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"Des gènes modifiés peuvent fausser les interactions des cotons sauvages avec les insectes : au Mexique, les gènes ayant acquis une résistance aux herbicides et aux insecticides peuvent perturber l’écosystème du coton" par Emiliano Rodríguez Mega

Traduction et Compléments de Jacques Hallard

mercredi 17 février 2021, par Rodríguez Mega Emiliano



ISIAS Biologie Coton OGM

Des gènes modifiés peuvent fausser les interactions des cotons sauvages avec les insectes : au Mexique, les gènes ayant acquis une résistance aux herbicides et aux insecticides peuvent perturber l’écosystème du coton

Ajout de compléments pour tout savoir sur les OGM, dont le coton, d’après l’association canadienne ‘Vigilance OGM’

Traduction du 17 février 2021 et ajout de compléments par Jacques Hallard d’un article de Emiliano Rodríguez Mega en date du 16/02/2021 publié par ‘sciencenews.org’ sous le titre « Modified genes can distort wild cotton’s interactions with insects  » ; disponible sur ce site : https://www.sciencenews.org/article/modified-genes-distort-wild-cotton-plant-insect-interactions

Un cotonnier trouvé dans la péninsule du Yucatan porte une fleur de couleur rose, ce qui suggère que la plante a été pollinisée par des insectes. Les fleurs commencent à fleurir avec une couleur blanc pâle, puis deviennent roses, et ensuite violettes, au fur et à mesure que d’autres insectes les visitent et y déposent du pollen. Valeria Vázquez Barrios

[Selon l’introduction d’un article que Wikipédia consacre au coton, « Gossypium hirsutum, aussi appelé « coton mexicain » ou « coton pays » (Antilles françaises), est une espèce de plantes dicotylédones de la famille des Malvaceae, sous-famille des Malvoideae, originaire des régions tropicales d’Amérique. C’est une des cinquante espèces du genre Gossypium, et l’une des quatre domestiquées pour la production de coton. C’est l’espèce de cotonnier la plus largement cultivée aux États-Unis et dans le monde. Elle fournit environ 90 % de la production mondiale de coton (fibres textiles). La trituration des graines fournit aussi des sous-produits utilisés en alimentation humaine et animale, en particulier huile de coton et tourteau de coton (en). La plante est toxique pour les mammifères du fait de la présence de gossypol dans tous ses organes. Des traces archéologiques trouvées au Mexique montrent que la culture de cette espèce date d’au moins 7.000 ans. C’est la plus ancienne preuve de la culture du coton sur Terre. Elle comprend un certain nombre de cultivars à fibre de longueurs différentes et tolérantes à un certain nombre de conditions de croissance. Les variétés les plus résistantes, les plus cultivées, sont appelées ’Long Staple Upland’ et les moins résistantes sont dites ’Short Staple Upland’… » - Article complet sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gossypium_hirsutum ].

Le résultat de ces observations remettent en question une idée ancienne, selon laquelle lorsque les gènes des plantes génétiquement modifiées s’échappent dans la nature, ils n’ont qu’un effet neutre sur les plantes sauvages ou transmettent leurs avantages aux ‘mauvaises herbes’, ou plantes adventices explique, Alicia Mastretta Yanes, écologiste moléculaire des plantes à la Commission nationale pour la connaissance et l’utilisation de la biodiversité à Mexico. Les conclusions confirment que des résultats inattendus de ce transfert génétique, dont certains ’n’ont jamais été imaginés, ou du moins n’ont pas été supposés comme possibles’, se produisent parfois, dit-elle.

Les scientifiques ont déjà essayé d’expliquer ce qui se passe après que l’ADN des plantes génétiquement modifiées se retrouve chez leurs parents sauvages (SN : 1/29/16). Mais la majorité des études ont été réalisées dans des conditions soigneusement contrôlées, et très peu d’expériences ont testé les conséquences, si tant est qu’il y en ait, de ces transferts de gènes sur les écosystèmes naturels.

