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"S’alimenter avec plus d’aliments d’origine végétale peut réduire le risque de maladies cardiaques chez les jeunes adultes et les femmes âgées" par ScienceDaily

Traduction et compléments de Jacques Hallard

vendredi 20 août 2021, par Science Daily


ISIAS Alimentation Santé

S’alimenter avec plus d’aliments d’origine végétale peut réduire le risque de maladies cardiaques chez les jeunes adultes et les femmes âgées

Ajout sur le Consensus international sur le traitement hormonal de la ménopause (THM)

Traduction du 18 août 2021 – avec un ajout sur le Consensus international sur le traitement hormonal de la ménopause (THM) - par Jacques Hallard, d’un document en date du 04/08/2021 publié parScienceDaily’ sous le titre « Eating more plant foods may lower heart disease risk in young adults, older women  » ; accessible sur cesote  :https://www.sciencedaily.com/releases/2021/08/210804123607.htm

Source de l’information : American Heart Association (https://www.heart.org/) - L’American Heart Association (AHA) est un organisme américain à but non lucratif qui favorise les soins cardiaques appropriés en vue de réduire les invalidités et les décès causés par les maladies cardiovasculaires et les AVC (accidents vasculaires cérébraux). Son siège social est situé à Dallas, au Texas. L’American Heart Association est un organisme national sanitaire bénévole dont la mission est : « Construire une vie plus saine, exempte de maladies cardiovasculaires et d’AVC. » - C’est un organisme de référence en matière de maladies cardiovasculaires et de prévention des risques dans ce domaine. La plupart des protocoles et recommandations utilisés aux États-Unis et dans le monde sont établis, en grande partie, à partir de leurs recherches et publications. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/American_Heart_Association

Résumé :

Selon une étude à long terme portant sur environ 30 ans de suivi, le fait de suivre pendant la jeunesse un régime alimentaire centré sur les plantes est associé à un risque plus faible de maladies cardiaques à l’âge moyen. Une autre étude, portant sur un suivi d’environ 15 ans, a révélé que le fait de consommer davantage d’aliments d’origine végétale - appelé ’régime portefeuille’ - dont il a été démontré qu’ils réduisent le taux de cholestérol, est associé à un risque plus faible de maladies cardiovasculaires chez les femmes ménopausées.

Texte complet :

Selon deux études publiées aujourd’hui (04/08/2021) dans le ‘Journal of the American Heart Association’, une revue à accès libre de l’American Heart Association, manger plus d’aliments végétaux nutritifs est bon pour le cœur à tout âge.

Dans deux études distinctes analysant différentes mesures de la consommation d’aliments végétaux frais et sains, les chercheurs ont constaté que les jeunes adultes et les femmes ménopausées avaient moins de crises cardiaques et étaient moins susceptibles de développer des maladies cardiovasculaires lorsqu’ils consommaient davantage d’aliments végétaux frais et sains.

Les recommandations de l’American Heart Association en matière de régime et de mode de vie suggèrent un mode d’alimentation globalement sain, qui met l’accent sur une large variété de fruits et de légumes, de céréales complètes, de produits laitiers à faible teneur en matières grasses, de volailles et de poissons sans peau, de noix, de graines de légumineuses et d’huiles végétales non-tropicales. Il conseille également de limiter la consommation de graisses saturées, de graisses trans-, de sodium, de viande rouge, de sucreries et de boissons sucrées.

Une étude, intitulée ’A Plant-Centered Diet and Risk of Incident Cardiovascular Disease during Young to Middle Adulthood’, (Une alimentation centrée sur les plantes et le risque de maladie cardiovasculaire entre le début et la fin de l’âge adulte), a évalué si la consommation à long terme d’un régime centré sur les plantes et un changement vers un régime centré sur les plantes à partir du début de l’âge adulte, sont associés à un risque plus faible de maladies cardiovasculaires au milieu de la vie.

’Les recherches antérieures étaient axées sur des nutriments ou des aliments particuliers, mais il existe peu de données sur l’alimentation végétale et le risque à long terme de maladies cardiovasculaires’, a déclaré Yuni Choi, Ph.D., auteure principale de l’étude sur les jeunes adultes et chercheur postdoctoral à la division d’épidémiologie et de santé communautaire de l’école de santé publique de l’université du Minnesota à Minneapolis aux Etats-Unis.

