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"En confinement sanitaire, rester en forme et progresser dans la pratique avancée ou la découverte des arts martiaux internes" par Jacques Hallard

vendredi 20 mars 2020, par Hallard Jacques



ISIAS Arts martiaux internes Coronavirus

En confinement sanitaire, rester en forme et progresser dans la pratique avancée ou la découverte des arts martiaux internes d’origine chinoise, afin de stimuler les réponses immunitaires du corps et l’activation des mécanismes de défense qui sont abordés en annexe

Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, site ISIAS 19/03/2020

Plan : Avertissement Définitions préalables Introduction Sommaire Auteur


Avertissement préalable

Vu la dégradation de la situation sanitaire mondialement, des mesures de confinement ont été décidées puis renforcées, en particulier en France. Voir les informations suivantes :

Face au coronavirus, ’nous sommes en guerre’, déclare Emmanuel Macron. Regardez l’intégralité de l’allocution du président de la République Par Kocila Makdeche et Pierre Godon France Télévisions - Mis à jour le 16/03/2020 à 21:54, publié le 16/03/2020 à 19:40 – « Le dernier bilan, dimanche soir, faisait état de 127 morts et 5 423 personnes testées positives, soit 36 morts et plus de 900 cas diagnostiqués supplémentaires en 24 heures… » - Replay à la source 

Coronavirus : « Restez chez vous », martèle Christophe Castaner - Avec désormais 6.600 Français contaminés, 148 morts et plus de 400 personnes placées en réanimation, la France va se confiner pour au moins 15 jours pour juguler l’épidémie. Par G.Z, I.P, Lo. C, G.L. et P.R. - Le 16 mars 2020 à 07h05, modifié le 17 mars 2020 à 06h26 – « Le dernier bilan, dimanche soir, faisait état de 127 morts et 5.423 personnes testées positives, soit 36 morts et plus de 900 cas diagnostiqués supplémentaires en 24 heures… » - Lire la totalité à la source 

Coronavirus : le confinement jugé ’nécessaire’ par 93% des Français [Sondage exclusif] - Notre enquête ‘YouGov’ montre une très large adhésion des Français interrogés aux mesures prises pour tenter d’enrayer l’épidémie de Covid-19. Par Geoffroy ClavelSource

Coronavirus : la prolongation du confinement es ’nécessaire’, selon ‘Santé Publique France’ - Marie-Pierre Haddad et AFP - Publié le 19/03/2020 à 09:43 mis à jour le 19/03/2020 à 10:18 – Photo : les Français doivent présenter une attestation imprimée ou écrite à la main pour quitter leur domicile en période de confinement Crédit : AF – « Les dynamiques de l’épidémie ’dépendent de l’adhésion de chacun aux mesures barrières et de confinement’, a indiqué l’agence sanitaire ‘Santé publique France’ ». Source 

Mais, dans le même temps, le flux des informations explose et cela fait courir des risques supplémentaires des échanges et de la sécurité à l’échelle planétaire :

Internet peut-il craquer pendant le confinement ? Le trafic internet a fortement augmenté depuis le début du confinement. Certains craignent une surcharge des réseaux. 18 mars 20:40 - Mis à jour 19 mars 2020 à 01:06 – « Le télétravail pour les parents, l’école à la maison pour les enfants ou encore le streaming pour les autres... Toutes ces activités ont fait exploser la consommation d’Internet. Un record absolu dans le monde a été battu il y a quelques jours. Le système va-t-il tenir ? » - Source

Nous sommes conscients de contribuer à cette surconsommation numérique, à l’encombrement des réseaux de télécommunications et à la surcharge des bases de données. Nous recommandons donc de faire un usage raisonné des vidéos que nous proposons en téléchargeant éventuellement certaines d’entre elles sur un disque dur domestique, par exemple pour un usage courant lors de pratiques d’arts martiaux internes qui sont l’objet de ce dossier et qui ne peuvent plus être réalisées à une échelle collective.

De toute façon, la sortie de cette crise sanitaire sans précédent et les répercussions économiques et probablement financières et monétaires vont s’accélérer. Deux nouvelles récentes :

Marchés financiers et coronavirus : fermons les bourses, et vite ! Par Mathias Thépot - Publié le 18/03/2020 à 18:06 – « Sous perfusion de l’Etat depuis quelques jours en raison de l’épidémie de coronavirus, l’économie de marché est sortie de son cadre de fonctionnement normal. Dans un tel contexte, laisser ouverts des marchés boursiers qui ne cessent de perdre de la valeur est une pure folie. Fermons-les, et vite ! » - Source

Face à l’évolution du coronavirus, la BCE débloque 750 milliards d’euros - 19/03/2020 00:36 CET« La somme ira aux rachats de dettes, publiques et privées, pour tenter de contenir les répercussions sur l’économie de la pandémie de coronavirus… » - Source 

Les impacts du numérique sur l’environnement seront aussi à considérer courageusement à l’issue de cette crise majeure

La situation présente reposera immanquablement la question brûlante des impacts de la prolifération des usages du numérique, de l’intelligence artificielle et de ses dérivés sur l’environnement. Voir en particulier parmi nos dossiers antérieurs : ’Une « révolution numérique », une « transition ou transformation digitale » ?’ par Jacques Hallard mardi 31 décembre 2019 – On y relate des faits objectifs et on tente de formuler des propositions concrètes, avec neuf documents choisis, pour faciliter une prise de conscience sur les impacts du numérique sur notre environnement ; ce dossier ouvre le vaste sujet qui reste à approfondir : les problèmes nouveaux qui sont être posés vis-à-vis de notre environnement, par l’intrusion de toutes les techniques, méthodes et outils de l‘informatique, du numérique et du digital dans tous les domaines, que ce soit au niveau individuel, professionnel, national ou planétaire… - « Ces impacts se matérialisent et, s’ajoutant aux défis énergétiques et climatiques déjà bien répertoriés, sinon partagés par le plus grand nombre de nos contemporains : ils interrogent notre conscience et devraient guider nos comportements futur et nos orientations pour éviter le pire, que certains qualifient comme un risque d’effondrement généralisé, désigné par le terme de collapsologie (« l’étude de l’effondrement de la civilisation industrielle et de ce qui pourrait lui succéder…). Voir l’étude complète à la source

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Définitions préalables

Art martial interne

Les arts martiaux internes également appelés arts du poing interne ou neijia quan (du chinois 内家拳 nèijiā quán) est une catégorie rassemblant différents styles d’arts martiaux chinois ou asiatiques, focalisés sur les aspects mentaux, spirituels et l’énergie (qi), et se définissant par opposition aux arts martiaux dits « externes ». Cette distinction remonte au XVIIe siècle mais a surtout été popularisée dans les années 1915-1928 lors de l’organisation de compétitions martiales. Cette catégorie est parfois désignée comme arts wudang ou styles wudang (wudang quan), d’après leur association légendaire avec les monastères taoïstes du mont Wudang… » - A lire sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Art_martial_interne

On peut aussi consulter : La différence entre les arts martiaux internes et externes ... www.mmartial.com › blog › 2017/07/07 › arts-martiaux-internes-exte... - 7 juillet 2017

Qi Gong ou Chi Gong d’après Wikipédia

Idéogrammes chinoisCette page contient des caractères chinois. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur.

Photo - Démonstration de qi gong par le Dr Hu Yuen Xian à Barcelone.

Le qi gongÉcouter, qigong, chi gong ou chi kung (chinois simplifié : 气功 ; chinois traditionnel : 氣功 ; pinyin : qìgōng ; Wade : ch’i⁴gong¹) est une gymnastique traditionnelle chinoise et une science de la respiration qui est fondée sur la connaissance et la maîtrise du souffle et qui associe mouvements lents, exercices respiratoires et concentration1. Le terme signifie littéralement « réalisation ou accomplissement (gong) relatif au qi  », ou « maîtrise du souffle ».

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/50/Qi_Gongi_chinese_characters_2.jpgQi Gong en caractères chinois

Article à lire sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Qi_gong


Qi Gong ou Chi Gong - Document ‘passeportsante.net’

Qu’est-ce que le Qi Gong ?

Le Qi Gong est une gymnastique douce et lente issue de la Médecine Traditionnelle Chinoise. Dans cette fiche vous découvrirez ce qu’est cette pratique, quels en sont ses principes, son histoire, ses bienfaits et pour finir, quelques exercices de qi gong à appliquer dès maintenant.

Du chinois « qi » qui signifie « énergie » et « gong » qui veut dire « le travail », le Qi Gong est le travail de l’énergie via le corps. Cette pratique est composée d’exercices qui, pratiqués régulièrement et quotidiennement, permettraient de retrouver l’équilibre spirituel, psychique et physique. La pratique du Qi Gong fait appel à une grande diversité de mouvements qui s’enchainent généralement très lentement, de postures immobiles, d’étirements, d’exercices respiratoires, de visualisation, et de méditation avec une grande focalisation.

Les principes du Qi Gong

Le Qi Gong est basé sur la médecine traditionnelle chinoise. Pour le comprendre, il faut comprendre les différents principes de cette médecine traditionnelle datant de plusieurs milliers d’années.

Le Qi est un concept fondamental de la médecine traditionnelle chinoise, on peut le définir comme le flux énergétique qui serait à la base de toute chose. Lorsque ce flux énergétique est bien équilibré, cela permettrait de prévenir ou de guérir certaines maladies et d’améliorer la santé physique et mentale. Le principe du Qi Gong est d’arriver à maîtriser le Qi par le corps et une pratique régulière de cette discipline permettrait d’activer le mécanisme d’autoguérison du corps.

