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"Une agriculture durable exemplaire pour l’Afrique : actions et projets en cours au Rwanda d’environ 13 millions d’habitants en 2020 en Afrique de l’est" par Jacques Hallard

mardi 31 mai 2022, par Hallard Jacques


ISIAS Agroécologie Rwanda

Une agriculture durable exemplaire pour l’Afrique : actions et projets en cours au Rwanda d’environ 13 millions d’habitants en 2020 en Afrique de l’est

Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, site ISIAS – 25/05/2022

Plan du document : Préambule Introduction Sommaire#ZUSAMMENFASSUNG Auteur


Préambule

On peut soit revoir tout d’abord la définition de l’Agroécologie avec Wikipédia et avec ‘Terre & Humanisme’, soit passer directement à l’introduction et/ou au sommaire de ce dossier construit avec une visée didactique

Introduction à l’Agroécologie par Wikipédia

Ne doit pas être confondu avec Écoagriculture.

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/cb/Agro%C3%A9cologie.png/220px-Agro%C3%A9cologie.png

L’agroécologie applique une approche systémique intégrée aux systèmes agro-alimentaires, cherchant à associer les dimensions écologique, économique et sociale, afin de prendre en compte les trois piliers du développement durable.

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c3/Agribusiness_vs_agroecology.jpg/220px-Agribusiness_vs_agroecology.jpg

Industrie agroalimentaire vs agroécologie.

L’agroécologie, ou agro-écologie, est un ensemble de théories et de pratiques agricoles nourries ou inspirées par les connaissances de l’écologie, de la science agronomique et du monde agricole.

Ces idées concernent donc l’agriculture, l’écologie, et l’agronomie, mais aussi des mouvements sociaux ou politiques, notamment écologistes1,2.

Dans les faits, ces diverses dimensions de théorie, pratique et mouvements, s’expriment en interaction les unes avec les autres, mais de façon différente selon les milieux ou régions2.

Sommaire

La définition de l’agroécologie selon ‘Terre & Humanisme’

Aujourd’hui reconnue comme une discipline essentielle, l’agroécologie est hissée par les milieux scientifiques au premier rang des solutions face au changement climatique. L’agroécologie respecte les écosystèmes naturels et intègre les dimensions économiques, sociales et politiques de la vie humaine. Elle conçoit une approche globale qui concilie agriculture, écologie, productivité, activité humaine et biodiversité.
En replaçant l’humain au cœur des écosystèmes, l’agroécologie selon Terre & Humanisme apporte un ensemble de clés pour réussir ensemble la transition. Son objet ne consiste pas uniquement à prendre soin du sol, de la plante, de l’animal ou de l’être humain, mais aussi à considérer l’ensemble des éléments de l’écosystème et des systèmes sociaux et à veiller à la qualité de leurs interrelations.

En ce sens, l’agroécologie est un équilibre harmonieux mêlant agriculture et écologie, quantité et qualité, activités humaines et biodiversité, philosophie et techniques, écosystèmes et systèmes sociaux.

L’agroécologie en 3 piliers et 12 principes

Des impacts (positifs) directs pour les ressources naturelles

Répare les sols - Retour de la biodiversité, restauration des sols et préservation des plantes sauvages

Résiste aux changements climatiques - Optimisation de l’usage de l’eau, stockage du carbone dans les sols, lutte contre la désertification et l’érosion

Réduit la dépendance à la chimie - Réhabilitation des variétés locales, association des cultures, protection naturelle des cultures

Active et préserve la vie du sol - Non travail du sol, fertilisation organique (compost), renforcement des liens entre agriculture et élevage

72% des terres arables et 31 % des pâturages africains sont considérés comme dégradés selon une étude Parmentier et al. (2007)

2 à 4 ans, c’est le temps nécessaire pour restaurer la fertilité des sols en utilisant agroforesterie et agroécologie selon une étude de Robin (2012)

80 % des paysans dans le monde produisent plus de 70 % de l’alimentation disponible sans les béquilles chimiques de l’agriculture industrielle.

24/40 millions de tonnes de grain supplémentaires pourraient être produits chaque année dans le monde en stockant une tonne de matière organique par hectare. Lal 2006

Des impacts (positifs) directs pour chacun

Nourrit et protège - Répond aux besoins alimentaires, diversifie et améliore l’alimentation des familles, réduit la dépendance des paysans aux engrais et pesticides de synthèse et aux semences hybrides, améliore la production agricole en saison sèche et années difficiles

Rend libre - Amélioration des capacités économiques, valorisation de la place des femmes et réduction de l’exode rural des jeunes (via la formation)

5 hectares, la pratique des demi-lunes pendant le chantier de réhabilitation communautaire mené à Tacharane (Gao, Nord Mali) a permis de récupérer et de mettre en culture 5 ha de terres entièrement dégradées.