Yuni Choi et ses collègues ont examiné le régime alimentaire et l’apparition de maladies cardiaques chez 4.946 adultes participant à l’étude CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults). Les participants étaient âgés de 18 à 30 ans au moment de leur inscription (1985-1986) à cette étude et n’avaient pas de maladie cardiovasculaire à ce moment-là. Les participants comprenaient 2.509 adultes de race noire et 2.437 adultes de race blanche (54,9 % de femmes dans l’ensemble) qui ont également été analysés en fonction du niveau d’éducation (équivalent à plus du secondaire vs secondaire ou moins).

Les participants ont subi huit examens de suivi de 1987-1988 à 2015-2016, qui comprenaient des tests de laboratoire, des mesures physiques, des antécédents médicaux et une évaluation des facteurs liés au mode de vie. Contrairement aux essais contrôlés randomisés, les participants n’ont pas reçu l’ordre de manger certaines choses et n’ont pas été informés de leurs scores sur les mesures du régime alimentaire, de sorte que les chercheurs ont pu recueillir des données impartiales et à long terme sur le régime alimentaire habituel.

Après des entretiens détaillés sur les antécédents alimentaires, la qualité du régime des participants a été évaluée sur la base du score de qualité du régime ‘A Priori’ (APDQS) composé de 46 groupes d’aliments aux années 0, 7 et 20 de l’étude. Les groupes d’aliments ont été classés en aliments bénéfiques (tels que les fruits, les légumes, les haricots, les noix et les céréales complètes), en aliments néfastes (tels que les pommes de terre frites, la viande rouge riche en graisses, les en-cas salés, les pâtisseries et les boissons gazeuses) et en aliments neutres (tels que les pommes de terre, les céréales raffinées, les viandes maigres et les crustacés) en fonction de leur association connue avec les maladies cardiovasculaires.

Les participants qui ont obtenu des scores plus élevés ont consommé une variété d’aliments bénéfiques, tandis que les personnes qui ont obtenu des scores plus faibles ont consommé davantage d’aliments neutres. Dans l’ensemble, les valeurs les plus élevées correspondent à un régime alimentaire riche sur le plan nutritionnel et centré sur les plantes.

’Par opposition aux scores de qualité de l’alimentation existants qui sont généralement basés sur un petit nombre de groupes d’aliments, l’APDQS est explicite en ce qu’il saisit la qualité globale de l’alimentation à l’aide de 46 groupes d’aliments individuels, décrivant l’ensemble de l’alimentation que la population générale consomme habituellement.

Notre score est très complet et présente de nombreuses similitudes avec des régimes tels que le ‘Dietary Guidelines for Americans Healthy Eating Index’ (du service de l’alimentation et de la nutrition du ministère américain de l’agriculture), le régime DASH (Dietary Approaches to Stop Hypertension) et le ’régime méditerranéen’, a déclaré David E. Jacobs Jr, Ph.D., auteur principal de l’étude et professeur de santé publique Mayo dans la division d’épidémiologie et de santé communautaire de l’école de santé publique de l’université du Minnesota à Minneapolis.

Les chercheurs ont trouvé ceci :

 Au cours des 32 années de suivi, 289 des participants ont développé une maladie cardiovasculaire (y compris une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral, une insuffisance cardiaque, des douleurs thoraciques liées au cœur ou des artères obstruées dans tout le corps).

 Les personnes qui se situaient dans les 20 % supérieurs du score de qualité de l’alimentation à long terme (ce qui signifie qu’elles consommaient le plus d’aliments végétaux riches sur le plan nutritionnel et moins de produits d’origine animale ayant une valeur négative) avaient 52 % moins de risques de développer une maladie cardiovasculaire, après prise en compte de plusieurs facteurs (dont l’âge, le sexe, la race, la consommation calorique moyenne, le niveau d’éducation, les antécédents parentaux de maladie cardiaque, le tabagisme et l’activité physique moyenne).

 En outre, entre la septième et la vingtième année de l’étude, alors que les participants étaient âgés de 25 à 50 ans, ceux qui avaient le plus amélioré la qualité de leur alimentation (en consommant plus d’aliments végétaux bénéfiques et moins de produits d’origine animale ayant un effet négatif) étaient 61 % moins susceptibles de développer ultérieurement une maladie cardiovasculaire, par rapport aux participants dont la qualité de l’alimentation avait le plus diminué pendant cette période.

 Comme il y avait peu de végétariens parmi les participants, l’étude n’a pas pu évaluer les avantages éventuels d’un régime végétarien strict, qui exclut tous les produits animaux, y compris la viande, les produits laitiers et les œufs.

