Accueil > Arts & Créations artistiques > "La grue dans le marais 沼泽中的仙鹤 - La grue déploie ses ailes ’白鹤展翅’ 太极拳的姿势 - (...)
"La grue dans le marais 沼泽中的仙鹤 - La grue déploie ses ailes ’白鹤展翅’ 太极拳的姿势 - „Weißer Kranich breitet seine Flügel aus“ Haltung des Taijiquan - ’White crane spreads its wings’ Pose of Tai Chi Chuan" par Jacques Hallard
mercredi 14 septembre 2022, par
ISIAS Arts martiaux internes Créations artistiques La grue
La grue dans le marais 沼泽中的仙鹤 - La grue déploie ses ailes ’白鹤展翅’ 太极拳的姿势 - „Weißer Kranich breitet seine Flügel aus“ Haltung des Taijiquan - ’White crane spreads its wings’ Pose of Tai Chi Chuan
Auteur : Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, site ISIAS – 12/09/2022

C :\Users\JH\AppData\Local\Temp\Temp1_Re_ TOMATILLO photos.zip\IMG_20220909_122806_644.jpg
La grue dans le marais - Peinture au pinceau chinois – Jacques Hallard Atelier ‘Mollégès Group’Art’ - 沼泽中的仙鹤—中国工笔画
Der Kranich im Sumpf - Chinesische Pinselmalerei
The crane in the swamp - Chinese brush painting
Sources d’inspiration pour la grue blanche : белый журавль PNG >

Référence : https://ru.pngtree.com/freepng/white-crane_2088064.html
Marais - Définitions écologiques
Les zones humides, ou biotopes humides, se situent dans des zones de transition entre des écosystèmes secs et des écosystèmes humides permanents. Ce terme englobe différents habitats dépendant de l’eau, tels que les plaines alluviales, les tourbières, les forêts marécageuses, les marais ou les prairies humides.
湿地或湿地生物群落存在于干燥生态系统和永久湿润生态系统之间的过渡地带。这个术语包括各种依赖水的生境,如洪泛区、石楠、沼泽森林、沼泽或湿草地。
Wetlands or wet biotopes are found in the transition zones between dry ecosystems and permanently wet ecosystems. This term includes various water-dependent habitats such as floodplains, heaths, swamp forests, swamps or wet meadows.
Feuchtgebiete oder auch Feuchtbiotope liegen in Übergangsbereichen zwischen trockenen und dauerhaft feuchten Ökosystemen. Der Begriff umfasst verschiedene, vom Wasser abhängige, Lebensräume wie Aue, Moor, Bruchwald, Sumpf oder Feuchtwiese.
Source : https://www.deutschewildtierstiftung.de/aktuelles/moor-aue-sumpf
Photos de grues en vol (Sources inconnues) :


JH2022-09-09T15:53:00J

Image associée
Atelier zen au fil des saisons, animé par Pierre Bozon
L’atelier Zen au fil des saisons propose des exercices simples de Taiji Qi Gong sur les méridiens de l’organisme et de ses entrailles, relatifs à chaque saison, avec, en préambule, des pratiques pour un déblocage articulaire, des autos-massages (do-in), des étirements doux et la découverte de la marche des animaux.
Source : http://www.cran-gevrier-animation.org/cgaweb/atelier-zen-au-fil-des-saisons/ - Références :http://www.ecoleduqi.com/annuaire/bozon-pierre/ - https://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/12/10/animateur-tai-chi
Essai au pinceau chinois de Jacques Hallard sur « La grue blanche déploie ses ailes » - Posture du Taï Chi Chuan - ’白鹤展翅’ - 太极拳的姿势
„Weißer Kranich breitet seine Flügel aus“ – Haltung des Taijiquan
’White Crane Spreads Its Wings’ - Pose of Taijiquan

C :\Users\JH\AppData\Local\Temp\Temp1_Re_ TOMATILLO photos.zip\IMG_20220909_122805_537.jpg
Posture de « la grue blanche déploie ses ailes » dans le Taï Chi Chuan
仙鹤展翅

