesse au cœur des institutions internationales
La jeunesse est en mouvement et les hautes instances internationales l’ont compris. D’ailleurs, au sein des Nations unies, le groupe officiel de jeunes engagés, connu sous le nom de Youngo, participe activement aux négociations de l’ONU liées aux bouleversements climatiques.
Par ailleurs, en septembre 2021, un premier sommet international « Youth4climats : driving ambition » s’est tenu à Milan. Il a réuni 400 jeunes du monde. Ils ont rédigé de nombreuses propositions pour porter la voix de la jeunesse lors de la COP 26 à Glasgow d’une part. D’autre part, pour assurer une transition énergétique et permettre à chacun d’accéder à une éducation complète sur le climat dans le monde.
Ainsi, cette génération de l’immédiateté et des réseaux sociaux exige des réponses rapides et concrètes (à découvrir aussila pollution numérique). Elle est prête à changer ses habitudes et adopterdes gestes écologiques pour sauver la planète. Son intention est donc encourageante et positive pour l’avenir. Reste à espérer qu’elle perdure !
Editor’s life, pour e-Writers.Article rédigé lors du cursus de formation en rédaction Web chez FRW. Article relu par Agathe, tutrice de formation chez FRW.
Une étude réalisée par le Crédoc.
Youth4climats : driving ambition.
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L’écologie et les jeunes : les grands oubliés de cette présidentielle en France - Par Sophie Cayuela13 avril 2022 – Document ‘natura-sciences.com’ - Étiquettes : élections 2022 Réchauffement climatique Transition écologiqueNatura Sciences a rencontré Léonie, à ParisPhoto - ‘Natura Sciences’ a rencontré Léonie, 26 ans, à Paris. Comme 32% des jeunes entre 18 et 30 ans, les enjeux climatiques et environnentaux font partie de ses préoccupations pour l’élection présidentielle 2022. // Photo : Sophie Cayuela / Natura Sciences
Selon une enquête réalisée pour la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE), 56% des jeunes estiment que leurs préoccupations ne sont pas prises en compte dans la campagne présidentielle. Sur l’ensemble des interrogés, 32% des 18-30 ans inscrivent l’environnement et le climat comme leur priorité. Natura Sciences est parti à la rencontre de cette jeunesse sensibilisée par les enjeux de la transition écologique.
La jeunesse a l’amère impression d’être la grande oubliée de cette campagne présidentielle. C’est ce que met en avant une enquête de l’institut de sondage Ipsos pour la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE). Chez les 18-30 ans, huit jeunes sur dix se disent prêts à aller voter, alors que 57% d’entre eux estiment que leurs préoccupations ne sont pas prises en compte. Parmi elles, l’environnement et le climat arrivent en seconde position, derrière le pouvoir d’achat. L’enquête indique qu’ils sont au total 32% à faire des enjeux écologiques leurs priorités.
Dans le cadre de cette enquête, la FAGE a voulu que les jeunes aient la parole. « On a été amenés à sonder les jeunes pour savoir comment ils se positionnaient par rapport à ce grand temps démocratique », explique Louis Octobon, vice-président en charge de la transition écologique de la FAGE. Confirmant que la prise en compte de leurs préoccupations représente une lacune importante dans cette campagne, ce dernier dénonce un effet de « youthwashing ». « On va donner la parole aux jeunes brièvement mais, derrière, elle n’est pas vraiment prise en compte », déplore-t-il.
#2022JeunesseOubliée | La #FAGE sort son enquête « #Élections 2022 : Vers une jeunesse #oubliée ? »
Le constat est sans appel, la #jeunesse souhaite être entendue dans le débat #public.
Pour découvrir l’enquête : https://t.co/Us7wx9MKRi pic.twitter.com/riYdwC6S2V
— FAGE (@La_FAGE) February 22, 2022
« L’écologie n’est pas assez prise en compte par les politiques »
L’enquête conclut que les candidats ne parlent pas assez d’environnement. Une information qui fait écho à la place accordée au climat dans les débats, soit 2,5% du temps de parole. Un chiffre « ridicule » pour Jeanne, étudiante à Paris. « À part Jadot qui en fait son combat principal, je trouve que ce n’est pas assez discuté par les autres candidats, se confie la jeune femme de 24 ans. Notamment parce qu’il existe des sujets plus clivants ».