’Un régime riche en nutriments et centré sur les plantes est bénéfique pour la santé cardiovasculaire. Un régime centré sur les plantes n’est pas nécessairement végétarien’, a déclaré Yuni Choi. ’Les gens peuvent choisir parmi des aliments végétaux qui sont aussi proches que possible de la nature et qui ne sont pas hautement transformés. Nous pensons que les individus peuvent inclure des produits animaux avec modération de temps en temps, comme la volaille non frite, le poisson non frit, les œufs et les produits laitiers à faible teneur en matières grasses.’

NB. Comme cette étude résulte d’une somme d’observations diverses, elle ne peut pas prouver une relation de cause à effet entre le régime alimentaire et les maladies cardiaques.

Les autres coauteurs sont : Nicole Larson, Ph.D. ; Lyn M. Steffen, Ph.D. ; Pamela J. Schreiner, Ph.D. ; Daniel D. Gallaher, Ph.D. ; Daniel A. Duprez, M.D., Ph.D. ; James M. Shikany, Dr.P.H. ; et Jamal S. Rana, M.D., Ph.D.

L’étude a été financée par le ‘National Heart, Lung and Blood Institute’ des ‘National Institutes of Health’, le ‘Healthy Food Healthy Lives Institute’ de l’Université du Minnesota et le ‘MnDrive Global Food Ventures Professional Development Program’ de l’Université du Minnesota.

— -

Une autre étude, - également traduite par Jacques Hallard – est intitulée ’Relationship Between a Plant-Based Dietary Portfolio and Risk of Cardiovascular Disease : Findings from the Women’s Health Initiative (WHI) Prospective Cohort Study’, (Relation entre un portefeuille alimentaire à base de plantes et le risque de maladie cardiovasculaire : résultats de l’étude de cohorte prospective de la Women’s Health Initiative (WHI)).

Les chercheurs, en collaboration avec les investigateurs de la WHI dirigés par Simin Liu, M.D., Ph.D., de l’Université Brown aux Etats-Unis, ont évalué si les régimes comprenant un portefeuille d’aliments à base de plantes avec des allégations de santé approuvées par la ‘Food and Drug Administration’ américaine pour réduire le taux de ’mauvais’ cholestérol (régime connu sous le nom de ’Portfolio Diet’), étaient associés à moins d’événements de maladies cardiovasculaires dans un grand groupe de femmes ménopausées.

Le ’régime Portfolio’ comprend des noix, des protéines végétales provenant du soja, des haricots ou du tofu, des fibres solubles visqueuses provenant de l’avoine, de l’orge, du gombo, de l’aubergine, des oranges, des pommes et des baies, des stérols végétaux provenant d’aliments enrichis et des graisses mono-insaturées présentes dans l’huile d’olive et de colza canola et dans les avocats, ainsi qu’une consommation limitée de graisses saturées et de cholestérol alimentaire.

Auparavant, deux essais randomisés avaient démontré que l’atteinte de niveaux cibles élevés d’aliments inclus dans le régime Portfolio permettait de réduire de manière significative le ’mauvais’ cholestérol ou cholestérol à lipoprotéines de basse densité (LDL-C), plus que le régime traditionnel à faible teneur en graisses saturées du ‘National Cholesterol and Education Program’ dans une étude et au même titre que la prise d’une statine hypocholestérolémiante dans une autre.

L’étude a analysé si les femmes ménopausées qui suivaient le régime Portfolio présentaient moins d’événements liés aux maladies cardiaques. L’étude a porté sur 123.330 femmes aux États-Unis qui ont participé à la ‘Women’s Health Initiative’, une étude nationale à long terme portant sur les facteurs de risque, la prévention et la détection précoce de graves problèmes de santé chez les femmes ménopausées.

Lorsque les femmes de cette analyse se sont inscrites à l’étude entre 1993 et 1998, elles avaient entre 50 et 79 ans (âge moyen de 62 ans) et ne souffraient pas de maladie cardiovasculaire. Le groupe d’étude a été suivi jusqu’en 2017 (durée moyenne de suivi de 15,3 ans). Les chercheurs ont utilisé les données des questionnaires de fréquence alimentaire auto-déclarés pour noter chaque femme sur l’adhésion au régime Portfolio.