Résultat de recherche d’images pour ’La grue blanche déploie ses ailes’
Taï Chi Chuan - Démonstration de Tung Kai Ying - La grue blanche déploie ses ailes - USA 1976 – Source : https://www.e-qi.net/Galerie/maitres/photos_maitres.php
Origines : Les Maitres de l’école Tung – Voir les photos de trois générations de maîtres de l’école Tung : Tung Ying Chieh (le fondateur), Tung Hu Ling (son fils), Tung Kaï Ying et Dong Zeng Chen (les fils de Tung Hu Ling) à partir de ces sites :
Photos Maîtres Famille Tung - http://www.e-qi.net/Galerie/maitres/photos_maitres.php. www.e-qi.net

https://www.wmaker.net/mtda/photo/gal/pic/gal-839171.jpg?v=1266384073
Forme dérivée de Taï Chi Chuan - La grue prend son envol - Najib Bouchiba manipulant l’éventail | Source : Diaporama
Maître Ke Wen présente, le mouvement de la grue (extrait du Qi Gong des 5 animaux de Wudang) – Vidéo 6:36 - 26 janvier 2017 - Les Temps du Corps - Pour plus d’information visitez le site : http://tempsducorps.org/

C :\Users\JH\Downloads\IMG_20220912_173214_657.jpg

C :\Users\JH\Downloads\IMG_20220912_173320_802.png

C :\Users\JH\Downloads\IMG_20220912_173319_685.png

C :\Users\JH\Downloads\IMG_20220912_173322_736 (1).png

Source : https://www.youtube.com/watch?v=ZjT9nuWJ7KY
Une autre découverte de la symbolique de la grue :
La grue blanche déploie ses ailes - Théorie pour débutants Taijiquan Tai Chi - 14 août 2021 - Ode des Cieux - Dans le cadre Pas à pas, voici le deuxième mouvement que j’ai choisi de vous présenter : la grue blanche déploie ses ailes. D’abord, la théorie... site de formations en ligne : https://www.taichi-envie.com/
Source : https://www.youtube.com/watch?v=GXP_C9dkTLk
Le Qigong des 5 animaux du Wudang – Document ‘ethicalformation.com’
Le Qigong des 5 animaux du Wudang est un ancien exercice Taoïste créé pour améliorer la santé et la longévité. Comme son nom l’indique, cet exercice se compose de mouvements basés sur les mouvements de 5 animaux : le dragon, le tigre, le léopard, le serpent, et la grue.
Chaque mouvement relatif à un animal permet d’améliorer le fonctionnement d’un organe interne spécifique. Le dragon améliore le fonctionnement des reins, le tigre celui des poumons, le léopard agit sur le foie, le serpent sur la rate, et la grue sur le coeur.
La pratique assidue du Qigong des 5 animaux du Wudang permet de rétablir l’équilibre du système des organes internes. Avoir des organes internes équilibrés permet au corps de fonctionner de manière optimale, et par conséquent d’améliorer la santé et la longévité du pratiquant.
En plus d’harmoniser les organes internes, cette pratique permet aussi d’ouvrir les articulations, de détendre les tendons, et de renforcer les muscles. De plus, cet exercice améliore les fonctions de respiration et de circulation sanguine ; non seulement cela
permet au corps de fournir du sang riche en oxygène à toutes ses extrémités, mais cela aide également à l’élimination des toxines. Le but de ce Qigong des 5 animaux est de garder un corps souple comme celui d’un enfant. Pratiqué régulièrement, il s’agit d’un anti-âge efficace, qui permet de garder un corps en bonne santé au fil des ans.
L’objectif de cet article est de présenter les nombreux bénéfices du Qigong des 5