De son côté, Antoine, 29 ans, estime que les politiques « n’en font pas assez », malgré les travaux effectués par la Commission européenne et le gouvernement français. « Je pense que les politiques se rendent compte que l’environnement est devenu un sujet attractif, détaille-t-il. Il y a, selon moi, une vision un peu cynique pour certains candidats, parce que le sujet compte dans l’opinion publique ». Un point contesté par Noélie, infirmière de 25 ans. La question de l’écologie n’est pas assez prise en compte dans les programmes, souligne-t-elle. D’autant plus qu’il y a un décalage entre ce que les jeunes voudraient et les réponses ».
La responsabilité des médias
Outre les politiques, les jeunes électeurs pointent aussi le rôle des médias. « On ne parle pas de manière efficace des problèmes écologiques, appuie Noélie. Cette prise de conscience semble être perçue comme une activité extra-scolaire ou une nouvelle mode chez les jeunes ». La jeune infirmière considère par ailleurs que beaucoup de jeunes peuvent se sentir « perdus » par une information abondante, entre médias, réseaux sociaux, et intox. « Il y aurait un besoin d’accompagnement et de réponses à leurs questions, afin d’avoir une vision réelle du monde avec des axes d’amélioration », suggère-t-elle.
Un problème que constate aussi Léonie, 26 ans. La jeune femme travaille dans l’humanitaire depuis quelques années. Impliquée dans les questions écologiques depuis le départ de Nicolas Hulot du gouvernement, elle estime que ce n’est pas « forcément aux politique de créer une réaction chez le grand public ». « Il y a une grande part de responsabilité chez les médias, annonce-t-elle. Ils exercent une influence trop importante dans la campagne, et ce serait peut-être à eux d’équilibrer davantage les sujets ».
La logisticienne humanitaire, engagée dans plusieurs ONG, juge alors « essentielles » les actions menées par les mouvements sociaux écologistes. « Même si elles peuvent être perçues comme dérangeantes, elles restent importantes, car on a l’impression de ne pas être écoutés ».
Lire aussi : Extinction Rebellion se mobilise devant France Télévisions
« J’observe énormément de déni »
Malgré la mobilisation des jeunes face aux enjeux climatiques, le sujet ne semble pourtant pas atteindre tout le monde. « Il y a beaucoup de mouvements chez les jeunes, mais j’observe aussi énormément de déni », glisse Jeanne. L’étudiante se dit « choquée » par le comportement d’autres consommateurs, notamment en ce qui concerne la gestion des déchets. « Au-delà du manque de tri, des gens continuent de jeter leurs déchets par terre, témoigne-t-elle. Il y a un clivage lunaire entre les militants, parfois alarmistes et extrêmes, et ceux qui nient l’impact écologique alors que c’est une réalité scientifique ».
Même constat chez Léonie, qui a pu comparer le cas de la France avec d’autres pays grâce à ses déplacements professionnels. « En Centre-Afrique, on pense trop à survivre, pour se préoccuper de l’écologie, contrairement en France, raconte la jeune femme. On a les moyens d’agir, mais on préfère considérer que l’on en fait beaucoup alors que des actions, comme le tri, ne représente pas grand chose ». Persuadée que l’on peut « faire plus », Léonie revoit sans cesse ses décisions du quotidien pour prendre soin de la planète. « Les gens écoutent juste ce qu’on leur dit de faire« , se désole-t-elle.
Lire aussi : Enquête. Comment multiplier les déplacements en vélo en centres-villes ?
La FAGE veut former la population aux enjeux climatiques
En tant que « représentante des jeunes », la FAGE a présenté 50 propositions pour « replacer l’attente des jeunes ». « Les propositions en faveur de la transition écologique font référence à un travail commandé par la ministre Frédérique Vidal, informe Louis Octobon. Soit, comment former aux enjeux de développement durable dans l’enseignement supérieur ». Mais le plaidoyer va plus loin. En plus de mesures sur la mobilité, de la consommation et de l’énergie, la FAGE propose de former 100% de la population sur les enjeux écologiques. « Cela passe à la fois par la sensibilisation, de l’école primaire au lycée, et par la formation pendant l’enseignement supérieur », explique Louis Octobon.