90.000 : C’est le nombre de nouveaux paysans à Cuba depuis les années 1990. La moitié d’entre eux sont âgés de moins de 35 ans.

’Si chacun de nous fait le peu qu’il peut avec conviction et responsabilité, je vous assure que l’on fera énormément.’ Pierre Rabhi

Téléchargez le document : L’Agroécologie en 3 piliers et 12 principes

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Introduction

Une nouvelle fois, on va parler d’agroécologie dans ce dossier à usage didactique qui fait suite à cet article précédent centré sur les orientations nouvelles de l’agriculture en France et en Inde :

’Viser plus d’autonomie en considérant la souveraineté alimentaire : solutions en marche en France et exemple de l’Andhra Pradesh indien avec 75 millions d’habitants dont 80% de ruraux vers une agriculture 100% vertueuse’ par Jacques Hallard - 23 mai 2022 - ISIAS Souveraineté alimentaire Crise alimentaire Inde Agriculture durable Photovoltaïque.

La notion d’agroécologie a tout d’abord été rappelée dans le préambule de dossier d’après Wikipédia et avec ‘Terre & Humanisme’. Les réalisations rapportées concernent plus particulièrement le Rwanda, un pays d’Afrique de l’Est de près de 13 millions d’habitants. L’essentiel des mesures prises auprès des populations rurales, vivant principalement dans des territoires de collines, sont surtout initiées et encouragées par une organisation : ACORD Rwanda (Association de Coopération et de Recherche pour le Développement)

Les documents choisis décrivent le Rwanda et donnent des exemples des démarches entreprises en matière d’agroécologie, visant une agriculture durable, et qui sont notamment soutenues par les organisations suivantes : La FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), l’association Humura, l’association ‘Frères des Hommes, (créé en 1965, une association française de solidarité, non confessionnelle, indépendante de tout parti politique et syndicat dont le slogan est ‘Vers plus de justice sociale, environnementale et climatique’), ainsi que CCFD-Terre Solidaire (anciennement comité catholique contre la faim et pour le développement), « une association type loi de 1901… qui mobilise la solidarité en France pour lutter contre la faim dans le monde... »)

Le Centre Humura du Burundi, pays voisin de Rwanda, est « une structure pilote d’accueil du gouvernement pour donner des réponses holistiques aux victimes, femmes et filles, en matière médicale, psychosociale, juridique, judiciaire, réinsertion socio-économique. Ce centre offre aux victimes les services gratuits suivants : abri temporaire, assistance sanitaire, médicale, psychosociale, juridique, et judiciaire, et réinsertion socio-économique. Les informations et services sont proposés en kirundi, swahili, et français… » - Source.

Lecture suggérée : « Burundi-Rwanda deux pays indissociables et rivaux - Publié : 16 août 2016, 06:38 CEST -

https://images.theconversation.com/files/134016/original/image-20160813-25485-1ktzro5.jpg?ixlib=rb-1.1.0&q=45&auto=format&w=237&fit=clip

A lire sur ce site : https://theconversation.com/burundi-rwanda-deux-pays-indissociables-et-rivaux-63916

Les documents sélectionnés pour ce dossier sont indiqués avec leurs accès dans le sommaire ci-après.

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Sommaire

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  • Introduction de Wikipédia sur le Rwanda

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    Description de l’image Carte Rwanda.png.

Localisation en Afrique et cafte du Rwanda

Le Rwanda, en forme longue la république du Rwanda, en kinyarwanda Repubulika y’u Rwanda, surnommé le « pays des mille collines », est un pays d’Afrique de l’Est. Le Rwanda étend ses 26 338 km2 dans la région des Grands Lacs. Il partage des frontières avec, au nord, l’Ouganda, à l’est, la Tanzanie, au sud, le Burundi, et à l’ouest, la république démocratique du Congo. Sa capitale Kigali est située au centre du pays.