Certaines méthodes sont plus adaptées aux individus souhaitant renforcer leurs tendons, d’autres pour les individus souffrant de troubles de sommeil ou de maladies organiques dues à une mauvaise circulation énergétique. Il convient de ne pas mélanger les méthodes. .


Les bienfaits du Qi Gong

Pour améliorer la souplesse

Le Qi Gong permet progressivement et en douceur d’accomplir des mouvements de plus en plus amples. Sa pratique régulière contribue donc à améliorer la souplesse puisque les exercices d’étirements et de mouvements proposés par le Qi Gong délient les articulations.

Se détendre et combattre le stress

Certaines études scientifiques ont mis en évidence l’efficacité du Qi Gong en ce qui concerne la réduction du stress. Une étude a montré qu’une séance de 60 minutes de Qi Gong permettait de réduire de façon significative les indicateurs de stress (cortisol, ondes alpha) et de provoquer une grande relaxation, de la satisfaction ainsi que de la détente.

Le Qi Gong dit « méditatif » favorise la détente mentale à travers l’utilisation du mouvement répétitif qui permet de mettre ses idées au clair et de déterminer ses priorités.

Développer son équilibre

Le Qi Gong favorise l’équilibre mental et physique. Les exercices du Qi Gong proposent de nombreuses postures immobiles devant être tenues longuement. La persévérance et la concentration contribuent à développer progressivement l’équilibre de l’individu. De nombreux exercices quant à eux, visent à régulariser la position du corps.

Améliorer la santé

Le Qi Gong peut avoir des effets positifs sur la physiologie de l’organisme. Par exemple, une étude portant sur des individus atteint d’hypertension a montré qu’une pratique régulière du Qi Gong permettait de diminuer la tension artérielle, de diminuer les taux de cholestérol, de triglycérides, de LDL cholestérol ainsi que d’améliorer le pronostic vital des patients.

Le Qi Gong permettrait également de réduire la détresse psychologique, de réduire le taux de glucose dans le sang d’individus souffrant de diabète et d’améliorer l’image de soi.

Solution ou prévention ?

Le Qi Gong peut être appliqué en solution ou en prévention. En solution, des études scientifiques ont montré qu’une pratique régulière du Qi Gong permet de réduire l’hypertension, la douleur chronique, d’améliorer la qualité de vie de patients atteint du cancer, de diminuer les symptômes du syndrome prémenstruel, de réduire les symptômes associés à la maladie de Parkinson, d’aider au sevrage de l’héroïne…

En prévention, il permet de renforcer et assouplir la structure musculosquelettique du corps, d’améliorer la qualité de vie, d’optimiser les fonctions immunitaires de l’organisme, ce qui contribue à entretenir sa santé et prévenir l’apparition de certaines maladies.


En pratique : quelques exercices de Qi Gong

Une pratique régulière du qi gong est très simple et à la portée de tous. Cela nécessite néanmoins motivation et persévérance. La pratique du Qi Gong doit se faire de façon naturelle, sans se faire violence mais avec des efforts progressifs pour arriver à une réelle détente. Il ne faut pas tout plus chercher à tout prix à avoir des résultats puisque ceux-ci arrivent naturellement avec de la pratique.

Aucun matériel n’est nécessaire à la pratique du Qi Gong, si ce n’est un petit coussin ou un tapis pour être plus confortable.

Il convient d’éliminer toute source de distraction si vous souhaitez augmenter les chances de réussir à vous concentrer.

Pour bien démarrer la journée :

Mettez-vous en position accroupie, les paumes des mains au sol et les bras à l’extérieur des jambes. Ensuite, prenez une longue inspiration et expirer lentement et profondément. Répéter cela dix fois. Remettez-vous debout lentement avec les jambes et les bras ouverts tout en inspirant l’air, les paumes tournées vers le ciel. Expirer ensuite et répétez cela 5 fois de suite. Cet exercice permet d’inspirer le qi et de vous donner de la force, tout en expirant vos faiblesses.

Pour améliorer votre longévité :

Selon les taoïstes, un souffle court raccourci l’espérance de vie, cet exercice vise à « respirer par les talons ».

Tout d’abord, mettez-vous debout les pieds bien parallèles et les jambes ouvertes au niveau des épaules. Les jambes doivent être tendues tout en étant souples au niveau de l’arrière des genoux. Ensuite, détendez votre bassin et relâcher vos bras de chaque côté tout en gardant le dos droit et souple. Pressez vos talons au sol et prenez une grande inspiration tout en levant vos bras au niveau de votre poitrine. Fléchissez les genoux tout en expirant et en descendant vos bras afin de suivre le souffle jusqu’à vos talons. Cet exercice est à pratiquer 5 fois de suites, à raison de 5 fois par jours.

Pour réduire l’hypertension :

Le stress et la dépression sont deux facteurs favorisant l’hypertension selon la médecine traditionnelle chinoise. Or, le Qi Gong permet de lutter contre le stress grâce à un travail sur la respiration. Voici un autre exercice : assis, détendez-vous tout en pratiquant la respiration abdominale (le ventre doit être gonflé à l’inspiration et dégonflé à l’expiration). L’inspiration se fera légèrement, par le nez tandis que l’expiration sera plus lente et effectuée par la bouche.


L’histoire du Qi Gong

Les trois grandes origines de cette discipline remontent au taoïsme, au bouddhisme et au confucianisme. Le qi gong date donc de plusieurs milliers d’années en Chine.

Il existe plusieurs sortes de QI Gong qui ont été décrits dans le livre « Le canon de l’empereur jaune » qui est un des plus anciens livres de la médecine traditionnelle chinoise. Le Qi Gong le plus ancien provient du taoïsme et portait le nom de « Tu Na » qui veut dire « inspirer, expirer » et « Dao Yin » qui signifie « diriger ».

Le « Dao Yin » avait pour but d’harmoniser la respiration à l’aide de mouvements et de postures d’animaux, mais également de guérir les maladies. Cette forme de Qi Gong s’est développée et a donné naissance au « Wu Qin Xi ». La forme de Qi Gong la plus populaire en Chine est le « Zhou Tian Gong ». Quant à l’Occident, la forme la plus connue de Qi Gong provient du bouddhisme et est nommée le « Suo Chan » qui consiste à se focaliser sur ses pensées afin d’atteindre la sérénité en oubliant ses maux. D’autres formes de Qi Gong ont été développées par les confucianistes, celles-ci mettaient l’accent entre le lien entre le qi, le cœur, et la pensée active. Le Qi Gong est donc une discipline qui a été développée sous différentes écoles et chaque forme de Qi Gong obéit à sa propre théorie. Chaque variété de Qi Gong possède des effets différents sur le Qi, le sang et les organes de la personne.

Rédaction : Medoucine.com, spécialiste des médecines douces
Janvier 2018 - Lire l’article complet avec toutes les références à la source : https://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=qi_gong_th

Tai-chi-chuan selon Wikipédia - Ne doit pas être confondu avec Taizu quan ou Taiji jian.

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/17/Yin_yang.svg/220px-Yin_yang.svg.pngTaijitu 太极图 / 太極圖.

Le tai-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan1 (chinois simplifié : 太极拳 ; chinois traditionnel : 太極拳 ; pinyin : tàijí quán Écouter ; Wade : t’ai⁴chi²ch’üan² ; cantonais Jyutping : taai³gik⁶kyun⁴ ; cantonais Yale : taaigihkkyùhn ; litt. « boxe du taiji » ou « boxe du faîte suprême », également prononcé en japonais taikyoku ken) est un art martial chinois dit « interne » (neijia) souvent réduit à une gymnastique de santé. Il peut aussi comporter une dimension spirituelle. Il a pour objet le travail de l’énergie appelée chi.

Pour aller plus loin et découvrir le tai-chi-chuan avec des questions et réponses … se reporter au site suivant : Tout savoir sur Le Tai Chi Chuan : connaître et comprendre (1)

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Introduction

Après un avertissement concernant la situation sanitaire et les mesures de confinement imposées en France, ainsi que des définitions préalables sur certaines pratiques d’arts martiaux (Qi Gong et Taï Chi Chuan), le présent dossier est composé de 9 documents sélectionnés dont la liste est donnée dans le sommaire ci-joint.

Ces documents, sous forme de textes et/ou vidéos, permettent d’entrer dans ces pratiques d’origine chinoise, de les découvrir ou de stimuler à distance les praticiens avancés. Maître KE Wen [ voir une vidéo ] offre solidairement, spontanément et bénévolement le cadeau du jour pour se maintenir en bonne forme physique et morale.

On retrouve toutes sortes de pratiques proposées et, pour les praticiens les plus avancés, une documentation complète qui est très utile pour la pratique du Tai-chi-chuan, dans le style Yang de la famille Tung : tous les détails de la progression sont explicités en français et une version en anglais renvoie précisément à chaque partie de la vidéo présentée par Maître Tung Kai Ying.

Ce dossier est aussi une opportunité pour examiner en détails dans l’annexe 1 le domaine des défenses immunitaires : comment stimuler les réponses immunitaires du corps et comment activer les mécanismes de défense, avec des conseils pratiques de santé.

Enfin, les articles sur le Qi Gong et le Taï Chi Chuan et plus généralement sur la culture chinoise, qui ont été postés sur le site ISIAS, sont accessibles à l’annexe 2.