@La_FAGE porte dans son plaidoyer 5 propositions pour la jeunesse de demain :
#Formations aux enjeux de la #TransitionEcologique
#Mobilités réduisant les #GES
Performance énergétique des infrastructures
#Consommation durable
— Louis Octobon
(@Louis_FAGE) March 7, 2022
Derrière cet objectif, le vice-président de la FAGE assure que cela ne vise pas à « former pour former » mais bel et bien pour permettre à tous de « lutter à tous les niveaux contre le réchauffement climatique ». Les enseignants bénéficieraient aussi d’une formation similaire, ainsi qu’un investissement pour permettre des projets de recherche. Ceux-ci seraient orientés sur les enjeux climatiques et environnementaux.
Lire aussi : Les jeunes prêts à réduire leurs déplacements en avion, selon une étude
Un pari qui semble ambitieux
Cette mesure concorde avec les attentes des jeunes. « À la même manière que l’on apprend certains aspects civiques à l’école, je pense qu’on pourrait faire la même chose avec la transition écologique, suggère Antoine. Si Léonie attend des « actions concrètes » pour former cette jeunesse, Jeanne, elle, semble dubitative. « Le problème de l’écologie, c’est que tu peux constater la réalité comme tu peux ne pas te sentir concerné, expose l’étudiante. Les formations ne parlent pas à tout le monde ».
L’étudiante reste intriguée par ce clivage. Alors que des jeunes comme Noélie revoient leur mode de vie pour réduire l’impact carbone, d’autres « continuent de jeter des mégots de cigarette en dehors des poubelles », témoigne Jeanne. Selon elle, seulement « une certaine catégorie de la population peut s’emparer » des enjeux écologiques.
Par Sophie Cayuela13 avril 2022
Étiquettes : élections 2022Réchauffement climatiqueTransition écologique
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Les jeunes pour l’action climatique - Faire mieux entendre la voix des jeunes pour protéger l’avenir de notre planète. Document ‘UNICEF’ - Disponible en : English Français Español العربيةUne jeune fille parle dans un megaphone lors d’une manifestation pour le climat, New York, USA.
Photo - UNICEF/UN0340776/Nesbitt
Les changements climatiques sont bien là. À mesure que leurs effets s’intensifient, ce sont les enfants et les jeunes d’aujourd’hui qui en subiront les pires conséquences.
Loin d’être des victimes passives, des jeunes du monde entier ont commencé à se mobiliser comme jamais auparavant. Prenons l’exemple de Greta Thunberg. En 2018, cette Suédoise de 15 ans a donné naissance à un mouvement mondial d’enfants et de jeunes d’âge scolaire qui exigent que les gouvernements intensifient leur action contre les changements climatiques. Des millions de jeunes manifestent maintenant pour exprimer leur soutien.
Que ce soit dans les domaines de l’éducation, de la technologie, des sciences ou du droit, des jeunes de tous les horizons mobilisent leurs compétences pour prendre position en faveur de l’action climatique.
Nous sommes la dernière génération qui peut mettre fin aux changements climatiques. Nous pouvons le faire et nous le ferons.
Khishigjargal, 24 ans, Mongolie.
À l’UNICEF, nous sommes résolus à aider les jeunes à agir pour protéger l’avenir de notre planète, en faisant davantage entendre leur voix sur la crise climatique et en encourageant leur participation à la lutte contre les changements climatiques.
Faire davantage entendre la voix des jeunes sur la crise climatique
Comme l’affirme la Convention relative aux droits de l’enfant, chaque personne de moins de 18 ans a le droit de participer aux décisions qui la concernent. Il faut notamment à cette fin disposer d’un forum public où exprimer ses opinions et de l’appui nécessaire pour le faire.
Pour aider à réaliser ce droit, l’UNICEF a créé La Voix des jeunes, une plateforme consacrée aux jeunes qui se mobilisent, où l’on trouve des idées originales et des sources d’inspiration sur des questions qui les concernent.
La mer engloutit des villages, empiète sur les rivages, flétrit les récoltes. Devoir aller vivre ailleurs (…), les pleurs pour les proches qui meurent de faim et de soif. C’est catastrophique. C’est triste, mais c’est ce qui arrive.
Timoci, 14 ans, Fidji.