Les chercheurs ont trouvé ceci :

 Par rapport aux femmes qui suivaient moins fréquemment le Portfolio Diet, celles dont l’alignement était le plus proche étaient 11 % moins susceptibles de développer tout type de maladie cardiovasculaire, 14 % moins susceptibles de développer une maladie coronarienne et 17 % moins susceptibles de développer une insuffisance cardiaque.

 Il n’y avait pas d’association entre le fait de suivre le régime Portfolio de plus près et la survenue d’un accident vasculaire cérébral ou d’une fibrillation auriculaire.

’Ces résultats offrent une opportunité importante, car les gens peuvent encore incorporer davantage d’aliments végétaux hypocholestérolémiants dans leur régime alimentaire. Avec une adhésion encore plus grande au modèle alimentaire Portfolio, on pourrait s’attendre à une association avec encore moins d’événements cardiovasculaires, peut-être autant que les médicaments hypocholestérolémiants.

Néanmoins, une réduction de 11 % est cliniquement significative et répondrait au seuil minimum de bénéfice pour quiconque. Les résultats indiquent que le régime Portfolio est bénéfique pour la santé cardiaque’, a déclaré John Sievenpiper, M.D., Ph.D., auteur principal de l’étude à l’hôpital St. Michael, un site d’Unity Health Toronto dans l’Ontario, au Canada, et professeur associé de sciences nutritionnelles et de médecine à l’université de Toronto.

Les chercheurs estiment que les résultats mettent en évidence les possibilités de réduire les maladies cardiaques en encourageant les gens à consommer davantage d’aliments du régime Portfolio.

’Nous avons également trouvé une réponse à la dose dans notre étude, ce qui signifie que vous pouvez commencer petit, en ajoutant un composant du régime Portfolio à la fois, et obtenir plus d’avantages pour la santé cardiaque au fur et à mesure que vous ajoutez d’autres composants ’, a déclaré Andrea J. Glenn, M.Sc., R.D., auteure principale de l’étude et étudiante en doctorat à l’hôpital St.Michael de Toronto et en sciences de la nutrition à l’Université de Toronto.

Bien que l’étude soit basée sur l’observation et qu’elle ne puisse pas établir directement une relation de cause à effet entre l’alimentation et les événements cardiovasculaires, les chercheurs estiment qu’elle fournit l’estimation la plus fiable à ce jour de la relation entre l’alimentation et le cœur en raison de sa conception (comprenant des questionnaires de fréquence alimentaire bien validés administrés au début de l’étude et à la troisième année dans une large population de participants très motivés). Néanmoins, les chercheurs signalent que ces résultats doivent être étudiés plus avant dans d’autres populations d’hommes ou de femmes plus jeunes.

Les co-auteurs sont Kenneth Lo, Ph.D. ; David J. A. Jenkins, M.D., Ph.D. ; Beatrice A. Boucher, M.H.Sc. ; Anthony J. Hanley, Ph.D. ; Cyril W.C. Kendall, Ph.D. ; JoAnn E. Manson, M.D., Dr.P.H. ; Mara Z. Vitolins, Ph.D. ; Linda G. Snetselaar, Ph.D. ; et Simin Liu, M.D., Ph.D.

L’étude a été financée par le ‘National Heart, Lung, and Blood Institute’ des ‘National Institutes of Health’ et par ‘Diabète Canada’.

Bien que l’étude soit basée sur un certain nombre d’observations et qu’elle ne puisse pas établir directement une relation de cause à effet entre l’alimentation et les événements cardiovasculaires, les chercheurs estiment qu’elle fournit l’estimation la plus fiable à ce jour de la relation entre l’alimentation et le cœur, en raison de sa conception (comprenant des questionnaires de fréquence alimentaire bien validés administrés au début de l’étude et à la troisième année dans une large population de participants très motivés). Néanmoins, les chercheurs signalent que ces résultats doivent être étudiés plus avant dans d’autres populations d’hommes ou de femmes plus jeunes.

Les co-auteurs sont Kenneth Lo, Ph.D. ; David J. A. Jenkins, M.D., Ph.D. ; Beatrice A. Boucher, M.H.Sc. ; Anthony J. Hanley, Ph.D. ; Cyril W.C. Kendall, Ph.D. ; JoAnn E. Manson, M.D., Dr.P.H. ; Mara Z. Vitolins, Ph.D. ; Linda G. Snetselaar, Ph.D. ; et Simin Liu, M.D., Ph.D.