animaux et d’apporter des informations complémentaires à la vidéo pour avoir une base solide pour l’entraînement. Cet article couvrira les 8 éléments clés nécessaires à la pratique : les mouvements d’ouverture, les mouvements du dragon, les mouvements du tigre, les mouvements, du léopard, les mouvements du serpent, les mouvements de la grue, les mouvements de clôture et la méditation debout. Y seront également décrits les principes de base de l’entraînement.
Cet article ne remplace en rien les instructions d’un instructeur certifié. De plus, le Qigong des 5 animaux ne doit pas être considéré comme un remède à une quelconque maladie. Comme n’importe quelle autre activité physique, il est recommandé de consulter un médecin avant d’entamer ces exercices.
Les mouvements d’ouverture
Commencer par se tenir debout, le dos droit et les pieds joints, les genoux légèrement pliés, et les mains le long du corps. Prendre une respiration lente et écarter les pieds de la largeur des épaules. En expirant, enfoncer les pieds dans le sol et faire descendre son poids. Lors de la respiration suivante, laisser les mains monter lentement devant soi jusqu’à ce qu’elles atteignent la hauteur des épaules ; en expirant, laisser les mains redescendre lentement vers la taille. Sur la respiration suivante, laisser les bras monter de nouveau, mais cette fois-ci sur les côtés ; une fois arrivés à hauteur des épaules, expirer et laisser légèrement les coudes retomber de manière à ce qu’ils pointent vers le sol. Maintenant, tourner les mains de manière à ce que la paume pointe vers l’extérieur, les doigts pointant vers le sol. A l’inspiration suivante, monter les mains au-dessus de la
tête et les faire se toucher au niveau des poignets, le tout en renversant lentement la tête vers l’arrière et en montant le regard vers le ciel. Dans cette position, les paumes des mains sont tournées vers le ciel comme si l’on tenait un grand bol. Retenir sa respiration dans cette position aussi longtemps que possible, puis expirer et ramener les mains le long de la ligne centrale, avec les mains jointes en position de prière.
Tout en maintenant les mains en position de prière, les laisser descendre le long de la ligne centrale et presser les paumes l’une sur l’autre de manière à étirer les mains et les doigts ; puis, relâcher les mains en inspirant et ramener les mains au niveau de la poitrine. Expirer, et redescendre les mains encore une fois tout en appuyant les doigts les uns sur les autres comme précédemment. Puis, inspirer et ramener les paumes à nouveau vers la poitrine. Ce mouvement est répété 3 fois au total. Terminer ce mouvement sur l’expiration, les paumes appuyées l’une sur l’autre juste en dessous du nombril, puis lentement tourner les mains de manière à ce que les doigts pointent maintenant vers le sol et descendre les mains au niveau de la taille.
Cette fois, avec les mains en position de prière inversée, inspirer en ramenant les mains vers la poitrine tout en pressant les paumes l’une sur l’autre. Puis, en expirant, relâcher les mains et les descendre au niveau de la taille. Ce mouvement est répété 3 fois au total. Terminer cette séquence sur l’expiration, les mains toujours jointes en position de prière inversée à hauteur de la taille. Pour conclure, ouvrir les mains et les monter au-dessus de la tête en inspirant, comme si l’on attrapait un gros ballon d’air. Puis expirer et ramener les paumes le long de la ligne centrale comme si l’on poussait le ballon d’air dans son nombril. Ce mouvement conclut les mouvements d’ouverture. La suite consiste en une méditation debout d’environ 3 minutes.