De temps en temps, nous confions nos chaînes sur les réseaux sociaux à de jeunes militants de la cause climatique, en leur donnant accès à nos abonnés, dont le nombre dépasse 20 millions. C’est ce que nous avons fait avec Alexandria Villaseñor, militante de 14 ans de New York qui participe aux #FridaysForFuture – le mouvement mondial de jeunes qui font la grève dans leurs établissements scolaires les vendredis pour appeler à l’action climatique.

Une jeune fille tenant un megaphone et des feuilles de papier à la main, prononce un discours. New York, USA
Photo - UNICEF/UN0302772 Alexandria Villasenor s’adresse à un groupe de jeunes qui manifestent en faveur de l’action climatique devant l’ONU à New York, le 15 mars 2019.
Nous coopérons également avec les jeunes pour diffuser le même message hors ligne, grâce à des initiatives comme le tout premier concours de bandes dessinées sur le climat de l’UNICEF.
Sathviga « Sona » Sridhar, artiste de 21 ans de Chennai (Inde), a remporté le concours en 2017. Elle a souhaité se mobiliser contre les changements climatiques après les inondations dévastatrices qui ont frappé sa région en 2015. Le personnage de sa BD, « Light » – mi-arbre, mi-humain qui se sert de ses pouvoirs spéciaux pour sauver la nature du réchauffement planétaire – a donné lieu à une bande dessinée éducative.
Les activités de plaidoyer sont essentielles à la mise en place d’un avenir meilleur et plus stable pour les enfants et les jeunes. L’UNICEF aide les jeunes à plaider auprès de leur gouvernement dans leur contexte national. En Mongolie, par exemple, un grand nombre de personnes ont des problèmes de santé liés à la pollution atmosphérique. Les jeunes ont été formés à surveiller la qualité de l’air et à se servir des données ainsi recueillies pour appeler leur gouvernement à l’action. Donner aux jeunes les moyens de surveiller la qualité de l’air est une première étape, souvent efficace, qui permet de leur fournir les informations nécessaires pour défendre leurs droits.

Trois adolescents portant des gilets jaunes se tiennent sur les hauteurs d’Oulan-Bator, Mongolie.
Photo - UNICEF/UN0253450/Pasquall Dans le cadre du programme Jeunes cartographes de la pollution atmosphérique, des adolescents collectent des données sur la pollution atmosphérique à la périphérie d’Oulan-Bator (Mongolie). La pollution atmosphérique est un grave problème pour les enfants en Mongolie.
Accroître la participation des jeunes à la lutte contre les changements climatiques
C’est essentiellement en donnant aux jeunes la possibilité de s’adresser aux dirigeants lors de grandes réunions telles que le Sommet de la jeunesse pour le climat de 2019 organisé par l’ONU à New York que l’UNICEF aide les jeunes à participer à l’action climatique.
Cette année, dans notre délégation de dix jeunes venant de pays aussi divers que le Kenya et le Bangladesh, se trouvait Kherann Yao, défenseur de la jeunesse à l’UNICEF. Originaire de Côte d’Ivoire, Kherann a discuté de la possibilité de construire entièrement des écoles à partir de briques de plastique recyclé, un projet soutenu par l’UNICEF, en partenariat avec une entreprise sociale colombienne novatrice, Conceptos Plasticos.
Ce projet va donner lieu à l’ouverture en Côte d’Ivoire d’une usine de briques unique en son genre en Afrique, qui convertira les déchets plastiques en briques modulaires qui serviront à construire les salles de classe dont ce pays de l’Afrique de l’Ouest a tant besoin. Cela contribuera à combattre la pollution tout en améliorant l’éducation et en créant des emplois grâce à la création d’un marché pour les produits recyclables.
Vous pensez peut-être que nous sommes trop jeunes pour connaître les risques et les réalités des changements climatiques. Mais nous en voyons les effets dans notre vie de tous les jours.
Gertrude, 16 ans, Tanzanie. Haut du formulaire
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Source : https://www.unicef.org/fr/environnement-et-changements-climatiques/jeunes-action-climatique
Les jeunes sont inquiets pour le climat mais continuent de consommer - Par La Rédaction - Publié le 9 janvier 2020 - Document ‘vie-publique.fr’
Si les jeunes sont de plus en plus préoccupés par la crise climatique, leurs comportements au quotidien n’en restent pas moins consuméristes. C’est ce que révèle une récente étude du Crédoc qui propose cinq pistes pour changer les pratiques de consommation des Français.