Le peu de preuves disponibles a motivé Ana Wegier, une phytogénéticienne de l’Université nationale autonome du Mexique à Mexico, et ses étudiants à s’informer plus en détail. Le pays était leur laboratoire naturel. Le coton que nous connaissons (Gossypium hirsutum) est apparu et s’est diversifié pour la première fois au Mexique il y a entre 2 millions et 1,5 million d’années, et des variantes indigènes poussent encore sur le territoire mexicain. Au cours des 25 dernières années, de vastes champs de coton ensemencés avec des plantes génétiquement modifiées ont également été cultivés dans le nord du pays.

[Voir aussi Entrevista : Bioseguridad en los ecosistemas productivos y su entorno - Source : http://fobomade.blogspot.com/2016_07_24_archive.html ]

Pendant cette période, Ana Wegier a exploré le Mexique à la recherche de cotons sauvages, pour les trouver au bord des falaises, dans les décharges municipales ou au milieu d’une autoroute. Le coton sauvage aime pousser dans les endroits les plus inhospitaliers, où il n’a pas à concurrencer les autres espèces, dit-elle. En 2018, Mme Ana Wegier et son groupe se sont rendus dans la réserve de biosphère de Ría Lagartos, une zone côtière isolée de la péninsule du Yucatan. Les plages les plus blanches étant à quelques mètres, les chercheurs ont passé de longues journées à observer et à échantillonner les plants de coton sous un soleil de plomb, alors que des essaims de moustiques les piquaient sans arrêt.

[Pour découvrir cette zone géographique, voir les sources suivantes :

Parque Natural Ria Lagartos (Rio Lagartos) : 2021 Ce qu’il ...https://www.tripadvisor.fr › Attraction_Review-g11689...

Ría Lagartos activités 2021 – Viatorhttps://www.viator.com › fr-FR › Ria-Lagartos -Ría Lagartos, petit village de pêcheurs de la Riviera mexicaine, abrite le Parque Natural Ría Lagartos, une réserve de la biosphère reconnue par l’UNESCO ...

Ria Lagartos réserve naturelle .->https://mexique-decouverte.com/activite/ria-lagartos-reserve-naturelle/]

Des fourmis patrouillent dans la fleur de ce cotonnier, empêchant les herbivores de la dévorer. Valeria Vázquez Barrios

De retour au laboratoire de la ville de Ana Wegier, l’équipe a extrait l’ADN des 61 plantes qu’elle avait collectées et il a été découvert que 24 d’entre elles n’avaient pas de transgènes. Mais vingt et une plantes avaient un transgène qui leur conférait une résistance à l’herbicide glyphosate ; sept pouvaient maintenant produire une toxine mortelle qui tue les insectes destructeurs ; et les neuf autres avaient incorporé dans leur code génétique les deux gènes échappés dans la nature.

Avec les champs de coton génétiquement modifié les plus proches, à près de 2.000 kilomètres, ’ce qui m’a le plus surpris, c’est la facilité avec laquelle on a pu trouver des changements là où on ne les attendait pas’, explique Ana Wegier.

Lorsqu’elles sont enduites d’un produit chimique générateur de stress, les plantes résistantes au glyphosate produisent beaucoup moins de nectar que les plantes sauvages. Le nectar est un en-cas sucré que le coton sauvage sécrète à chaque fois qu’il est mangé, en échange des services de garde du corps d’espèces de fourmis particulièrement agressives. Ces plantes étaient aussi celles qui semblaient les plus déchiquetées avant le prélèvement des échantillons. Sans récompense savoureuse à offrir, et sans fourmis pour protéger le coton des herbivores affamés, ces plantes ont subi le plus de dommages par rapport aux plantes indigènes qui n’avaient pas le transgène.