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Sommaire

1. Enseignement direct avec Maître KE Wen : renforcer la vitalité et révéler la force de vivre ép. 2 Vidéo 45:40 - Diffusé en direct le 17 mars 2020 – ‘Les Temps du Corps’

2. La Voie de la pratique : L’Enracinement Vidéo 48:00 - Diffusé en direct le 17 janvier 2019 Les Temps du Corps

3. Qi Gong 1° Forme - Les 8 mouvements, protéger et renforcer la santé – Vidéo 15:53 - 18 janvier 2018 – ‘TheLahorgue’

4. C’est au programme – ‘De la gym sur ordonnance’ ! Vidéo 9 minutes 15 diffusée le mardi 27.06.17 à 9h59 – Document ‘france.tv/france-2’

5. Démonstration de Qi Gong par Maître Ke Wen et l’équipe des Temps du Corps pour ’C’est au programme’ Vidéo 3:01 - 29 juin 2017 - Les Temps du Corps

6. Maître KE Wen, les 20 mouvements essentiels du Qi Gong Vidéo 11:40 - 06 janvier 2017 - Les Temps du Corps

7. Cours de qi gong (ou Chi Gong) pour débutant Vidéo 22:44 - 29 juin 2019 David Maréchal

8. Tai-chi-chuan style Yang famille Tung selon Wikipédia

9. Tai Chi Chuan (Tung family version of Yang slow set) Vidéo 16:00 - 21 mai 2017 markyhellman

Annexe 1 – Les défenses immunitaires

Annexe 2 - Articles sur le Qi Gong et le Taï Chi Chuan postés sur le site ISIAS

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1.
Enseignement direct avec Maître KE Wen : renforcer la vitalité et révéler la force de vivre ép. 2 Vidéo 45:40 - Diffusé en direct le 17 mars 2020 - Les Temps du Corps

Spécial confinement (2ème jour). Série d’épisodes en direct présentés par Maître KE Wen pour renforcer la vitalité et révéler la force de vivre 17 mars 2020 - Catégorie : Éducation - Source : https://www.youtube.com/watch?v=GVBsSyTM6h4

Maître KE Wen propose une vidéo quotidienne pour accompagner les personnes volontaires à pratiquer en solitaire ou en famille – Source : https://www.youtube.com/watch?v=GVBsSyTM6h4

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2.
La Voie de la pratique : L’Enracinement Vidéo 48:00 - Diffusé en direct le 17 janvier 2019 Les Temps du Corps

Dans cette émission en direct maître Ke Wen explique la notion de l’enracinement dans la pratique du Qi Gong. Catégorie : Divertissement

Source : https://www.youtube.com/watch?v=qRuzkLEnusk

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3.
Qi Gong 1° Forme - Les 8 mouvements, protéger et renforcer la santé – Vidéo 15:53 - 18 janvier 2018 – ‘TheLahorgue

Qi Gong général 1ère forme. D’autres vidéos sur : les liens suivant, http://www.daoyinaudenge.sitew.fr/#Ac... http://www.daoyinaudenge.sitew.fr/#Ac... - Catégorie : Vie pratique et style

Source : https://www.youtube.com/watch?v=uougkw3PgJU

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4.
C’est au programme – ‘De la gym sur ordonnance’ ! Vidéo 9 minutes 15 diffusée le mardi 27.06.17 à 9h59 – Document ‘france.tv/france-2’ : magazines d’actu tous publics – extrait - Chroniqueuse : Christelle Ballestrero.

Et pourquoi ne pas profiter de l’été pour vous occuper de votre corps et de votre esprit ? C’est ce que vous propose Christelle Ballestrero ce matin ! Elle a choisi de vous présenter le Qi Gong, une activité physique basée sur le travail du corps en harmonie avec celui de l’esprit, qui est aujourd’hui pratiquée jusque dans les hôpitaux !

’Les Temps du Corps’ est l’école de formation de Qi-Gong la plus importante de France en collaboration étroite avec les institutions chinoises.

Merci à Philippe Renou pour son intervention dans notre sujet ! - Philippe Renou, Un pas pour la santé : www.unpaspourlasante.fr - Hôpital Gustave Roussy.

Merci à Ke Wen et à toute son équipe pour sa démonstration sur notre plateau ! - Ke Wen est l’auteure de plusieurs livres dont « Entrez dans la pratique du Qi Gong », éditions Le Courrier du livre. Elle est la vice-présidente de la Fédération internationale de Qi Gong Santé, créatrice et directrice du Centre de Culture chinoise, créatrice du Réseau national France Qi Gong, pionnière du Qi Gong en France et personnalité très respectée en Chine. 

Pour en savoir plus :

Centre de Culture chinoise « Les Temps du Corps » : http://www.tempsducorps.org/ - France Qi Gong : http://www.france-qigong.org/ - Source : https://www.france.tv/france-2/c-est-au-programme/198417-de-la-gym-sur-ordonnance.html

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5.
Démonstration de Qi Gong par Maître Ke Wen et l’équipe des Temps du Corps pour ’C’est au programme’ Vidéo 3:01 - 29 juin 2017 - Les Temps du Corps

Extrait de l’émission ’C’est au programme’ du 27 juin 2017 sur France 2. Invités par Christelle Ballestrero, Maître Ke Wen et son équipe des ‘Temps du Corps’ ont réalisé une démonstration de Qi Gong. Pour revoir en replay l’intégralité du programme cliquez sur le lien suivant : https://www.france.tv/france-2/c-est-... - Catégorie : Éducation - Musique utilisée dans cette vidéo - En savoir plus - Écoutez de la musique sans publicité avec YouTube Premium - Titre 兩相忘 - Artiste 張維良 - Album 茶禪一味 - Concédé sous licence à YouTube par Wind Music TV (au nom de 風潮音樂) ; Sony ATV Publishing

Source : https://www.youtube.com/watch?v=Eh6FHj-5vLc

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6.
Maître KE Wen, les 20 mouvements essentiels du Qi Gong Vidéo 11:40 - 06 janvier 2017 - Les Temps du Corps

Maître KE Wen présente quelques postures pour débuter les 20 mouvements essentiels du Qi Gong. Pour la méthode complète des 20 mouvements essentiels du Qi Gong : coffret livre et DVD disponible sur : https://www.taodiffusion.com/product-... Pour plus d’informations sur les cours, stages et ateliers, rendez-vous sur le site le site web http://tempsducorps.org/ - Catégorie : Éducation – Source : https://www.youtube.com/watch?v=DQK67MHMHoc

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7.
Cours de qi gong (ou Chi Gong) pour débutant Vidéo 22:44 - 29 juin 2019 David Maréchal

Cette vidéo a été vue plus de 400. 000 fois avant que ma chaine ne soit piratée. Vous aimez le Qi gong et vous désirez en ressentir les effets sur votre santé ? Découvrez plusieurs cours pour vous y aider : Les 16 mouvements pour dynamiser l’énergie : https://vitalite-energie-longevite.kn... Qi gong anti-stress pour débutants : https://vitalite-energie-longevite.kn... Cours complet de Qi gong : https://vitalite-energie-longevite.kn... Je vous souhaite un bon qi - Catégorie : People et blogs

Source : https://www.youtube.com/watch?v=SXecj2Im6Oo

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8.
Tai-chi-chuan style Yang famille Tung selon Wikipédia

Le Tai-chi-chuan de style Yang tel que transmis par la famille Tung est une pratique du tai-chi-chuan née à partir du style Yang originel. Ce tai-chi-chuan fut fondé par Tung Ying Chieh (1898 - 1961). Ce dernier étudia avec Yang Cheng Fu. Auparavant, il étudia le tai-chi-chuan de Wu Yu Xiang avec Li Xiang Yuan. Tung Ying Chieh a ainsi pu ajouter en mariant des éléments des deux styles un enchaînement qui lui est propre à son enseignement.

Sommaire

Le tai-chi-chuan (taiji quan) fut inventé par Zhang Sanfeng. Il pratiqua les arts taoïstes et devait connaître les Classiques. Il fut moine dans les monts Wudang (Wudangshan) et il semble qu’il aimait discuter des Classiques et de philosophie avec la population locale.

Un jour qu’il récitait les Classiques, un oiseau se posa dans sa cour. Zhang Sanfeng l’observa de sa fenêtre : L’oiseau scrutait un serpent lové sur le sol. Le serpent regarda l’oiseau. Un combat s’engagea entre eux. L’oiseau attaquait en déployant ses ailes. Le serpent agitait la tête, et ondulait pour échapper à l’oiseau qui retournait au sommet d’un arbre. À nouveau, l’oiseau attaquait mais le serpent se contorsionnait et s’écartait encore grâce à un mouvement en spirale. Le combat durait sans victoire de l’un ou l’autre… Quand Zhang Sanfeng sortit dans la cour, le serpent et l’oiseau avaient disparu. De l’observation de ce combat, Zhang Sanfeng eu l’idée du tai-chi-chuan : il s’agissait d’allier la souplesse du serpent et la vitesse de l’oiseau.

Ce récit est néanmoins à prendre avec précaution, comme une légende. En effet, l’existence de Zhang Sanfeng n’est pas prouvée avec certitude : il est possible qu’il ne soit qu’une construction littéraire. Les dates avancées pour son existence (possible mais pas certaine) sont 1391 à 1459 environ.

Tai-chi-chuan style Yang famille Tung

Avec le temps, le tai-chi-chuan (en général), qui à l’origine se transmettait dans le cercle familial, s’est modifié selon les divers maîtres. Ainsi sont nés différents styles de tai-chi-chuan.

La première forme codifiée du tai-chi-chuan est celle du style Chen. Le style Yang en dérive. C’est avec l’école Yang que l’enseignement du tai-chi-chuan serait devenu plus ouvert.