L’étude a été financée par le National Heart, Lung, and Blood Institute des National Institutes of Health et par Diabète Canada.

Eléments d’information : Materiels fourni par l’American Heart Association. Note : le contenu peut être modifié pour des raisons de style et de longueur.

Références de la revue :

Andrea J. Glenn, Kenneth Lo, David J. A. Jenkins, Beatrice A. Boucher, Anthony J. Hanley, Cyril W. C. Kendall, JoAnn E. Manson, Mara Z. Vitolins, Linda G. Snetselaar, Simin Liu, John L. Sievenpiper. Relationship Between a PlantBased Dietary Portfolio and Risk of Cardiovascular Disease : Findings From the Women’s Health Initiative Prospective Cohort Study. Journal of the American Heart Association, 2021 ; DOI : 10.1161/JAHA.121.021515

Yuni Choi, Nicole Larson, Lyn M. Steffen, Pamela J. Schreiner, Daniel D. Gallaher, Daniel A. Duprez, James M. Shikany, Jamal S. Rana, David R. Jacobs. PlantCentered Diet and Risk of Incident Cardiovascular Disease During Young to Middle Adulthood. Journal of the American Heart Association, 2021 ; DOI : 10.1161/JAHA.120.020718

Pour citer cette page : MLA APA Chicago - American Heart Association. ’Eating more plant foods may lower heart disease risk in young adults, older women.’ ScienceDaily. ScienceDaily, 4 August 2021. <www.sciencedaily.com/releases/2021/...> .

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Annexe sur le Consensus international sur le traitement hormonal de la ménopause - Par l’Association Française pour l’Etude de la Ménopause

L’AFEM est une association fondée en 1979, régie par la loi 1901, et qui a pour but d’étudier tous les aspects de la ménopause. L’AFEM est une association ouverte à toute personne, médecin ou non, ayant une activité dans le domaine de la ménopause. L’AFEM a une vocation de recherche scientifique mais également d’information auprès du corps médical.

Voir : Consensus international sur le traitement hormonal de la ménopause (THM) - Version PDF – Source :

Voir aussi : WHI (Women Health Initiative)

Source du rapport suivant : http://www.menopauseafem.com/afem/index.php/articles-enquetes/128-whi-women-health-initiative

1 WHI : rappel
La WHI est une vaste étude randomisée américaine qui a eu pour objectif d’évaluer les risques et les bénéfices de différentes stratégies, diététiques et médicales, pouvant réduire l’incidence des maladies cardiovasculaires, des cancers du sein et colorectal et des fractures chez les femmes ménopausées.

2 2002 : résultats de la WHI chez les femmes non hystérectomisées (1)
Cet essai THS a enrôlé 16.608 femmes, non hystérectomisées qui ont suivi, soit un THS estroprogestatif combiné continu (0,625 mg/jour d’estrogènes conjugués + 2,5 mg/jour d’acétate de médroxyprogestérone), soit un placebo. Planifié pour durer 8,5 années jusqu’en 2005, l’essai a été prématurément arrêté au premier semestre 2002 après 5,2 années, les risques ayant été jugés supérieurs aux bénéfices, en particulier à cause de l’apparition d’effets cardiovasculaires défavorables et inattendus du THS (Tableau I).

3 2004 : résultats de la WHI chez les femmes hystérectomisées (2)
Une autre partie de l’étude a concerné 10.739 femmes hystérectomisées traitées par soit par 0,625 mg d’estrogènes conjugués tous les jours, soit prenant un placebo. Il a été interrompu en Février 2004 alors qu’il était aussi programmé pour se poursuivre jusqu’en 2005. Pendant les 7 années de suivi, il a même été constaté une diminution, cependant non significative, du risque de cancer du sein et pas d’augmentation des accidents coronariens par rapport au placebo. Comme dans le groupe estroprogestatif, on a retrouvé une diminution du risque de fracture de hanche mais aussi une augmentation (8 cas pour 10.000 femmes traitées par an, résultat similaire au groupe estroprogestatif) du risque d’accidents vasculaires cérébraux. C’est cette augmentation du risque d’AVC qui a conduit les investigateurs a arrêté l’étude prématurément (Tableau). 

WHI : risques relatifs suivant le type de traitement employé
Chez les femmes traitées par estrogènes seuls, il n’y a pas d’augmentation du risque coronarien et une diminution du risque de cancer du sein à la limite de la significativité. Dans les 2 essais, il y a une augmentation significative du risque d’AVC.