Traitées avec le même produit chimique, les plantes avec le gène insecticide exsudaient du nectar tout le temps, sécrétant plus que les plantes sauvages sans gène échappé et devenant un phare irrésistible pour les fourmis protectrices. Mais dans l’échantillon de plantes des chercheurs, il n’y en avait pas autant avec le gène insecticide, ce qui suggère que les fourmis ou le transgène lui-même effrayaient les autres insectes. Cela pourrait avoir perturbé la pollinisation des fleurs du cotonnier, empêchant la plante de se reproduire.

Les conclusions sont intrigantes, dit Hugo Perales, un agroécologiste du Colegio de la Frontera Sur au Chiapas, au Mexique, mais il invite à la prudence. L’environnement incontrôlable et réel de Ría Lagartos a obligé les chercheurs à travailler avec un très petit nombre de plantes, dit-il. ’Il y a une suggestion que quelque chose se passe, mais cette suggestion doit être vérifiée’.

Pour Ana Wegier, les implications de l’étude sont claires. Le Mexique étant le réservoir de la diversité génétique du coton, elle affirme qu’il serait sage de limiter l’introduction de formes variantes de plantes génétiquement modifiées. ’Nous savons que la présence de transgènes est irréversible, et que les effets [écologiques] sont aussi irréversibles’, dit-elle.

Citations

V. Vázquez-Barrios et al. Ongoing ecological and evolutionary consequences by the presence of transgenes in a wild cotton population. Scientific Reports. Published online January 21, 2021. doi:10.1038/s41598-021-81567-z.

Articles apparentés :

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Compléments pour tout savoir sur les OGM, dont le coton, d’après l’association canadienne ‘Vigilance OGM’

1. Le coton c’est quoi ?

Le coton est une fibre végétale qui entoure les graines des cotonniers « véritables », un arbuste. Cette fibre est généralement transformée en fil qui est tissé pour fabriquer des tissus. Le coton est la fibre naturelle la plus produite dans le monde, principalement en Chine et en Inde qui représentent à eux deux environ 50% de la production mondiale. Le coton est utilisé pour fabriquer des vêtements légers depuis des millénaires dans les régions au climat tropical.

Coton, esclavagisme et capitalisme

Le coton est une culture qui demande beaucoup de main d’œuvre. Cette culture fut l’un des moteurs de la « révolution » industrielle. Via le commerce triangulaire qui permettait des échanges entre l’Europe, l’Afrique et les Amériques pour assurer la distribution d’esclaves noirs aux colonies du « Nouveau Monde » pour approvisionner l’Europe en produits de ses colonies et pour fournir à l’Afrique des produits européens et américains, le coton est devenu une ressource économique importante. L’Europe était dépendante des cultures de coton américaines. À la fin du 19e siècle, la guerre de Sécession a constitué « un tournant dans l’histoire du capitalisme » (1) puisque face à l’effondrement temporaire des importations de coton américain pendant la guerre, l’Europe est forcée de se tourner vers les pays d’Asie et du Moyen-Orient. Le gouvernement colonial britannique force les agriculteurs Indiens à cultiver la seule denrée dotée d’une véritable valeur financière à leurs yeux : le coton.

2. Qui produit du coton GM (génétiquement modifié) ?

En 2018, 32,9 millions d’hectares de coton ont été plantés dans le monde, dont 76%, soit 24,9 millions d’hectares, était génétiquement modifié. Le coton est la 3e culture GM de par son importance représentant 13 % des superficies mondiales d’OGM. (2)

Même si 15 pays ont cultivé du coton GM en 2018, les 5 plus grands producteurs de coton GM représentaient à eux seuls 95% de la production mondiale. Ces pays producteurs sont l’Inde (11,06 millions d’hectares), les États-Unis (5,06 millions d’hectares), le Pakistan (2,80 millions d’hectares), la Chine (2,93 millions d’hectares) et le Brésil (1,02 millions d’hectares) (2)