Voici quelques styles du tai-chi-chuan :

  • L’école Yang, appelée ta chia (grande charpente). Normalisée par Yang Chengfu (1883-1936), petit-fils de Yang Luchan (1799-1872), qui commença la propagation du tai-chi-chuan à Pékin puis dans toute la Chine. Les positions amples, les techniques de l’enchaînement fondamental sont souples et ininterrompues, mais les applications martiales sont rapides et vigoureuses. C’est, aujourd’hui, l’école la plus répandue.
  • L’école Chen, appelée lao chia (vieille charpente), est la plus ancienne. Cette école est restée dans le style qui était populaire à Chenjiagou dans la province de Henan. L’enchaînement fondamental est caractérisé par une alternance de mouvements lents et souples avec des mouvements rapides et vigoureux.
  • L’école Wu Yu, appelée hsiao chia (petite charpente), a été popularisé par Wu Jianquan (1870-1942), élève de Yang Luchan. Ce style est caractérisé par des techniques d’ampleur réduite.
  • L’école Wu Chien, appelée chung chia (charpente moyenne), a été établi par Wu Yuxiang (1812-1880), camarade de Yang Luchan. Ce branchement de tai-chi-chuan a été diffusé et popularisé par Hao Weizhen (1849-1920), un élève de Wu Yuxiang. Ce style est caractérisé par des posture inclinées en avant et par des mouvements d’ampleur moyenne.
  • L’école Sun, appelée huo pu chia (charpente aux pas vifs), a été développée par Sun Lutang (1861-1932), initialement élève de Hao Weizhen. Petites positions, mouvements agiles et plutôt rapides caractérisent ce style.
    Dans les écoles, les diversifications sont aussi possibles. Dans le cas qui nous intéresse, le style Yang, il y a eu des diversifications. On peut nommer ces pratiques issues du même style de familles. Le tai-chi-chuan style Yang se scinde en trois familles (au moins) : le style Tung est l’une d’entre elles. Nous présentons ici le tai-chi-chuan tel que le transmet maître Tung Kai-Ying.

Le tai-chi-chuan style Yang famille Tung comprend la forme lente, la forme rapide, les exercices à deux (ex. : poussée des mains), des formes ’familiales’, des formes avec armes (ex. : épée, sabre, batons), divers exercices.

Enchaînement lent

L’enchaînement lent style Yang, famille Tung comprend 89 mouvements et se décompose en trois parties. Quand on enchaîne, les parties et les mouvements ne se séparent pas les uns des autres (par ex. par un petit temps d’attente entre deux mouvements). Au contraire, l’enchaînement est à concevoir comme un seul mouvement qui ne s’arrêterait pas dans sa progression. Il s’agit, selon une formule chinoise, de dérouler la pelote de fil. Quand on déroule la bobine, celle-ci tourne toujours, sans à-coup.

Comme dans tout style, l’enchaînement nécessite de plier les jambes. Cependant, cela est laissé à la capacité de chacun : certains peuvent plier beaucoup, d’autres moins. De plus, toutes les articulations doivent être relâchées, et le genou ne doit jamais dépasser la pointe du pied. Enfin, les mouvements reposent beaucoup sur ceux de la taille.

L’enchaînement lent peut s’exécuter aussi bien en 30 minutes qu’en plus d’une heure, selon la vitesse que l’on décide. Plus on va lentement, plus on peut prendre conscience et travailler sur les mouvements de taille, sur l’équilibre, sur le placement du corps. Le but est, cependant, de rester totalement relâché : la concentration n’implique pas la crispation.

Voici les noms des mouvements de l’enchaînement lent :

(Première Partie)

  • Position préparatoire ;
  • Mouvement de départ ;
  • Étreindre la queue du paon ;
  • Simple fouet ;
  • Rapprocher les mains ;
  • La grue blanche déploie ses ailes ;
  • Brosser le genou gauche et pousser ;
  • Joueur de guitare ;
  • Brosser le genou gauche et pousser ;
  • Brosser le genou droit et pousser ;
  • Joueur de guitare ;
  • Brosser le genou gauche et pousser ;
  • Faire un pas en avant et donner un coup de poing ;
  • Se retirer et sceller ;
  • Croiser les mains ;
    (Deuxième Partie)
  • Porter le tigre et retourner à la montagne ;
  • Poing sous le coude ;
  • Repousser le singe ;
  • Vol en diagonale ;
  • Rapprocher les mains ;
  • La grue blanche déploie ses ailes ;
  • Brosser le genou gauche et pousser ;
  • Chercher l’aiguille au fond de la mer ;
  • Élever les bras et pousser ;
  • Poing près de la taille ;
  • Un pas en avant et donner un coup de poing ;
  • Étreindre la queue du paon ;
  • Simple fouet ;
  • Mains nuages ;
  • Simple fouet ;
  • Caresser l’encolure du cheval ;
  • Coup de pied sur le côté droit ;
  • Coup de pied sur le côté gauche ;
  • Tourner et coup de pied ;
  • Brosser le genou gauche et pousser ;
  • Brosser le genou droit et pousser ;
  • Donner un coup de poing vers le bas ;
  • Poing près de la taille ;
  • Pas en avant et coup de poing ;
  • Coup de talon droit ;
  • Frapper le tigre (à droite et à gauche) ;
  • Se retirer et coup de pied ;
  • Double vent à travers les oreilles ;
  • Coup de talon gauche ;
  • Tourner et donner un coup de pied ;
  • Pas en avant et coup de poing ;
  • Se retirer et sceller ;
  • Croiser les mains ;
    (Troisième Partie)
  • Porter le tigre et retourner à la montagne ;
  • Simple fouet en diagonal ;
  • Cheval sauvage sépare sa crinière ;
  • Étreindre la queue du paon ;
  • Simple fouet ;
  • Belle dame à la navette tisse les quatre coins de l’espace ;
  • Étreindre la queue du paon ;
  • Simple fouet ;
  • Mains nuages ;
  • Simplet fouet ;
  • Simple fouet en posture basse ;
  • Coq doré se tient sur une patte ;
  • Repousser le singe ;
  • Vol en diagonale ;
  • Rapprocher les mains ;
  • La grue blanche déploie ses ailes ;
  • Brosser le genou à gauche et pousser ;
  • Aiguille au fond de la mer ;
  • Élever les bras et pousser ;
  • Serpent blanc darde sa langue ;
  • Pas en avant et coup de poing ;
  • Étreindre la queue du paon ;
  • Simple fouet ;
  • Mains nuages ;
  • Simple fouet ;
  • Caresser l’encolure du cheval ;
  • Étendre soudain la paume ;
  • Tourner et coup de poing à l’aine ;
  • Étreindre la queue du paon, avec le pas ;
  • Simple fouet ;
  • Simplet fouet en posture basse ;
  • Pas en avant et coup de poing transversal ;
  • Pas en arrière et enjamber le tigre ;
  • Tourner et coup de pied frappé ;
  • Bander l’arc et décocher sur le tigre ;
  • Pas en avant et coup de poing ;
  • Se retirer et sceller ;
  • Croiser les mains ;
  • Mouvement de clôture.
    (Fin de l’enchaînement)

Autres enchaînements et exercices

Comme dans les autres familles et styles, le tai-chi-chuan de l’école Tung contient d’autres enchaînements et exercices :

  • Enchaînement rapide ;
  • Exercices à deux et applications ;
  • Enchaînements avec armes (épée, sabre, bâtons, etc.) ;
  • Tai Chi Qong (cf. Qi_Gong) ;
  • Enchaînement Dong Jia et Ying Chieh Kwai Chuan, propres à la famille Tung ;
  • Etc. ...
    Voir aussi

Article connexe

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9.
Tai Chi Chuan (Tung family version of Yang slow set) Vidéo 16:00 - 21 mai 2017 markyhellman

Yang slow set, performed by Master Tung Kai Ying (Los Angeles). Turn on subtitles (CC) to see the name of each movement. Note : This video is 30% sped up from the original recording. FIRST SECTION 00:00 - 1. Preparation 00:02 - 2. Starting movement 00:16 - 3. Embracing the peacock’s tail 00:52 - 4. Single whip 01:07 - 5. Close hands 01:12 - 6. White crane spreads its wings 01:22 - 7. Brush left knee and push 01:33 - 8. Play the guitar 01:38 - 9. Brush left knee and push 01:44 - 10. Brush right knee and push 01:51 - 11. Brush left knee and push 01:59 - 12. Play the guitar 02:04 - 13. Brush left knee and push 02:11 - 14. Step forward and punch 02:24 - 15. Retreat and seal 02:34 - 16. Cross hands SECOND SECTION 02:42 - 17. Carry tiger and return to the mountain 03:10 - 18. Fist under elbow 03:32 - 19. Step back and repulse monkey 03:51 - 20. Slanted flying 03:58 - 21. Close hands 04:04 - 22. White crane spreads wings 04:12 - 23. Brush left knee and push 04:20 - 24. Needle at the bottom of the sea 04:28 - 25. Raise arms and push 04:32 - 26. Fist near the waist 04:44 - 27. Step forward and punch 04:55 - 28. Embrace the peacock’s tail 05:20 - 29. Single whip 05:35 - 30. Cloud hands 05:58 - 31. Single whip 06:05 - 32. High pat on horse 06:10 - 33. Right side kick 06:20 - 34. Left side kick 06:28 - 35. Turn back and heel kick 06:35 - 36. Brush left knee and push 06:39 - 37. Brush right knee and push 06:45 - 38. Step forward and punch down 06:50 - 39. Fist near the waist 07:01 - 40. Step forward and punch 07:12 - 41. Twist body and right heel kick 07:22 - 42. Strike the tiger 07:33 - 43. Sit back and right heel kick 07:39 - 44. Double wind through the ears 07:48 - 45. Left heel kick 07:52 - 46. Turn around and right heel kick 07:59 - 47. Step forward and punch 08:04 - 48. Retreat and seal 08:12 - 50. Cross hands THIRD SECTION 8:20 - 50. Carry tiger and return to the mountain 8:46 - 51. Diagonal single whip 8:59 - 52. Part the wild horse’s mane (3x) 9:18 - 53. Embracing the peacock’s tail 9:41 - 54. Single whip 9:55 - 55. Fair lady works the shuttle (1st corner) 10:02 - 55. Fair lady works the shuttle (2nd corner) 10:10 - 55. Fair lady works the shuttle (3rd corner) 10:17 - 55. Fair lady works the shuttle (4th corner) 10:26 - 56. Embracing the peacock’s tail 10:54 - 57. Single whip 11:06 - 58. Cloud hands 11:29 - 59. Single whip 11:34 - 60. Single whip lower posture 11:40 - 61. Golden rooster stands on one leg 11:48 - 62. Step back and repulse monkey 12:02 - 63. Slanted flying 12:11 - 64. Close hands 12:14 - 65. White crane spreads its wings 12:22 - 66. Brush left knee and push 12:30 - 67. Needle at the bottom of the see 12:35 - 68. Raise arm and push 12:40 - 69. White snake flicks tongue 12:53 - 70. Step forward and punch 13:04 - 71. Embracing the peacock’s tail 13:25 - 72. Single whip 13:38 - 73. Cloud hands 14:00 - 74. Single whip 14:07 - 75 . High-pat the horse 14:10 - 76. Thrust out palm 14:13 - 77. Turn around and cross-kick 14:18 - 78. Step forward and punch groin 14:24 - 79. Embracing the peacock’s tail - with pull back 14:45 - 80. Single whip 14:58 - 81. Single whip lower posture 15:02 - 82. Step forward and cross punch 15:05 - 82. Step over the tiger 15:12 - 83. Turn around and slap lick 15:19 - 85. Draw bow and shoot tiger 15:25 - 86. Step forward and punch 15:36 - 87. Retreat and seal 15:43 - 88. Cross hands 15:52 - 89. Ending movement - Catégorie : Musique