{{}} RR THS estroprogestatif   RR THS estrogènes seuls
 K sein 1,26 (1,00-1,59) 0,77 (0,59-1,01)
 K colorectal 0,63 (0,43-0,92) 1,08 (0,75-1,55)
 Fracture du col 0,66 (0,45-0,98) 0,61 (0,41-0,91)
  Risque coronarien  1,29 (1,02-1,63)  0,91 (0,75-1,12)
 AVC  1,41 (1,07-1,85)  1,39 (1,10-1,77)
 Embolie pulmonaire  2,13 (1,39-3,25)  1,34 (0,87-2,06)

 4 Controverses
Les résultats de la WHI ont fait l’objet de nombreuses controverses concernant en particulier la population étudiée, les traitements employés (estrogènes conjugués équins et MPA) et l’augmentation du risque cardiovasculaire. En effet, la moyenne d’âge des femmes traitées était élevée : 63,2 ans à l’entrée dans l’étude et 21% des femmes traitées avaient même plus de 70 ans à l’inclusion. Près de 70% des femmes traitées présentaient une surcharge pondérale dont 34,2% avaient un BMI égal ou supérieur à 30, 35,7% étaient traitées pour hypertension, 10,5% étaient fumeuses et 39,9% anciennes fumeuses. Le traitement hormonal employé était à posologie standard, fixe et non modulable.

La différence des résultats entre les femmes traitées par estroprogestatif et les femmes traitées par estrogènes seuls a fait incriminer le progestatif, l’acétate de médroxyprogestérone (MPA) dans l’augmentation du risque de cancer du sein et du risque coronarien.

Dans une partie de leur article consacré aux limites de l’étude, les auteurs, eux-mêmes, écrivaient déjà qu’ils n’avaient testé qu’un seul traitement et que ces résultats n’étaient pas forcément applicables à des posologies plus faibles du même traitement ou avec d’autres estrogènes et progestatifs par voie orale ou encore avec des estrogènes transdermiques et de la progestérone naturelle.

5 Notion de « fenêtre d’intervention »
En 2006, une réanalyse des résultats de l’étude WHI par ces propres auteurs a fait envisager la notion de « fenêtre d’intervention » (3). Les effets, positifs ou délétères, du THS sur le risque cardiovasculaire pourraient dépendre du timing de son emploi. Les estrogènes auraient un rôle préventif s’ils sont pris dès l’installation de la ménopause avant la constitution des plaques d’athérome. A l’inverse, les estrogènes auraient un effet négatif et aggravant, lorsque le traitement est institué à distance de la ménopause quand les plaques d’athérome sont déjà constituées. Cette notion de timing dans l’instauration du THS pourrait contribuer à expliquer les apparentes contradictions entre les résultats de la WHI et les précédentes études de cohortes qui avaient retrouvé une protection cardiovasculaire sous THS.
En 2008, dans la vaste étude de cohorte au long cours des infirmières de Boston, menée chez 70.000 femmes, F. Grodstein et M. Stampfer ont retrouvé un effet protecteur cardiovasculaire du THS, par estrogènes seuls ou par estroprogestatifs, quand le THS est instauré dès l’installation de la ménopause (4).

6 Suivi des femmes hystérectomisées traitées par estrogènes seuls (5)
En Avril 2011 vient d’être publiée dans le JAMA une étude concernant le suivi pendant 10,7 ans de 7.645 femmes hystérectomisées sur les 10.739 qui avaient été enrôlées dans l’étude randomisées WHI par estrogènes seuls. Chez les femmes qui ont suivi un traitement pendant 5,9 années en moyenne, on ne retrouve pas d’augmentation (ou de diminution) des risques cardiovasculaires, de phlébite, d’AVC, de fracture du fémur, de cancer colorectal ou de la mortalité globale.
Les résultats sont plus favorables chez les femmes les plus jeunes.
La diminution de 23% du risque de cancer du sein chez les femmes traitées par estrogènes conjugués équins seuls, déjà trouvée en 2004, persiste mais devient significative : risque à 0,77 (IC : 0,62-0,95) ♦

Références

1 - Writing Group for the Women’s Health Initiative Investigators.
Risks and benefits of estrogen plus progestin in healthy postmenopausal women. Principal results for the Women’s Health Initiative. Randomized control trial
JAMA 2002 ;228:3:321-33.