Jeune fille de dos avec valise devant un panneau d’aéroport.
Photo - Les jeunes ont une pratique des transports plus écologique que leurs aînés mais ils ne renoncent pas à leurs désirs de voyages. © Ekaterina Pokrovsky - stock.adobe.com
Selon une étude réalisée par le Crédoc (nouvelle fenêtre) (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie), le changement climatique est ce qui inquiète le plus les jeunes en 2019.
Cette inquiétude environnementale s’est manifestée cette année à travers la grève mondiale des étudiants pour le climat, mais aussi la forte mobilisation des jeunes en faveur des partis écologistes aux élections européennes de mai 2019.
Les jeunes et l’environnement : une situation paradoxale
L’environnement est en tête des préoccupations chez les 18-30 ans (32%), devant l’immigration (19%) et le chômage (17%). L’engagement des 18-24 ans pour la défense de l’environnement progresse : 12% d’entre eux ont participé aux activités d’une association en 2019, contre seulement 3% en 2016.
Pourtant, l’étude montre que les comportements des jeunes au quotidien ne sont pas plus écologiques que ceux de leurs aînés. Ils sont moins nombreux à trier leurs déchets, à acheter des légumes locaux et de saison ou encore à réduire leur consommation d’électricité.
Les jeunes restent de gros consommateurs, adeptes de produits multimédia et de shopping. 62% des 18-24 ans disent avoir fait les soldes en janvier 2018 (contre 47% en moyenne) et ils sont plus nombreux à en profiter pour acheter plus, plutôt que pour économiser de l’argent. Ils ne sont pas non plus prêts à renoncer à leurs désirs de voyages : 28% des 18-24 ans ont pris l’avion deux fois ou plus dans l’année, soit 9 points de plus que la moyenne.
Cependant, les jeunes ont une pratique des transports plus écologique que leurs aînés : ils sont moins nombreux à posséder une voiture et privilégient la marche, la bicyclette, les transports en commun et le covoiturage. Ils sont aussi plus ouverts aux modes de consommation alternatifs (achat d’occasion, location, emprunt, revente, troc, etc.).
Cinq leviers d’action pour une consommation plus durable
La sensibilisation au changement climatique est forte, mais ne suffit pas à changer les comportements. Pour encourager les jeunes vers une consommation plus durable, l’étude propose cinq pistes :
- donner à voir des exemples positifs d’action pour éviter le sentiment d’impuissance ;
- montrer les bénéfices personnels (respirer mieux, manger plus sain...) ;
- montrer que les pratiques durables peuvent être une manière de s’affirmer socialement (par exemple, en chinant d’anciens vêtements pour avoir un style vestimentaire bien en soi) ;
- montrer les évolutions positives dans les entreprises et les politiques publiques ;
- développer des applications aidant à réaliser des économies d’énergie, à choisir des produits à moindre impact.
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La Jeunesse en action – Document des Nations Unies - un.org/fr/climatechange/youth-in-action’’
Les changements climatiques ont accentué le degré d’incertitude quant à notre avenir. Il ne fait aucun doute que ses effets s’intensifient au fil du temps et que la planète sera demain aux mains des enfants et des jeunes d’aujourd’hui, puis dans celles des générations futures.
Le monde compte 1,8 milliard de jeunes âgés de 10 à 24 ans — la plus grande génération de jeunes de l’histoire. Ces derniers sont de plus en plus conscients des défis et des risques que présente la crise climatique, tout en étant convaincus qu’il est possible de parvenir à un développement durable au moyen de solutions adaptées pour faire face aux changements climatiques.
La mobilisation sans précédent des jeunes à travers le monde entier témoigne de leur grande capacité à demander des comptes aux décideurs. Leur message est clair : la génération précédente a échoué et ce sont les jeunes qui en paieront le prix, ce qui met en péril leurs perspectives d’avenir. Ma génération a pour l’instant largement failli à promouvoir l’équité et à préserver la planète. Il faut que votre génération nous tienne responsables de cette situation de façon à ce que nous ne trahissions pas l’avenir de l’humanité. — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU
Les jeunes ne se posent pas seulement en victimes des changements climatiques. Ils contribuent aussi de manière décisive à l’action pour le climat. Ce sont des acteurs du changement, des entrepreneurs et des innovateurs. Que ce soit par le biais de l’éducation, de la science ou de la technologie, les jeunes multiplient leurs efforts et mettent à profit leurs compétences pour renforcer l’action climatique.