Source : https://www.youtube.com/watch?v=zpgLhcCePJs

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Annexe 1 – Les défenses immunitaires


Contenu de l’annexe sur les défenses immunitaires :

A. Santé - Système immunitaire selon ‘Futura Sciences’

B. Système immunitaire d’après Wikipédia

C. Sept astuces pour renforcer ses défenses immunitaires

D. Six gestes qui protègent autrement - Communiqué de ‘Villa Amara’ d’Aix-en-Provence 13

A.
Santé - Système immunitaire selon ‘Futura Sciences’

Le système immunitaire correspond à l’ensemble des mécanismes de défenses de l’organisme. Il en existe deux types : innée et acquise. On appelle réponse immunitaire le déclenchement du système immunitaire face à une maladie.

La réponse innée ou non spécifique

La réponse non spécifique, qui constitue l’immunité innée, agit en ne tenant pas compte du type de maladie qu’elle combat. Elle constitue la première ligne de défense face à une infection. Plusieurs types de mécanismes interviennent au cours de cette réponse :

  • les barrières physiques telles que la peau et les muqueuses ;
  • l’inflammation ;
  • les cellules de l’immunité innée : ces cellules réalisent la phagocytose, c’est-à-dire qu’elles détruisent les corps étrangers de manière non spécifique. Les cellules de l’immunité innée comprennent entre autres les macrophages et les neutrophiles ;
  • le complément : il s’agit d’un groupe de protéines qui joue un rôle dans l’immunité.
    Les globules blancs ou leucocytes sont les cellules de l’immunité. Certaines ont une action non spécifique (comme les macrophages), et d’autres une action spécifique, comme les lymphocytes. © Anne Weston, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0 

La réponse acquise ou spécifique

Cette réponse fait intervenir des cellules spécialisées appelées lymphocytes. Il en existe deux classes :

  • les lymphocytes B : ils sont responsables de la production d’anticorps. Lorsqu’ils rencontrent un agent infectieux, ils produisent des anticorps spécifiques dirigés contre celui-ci. Ces anticorps sont des protéines capables de se fixer sur les protéines étrangères et de détruire le pathogène. On les appelle également immunoglobulines ;
  • les lymphocytes T : ils peuvent détruire directement les particules étrangères. Ils sont produits dans le thymus.
    Il existe des lymphocytes T et B dits à mémoire. Ces derniers gardent le souvenir d’un agent pathogène. Si cet agent infecte une nouvelle fois l’organisme, la réponse engendrée sera beaucoup plus rapide. C’est sur cette propriété du système immunitaire que sont basés les vaccins.

Source : https://www.futura-sciences.com/sante/definitions/medecine-systeme-immunitaire-2722/

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B. Système immunitaire d’après Wikipédia

Photo : un lymphocyte, principale composante du système immunitaire humain.

Le système immunitaire1 (parfois appelé système lymphatique) d’un organisme est un système biologique constitué d’un ensemble coordonné d’éléments de reconnaissance et de défense qui discrimine le soi du non-soi. Il est hérité à la naissance, mais autonome, adaptatif et doué d’une grande plasticité, il évolue ensuite au gré des contacts qu’il a avec des microbes ou substances environnementales étrangères au corps2.

Ce qui est reconnu comme non-soi est détruit, comme les agents pathogènes : virus, bactéries, parasites, certaines particules ou molécules « étrangères » (dont certains poisons). Le système immunitaire est responsable du phénomène de rejet de greffe3.

On dénombre plusieurs types de systèmes immunitaires parmi les espèces animales, et généralement plusieurs mécanismes immunitaires collaborent au sein d’un même organisme. De nombreuses espèces, dont les mammifères, utilisent la variante décrite ci-après.

Les principaux effecteurs du système immunitaire sont les cellules immunitaires appelées leucocytes (ou globules blancs) produites par des cellules souches, au sein de la moelle osseuse rouge.

Il existe deux grands types de mécanismes de défense :

  • les mécanismes de défense non spécifique ou innée ou naturelle, comme la protection de la peau et les muqueuses, l’acidité gastrique, les cellules phagocytaires ou les larmes ;
  • les mécanismes de défense spécifique, comme l’action dirigée des lymphocytes et la production d’anticorps spécifiques.
    On appelle réponse immunitaire l’activation des mécanismes du système immunitaire face à la reconnaissance de non-soi, agressive ou pas, face à une agression ou à une dysfonction de l’organisme.

L’ensemble de ces systèmes (y compris chez l’humain lors de la vaccination) permet la résilience immunitaire, notion qui recouvre la somme des mécanismes efficaces de défense d’un organisme vis-à-vis d’un agent pathogène (du grec pathos : souffrance) ; il se dégrade avec l’âge (Immunosénescence).

Sommaire

L’organisme se défend contre les dysfonctions de ses cellules et les agressions, c’est-à-dire des processus qui ont pour conséquence de détruire des êtres vivants. Ces agressions peuvent revêtir différentes formes :

  • des agressions dites physico-chimiques :
    • mécaniques (frottements, chocs, chutes, etc.),
    • facteurs climatiques (altitude, changement brusque de température, rayonnements, sécheresse, poussières, etc.),
    • agression par des agents chimiques (acides, bases, etc.) ou autres éléments (aluminium, etc.) ;
  • des agressions par d’autres êtres vivants : un organisme constitue pour un autre organisme un endroit idéal pour le développement de ses propres cellules et aussi pour un certain nombre de micro-organismes qui pourraient y proliférer, il s’agit alors d’une infection. Les agresseurs dans ce cas peuvent être :

Article détaillé : système immunitaire inné.

Barrières physiques

  • La peau est le premier, le plus grand et le plus important élément du système de défense : il prévient l’entrée de la plupart des corps étrangers. Les personnes qui perdent trop de peau, par brûlure par exemple, risquent de succomber à des infections. Pour éviter cela, elles sont placées dans des chambres hospitalières maintenues aussi stériles que possible.
  • Les muqueuses (ou tissus continus) qui recouvrent les voies oro-pharyngiennes et digestives, les voies respiratoires et urogénitales constituent également une barrière physique. Les cellules très étroitement juxtaposées sont imperméables à la plupart des agents infectieux. En surface de certaines muqueuses, un film de mucus animé par les battements de cils vibratiles permet de fixer, enrober puis évacuer vers l’extérieur la plupart des particules ou êtres vivants intrus.
  • Les cellules possèdent divers systèmes « passifs » de défense chimiques et biochimiques (enzymes, acides gras, acide lactique, pH du corps, etc.).
  • La peau et les muqueuses sont recouvertes d’une flore bactérienne dite « normale » qui protège, souvent par concurrence, des micro-organismes pathogènes.
    Cellules phagocytaires

Les leucocytes phagocytaires ou phagocytes sont des cellules immunitaires qui reconnaissent les microorganismes grâce à de nombreux récepteurs cellulaires présents à leur surface. Ces récepteurs permettent aux phagocytes de reconnaître certaines structures présentes à la surface des microorganismes infectieux et d’internaliser ces derniers à l’aide d’une vacuole digestive. Par la suite, ils fusionnent la vacuole contenant les microbes avec un lysosome. Les lysosomes peuvent contenir des formes toxique d’oxygène comme du monoxyde d’azote (NO) ou du peroxyde d’hydrogène (H2O2), et ils peuvent aussi contenir du lysozyme et d’autres enzymes digestives qui dégradent des structures microbiennes4. Il existe 4 types de leucocytes phagocytaires :

  • Les granulocytes neutrophiles représentent 60 à 70 %[réf. nécessaire] des leucocytes. Ils pénètrent dans les tissus infectés pour phagocyter les microbes présents et les détruire. Généralement, les granulocytes neutrophiles s’autodétruisent en même temps qu’ils détruisent les microbes. Ils ont normalement une espérance de vie de seulement quelques jours.
  • Les monocytes, représentent 5 % des leucocytes. Ils circulent dans le sang et migrent vers un tissu où ils se transformeront par la suite en macrophages. Les macrophages ont une plus grande capacité de phagocytose que les granulocytes neutrophiles, et lorsqu’ils phagocytent un microorganisme des voies cellulaires internes les stimulent, ce qui les rend plus efficaces dans leurs tâches.
  • Les granulocytes éosinophiles sont présents en très petite quantité dans l’organisme. Ils ont une faible capacité de phagocytose, mais ils sont essentiels dans le combat de parasites présents dans l’organisme. Ils se lient à la paroi du parasite et libèrent des enzymes qui vont causer des dommages importants à celui-ci.
  • Les cellules dendritiques sont des cellules présentatrices d’antigènes. Leur rôle est de capturer un microbe au site d’infection, de migrer vers les tissus lymphoïdes et de présenter les antigènes du microbe aux lymphocytes T à l’aide d’une molécule de CMH de type II. Ce type de molécule joue un rôle très important dans la réaction immunitaire primaire4.
    Système du complément

Le système du complément est un ensemble de protéines faisant partie de l’immunité non spécifique et agissant par une cascade protéolytique. Elles se situent dans le plasma sanguin, où elles vont combattre l’infection. Normalement inactives, elles seront activées par des substances présentes à la surface de beaucoup de pathogènes. La cascade de réactions qu’elles entraînent va mener à la destruction des cellules étrangères.