3. Pourquoi on le modifie génétiquement ?

Le coton GM est doté d’un ou deux traits particuliers. L’un produit une tolérance aux herbicides à base de glyphosate, comme le Roundup de Monsanto, et l’autre stimule la production d’une toxine mortelle pour le ver du cotonnier, l’un des principaux ravageurs du coton. Ce coton résistant aux ravageurs est conçu avec un gène de la bactérie Bt (Bacillus thurengiensis) – c’est le plus couramment cultivé, il représente 72,85 % de toutes les cultures de coton GM. (2)

4. Problématiques

Les études de cas des cultures du coton en Inde et au Bukina Faso sont très révélatrices des difficultés que rencontrent les agriculteurs lors qu’ils utilisent cette technologie.

Le Burkina Faso abandonne le coton GM

Le Burkina Faso est l’un des plus gros producteurs africains de coton, et cette culture est considérée comme la locomotive du développement agricole dans le pays. Le Burkina Faso a commencé à cultiver le coton produisant son propre insecticide, le coton « Bt » en 2008. Les compagnies de biotechnologie et les médias avaient alors annoncé que la productivité du coton Bt était miraculeuse et que les rendements seraient accrus. En réalité, la culture du coton Bt a été accompagnée de problèmes techniques persistants, depuis le début des premières cultures et cela s’est aggravé avec le temps.

Après deux saisons seulement, les fermiers protestaient déjà car leurs récoltes de coton avaient perdu en qualité en raison de la taille trop courte des fibres obtenues. Ainsi, ces fermiers ne sont pas parvenus à obtenir un prix correct pour leur production, en dépit de l’investissement coûteux dans la technologie des OGM. Le prix des semences de coton Bt est en moyenne 18 fois plus élevé que le coton conventionnel. Beaucoup de fermiers ont également fait état de faibles rendements, partiellement attribués à la nécessité d’appliquer des doses très précises d’engrais et de pesticides pour obtenir de bons rendements, une pratique à laquelle les fermiers ne sont pas habitués.

Sur les deux dernières campagnes cotonnières (2014-2015 et 2015-2016), les rendements ont été inférieurs de 7% à ceux du coton conventionnel. En conséquence, les producteurs qui ont eu recours au coton Bt ont été perdants : leur profit moyen est inférieur d’environ 7% à celui des producteurs de coton conventionnel. (3)

Après moins de 10 ans le Burkina Faso abandonne la culture de coton GM

L’Inde entre échec et suicides

Le coton est une importante culture de rentes en Inde qui le deuxième producteur mondial derrière la Chine. Le coton Bt résistant aux insectes a été introduit par Monsanto en 2002. La compagnie avait alors promis aux agriculteurs une diminution de l’utilisation de pesticides ainsi qu’une augmentation des rendements et donc des revenus.

Même si les premières années, certains agriculteurs ont noté une réduction de l’utilisation de pesticides et une diminution des pertes de récoltes, la tendance a vite changé et cela de manière radicale.

Le coton Bt a été un échec foudroyant dans certaines régions. Dans l’état d’Andhra Pradesh, le gouvernement estime que sur 70% des 1,9 million d’hectares où du coton Bt a été semé en 2011, le rendement a chuté de plus de 50% (4) et ce n’est malheureusement pas un cas isolé. Plusieurs facteurs viennent expliquer cet échec :

  • la piètre qualité des semences,
  • l’émergence de ravageurs secondaires,
  • la résistance développée par le ver du cotonnier
  • la technologie Bt, mise au point aux É.-U., n’est pas adaptée aux conditions agricoles de l’Inde. (5)
    Comme dans le cas d’autres cultures de plantes OGM, le ver du cotonnier résistant au coton Bt est apparu. Les agriculteurs ont été forcés d’utiliser plus de pesticides pour le contrôler. Aussi des ravageurs secondaires comme des thrips, des cochenilles et des pucerons ont commencé à devenir problématiques alors qu’ils ne l’étaient pas auparavant (6). Les agriculteurs utilisent maintenant des pesticides hautement toxiques pour gérer ces nouveaux problèmes. Par conséquent, au cours des dix dernières années, les données du gouvernement démontrent que l’utilisation de pesticides est restée la même ou a augmenté dans la ceinture du coton. (4)