Les Rwandais parlent le kinyarwanda, et vivent dans les collines qui constituent la localisation de référence des habitats. Les Banyarwandas, le groupe culturel du pays est divisé en trois sous-groupes, les Twa, les Hutu et les Tutsi, qui constituent respectivement 1 %, 84 %, et 15 % de la population. Le Rwanda est établi comme un royaume au XVe siècle dirigé par des rois Tutsi avant de devenir une partie de la colonie allemande de l’Afrique orientale allemande en 1885. Après la défaite de l’Allemagne à l’issue de la Première Guerre mondiale, le territoire fait partie de la colonie belge du Ruanda-Urundi en 1923. Les deux puissances coloniales pratiquent une politique pro-Tutsi à travers la monarchie et engendrent du ressentiment dans la majorité Hutu. La révolution rwandaise mène à la chute de la monarchie, la création d’un gouvernement républicain dominé par des Hutu, et l’indépendance du pays en 1962 sous le président Grégoire Kayibanda. Lors d’un coup d’État en 1973, Juvénal Habyarimana lui succède et continue une politique pro-Hutu. Après l’assassinat de Habyarimana en avril 1994, le pays connaît le génocide des Tutsis qui se termine en juillet 1994 par une victoire militaire du Front patriotique rwandais (FPR), un groupe rebelle dirigé par des Tutsi menant une guerre civile contre le gouvernement de Habyarimana depuis 1990. Le président actuel du pays est Paul Kagame, un ancien commandant du FPR en fonction depuis 2000. En 2003, il promulgue une nouvelle constitution mettant fin aux discriminations2. Il est souvent qualifié de dictateur par des observateurs3.

Le Rwanda est membre de l’Organisation des Nations unies (ONU), de l’Union africaine (UA), depuis juin 2007, de la Communauté d’Afrique de l’Est, de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), et depuis le 29 novembre 2009 du Commonwealth.

En français, les graphies Ruanda et Rouanda ont aussi été utilisées avant l’indépendance en 1962 pour désigner le pays….

Source de l’article complet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Rwanda

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2.
Vue d’ensemble du Rwanda d’après la Banque Mondiale - Dernière mise à jour : 17 avril 2022

Petit État d’Afrique de l’Est enclavé et densément peuplé, le Rwanda possède des terres vallonnées et fertiles et une population d’environ 13 million d’habitants (2020). Bordé à l’ouest par la République démocratique du Congo (RDC), voisin autrement plus vaste et riche, il est entouré par la Tanzanie à l’est, l’Ouganda au nord et le Burundi au sud. Au cours de la dernière décennie, le Rwanda est parvenu, avec l’appui de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI), à mettre en place d’importantes réformes économiques et structurelles et à maintenir une croissance soutenue.

Situation politique

Le Rwanda a préservé sa stabilité politique depuis le génocide perpétré contre les Tutsi en 1994. Aux élections législatives de septembre 2018, le Front patriotique rwandais a conservé sa majorité absolue, tandis que les femmes ont obtenu 61 % des sièges. Ce scrutin a en outre vu entrer pour la première fois au Parlement deux partis d’opposition, le Parti vert démocratique du Rwanda et le Parti social Imberakuri, qui ont remporté chacun deux sièges. Le président Paul Kagame a été réélu pour sept ans en août 2017, à la suite d’une révision de la Constitution votée en décembre 2015 lui permettant de briguer un troisième mandat.

Situation économique

Le Rwanda aspire à devenir une économie à revenu intermédiaire d’ici 2035, et à rejoindre les pays à revenu élevé à l’horizon 2050. Le gouvernement entend concrétiser cette ambition à travers une suite de stratégies nationales pour la transformation (a) d’une durée de sept ans, qui reposeront sur des plans sectoriels détaillés orientés vers la réalisation des Objectifs de développement durable.

La première de ces stratégies s’inscrit dans la continuité des deux stratégies de développement économique et de réduction de la pauvreté précédentes, qui ont couvert les périodes 2008-2012 et 2013-2018, dans le cadre desquelles le Rwanda a enregistré des résultats économiques et sociaux robustes. La croissance s’est établie en moyenne à 7,2 % au cours de la dernière décennie, tandis que le PIB par habitant progressait de 5 % par an.

Les mesures de confinement et de distanciation sociale prises pour endiguer la pandémie de COVID-19 ont sévèrement réduit l’activité économique en 2020. Les projections de croissance du gouvernement, qui prévoyaient une progression de 8 % pour 2020, ont été revues fortement à la baisse, avec un recul du Produit intérieur brut (PIB) estimé à 3,4 %.