La pierre angulaire de ce système est la protéine C3b. Elle permet :

  • d’opsoniser les bactéries et permettre ainsi la fixation des macrophages à leurs surfaces ;
  • de recruter le CAM (« complexe d’attaque de la membrane des bactéries »).
    On arrive à la protéine C3b du complément de 3 façons différentes :
  • par la voie dite classique : la cascade est déclenchée par la liaison de l’anticorps (lié à l’antigène) à la première protéine du complément C1 ;
  • par la liaison d’une protéine spécifique à un sucre se trouvant à la surface de la bactérie ;
  • par la liaison du facteur B à une C3b déjà insérée dans la membrane bactérienne. C’est la voie alternative.
    Réaction inflammatoire

Article détaillé : Inflammation.

La réaction inflammatoire donne des symptômes qui sont causés par la libération de médiateurs chimiques. C’est l’histamine qui est le plus actif dans l’inflammation. Libéré par des mastocytes situés dans le tissu conjonctif, il va provoquer la dilatation des vaisseaux. Les quatre signes de l’inflammation sont : rougeur, chaleur, douleur et œdème.

    • La chaleur et la rougeur sont dues à la vasodilatation (augmentation du diamètre) des capillaires et au ralentissement de la circulation du sang. C’est la libération de cytokines par les macrophages et neutrophiles qui va augmenter l’apport de sang aux tissus lésés, et donc créer cette rougeur et sensation de chaleur.
    • La douleur est due à la pression des fibres nerveuses
    • L’œdème est dû à l’exsudation du plasma
  • La réaction inflammatoire :
    • réaction vasculaire
    • réaction cellulaire
  • Les phagocytes et lymphocytes T cytotoxiques :
    • les leucocytes phagocytaires
    • les lymphocytes T cytotoxiques
  • Les protéines antimicrobiennes (défense humorale).
    Système lymphatique

Les globules blancs passent la majeure partie de leur temps hors du système circulatoire, et patrouillent dans le liquide interstitiel des cellules où se déroulent la plupart des luttes contre les agents pathogènes. Certains macrophages résident en permanence dans les organes (poumons, foie) ou dans le système lymphatique.

Le système lymphatique comprend divers organes (thymus, moelle osseuse, rate, amygdales, appendice et ganglions lymphatiques) qui jouent un rôle important dans le système immunitaire. Le Tissu lymphoïde du tube digestif est quantitativement le plus important ; réparti dans plusieurs organes du tractus digestif il joue un rôle essentiel pour la défense de l’organisme contre les organismes extérieurs.

Les capillaires lymphatiques drainent une partie du liquide interstitiel qui baigne les tissus. Le liquide, alors appelé lymphe, finit par retourner dans la circulation sanguine via le canal thoracique. Sur son parcours, la lymphe traverse de nombreux ganglions lymphatiques dans lesquels tout agent pathogène rencontre des globules blancs.

Mécanismes de défense spécifique (adaptative)

Article détaillé : système immunitaire adaptatif.

  • Spécificité
  • Reconnaissance du soi et du non-soi :
    • Le soi d’un individu est défini par des récepteurs du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH, nommé HLA chez l’humain) présents sur la membrane de ses cellules, associés aux fragments peptidiques qu’ils présentent. Il existe deux types de molécule de CMH : le CMH de type I qui est présent chez presque toutes les cellules de l’organisme et le CMH de type II qui est retrouvé principalement chez les cellules dendritiques, les macrophages et les lymphocytes B.
    • Le non-soi d’un individu est défini par des récepteurs cellulaires ou toute autre molécule différente du soi qui sont ainsi reconnus comme étrangers par notre organisme. Le non-soi déclenche une réaction immunitaire. La reconnaissance du non-soi se calque sur celle du soi, y compris au sein des liquides circulant extracellulaires, lymphatiques, veineux, artériels mais aussi des différents mucus (cf. supra). Les immunoglobulines portées par les membranes des globules blancs et les immunoglobulines dissoutes se fixent sur les molécules présentes dans ces différents liquides. En l’absence de molécule HLA, et si cette molécule est inconnue, le système immunitaire la reconnaît comme du non-soi et déclenche une cascade de réaction destinée à la détruire... Une des limites d’efficacité et de sensibilité du système immunitaire repose donc sur la spécificité de la distinction entre le soi et le non-soi. Par exemple, les lymphocytes et les plasmocytes ne pénètrent pas dans certains tissus comme ceux du cerveau ou de la thyroïde, ils ne les reconnaissent donc pas comme du soi. Qu’une inflammation s’y installe, ou que ces cellules entrent à leur contact, et ils les identifieront comme du non-soi, puis ils sécrèteront des anticorps qui s’y fixeront pour les détruire et qui initieront ainsi une réaction dite auto-immune qui ira en s’amplifiant.
      De même que, si les molécules présentes à la surface des agents pathogènes ou des cellules cancéreuses proviennent du soi ou en sont suffisamment proches, le système immunitaire les considèrera comme du soi et ne déclenchera pas de réaction immunitaire. Le problème est similaire pour les muqueuses où la frontière entre le soi et le non-soi est très ténue. Des molécules habituellement bien tolérées peuvent donc y devenir allergisantes quand elles pénètrent dans des espaces d’où elles devaient être absentes.

Immunité humorale

Article détaillé : immunité humorale.

Le système immunitaire humoral agit contre les bactéries et les virus dans les liquides du corps humain (tels que le sang en sécrétant des substances susceptibles d’aider à la destruction des agents pathogènes- historiquement le sang et la lymphe étaient nommés les humeurs du corps). Ses principaux moyens d’action sont les immunoglobulines, aussi appelées anticorps. Les anticorps sont des molécules ayant une forme de « Y » formées de quatre chaînes polypeptidiques : deux chaînes légères (environ 200 acides aminés chacune) et deux chaînes lourdes (environ 450 acides aminés chacune)4. Il existe 5 classes d’anticorps : les IgM, les IgG, les IgA, les IgE et les IgD. Les IgM sont les premiers anticorps à être produits lorsque le corps reconnaît un nouvel antigène. Ceux-ci se retrouvent dans le corps sous forme de pentamère et ils sont très efficaces pour activer le complément. Les IgG sont la classe d’anticorps la plus retrouvée dans le sang, c’est aussi la seule classe d’anticorps qui peut traverser le placenta et donner au fœtus une immunité passive. Ces anticorps favorisent l’opsonisation (marquage de l’antigène pour qu’il soit phagocyté), la neutralisation (empêcher les microbes de se lier au cellules de l’hôte) et l’agglutination (formations d’agrégat de microbes qui sont facilement phagocytés) des antigènes. Les IgA se retrouvent dans les sécrétions (salive, larme, mucus, etc.) sous la forme de dimères. Cette classe d’anticorps permet la neutralisation et l’agglutination d’antigène. De plus, la présence de ce type d’anticorps dans le lait de la femme permet aux nouveau-nés de recevoir une immunité passive durant la période d’allaitement. Les IgE sont les anticorps impliqués dans les réactions allergiques puisqu’ils provoquent la libération d’histamine et d’autres substances impliquées dans ce genre de réaction par les granulocytes basophiles. Finalement, les IgD sont retrouvés à la surface des lymphocytes B dits « naïfs » (qui n’ont pas encore été exposés à un antigène) et servent de récepteurs cellulaires à ceux-ci. Contrairement aux quatre autres classes d’anticorps, les IgD ont une région transmembranaire qui leur permet de se fixer à la membrane cellulaire des lymphocytes B4. Les quatre premières classes d’anticorps sont produites par les plasmocytes qui sont l’« évolution » des lymphocytes B (B car les lymphocytes B ont été découverts chez l’oiseau dans la bourse de Fabricius ; par la suite le « B » fut conservé car bone marrow, (la moelle osseuse en anglais) correspond au lieu de maturation de ces cellules à la suite de la reconnaissance par certains de leurs récepteurs membranaires d’interleukine (molécule chimique permettant le clonage des LB et leur différenciation) produite par les lymphocytes T4).

Notons l’existence d’une maladie impliquant le système immunitaire adaptatif. Il s’agit du Bare Lymphocytes Syndrome (BLS). Les patients souffrant de cette maladie ne peuvent présenter d’antigène à la surface des cellules présentatrices d’antigène et il ne peut donc pas y avoir production d’anticorps. Cette maladie a notamment permis des avancées en biologie moléculaire en permettant l’identification par complémentation d’un facteur de transcription essentiel, le transactivateur de classe II (CIITA).