Source de cet extrait : http://www.ethicalformation.com/wp-content/uploads/2014/12/5-animals-Wudang-Qi-Qong-8-pi%C3%A8ces-de-Brocart-Taoisme-Alchimie.pdf
Chine : les Monts Wudang, berceau du taoïsme - Antony Mason - Publié le 29/06/2016 à 11h50 - Mis à jour le 29/06/2016 – Document ‘Géo’
Photo - Le temple taoïste Zixiao, dans les monts Wudang, province de Hubei © Keren Su / Getty Images
Les monts Wudang, chaîne de montagnes d’une superficie approximative de 250 km2 située au sud de la ville-préfecture de Shiyan dans la province du Hubei, en Chine, sont renommés pour leurs nombreux monastères taoïstes. Embarquez pour un voyage inoubliable grâce à cet extrait de notre livre consacré aux plus beaux lieux sacrés.
« La nature ne se presse pas ; pourtant, tout est accompli ». Ce célèbre proverbe taoïste dit bien la place centrale que le taoïsme, la seule grande religion originaire de Chine, confère à la nature. Elle est le principe directeur, le guide : observez-la ; soyez en accord avec votre vraie nature, dit le Tao (« la Voie »). Et encore : le secret d’une vie harmonieuse est de ne pas chercher à accomplir plus que n’accomplit la nature.
Les monts Wudang sont tout simplement somptueux. Ces soixante-douze pics plongeant sur des gorges drapées de nuages, ces vallées suspendues, ces forêts dissimulant des marais, des chutes d’eau, des torrents et de paisibles bassins, constituent depuis plus de deux mille ans un lieu de première importance pour les taoïstes.
Ils viennent y contempler les enseignements du sage Lao Tseu, considéré comme un contemporain de Confucius. Au VIe siècle av. J.-C., tandis que ce dernier énonçait les principes de conduite à suivre dans la vie quotidienne, le Tao-tö-king, texte attribué à Lao Tseu, dessinait le cadre spirituel pour une bonne vie. Le taoïsme, originellement, était moins une religion qu’une philosophie. Mais il a acquis au fil du temps de nombreux aspects religieux jusqu’à avoir ses dieux, ses figures légendaires divinisées, ses temples et ses monastères.
Les adeptes du Tao ont ainsi élevé une série de sanctuaires, dédiés aux éléments naturels, dans les monts Wudang. Puis, quand les empereurs de Chine adoptèrent le taoïsme, ils firent édifier dans ces montagnes situées à quelque 1.000 kilomètres de Pékin d’autres temples ainsi que des palais. Ces reliefs naturels se parèrent d’un nouveau prestige. On venait y apprendre la philosophie, la méditation, la musique, des pratiques agricoles inspirées du Tao, la médecine traditionnelle – et les arts martiaux.
C’est dans ces montagnes, selon la tradition, que l’ermite Zhang Sanfeng mit au point, au XIVe siècle, le Wudang Chuan, forme d’art martial appliquant les règles de l’équilibre chères au taoïsme, l’équilibre étant perçu comme le respect des forces opposées et pourtant complémentaires du yin et du yang. Le Wudang Chuan a inspiré des disciplines développées ultérieurement, comme le tai-chi-chuan, et diverses écoles de kung-fu. Les monts Wudang demeurent aujourd’hui encore un haut lieu d’apprentissage des arts martiaux. On peut y voir des moines s’entraîner dans la cour des monastères tandis que des élèves venus du monde entier répètent leurs enchaînements à l’ombre de vénérables palais.
Ce qu’on nomme aujourd’hui « l’ensemble de bâtiments anciens » des Wudang réunit 72 temples, 9 monastères, 36 couvents et 9 palais. Ces bâtiments dispersés furent construits sur une période de plus de mille ans à partir de la dynastie Tang (618-907 apr. J.-C.). On dit que l’empereur Taizong ordonna la construction du plus ancien des bâtiments majeurs, le temple des Cinq-Dragons, après que les prières adressées par le gouverneur de la région eurent mis fin à une sécheresse.
Mais c’est incontestablement le Sanctuaire d’or, bâti au sommet du pic du Pilier céleste – point culminant du massif, à 1.612 mètres d’altitude –, qui constitue le monument central de ce vaste ensemble. Ce temple, en réalité en bronze, fut préfabriqué à Pékin en 1614 pour l’empereur Yongle et transporté jusqu’ici, ce qui constitue en soi un exploit. Pour y parvenir, les pèlerins, jeunes et vieux confondus, doivent fournir un effort physique formidable (à moins d’opter pour la facilité du téléphérique). Car on n’accède aux temples des monts Wudang que par des chemins escarpés et des escaliers vertigineux. Si les touristes sont de plus en plus nombreux à les emprunter, seuls ceux qui savent s’ouvrir à la beauté rude de ces montagnes peuvent découvrir la vérité que les taoïstes sont venus y chercher depuis des siècles.
Source : https://www.geo.fr/voyage/chine-les-monts-wudang-berceau-du-taoisme-160896