COVID-19

La Banque mondiale a contribué avec succès aux efforts de riposte et de vaccination contre la COVID-19 au Rwanda en apportant son soutien dans les domaines suivants :

  • L’acquisition de tests de diagnostic et d’équipement, de fournitures de santé et d’équipement de protection individuelle (EPI), ainsi qu’un appui à la mise en œuvre des mesures de santé publique adoptées par le gouvernement afin de freiner la propagation du virus et de limiter son impact.
  • Approvisionnement et déploiement des vaccins contre la COVID-19. Jusqu’à présent, la Banque mondiale a financé l’acquisition de 3,6 millions de doses pour atteindre jusqu’à 1,8 million de personnes (soit 14 % de la population) entièrement vaccinées.
  • Depuis le lancement de la campagne de vaccination le 5 mars 2021, plus de 8,94 millions de personnes (soit 69 % de la population) ont été vaccinées avec au moins une dose, dont 8,25 millions de personnes (63 % de la population) entièrement vaccinées et plus de 3,57 millions de personnes (27 % de la population) ayant reçu une piqûre de rappel au 13 avril 2022.
    Enjeux de développement

Le modèle de développement du Rwanda, qui repose en grande partie sur le secteur étatique, a montré ses limites avec l’augmentation considérable de la dette publique ces dernières années. Les grands investissements publics, qui représentaient 12,3 % du PIB en 2019, ont tiré la croissance de l’économie rwandaise, mais conduit aussi à des déficits budgétaires importants, financés principalement par des emprunts extérieurs. Le ratio dette/PIB est ainsi passé de 19,4 % en 2010 à 56,7 % en 2019 et devrait atteindre 71,3 % du PIB en 2020, suite à l’augmentation des besoins d’emprunt due à la pandémie. 

Les ressources extérieures — sous forme de dons et de prêts concessionnels et non concessionnels — ont contribué de manière importante au financement des investissements publics. À l’avenir, le secteur privé jouera un rôle moteur plus important dans la croissance économique. Le faible niveau de l’épargne et des compétences, ainsi que le coût élevé de l’énergie, font partie des principaux obstacles à l’investissement privé. Un secteur privé plus dynamique aidera à assurer un taux d’investissement élevé et à accélérer la croissance. La promotion de l’épargne intérieure apparaît en outre comme un facteur déterminant.  La question du partage de la croissance reste un défi fondamental. La dynamique de réduction de la pauvreté s’est essoufflée ces dernières années, accentuant la nécessité d’élaborer sans délai une stratégie d’investissement public de moyen terme garante d’une meilleure allocation des ressources en direction de projets essentiels à une reprise économique généralisée et inclusive, suite à la pandémie.

Situation sociale

La forte croissance économique du Rwanda s’est accompagnée d’une amélioration significative des conditions de vie : le taux de mortalité infantile a baissé de deux tiers et le pays a presque atteint l’objectif d’éducation primaire universelle. Le Rwanda a beaucoup progressé dans l’accès aux services et dans les indicateurs de développement humain en donnant la priorité aux politiques publiques et initiatives endogènes.

Selon le seuil établi au niveau national, le taux de pauvreté a baissé de 77 % en 2001 à 55 % en 2017, tandis que l’espérance de vie à la naissance est passée de 29 ans à 69 ans entre le milieu des années 1990 et 2019. Le taux de mortalité maternelle a chuté sur la même période, pour passer de 1 270 à 290 décès pour 100 000 naissances vivantes. Le coefficient de Gini, qui mesure le niveau des inégalités, a baissé de 0,52 à 0,43 entre 2006 et 2017. La crise générée par la pandémie est cependant à l’origine d’une recrudescence sévère de la pauvreté : en 2021, le taux de pauvreté devrait atteindre un niveau supérieur de 5,1 points de pourcentage à celui estimé dans un scénario sans COVID (ce qui correspond à plus de 550 000 pauvres supplémentaires). La détérioration de la nutrition et l’accès plus limité aux services de santé, conjugués aux pertes d’apprentissage dues à la fermeture des écoles et au risque accru d’abandon scolaire (en particulier parmi les adolescentes et les enfants des ménages pauvres), menacent d’effacer plusieurs décennies de progrès dans le développement du capital humain.

La Banque mondiale

Notes de la Banque Mondiale – L’économiste en Afrique de l’Ouest.

Source : https://www.banquemondiale.org/fr/country/rwanda/overview#1

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3.
Rwanda, l’agroécologie au service de l’homme - 15 octobre 2020 - KTOTV – Vidéo 8:07 en langage local et écrit en français

A l’occasion de la Journée mondiale de l’Alimentation le 16 octobre, KTO vous propose un reportage réalisé au Rwanda. Depuis 2007, au Rwanda, le gouvernement a mis en place la ’Révolution verte’, une politique agricole basée sur l’intensification et la monoculture, au détriment de la sécurité alimentaire des familles rurales. Face à ces bouleversements qui impactent leurs conditions de vie, Acord Rwanda, partenaire du CCFD-Terre Solidaire, fait du plaidoyer auprès du gouvernement pour défendre les droits des paysans et promouvoir l’agroécologie dans les politiques agricoles. Un reportage en partenariat avec le CCFD-Terre Solidaire.