Immunité cellulaire

Article détaillé : immunité cellulaire.

Le système immunitaire cellulaire s’occupe des cellules infectées par des virus, bactéries, et les cellules cancéreuses. L’action s’effectue via les lymphocytes T (T parce que ces cellules mûrissent dans le thymus après leur naissance dans la moelle osseuse). Les lymphocytes T sont capables d’interagir avec les cellules de l’organisme grâce à leurs récepteurs cellulaires formés de deux chaînes polypeptidiques : la chaîne α (alpha) et la chaîne β (bêta). Ces récepteurs sont tout aussi spécifiques aux antigènes que les anticorps ou que les récepteurs de lymphocytes B, mais, contrairement aux anticorps et aux récepteurs de lymphocytes B, les récepteurs de lymphocytes T ne reconnaissent que de petits antigènes qui doivent être présentés par une molécule de CMH à la surface d’une cellule infectée4. On distingue deux grandes familles de Lymphocytes T :

  • les lymphocytes T cytotoxiques (Tc). Ces lymphocytes sont munis de la protéine de surface CD8 qui permet au récepteur de lymphocytes T de se lier aux molécules de CMH de type I. En effet, la liaison de CD8 sur le côté de la molécule de CMH permet de garder le lymphocyte T et la cellule infectée liés plus longtemps, ce qui favorise l’activation du lymphocyte. Une fois activé, le lymphocyte T cytotoxique libère des protéines, comme la perforine ou des granzymes qui provoquent la formation de pores dans la paroi cellulaire de la cellule infectée, entraînant sa mort. Cela a pour effet de priver le pathogène d’un lieu de reproduction et de l’exposer aux anticorps et aux leucocytes phagocytaires qui circulent dans la région infectée4 ;
  • les lymphocytes T auxiliaires (Th). Ces lymphocytes sont munis de la protéine de surface CD4, ce qui permet à leur récepteur d’interagir avec des cellules exprimant une molécule de CMH de type II (cellules présentatrices d’antigènes). La protéine CD4 fonctionne de la même manière que la CD8, et permet comme elle de favoriser l’activation du lymphocyte. Lorsqu’un lymphocyte T auxiliaire est activé, il libère des cytokines qui stimulent les autres lymphocytes et facilitent leur activation (elles facilitent la réaction humorale et cellulaire)4.
    Aux lymphocytes T s’ajoutent aussi les lymphocytes NK (natural killer). Ces cellules sont impliquées dans une réponse à mi-chemin entre spécifique et non spécifique, selon les situations. Ils jouent notamment un rôle en début de grossesse, le fœtus devant se protéger contre elles pour pouvoir survivre dans le ventre de sa mère.

Mémoire immunologique

Chaque individu acquiert en vieillissant une « mémoire immunologique »2. Elle conserve un certain temps les traces de « lutte » passée contre des pathogènes ou parasites, et des cellules spécifiques, permettant une réaction immunitaire plus rapide et efficace. Cette mémoire se constitue de manière naturelle, ou à l’aide de vaccins mais semble se dégrader avec l’âge (phénomène d’immunosénescence).

En effet, l’exposition antérieure à un antigène modifie la vitesse, la durée, et l’intensité de la réaction immunitaire. La réaction immunitaire première consiste en la production de cellules effectrices des lymphocytes lors d’une première exposition à l’antigène. Lors d’une seconde exposition au même antigène, la réaction immunitaire secondaire sera plus rapide et efficace car l’organisme aura conservé en mémoire certains lymphocytes de la première attaque. C’est le principe de la vaccination : on injecte un antigène à la personne pour qu’elle se crée une « mémoire humorale », qui sera directement efficace lors d’une éventuelle attaque ultérieure.

Une étude en 20152, basée sur la comparaison de la santé de « vrais » et « faux » jumeaux (210 jumeaux au total, de 8 à 82 ans, suivis pour plus de 200 paramètres de leur système immunitaire, ce qui est une première en nombre de paramètres d’intérêt immunologique), confirme qu’après la naissance, l’environnement a plus d’effets que nos gènes sur le fonctionnement et l’efficacité de notre immunité, notamment via l’exposition antérieure de l’organisme à des agents pathogènes (et/ou à des vaccins)2. Les réponses différentes des vrais jumeaux à la vaccination anti-grippale montrent aussi que les réactions (production d’anticorps) ne dépendent pratiquement pas des traits génétiques mais presque entièrement de l’éducation immunitaire de chacun, et donc de nos relations antérieures à l’environnement microbien et parasitaire (dans ce cas liées à des contacts précédents avec diverses souches du virus de la grippe2). Face au cytomégalovirus, qui sommeille dans une fraction importante de la population humaine (ne causant que rarement des symptômes), les conclusions sont les mêmes2.

Enjeux d’une conception intégrative de l’immunité

Bien qu’une analyse de l’immunité en facilite la compréhension, dans la réalité il existe une synergie des différentes composantes de son système. En effet, la vie perpétue des échanges incessants avec son environnement. En rejetant ses déchets dans le monde qui l’entoure et en s’appropriant ses informations, son énergie et sa matière, elle s’efforce de subsister, voire de croître et de se reproduire. Le non-soi devient alors du soi et le soi du non-soi. Chez les organismes complexes, ces frontières sont parfois difficiles à préciser. Ainsi les aliments appartiennent au non-soi et, grâce à la mastication et aux autres processus de la digestion ils se transforment en partie en soi, sauf pour les déchets qui sont éliminés principalement via les excréments, l’urine et moindrement via l’expiration, la peau et les phanères. Les molécules libérées constituants un excellent milieu de développement pour certaines autres formes de vie, le système immunitaire digestif est très efficace et il semble que plus de 70 % des anticorps de l’organisme y soient synthétisés. D’ailleurs, au cours des conjonctivites et des rhinopharyngites, les sucs digestifs de l’estomac coupent les virus et les microbes en petits morceaux qui, en dehors des repas, sont présentés aux globules blancs du système digestif pour qu’ils synthétisent les anticorps appropriés. Qu’une des étapes de ce processus soit perturbée et l’immunité tarde à se mettre en place ou réagit excessivement (ex : « tempête de cytokines »). Ainsi, en 2004, Liuzzi et al. ont démontré que le pancréas et l’intestin grêle étaient les organes de l’homéostasie du zinc. Or, cet oligoélément joue un rôle primordial dans la digestion des aliments, des microbes, des virus, etc. De même l’immunité diminue lors des carences en vitamine D, et l’équilibre entre l’inflammation et la cicatrisation repose sur le ratio des apports en acides gras saturé/acides gras insaturés, etc. De plus, au cours de l’allergie, la présence de certaines molécules dans des territoires où elles ne devraient pas être déclenche des réactions pathologiques.

La meilleure compréhension des mécanismes globaux de l’immunité pourrait peut-être à l’avenir permettre de réduire les problèmes de rejet de greffe car la compatibilité entre un receveur et un donneur ne provient pas que de l’ADN, mais aussi d’enzymes et de facteurs d’immunité qu’on commence à rechercher dans le domaine de la biologie adaptative (via l’immunoséquencage notamment5,6,7). À l’échelle d’une vie, l’évolution du système immunitaire peut être comparée aux mécanismes complexes en jeu à d’autres échelles dans l’évolution adaptative. De même des vaccins plus personnalisés pourraient être imaginés.

Maladies du système immunitaire

Le système immunitaire peut se dégrader en réagissant excessivement ou insuffisamment.

S’il s’attaque aux cellules de l’organisme qui ne sont pas pathologiques (par mauvaise reconnaissance), il va alors se créer une maladie auto-immune qui va se caractériser par une inflammation continue de certains tissus ou par la nécrose complète de certains tissus (par exemple le diabète de type I).

S’il y a un défaut du système immunitaire, dans ce cas les pathogènes ou les cancers pourront se développer plus aisément.

Article complet avec notes et références sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_immunitaire

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C.

Sept astuces pour renforcer ses défenses immunitaires

Automne et hiver sont des saisons où la circulation des virus est forte. Pour renforcer vos défenses immunitaires et éviter de tomber malade, suivez les conseils de nos experts.

Sommaire

Miser sur les probiotiques

« On peut optimiser ses défenses immunitaires, c’est prouvé scientifiquement », affirme le Dr Eric Lorrain, phytothérapeute.

Or, 70 % de notre système immunitaire se trouvent dans l’intestin.

D’où l’idée de faire une cure de probiotiques (lactobacilles) pour renforcer sa muqueuse intestinale, avant que la circulation des virus ne s’intensifie, en particulier si l’on est âgé ou affaibli par beaucoup de stress, une ancienne bronchite ou une maladie chronique comme le diabète.

Une étude a ainsi montré que prendre un mélange de lactobacilles, tous les jours pendant 12 semaines, réduit le risque d’attraper un rhume. On les trouve dans les yaourts, à raison de 1 à 2 par jour, ou dans les compléments alimentaires.

Boire un verre de jus d’orange frais

Y penser chaque matin pour garder la forme :

« , mais aussi de thiamine, un acide aminé, de folates, vitamines du groupe B, de potassium et de sucres qui donnent de l’énergie pour commencer la journée », souligne le Dr Philippe Goeb, consultant en thérapie naturelle.

Le mieux est de presser quelques oranges ; on peut conserver son jus d’orange deux, trois jours au réfrigérateur, les pertes en vitamines sont faibles.

Se défatiguer avec le magnésium

Certaines études indiquent que le chlorure de magnésium stimule les globules blancs. Mais c’est surtout pour son action antifatigue que le Dr Philippe Goeb le conseille.

