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"Le bégonia d’Odile pour DID" par Jacques Hallard

dimanche 12 mai 2019, par Hallard Jacques

ISIAS Création artistique

Le bégonia d’Odile pour DID

Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, site ISIAS 11/05/2019

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Description et technique : Tamaya (Begonia maculata) ou bégonia bambou Photo. Document jardinage.lemonde.fr

Ce bégonia hybride fait partie des bégonias bambusiformes, c’est à dire qu’il s’agit d’une vivace persistante rhizomateuse dont les tiges portent des nœuds renflés espacés de façon régulière, avec des feuilles asymétriques, tachetées d’argent, plus ou moins ovales mais pointues au bout.

Begonia maculata est également appelé ’tamaya’ mais il s’agit surtout d’un croisement de plusieurs variétés de Begonia. Le port est dressé mais les tiges retombent au-delà d’une cinquantaine de centimètres. Si vous souhaitez qu’il buissonne un peu, il faudra tailler les tiges.

Etant originaire d’Amérique du Sud, comme tous les bégonias, Begonia maculata est frileux, c’est pourquoi on le cultive en pot en intérieur ou en véranda.

En plus de son feuillage ornemental, le tamaya fleurira longuement offrant des bouquets de petites fleurs pendantes roses en forme de cœur. Il a l’avantage de pousser rapidement et de se bouturer extrêmement facilement.

  • Famille : Bégoniacées
  • Type : plante d’intérieur vivace
  • Origine : Brésil
  • Couleur : fleurs roses ou blanches
  • Semis : non
  • Bouture : oui
  • Plantation : printemps
  • Floraison : du printemps à l’automne
  • Hauteur : jusqu’à 1,20 m voire plus
    Sol et exposition idéals pour le Tamaya

Le Begonia maculata se cultive à la lumière mais plutôt à mi-ombre sans soleil direct, dans un terreau de rempotage léger et bien drainé.

Date de bouturage et de plantation du Begonia maculata

Le bouturage de tiges portant un nœud se fait au printemps directement dans un pot de terreau. Le rempotage se fait aussi au printemps, si besoin, mais il se plait à l’étroit.

Conseil d’entretien et de culture du Tamaya

Vous devrez tuteurer les tiges pour éviter qu’elles ne tombent et se cassent. Un arrosage suffisant devra être fait en été, et vous l’espacerez nettement durant l’hiver : laisser sécher entre deux arrosages pour éviter le pourrissement des racines. Supprimez les fleurs fanées.

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Document Wikipédia sur le Begonia maculata : https://fr.wikipedia.org/wiki/Begonia_maculata

La légende de Tamaya - Publié le 3 juin 2005 par Anthéa – Document ‘Overblog’ > Accueil Contact

Sur cette photo il n’est pas en pleine floraison, sinon c’est un arbre magnifique. qui engendre sans arrêt de nouvelles fleurs au fur et à mesure que les anciennes fleurs se détachent, symbole de la vie et d’un éternel recommencement qui trouve peut-être son explication dans la légende rapportée du coeur de l’Amérique du Sud : Tamaya serait la réincarnation de la Déesse du Ciel...

La plante sacrée des Atzalca [pas de référence trouvée par JH]

Dans une contrée reculée d’Amérique du Sud, vivaient les indiens Atzalca. Ils adoraient une plante sacrée : Tamaya. Selon leur tradition, chaque année , la Déesse du Ciel venait s’incarner sur terre, et la plante se métamorphosait en belle jeune fille aux cheveux dorés, trait d’union entre le ciel et la terre. Les Atzalca voyaient dans cette réincarnation le renouvellement des forces naturelles.

La conquête espagnole

Après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, les conquistadors s’y installèrent et réduisirent les indiens à la servitude. Les seul espoir des Atzalca était Tamaya, la plante sacrée : si la Déesse du Ciel revenait, les étrangers seraient chassés et la vie reprendrait son cours. En secret, ils se mirent à préparer les rites du solstice d’hiver. Après 3 jours de prières, de danses, et de sacrifices, le miracle se produisit : la plante avait fait place à la Déesse du Ciel.

Les conquistadors se précipitèrent et la firent prisonnière. Ils l’emmenèrent vers l’Espagne dans l’une des caravelles. Pendant la traversée, ils tentèrent de l’amadouer par de riches présents. Mais rien n’y fit.

Arrivés à Séville, en ouvrant la porte de la cabine, la Déesse avait disparu ! Seule la plante sacrée était là, debout sur sa longue tige ; mais elle avait perdu toutes ses feuilles et toutes ses fleurs. Sanchez Almeda, le chef des conquistadors, prit alors conscience de la profanation qu ’il avait commise. Il plaça la plante dans une urne de cristal, et se promit de la rapporter aux Amériques. Mais il mourut peu après.

La renaissance de Tamaya

Plusieurs siècles plus tard, Christian Cologny, un botaniste français découvrit un manuscrit dans lequel Sanchez mentionnait Tamaya. Il retrouva l’urne de cristal, et partit pour les Amériques, afin de tenir, par-delà les siècles, la promesse du chef des conquistadors.

Lorsque Cologny rendit aux indiens la tige desséchée, leurs yeux s’emplirent de larmes : la plante sacrée était de retour. Le jour du solstice, Tamaya fut placée comme autrefois au sommet du grand rocher. Après les danses et les prières rituelles, à l’aube du quatrième jour, le soleil posa ses lèvres sur la plante à la tige gracile, et....oh miracle ! Tamaya était là devant eux ! Jeune et belle comme toujours ; son visage plus limpide que l’eau claire, sa chevelure disputant à l’astre son éclat.

Le secret d’une grande passion

Mais déjà l’instant d’après, la Déesse avait disparu ! A sa place, la tige ferme de Tamaya avait repris vie, ses branches couvertes de feuilles et de grappes de fleurs. Les indiens offrirent une branche à Cologny, qui la rapporta en France.

Aujourd’hui, Tamaya, plante sacrée des Atzalca, a pris racine aux quatre horizons, et garde en elle le secret d’une grande passion. Source : http://anthea.over-blog.com/article-424154.html

Auteur  : Jacques Hallard , Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 11//05/2019

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Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

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