Source : https://www.youtube.com/watch?v=8ZaQ0vXUHDY

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4.
Les héros de l’agroécologie : portrait de François, au Rwanda – Vidéo 1:32 - 25 février 2020 - CCFD-Terre Solidaire

François est partenaire du CCFD -Terre Solidaire. Il travaille pour l’association ’Acord au Rwanda’, qui met en place des programmes de développement de techniques agricoles agroécologiques au Rwanda. Grâce à ces actions, la vie des paysans Rwandais s’est améliorée, et le gouvernement Rwandais a même accepté d’intégrer les technique d’agroécologie dans son plan de développement agricole. Grâce à François et à Acord au Rwanda, l’heure de l’agroécologie a sonné, le temps des solutions est arrivé : il est urgent de changer le système agricole et alimentaire pour plus d’agroécologie. Vous aussi soutenez les programmes agroécologiques en faisant un don sur https://letempsdessolutions.org/

Source : https://www.youtube.com/watch?v=hHVHjV78foc

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  • Agroécologie : vers une conversion écologique – Vidéo 52:19 - 17/03/2020 - KTO · KTOTV
    Dans son encyclique Laudato Si, voir Laudato si’ (24 mai 2015) ,http://www.vatican.va/content/franc...le pape nous invite à une véritable « conversion écologique », en repensant notre lien à la nature et à la création. Développer une agriculture respectueuse de l’écosystème et des savoirs traditionnels peut-il permettre de nourrir correctement les populations paysannes et de préserver la planète ? A l’occasion du Carême, le CCFD-Terre Solidaire vient partager sur KTO son action menée avec ses partenaires.

Nous verrons un reportage réalisé au Rwanda. Depuis 2007, le gouvernement rwandais s’est lancé dans la Révolution verte, en développant une agriculture commerciale avec des monocultures extensives, au détriment de la sécurité alimentaire des familles rurales. Face à ces bouleversements qui impactent leurs conditions de vie, Acord Rwanda, partenaire du CCFD-Terre Solidaire, fait du plaidoyer auprès du gouvernement pour défendre les droits des paysans et promouvoir l’agroécologie dans les politiques agricoles. Une émission en partenariat avec le CCFD-Terre Solidaire.

Source : https://www.ktotv.com/video/00326052/emission-speciale-ccfd

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Cette semaine Véronique Alzieu nous emmène dans le district de Musanze à l’est du Rwanda. C’est le district le plus montagneux du pays. Il englobe une majorité du parc du Virunga, connu pour être le dernier sanctuaire des gorilles de montagnes. Ici, des milliers de petits paysans cultivent la terre souvent avec des produits chimiques qui ont dramatiquement appauvris le sol. Avec le soutien du CCFD-Terre Solidaire, l’association ACORD propose aux paysans un type d’agriculture plus durable, écologique et vertueux, découvrez comment en suivant Vedaste Mwenende dans les champs. Il est chargé d’évaluation et apprentissage pour ACORD.

Photo - Véronique Alzieu et Vedaste Monandé dans les champs du district de Musanze au Rwanda / Sophie Rebours

Les raisons de l’appauvrissement du sol au Rwanda

Pression démographique, changements climatiques, pollution chimique sont les raisons majeures de l’appauvrissement des sols de la luxuriante région de Musanze selon Vedaste Mwenende qui tente de diffuser des pratiques agro-écologiques aux paysans locaux. ’A cause de la surexploitation les gens utilisent massivement des pesticides et des intrasynthétiques ce qui contribue à appauvrir la terre qui était jadis fertile’ explique-t-il. Dans le district de Musanze on cultive essentiellement des pommes de terre, des haricots, du maïs et du blé. La majorité des bénéficiaires soutenus par l’association ACORD pour changer leurs pratiques agricoles sont des femmes. Le mort d’ordre de tous les participants est ’solidarité’.

L’agroécologie au service de la sécurité alimentaire 

L’association ACORD RWANDA (Association de Coopération et de Recherche pour le Développement) soutenue par CCFD-Terre Solidaire) promeut l’agroécologie pour que les populations paysannes vulnérables atteignent la souveraineté alimentaire tout en préservant l’environnement. L’association transmet les valeurs agroécologiques aux paysans locaux afin qu’ils entament une transition vers des pratiques plus écologiques sans que cela ne les affecte économiquement.