Il privilégie les aliments qui en contiennent :

  • le beaufort,
  • les sardines à l’huile,
  • les fruits de mer,
  • les escargots,
  • le cacao,
  • le café,
  • le chocolat noir à 70 % de cacao,
  • les noix de cajou,
  • les amandes,
  • les épices (graines de cumin, de coriandre, curry, gingembre moulu…),
  • les pains et riz complets,
  • le tofu.
    A lire aussi : Comment savoir si vous êtes en manque de magnésium

Dormir suffisamment

Une nuit blanche suffit à affaiblir le système immunitaire, car elle réduit le nombre d’une certaine famille de globules blancs.

Même si le temps de sommeil reste une donnée propre à chacun, les médecins recommandent tout de même de dormir au moins 7 à 8 heures.

Faire des pauses pour déstresser

Yoga, jardinage, lecture, ciné, sorties ou repas entre amis… La nature de l’activité importe peu. Ce qui compte, c’est de se détendre car le stress, la fatigue et le surmenage affaiblissent le système immunitaire.

Pratiquer une activité physique régulière

Un exercice modéré, c’est-à-dire 30 à 60 minutes de marche par jour, la plupart des jours de la semaine, est bénéfique et immunostimulant. Il réduit le risque d’infections respiratoires d’environ 40 %.

Pour autant, n’en faites pas trop, un exercice intense et prolongé peut affaiblir le système immunitaire, facilitant l’entrée et la multiplication des virus dans l’organisme (Collège américain des médecins du sport).

Faire le plein de vitamine D

Elle active des globules blancs (lymphocytes T) nécessaires pour fabriquer des anticorps et détruire les microbes. Dans l’alimentation, on en trouve surtout dans les poissons gras :

  • foie de morue et son huile,
  • harengs fumés,
  • maquereaux,
  • sardines,
  • anchois…
    Le Dr Lorrain conseille aux femmes ménopausées et aux personnes âgées qui, dans leur grande majorité manquent de vitamine D, de prendre une dose plus importante, trois à quatre fois la dose journalière recommandée (1 000 unités), sous forme de médicaments ou de compléments alimentaires. Deux formes sont les plus courantes, la D2, d’origine végétale, et la D3, d’origine animale. Inutile de préférer l’une plutôt que l’autre, il y a peu de différences d’efficacité selon les travaux actuels.

A lire aussi : Vitamine D : comment combler vos besoins

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Source : https://www.santemagazine.fr/alimentation/nutriments/7-astuces-pour-renforcer-ses-defenses-immunitaires-170662

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D.
Six gestes qui protègent autrement - Communiqué de ‘Villa Amara’ d’Aix-en-Provence 13

Conformément aux mesures prises par le gouvernement en matière de lutte contre la propagation du Coronavirus Covid-19, les cours de Yoga sont pour le moment suspendus. En attendant d’avoir le plaisir de vous accueillir à nouveau, nous vous proposons de découvrir « 6 gestes qui protègent autrement ».

En effet, les consignes sanitaires largement diffusés en ce moment de crise se concentrent sur des mesures préventives utiles qui incluent le lavage des mains, l’utilisation de désinfectants et le fait d’éviter tous contacts avec les personnes malades, mais elles ignorent souvent une autre partie importante pour faire barrage aux virus et agresseurs - renforcer son propre système immunitaire !

Tout en vous tenant informé de l’évolution de la situation, il est important de gérer tout stress ou anxiété qui peut survenir, car le stress réduit l’immunité aux maladies. La bonne nouvelle est qu’il y a des gestes simples et efficaces qui soutiennent votre santé.

Une vie bien rythmée

L’ayurvéda, médecine traditionnelle indienne, insiste sur la puissance salutaire de vivre en harmonie avec votre corps et de son rythme circadien. Cela veut dire que votre corps adore la routine—se lever à la même heure chaque jour, manger à des heures fixes, se coucher à la même heure (idéalement 22h30) et dormir au moins 7-8 heures par nuit. Une bonne qualité du sommeil est connue pour stimuler les cellules T qui nous aident à combattre les maladies, en particulier les maladies virales.

Respiration relaxante

Assis sur une chaise, les deux pieds à plat au sol, fermez les yeux et respirez profondément par le nez en comptant jusqu’à 5 ou plus selon vos capacités, puis expirer par le nez le plus lentement possible en comptant jusqu’à 10 ou plus selon vos capacités (qui vont s’accroitre avec la pratique). Si la respiration est abdominale, c’est encore mieux. 

Laissez venir une sensation de relâchement ou de fonte, comme si toute la tension quittait le corps, fondant comme la neige. Petit à petit même la peau se déstresse et vous aurez la sensation que votre front s’élargisse et vos yeux s’écartent.

Cette respiration stimule le système parasympathique, qui favorise détente et régénération, et baisse le taux des corticoïdes, hormones du stress.

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Contemplation de la nature

Quelques minutes passées à contempler la perfection de la nature—un arbre, même vu par la fenêtre, un bouquet de fleur ou une plante d’intérieur—vous permet d’accéder à un état que les neuroscientifiques appellent la « fascination douce » pendant lequel le cortex du cerveau se calme, relâche le stress pour le remplacer d’une créativité accrue.

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Méditation

La méditation, dont les effets anti-stress sont largement documentés, modifie également la régulation de certains gènes, liés, entre autres, à l’inflammation. La pratique qui vous soutient corps et esprit par excellence.

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Exercice quotidien

Trop de monde dans les salles de sport, peu importe. L’essentiel est de bouger—jogging, vélo, randonnée, marche, stretching ou mieux encore, 20 minutes de yoga. Le stress baisse et tous les systèmes du corps se renforcent—respiratoire, circulatoire, digestif, hormonal – tous favorisant une santé tonique.

Alimentation saine

On attend tellement de choses, souvent contradictoires, concernant ce qui constitue une « alimentation saine ». Le ‘Chopra Center’, dans la tradition de l’ayurvéda, recommande une alimentation simple (produits bruts), varié, de saison et bio.

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Le (Optimum Health Center(, situé en Californie et dans le Texas, documente des guérisons fréquentes de maladies chroniques, cancer et autres à travers l’alimentation. Ayant fait une cure moi-même à OHI, j’atteste de la puissance de la méthode qui est, tout de même, radicale, basée sur une alimentation crue et germée, le jus de l’herbe de blé et un exercice quotidien doux. Pour ceux qui suivaient le régime « guérison » il y avait suppression totale de sucres, même des fruits. Smoothies de légumes bio, sans sucre, sans fruits – rien de mieux pour libérer tout le potentiel de guérison de l’organisme.

Patience et courage - Prenez soin de vous - Villa Amara 19 cours des Arts et Métiers 13100 Aix-en-Provence France - +33 (0)4 42 27 14 14 - yoga@villa-amara.fr - {{}}contact@villa-amara.fr

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Annexe 2 - Articles sur le Qi Gong et le Taï Chi Chuan postés sur le site ISIAS

’Arts martiaux internes Le Chi Gong chinois (Qi Gong气功ou氣功) des huit trigrammes’ par Jacques Hallard lundi 13 août 2018 par Hallard Jacques - français

’Initiation aux pratiques du Chi-Gong et du Taï-chi-Chuan ainsi qu’à la philosophie chinoise à partager en famille, entre amis et entre voisins’ par Jacques Hallard & Laure Roux Lodreulamo mardi 29 août 2017 par Hallard Jacques, Roux Lodreulamo Laure - français

’Comment cultiver la tolérance face aux intolérances ? 2. La tolérance vécue d’après certaines traditions asiatiques’ par Jacques Hallard vendredi 14 août 2015 par Hallard Jacques - français

’Comment l’esprit humain fait varier l’expression de nos gènes par la pratique de la méditation’ par la Dr Mae-Wan Homardi 28 juillet 2015 par Ho Dr Mae-Wan - français

’Des médicaments utilisables contre le cancer proviennent de la médecine traditionnelle chinoise’ vendredi 30 septembre 2016 par isias - français

’Pratique des arts martiaux internes au bord de l’étang’ par Jacques Hallard samedi 31 mars 2018 par Hallard Jacques - français

Présentations d’arts martiaux internes par Jacques Hallard le 10 mars 2019 à Eygalières 13 Bouches-du-Rhône mardi 19 février 2019 par Hallard Jacques - français

Séance de Chi Gong par le ’maître’ Jacques Hallard à Eygalières 13. Dimanche matin 10 mars 2019 - Initiation ou confirmation à cette gymnastique chinoise dans un cadre (place des ‘Pago Tard’) et un paysage sublimes... – ’Dans une perspective plus large, « qi gong » signifie « méthode et efficience du souffle » et regroupe des techniques traditionnelles de gymnastique, de respiration, de méditation, de visualisation, de transe, de guérison charismatique et de combat qui proviennent de contextes taoïstes, bouddhiques, néoconfucéens, savants ou populaires (Wikipédia)’. - Association ‘Parole Vive’

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Remerciements à Françoise Hallard, Anne Hallard et Frédérique Maleplate-Hallard et leur famille, pour leurs conseils d’ordre sanitaire et leur soutien moral et matériel.

Reconnaissance à Maître KE Wen qui contribue chaque jour solidairement, spontanément et bénévolement à soutenir les praticiens d’arts martiaux à distance.


Auteur : Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 19/03/2020

Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales

http://www.isias.lautre.net/

Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

Fichier : ISIAS Arts martiaux internes Coronavirus En confinement sanitaire pratiquer les arts martiaux internes et activer les réponses immunitaires .2

Mis en ligne par Pascal Paquin de Yonne Lautre, un site d’information, associatif et solidaire(Vie du site & Liens), un site inter-associatif, coopératif, gratuit, sans publicité, indépendant de tout parti.

http://yonnelautre.fr/local/cache-vignettes/L160xH109/arton1769-a3646.jpg?1510324931

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