Des voix et des récits à travers le monde

https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/youth_4_climate21_size.jpgPhoto
#YOUTH4CLIMATE : Un moment & un movement - Pour la première fois dans l’histoire des négociations des Nations Unies sur le climat, les idées et les voix des jeunes étaient au premier plan d’un sommet pré-COP. L’événement a vu l’adoption du manifeste Youth4Climate juste avant l’arrivée des dirigeants mondiaux à Glasgow pour la COP26.

https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/young-sh.pngPhoto
Ces cinq jeunes leaders du monde arabe nous donnent espoir en matière de lutte contre le changement climatique - De nombreux jeunes s’engagent dans le leadership climatique. Voici cinq jeunes leaders du climat incroyables des États arabes qui nous donnent l’espoir d’un monde engagé à résoudre la crise climatique.

Jeunes activistes et entrepreneur(e)s du climat marocain(e)s en compagnie de Sylvia Lopez-Ekra, la Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Maroc, à l’issue de la table ronde : Après Glasgow : Quel transition écologique pour le Maroc ? Photo : © UN in MoroccoPhoto
Une jeunesse marocaine consciente de l’urgence climatique - Faisant écho à l’appel du Secrétaire général, Manal, Hasnae et d’autres jeunes leaders marocain(e)s ont apporté leur contribution à l’action climatique et, plus généralement, aux efforts déployés à l’échelle mondiale pour faire avancer la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD).

Young activists photo galleryIllustration
Coup de projecteur sur le Groupe consultatif de la jeunesse sur les changements climatiques
Faisant fond sur le mouvement des jeunes pour le climat, le Secrétaire général a lancé le 27 juillet le Groupe consultatif de la jeunesse sur les changements climatiques en vue de faire mieux entendre la voix des jeunes et de les associer à un dialogue ouvert et transparent, au moment même où l’ONU se mobilise en faveur d’objectifs plus ambitieux et d’actions renforcées face à l’urgence climatique.
Les membres du Groupe veilleront à ce qu’il soit tenu compte de l’opinion des jeunes dans le cadre des prises de décision de haut niveau et conseilleront le Secrétaire général sur la mise en œuvre de sa stratégie 2020-21 sur les changements climatiques.
Neuf choses à faire dès maintenant
- Rejoignez la campagne #ActNow de l’ONU en faveur de l’action climatique et de la durabilité
- Estimez votre empreinte carbone
- Tirez profit de l’expérience d’autres jeunes sur la plateforme Reach Not Preach
- Renseignez-vous sur l’impact des changements climatiques en suivant un cours en ligne proposé par l’UNICEF
- Jouez à la « Mission 1.5 » et prononcez-vous sur l’action climatique
- Devenez des super-héros du climat
- Lisez la Déclaration mondiale de la jeunesse sur les changements climatique ainsi que les principaux résultats de la COP26.
- Rejoignez YOUNGO, un réseau mondial qui réunit les enfants, les jeunes militants et les ONG de jeunes œuvrant face aux changements climatiques
- Faites-vous entendre ! Partagez ces informations sur les réseaux sociaux
Sommet de la jeunesse pour le climat 2019 - Des représentants de la jeunesse du monde entier se sont réunis le 21 septembre 2019 au Siège de l’ONU, à New York, pour présenter des solutions aux problèmes climatiques et débattre avec les dirigeants du monde de cet enjeu emblématique de notre époque.
Le Sommet de la jeunesse pour le climat a rassemblé de jeunes défenseurs du climat en provenance de plus de 140 pays et territoires afin de leur permettre de faire part de leurs solutions au monde entier, ce qui a aussi été pour eux l’occasion de délivrer un message clair aux dirigeants de la planète : il faut agir sans attendre pour lutter contre les changements climatiques. L’événement a permis de faire entendre les demandes des jeunes en faveur d’une action plus rapide en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
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https://images.unric.org/fr/wp-content/uploads/sites/2/2021/02/logo-FR-500px.pngSource : https://www.un.org/fr/climatechange/youth-in-action
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Collecte de documents et agencement, traduction, [compléments] et intégration de liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 17/11/2022
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