2 - Anderson GL, Limacher M, Assaf AR et al.  
Effects of conjugated equine estrogen in postmenopausal women with hysterectomy : the Women’s Health Initiative randomized controlled trial.
JAMA 2004 ;291:1701-12.

3 - Rossouw JE, Prentice RL, Manson JE, et al.
Postmenopausal hormone therapy and risk of cardiovascular disease by age and years since menopause.
Jama 2007 ;297:1465-77.

4 - Grodstein F, Manson JE, Stampfer MJ, et al.
Postmenopausal hormone therapy and stroke : role of time since menopause and age at initiation of hormone therapy.
Arch Intern Med 2008 ;168:861-6.

5 – Lacroix AZ, Chlebowski RT, Manson JE, et al.
Health outcomes afyter stopping conjugated equine estrogens among postmenopausal women with prior hysterectomy : a randomized controlled tria.
JAMA 2011 ;305(13):1305-14.

Copyright AFEM 2013 – Source : http://www.menopauseafem.com/afem/index.php/articles-enquetes/128-whi-women-health-initiative

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Le traitement hormonal de substitution – Document VIDAL - Mis à jour : Mardi 09 février 2021

SOMMAIRE Patient

Cet article, destiné au grand public et rédigé par un rédacteur scientifique, reflète l’état des connaissances sur le sujet traité à sa date de mise à jour. L’évolution ultérieure des connaissances scientifiques peut le rendre en tout ou partie caduc. Il n’a pas vocation à se substituer aux recommandations et préconisations de votre médecin ou de votre pharmacien.

Le traitement hormonal de la ménopause (THM)

Lorsque les troubles liés à la ménopause sont sévères, le traitement repose sur la prescription d’hormones sexuelles, les estrogènes et la progestérone, destinée à compenser la chute de leur taux sanguin. Ce traitement hormonal de la ménopause (THM) a été remis en cause à la suite de la publication de plusieurs études sur les effets négatifs à long terme de ces traitements.

Les traitements à base d’estrogènes

Les estrogènes peuvent être pris en comprimé par voie orale ou appliqué localement sous forme de gel ou de dispositif transdermique (patch). L’estradiol est l’estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous).

L’estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.

Les doses d’estrogènes sont adaptées en fonction des signes de sous ou de surdosage : la persistance des bouffées de chaleur, de la sécheresse vaginale, etc. peut amener le médecin à augmenter progressivement les doses. En revanche, l’apparition d’une tension douloureuse des seins peut conduire à réduire les doses.

Le traitement doit être réévalué régulièrement par le médecin, au moins une fois par an.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Estrogènes par voie cutanée

Les traitements à base de progestérone

Lors du cycle menstruel normal, l’organisme produit de la progestérone immédiatement avant l’apparition des règles. Les femmes ménopausées qui prennent des estrogènes ont, du fait de ce traitement, un risque augmenté d’apparition d’un cancer de l’endomètre, le revêtement qui tapisse l’utérus. Pour diminuer ce risque, on prescrit habituellement un progestatif (progestérone et ses dérivés) en association avec les estrogènes au moins 10 jours par mois (sauf chez les femmes ayant subi une ablation de l’utérus). Le progestatif est pris par voie orale dans le traitement de la ménopause.

Une étude a montré une augmentation du risque de méningiome (tumeur cérébrale le plus souvent bénigne) chez les femmes traitées avec des médicaments contenant de la chlormadinone (LUTERAN et génériques) ou du nomégestrol (LUTENYL et génériques). Cette augmentation est fonction de la dose utilisée, de la durée du traitement et de l’âge de la patiente. En janvier 2021, l’Agence du médicament (ANSM) a publié de nouvelles recommandations d’utilisation et de suivi pour ces médicaments. Leur balance bénéfice/risque dans le traitement de la ménopause n’est plus favorable. Votre médecin pourra être amené à faire évoluer votre traitement. En cas de survenue de symptômes évocateurs d’un méningiome (maux de tête fréquents, troubles de vision, du langage ou de l’audition, vertiges, troubles de la mémoire, etc.), une consultation médicale est nécessaire. Pour en savoir plus dans les Actualités : LUTÉNYL et LUTÉRAN (et génériques) : nouvelles recommandations pour prévenir le risque de méningiome, 01/2021.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Progestatifs

  • Médicament référent
  • Médicament générique
    Les associations contenant un estrogène et un progestatif

Il existe des médicaments contenant des associations fixes avec un estrogène et un progestatif. Ils permettent ainsi de délivrer les deux types d’hormones en une seule prise. Ils se présentent sous forme de comprimés ou de dispositifs transdermiques.