On découvre ainsi que les villageois utilisent la technique du compostage naturel, constitué de paille et de bouses de vaches, pour nourrir le sol, plutôt que d’avoir recours à des produits chimiques. Même si cela demande plus de travail, les bénéficiaires, voyant leur sol s’appauvrir, ont rapidement opté pour des alternatives plus respectueuses de l’environnement. Cela se fait dans une bonne ambiance palpable. La cohésion du groupe et la solidarité sont autant de conséquences positives à cet accompagnement. ’Comme on dit ’la bonne humeur rajeunit’ lance Vedaste Mwenende dans un sourire ’les gens sont contents de travailler, ça renforce la cohésion sociale au sein du groupe. En fin de compte ça donne des résultats et c’est l’assiette qui en bénéficie’.

​Un article en partenariat avec :

https://media.rcf.fr/sites/default/files/2021-08/ccfd_2.png

CCFD-Terre Solidaire -

Saviez-vous que RCF existe grâce à vous ? - La publicité est quasiment absente de nos ondes pour préserver l’indépendance de la radio et la qualité de nos programmes. Réseau de radios associatives, d’intérêt général, RCF vit essentiellement grâce au soutien de ses auditeurs !

RCF, radio chrétienne

Célia BADET manager et coach en charge du développement chez Empreinte Humaine, interviwée par RCF Radio - Empreinte Humaine

Source : https://rcf.fr/articles/ecologie-et-solidarite/alimenter-les-sols-pour-nourrir-les-hommes-lagroecologie-au-0

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https://agroecologistesf.org/wp-content/uploads/2016/09/raesf-rwanda-paysan-houe-1080x675.jpg

Le contexte au Rwanda

Dans un pays engagé à grands pas dans la révolution verte, il existe une association locale du nom d’HUMURA (« ne désespère pas » dans la langue locale) qui a pour projet alternatif de mettre en place un centre de formation en agroécologie.

Le village de Gisaya (Province de l’Est) où se situe le projet abrite en grande partie des exilés du génocide de 1994, expulsés récemment de Tanzanie et de retour dans leur pays d’origine. Anciennement éleveurs nomades, ces habitants sont devenus des agriculteurs contraints, sans aucune expérience en agriculture. Ils ont donc clairement besoin de formation.

L’agroécologie est une voie intéressante dans ce pays où l’agriculture est majoritairement manuelle et où le manque de surfaces arables et de moyens financiers obligent les paysans à produire une grande diversité de végétaux sur une petite surface.
L’objectif principal d’HUMURA est de venir en aide à la population. Depuis 2003, elle est intervenue sur divers domaines d’intervention notamment la santé à travers la mise en place d’un centre médical. Aujourd’hui, la volonté est d’aller plus loin en aidant les populations à devenir autosuffisante.

La mission

La ferme agroécologique, portée par l’association Humura, est en activité depuis 3 ans.
Suite à un certain nombre de freins, elle parvient difficilement à être réellement productive, autonome, et n’est pas suffisamment reconnue par les autorités administratives.

Par voie de conséquence, le Centre de formation en agroécologie a du mal à se structurer. Une 1ère étape a été franchie l’année dernière lorsque le Directeur du Centre Agroécologique de Gisaya a participé, de juillet à décembre 2017, à une formation dispensée par le centre agroécologique Songhai, au Bénin.

Une 2ème étape a été la demande, faite par le Directeur, d’être accompagné par des praticiens en agroécologie du Réseau (RAESF). André Sieffert et Dominique Brunet se sont donc rendus sur place, début mai 2018.

Le travail a consisté, en relation étroite avec Albert Nkoundabagenzi, le Directeur et Jean Claude (son frère), le responsable d’Humura, à faire un diagnostic du fonctionnement de la ferme actuellement au regard des premiers objectifs.

Ensuite, à travers leurs demandes et les nouveaux objectifs fixés, nous avons travaillé à établir un plan de cultures (maraîchage, cultures sèches) et d’élevage réalisable rapidement en agroécologie et à peu de frais.

Nous avons ensuite cartographié la ferme, parcelle par parcelle, afin de noter les cultures en place, les précédents culturaux et les essences d’arbres en place.

L’agroforesterie a toute sa place sur la ferme (plus de 500 arbres recensés) et des orientations ont été données pour aller vers plus de couverts végétaux ; pour faire aussi des essais de cultures sur sols vivants afin d’accroitre la fertilité de la terre.
Le séjour s’est terminé par des rendez-vous de travail avec un chargé de planification au ministère de l’agriculture, avec le Directeur Général du RAB (Rwanda Agriculture Board) et avec les responsables de l’ICRAF (International Centre for Research in AgroForestery), antenne nationale de Kigali.
Ces rendez-vous ont été pris dans l’objectif de faire connaitre et reconnaitre à l’avenir la ferme et le centre agroécologique de Gisaya.