La semence Bt, que les agriculteurs doivent acheter chaque année auprès des semenciers, est trois à huit fois plus chère que les semences hybrides classiques, et beaucoup plus chère que les semences locales que les agriculteurs trouvaient sur le marché il y a vingt ans. (7)

Le coton Bt exige aussi davantage d’irrigation et d’engrais pour produire de bons rendements, ce qui fait encore grimper les coûts. La dépendance des agriculteurs envers les intrants agricoles à prix élevé n’est pas un phénomène nouveau, mais elle s’est amorcée avec l’introduction de coûteuses semences hybrides de marque déposée et s’est exacerbée avec l’introduction du coton Bt de Monsanto. Le coton Bt n’a pas réussi à remplir ses promesses et il a coûté très cher en vies humaines.

Un constat effrayant a été fait : 250.000 agriculteurs indiens se sont suicidés depuis 15 ans. (9)

La plupart des petits agriculteurs doivent emprunter pour acheter des semences, des pesticides et des engrais coûteux à chaque saison de cultures. Quand les rendements baissent, que la récolte est mauvaise ou que le marché du coton s’effondre, les agriculteurs incapables de rembourser leur prêt sont pris dans une spirale d’endettement et de pauvreté. Des groupes de défense des agriculteurs en Inde relient le monopole des semences, le coût élevé des intrants et l’endettement aux suicides d’agriculteurs indiens dans les dix dernières années, survenus en majorité dans la ceinture du coton. (8)

Drame du coton OGM en Inde

(1) Empire of Cotton : A New History of Global Capitalism, Sven Beckert, 2014.

(2) James, C. (2018). Global Status of Commercialized Biotech/GM Crops : 2018. ISAAA brief No. 54. International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA) : Ithaca, NY. (en ligne)

(3) LE COTON BT ET NOUS La vérité de nos champs ! Synthèse des résultats d’une recherche paysanne sur les impacts socio-économiques du coton Bt au Burkina Faso COPAGEN 2017. (en ligne)

(4) 10 Years of Bt Cotton : False Hype and Failed Promises, Cotton farmers’ crisis continues with crop failure and suicides, Coalition for a GM Free India (CGMFI), 2012. (en ligne)

(5) Remarkable Success, and Four Ugly Facts. Field Questions, Stone, G.D., 2012. Bt Cotton. (en ligne)

(6) 10 years of Bt in India. Central Institute for Cotton Research, Kranthi, K., 2011. (en ligne)

(7 ) Le coton génétiquement modifié , contexte 2013, CBAN. 

(8) Navdanya, Navdanya International, the International Commission on the Future of Food and Agriculture, with the Centre for Food Safety. 2011. The GMO emperor has no clothes : A Global Citizens’ Report on the State of GMOs- False Promises, Failed Technologies. (en ligne)

(9) Sainath, P., 2011. In 16 years, farm suicides cross a quarter million. The Hindu. 29 Oct.

https://www.vigilanceogm.org/articl...

Nouveau Rapport OGM : manque de transparence après 20 ans

Rapport spécial 20 ans « Où sont les OGM ? »

Vingt ans après l’acceptation des premiers organismes génétiquement modifiés (OGM) au Canada, le manque de données disponibles vis-à-vis de ces cultures dans nos champs et dans nos assiettes est pointé du doigt. Lire l’article

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Traduction et compléments […] par Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 17/02/2020

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Fichier : ISIAS Biologie Coton OGM Des gènes modifiés peuvent fausser les interactions des cotons sauvages avec les insectes.2.docx

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