Ces associations sont susceptibles de provoquer les mêmes effets indésirables que chacune des substances qu’elles contiennent. Par ailleurs, des méningiomes (tumeur cérébrale, le plus souvent bénigne) ont été rapportés chez des patientes traitées par l’association estradiol/acétate de cyprotérone (comme dans CLIMENE) : cette association ne doit pas être utilisée en cas de méningiome même ancien.

Le traitement combiné estrogène/progestatif peut être pris de façon cyclique ou continue :

  • dans le cas du traitement cyclique, les estrogènes ou la progestérone ou les deux hormones sont prises certains jours du mois, les règles surviennent alors tous les mois ;
  • dans le cas du traitement continu, les hormones sont prises ensemble tous les jours, les règles sont absentes, mais le médecin peut en déclencher après quelques mois afin d’éviter l’épaississement de la paroi de l’utérus.
    Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Estrogènes et progestatifs en association

  • Médicament référent
    Les traitements locaux de la sécheresse vaginale

Les estrogènes sous forme de crème vaginale, d’ovules ou d’anneau vaginal peuvent également être prescrits par le médecin en cas de sécheresse vaginale due à la carence en estrogènes lors de la ménopause. Ils permettent de prévenir l’amincissement et l’assèchement des parois vaginales ainsi que la sensibilité aux infections ou à la douleur pendant les rapports sexuels.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Estrogènes par voie vaginale

Un dérivé synthétique, la tibolone, est parfois prescrit à la place d’un THM. S’il possède une activité de type progestérone, ce médicament est transformé par le corps en plusieurs composants estrogéniques, fournissant ainsi les deux types d’hormones. Selon une récente étude britannique, cette substance, lorsqu’elle est administrée pendant plusieurs années, augmenterait le risque de développer un cancer de l’utérus, ce qui a remis en cause l’innocuité de son utilisation.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Autres traitements : tibolone

  • Médicament référent
  • Médicament générique
    La prastérone est une substance identique à la DHEA humaine. Disponible sous forme d’ovule, elle se transforme après mise en place dans le vagin en estrogènes et en androgènes (testostérone). Elle permet ainsi d’atténuer les symptômes vaginaux (atrophie de la vulve et du vagin) chez la femme ménopausée. Elle ne doit pas être utilisée en cas de cancer hormonodépendant (cancer du sein ou de l’utérus) même guéri. Des pertes vaginales et des frottis cervicaux anormaux ont été fréquemment rapportés.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Autres traitements : prastérone

  • INTRAROSA
    Doit-on prendre un traitement hormonal ?

Les études récentes ont montré que le THM, pris pendant plusieurs années, augmente le risque de maladies cardiovasculaires et d’accidents vasculaires cérébraux (attaques). Le THM combinant estrogènes et progestérone augmente également le risque de cancer du sein (mais diminue le risque de cancer de l’utérus).

Pour ces raisons, le THM est contre-indiqué chez les femmes qui ont des antécédents personnels de maladie cardiovasculaire, qui ont déjà souffert d’un cancer du sein ou de l’utérus, ou qui présentent des hémorragies vaginales anormales.

Pour les autres femmes, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a émis des recommandations claires :

  • le THM est indiqué chez les femmes souffrant de troubles liés à la ménopause (notamment de bouffées de chaleur) avec un retentissement important sur la qualité de vie. Un THM peut alors être instauré si la femme le souhaite, à la plus petite dose efficace, pour la durée la plus courte possible, avec une information claire sur les risques. Une réévaluation régulière doit être assurée par le médecin traitant.
  • le THM est également indiqué chez les femmes ménopausées présentant un risque élevé de fractures, mais seulement en cas d’intolérance ou de contre-indication aux autres traitements indiqués dans la prévention de l’ostéoporose.
    Si vous vous interrogez sur l’opportunité d’un THM, parlez-en avec votre médecin ou votre gynécologue. Faites-vous expliquer clairement l’utilité d’un traitement dans votre cas et sur ses éventuels risques et bénéfices.

Traitements d’appoint - Sources et références

VIDAL, L’intelligence médicale au service du soin

vidal.fr, the website on health products and medical information

Source : https://www.vidal.fr/maladies/sexualite-contraception/menopause/traitement-hormonal-substitution.html

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Traduction, [compléments] et intégration de liens hypertextes par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 18/08/2021

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