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Source : https://agroecologistesf.org/rwanda/

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L’initiative YALTA accueille et met en œuvre, avec le soutien de partenaires nationaux et locaux, la Caravane nationale des jeunes en agroécologie 2021 en Éthiopie, au Kenya, en Ouganda et au Rwanda. L’objectif global de la caravane est de promouvoir des connaissances, des compétences et des approches pratiques par le biais d’échanges entre pairs et d’apprentissages auprès d’entreprises agroalimentaires dirigées par des jeunes. Au cours de la Caravane, les jeunes seront coachés pour développer des modèles d’affaires agroécologiques et seront connectés à des opportunités par le biais d’un accélérateur d’affaires, entre autres interventions.

La caravane s’adresse aux jeunes innovateurs, aux spécialistes du marketing et aux jeunes leaders âgés de 18 à 35 ans prêts à changer les choses en développant des modèles commerciaux agroécologiques durables et évolutifs.

Année : 2021 - Pays : Ethiopia, Kenya, Rwanda, Uganda - Couverture géographique : Afrique - Texte intégral disponible à l’adresse : https://www.newtimes.co.rw/featured/caravan-launched-foster-agri-prenuership-among-youth- Author : Emmanuel Ntirenganya

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9.
L’agroécologie en réponse à la malnutrition – ‘Action Sud’, Projet en cours au RwandaDocument d’origine belge ‘freresdeshommes.org’

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Partenaire - Notre partenaire Adenya (Association pour le développement de Nyabimata) intervient dans la zone autour de Nyabimata, dans le district de Nyaruguru, une des régions les plus pauvres au Sud du Rwanda, avec un taux élevé de malnutrition (46%).

Son objectif est d’améliorer la vie des paysans en augmentant et en diversifiant la production agricole. Ses principes reposent sur les pratiques de l’agro-écologie et le travail collectif entre paysans ainsi que la transmission de leur expérience et savoir-faire.

Les grandes lignes du projet

Etendant ses activités vers le secteur de Kibeho, Adenya y développe une ferme écologique. Les points forts du projet sont :

  • La restauration de l’environnement autour de la ferme qui avait été fortement saccagé par la déforestation
  • La formation à l’agriculture biologique de près de 1000 membres de coopératives/groupements paysans et 1200 élèves finalisant l’école secondaire
  • Le développement d’une production agroécologique et l’élevage de petit bétail générant la fumure organique pour les cultures
  • Grâce au projet, l’approvisionnement des bénéficiaires de l’action et, par extension, de la cité de Kibeho en fruits, légumes, œufs et viande afin de répondre au grave problème de malnutrition
  • La mise en pratique de la formation par les élèves au sein même des écoles secondaires où ils développeront des jardins scolaires et petit élevage, diffusant également leur savoir acquis à travers le projet
    Durée et financement - Le projet a une durée de 24 mois à partir de janvier 2021 et bénéficie du soutien financier de Frères des Hommes et de la WBI. Cette formation va me permettre d’améliorer ma façon de cultiver afin de rendre plus productive ma petite parcelle - Vestine, 45 ans, 6 enfants

Contact  : Frères des Hommes Rue Renkin 2 B – 1030 Bruxelles - Tél. : (32) 02 512.97.94 - Fax. : (32) 02 511.47.61 - Email : fdhbel@skynet.be - Mentions légales : Le site de Frères des Hommes suit les règles en vigueur sur la protection et l’utilisation des données personnelles. Si vous souhaitez plus de détails, veuillez accéder à notre Politique de confidentialité.

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L’agriculture paysanne et l’agroécologie en Afrique : un pari gagnant - Publié le 01.12.2017| Mis à jour le 02.01.2022 - - Document ‘ccfd-terresolidaire.org’

Le soutien à une agriculture paysanne et à l’agroécologie peut-il améliorer les conditions de vie et la cohésion des populations rurales en Afrique ? Les premiers résultats du programme Paies, appuyé par le CCFD-Terre Solidaire dans six pays africains, valident la viabilité de ces choix mais aussi le “bien vivre” qu’ils apportent.

Après 21 mois de mise en œuvre, 12 partenaires du CCFD-Terre Solidaire au Sahel et dans les Grands Lacs ont participé en septembre 2017 à l’atelier de clôture de la première phase du Programme d’appui aux initiatives économiques pour une transformation écologique et sociale (PAIES), à Ouagadougou, au Burkina Faso.

Les participants relèvent que le programme a suscité une accélération notable de l’évolution des pratiques chez la plupart des organisations partenaires, organisations de producteurs ou structures d’appui au monde rural, qui avaient déjà peu ou prou engagé leur conversion agroécologique.