Selon Wikipédia, « Les monts Wudang (chinois simplifié : 武当山 ; chinois traditionnel : 武當山 ; pinyin : wǔdāng shān ; parfois écrit Wutang) ou montagnes de Wudang, sont une chaîne de montagnes à Danjiangkou, au sud de la ville-préfecture de Shiyan dans la province du Hubei, en Chine. Elle est considérée comme l’un des berceaux des arts martiaux internes taoïstes comme le taiji quan ou le bagua zhang qui se développèrent à partir du XVIIIe siècle. » - Photo : anciens monastères taoïstes des montagnes de Wudang
Article détaillé : Wudang quan >>>
« Le wudang quan (chinois : 武当拳 ; pinyin : wǔdāng quán ; litt. « boxe de Wudang ») ou wudang pai (武当派, wǔdāng pài, « école de Wudang ») désigne l’ensemble des arts martiaux chinois prétendus originaires du mont Wudang, montagne sacrée du taoïsme. Les styles wudang sont traditionnellement associés aux arts internes (neijia 内家) et opposés en ce sens aux styles tels que ceux de Shaolin, considérés comme arts externes (waijia 外加). Cette distinction remonte vraisemblablement au début du XXe siècle (organisation de compétitions martiales) et l’origine légendaire de ces arts au mont Wudang est contestée par les études historiques contemporaines ».
Les monts Wudang sont très connus et visités pour les nombreux monastères taoïstes que l’on peut y trouver. Ces monastères sont réputés comme centres de recherche d’apprentissage et de pratique de la méditation, des arts martiaux et de la médecine traditionnelle chinoise, et des pratiques de l’agriculture et des arts liés au taoïsme.
Histoire - Le premier bâtiment taoïste à y être construit est la salle des Cinq Dragons, sous l’empereur Tang Taizong (627-649), au début de la dynastie Tang (618-907), puis les temples Taiyi et Yanchang. En 869 fut ajouté le temple Weiwu Gong. Sous le règne de l’empereur Song Zhenzong (dynastie Song), la salle des Cinq Dragons est transformée en temple des Cinq Dragons en 10181.
On attribue parfois à Zhang Sanfeng l’apport des arts martiaux taoïstes aux monts Wudang. Beaucoup ont été construits ou réparés sur ordre de l’empereur Chengzu des Ming qui avaient une révérence particulière pour le dieu principal du mont, Zhenwu2. En 1956, de nombreuses statues de bronze ont été fondues. Les monastères ont été vidés, endommagés et négligés durant la révolution culturelle (1964-1978), mais ces montagnes sont récemment redevenues très populaires auprès des touristes chinois et étrangers attirés par le paysage et leur intérêt historique. De nombreux pratiquants et maîtres taoïstes ayant fui à Taïwan durant la révolution culturelle ont pu de nouveau s’y rendre en juin 2005[réf. nécessaire].
Patrimoine - Photo - Cérémonie culturelle sur le site de Wudang Shan - Les monastères ont été classés sites de l’héritage culturel mondial par l’UNESCO en 1994 sous le nom de « Ensemble de bâtiments anciens des montagnes de Wudang », attestant ainsi de la reconnaissance de leur valeur historique et culturelle.
Transports - La gare ferroviaire Wudangshan (武当山站), dans le centre urbain du bourg de Wudangshan (武当山镇), au nord des monts, est située à quelques minutes de celle de Shiyan et est sur la ligne qui relie celle-ci à Wuhan. Le bourg est traversé par les routes nationales G70, G209 et G316. Un téléphérique permet de monter aux sommets des monts…
Source de l’article complet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Monts_Wudang
Le Hubei (chinois : 湖北省 ; pinyin : Húběi shěng ; litt. « province du nord du lac ») est une province du centre-est de la Chine. D’une superficie de 185 900 km2 elle est peuplée de 57,8 millions de personnes. La capitale de la province est Wuhan, métropole de 9 millions habitants.
Appellations - La province tire son nom du fait qu’elle est située au nord du lac Dongting (洞庭湖, dòngtínghú). On la surnomme également la « Province aux Mille Lacs », sachant le grand nombre de ceux-ci…

Hubei
Carte indiquant la localisation du Hubei (en rouge) à l’intérieur de la Chine.
Article complet sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hubei
Remerciements à Bastien pour ses traitements d’images
Collecte de documents, agencement, traductions, [compléments] et intégration de liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 12/09/2022
Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales
Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France
Courriel : jacques.hallard921@orange.fr
Fichier : ISIAS Arts martiaux internes Créations artistiques La grue blanche.5
Mis en ligne par le co-rédacteur Pascal Paquin du site inter-associatif, coopératif, gratuit, sans publicité, indépendant de tout parti, un site sans Facebook, Google+ ou autres GAFA, sans mouchard, sans cookie tracker, sans fichage, un site entièrement géré sous Linux et avec l’électricité d’Énercoop , géré par Yonne Lautre : https://yonnelautre.fr - Pour s’inscrire à nos lettres d’info > https://yonnelautre.fr/spip.php?breve103

http://yonnelautre.fr/local/cache-vignettes/L160xH109/arton1769-a3646.jpg?1510324931
— -
ISIAS Arts martiaux internes Créations artistiques La grue blanche