Le travail gagnant de la fertilisation naturelle des sols

La fertilisation naturelle des sols a été partout identifiée comme un enjeu prioritaire. La pratique ancestrale du compostage, qui avait souvent été abandonnée au profit d’intrants chimiques, connaît un regain spectaculaire.

  • Au Rwanda, elle a été adoptée par la moitié des 5 000 familles suivies par l’association Acord.
  • Au Sahel, deux techniques rencontrent un franc succès :
    – le zaï, qui consiste à enfouir une poignée de matière organique avec la graine, pour doper la fertilité et retenir l’eau
    – la demi-lune, bourrelet de terre retenant l’humidité.
    Lire aussi : Au Mali, 6 manières de faire face aux changements climatiques

L’association bénéfique de l’élevage et des cultures

Pour les participants, la fumure animale représente un enrichissement de premier choix pour les sols dégradés. Et la possession de quelques animaux apporte des revenus complémentaires bienvenus pour les familles.

L’optimisation des ressources en eau

Au Niger, dans un territoire largement semi-désertique, on a construit de petits ouvrages retenant l’eau indispensables.

« Avec le PAIES, on discerne enfin une voie pour la sécurité alimentaire ! », s’enthousiasme Idrissa Djibo de l’organisation paysanne nigérienne Mooriben, qui a vu pendant des années échouer les classiques mesures d’assistanat. Des alternatives efficaces aussi face au modèle agroindustriel destructeur qui a souvent la faveur des gouvernements.

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Résultat : la reconnaissance du rôle des femmes

Les débats d’Ouagadougou ne se sont pas cantonnés aux techniques agricoles.
Car les participants remarquent que les pratiques agroécologiques se sont révélées aussi un puissant levier pour la transformation des relations au sein des foyers et des communautés. Dans les Grands Lacs, la nécessité de produire mieux et sainement sur de minuscules parcelles a conduit à questionner les pratiques coutumières.

A lire : Reportage au Burundi : Les femmes au coeur de la transition écologique et sociale

L’agroécologie, un levier pour la cohésion sociale

« L’agroécologie, qui réhabilite des savoir-faire communs et nécessite de nouveaux savoir-être, devient alors un levier de cohésion et de pacification sociale », constate Alice Harushimana, d’Acord Burundi.

Et bientôt de transformation politique ? Pour François Munyentwari, d’Acord Rwanda,

Ce qui se fera au niveau des communes restera vain si l’on ne convainc pas aussi nos gouvernements

A lire : Burundi : L’agroécologie, un nouvel horizon pour le monde paysan

Bientôt un deuxième programme pour la transition des agricultures familiales

La suite du PAIES se prépare. Avec la nécessité de renforcer des premiers acquis très encourageants, notamment pour ancrer et populariser les techniques. « Par exemple, les quantités de fumure organique disponibles sont partout insuffisantes… », insiste Ibrahim Sarr, au Réseau des horticulteurs de Kayes (RHK) au Mali.

Dossier Le programme Paies accompagne la transition des agricultures familiales grâce à l’agroécologie

D’ores et déjà, la deuxième phase devrait insister sur les articulations économique et sociale de la mutation agroécologique :

  • commercialisation,
  • accès des femmes à la terre,
  • mieux-vivre des communautés…
    Outre les partenaires africains, et quelques autres, elle influerait une dizaine d’organisations des Andes, du Moyen-Orient. Lancement prévu : avril 2018. Patrick Piro

Extrait d’un article du numéro 301 de ‘Faim et Développement Magazine’. Disponible sur abonnement payant.

Article -Retour sur le Forum Social Mondial de Mexico -3 mn - 13 mai 2022

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Source : https://ccfd-terresolidaire.org/lagriculture-paysanne-et-lagroecologie-en-afrique-un-pari-gagnant/

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NB. Les documents mis en ligne et étiquetés « AGROECOLOGIE » sont consultables sur ces sites :

Chez ISIAS > https://isias.lautre.net/spip.php?page=recherche&recherche=agro%C3%A9cologie

Chez ‘Yonne Lautre’ > https://yonnelautre.fr/spip.php?page=recherche&recherche=agro%C3%A9cologie

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Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales

http://www.isias.lautre.net/

Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

Fichier : ISIAS Agroécologie Rwanda Une agriculture durable exemplaire pour l’Afrique..6.docx

Mis en ligne par le co-rédacteur Pascal Paquin du site inter-associatif, coopératif, gratuit, sans publicité, indépendant de tout parti, géré par Yonne Lautre : https://yonnelautre.fr - Pour s’inscrire à nos lettres d’info > https://yonnelautre.fr/spip.php?breve103

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