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"Chat sur l’arbre dans le quartier Notre-Dame de France Avignon" par Jacques Hallard

mardi 7 août 2018, par Hallard Jacques


ISIAS Créations artistiques
Chat sur l’arbre dans le quartier Notre-Dame de France Avignon
貓在樹上 - Cat on the tree - Katze auf dem Baum
Suivi d’une étude sur le symbolisme du chat dans différentes cultures, en psychanalyse et en franc-maçonnerie, ainsi qu’une annexe sur le génétique de la couleur du pelage chez les chats
Jacques HALLARD, Ing. CNAM – Site ISIAS – 07/08/2018

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猫在树上 - Association Mollégès Group’Art 13940 2017-2018 - Activité : Cours de peinture au pinceau chinois - Maître : F.T. – Apprenti : Jacques Hallard.


Etude sur le symbolisme du chat dans différentes cultures, en psychanalyse et en franc-maçonnerie, ainsi qu’une annexe sur le génétique de la couleur du pelage chez les chats

Plan Introduction Sommaire Auteur


Introduction

Sur le plan symbolique, il a été donné au chat des significations nombreuses et variées selon les pays et les cultures ; ces représentations sont « souvent articulées autour de la notion d’équilibre subtil entre des contraires, tels que l’intérieur et l’extérieur, l’action et le repos, la lumière et l’obscurité ». Le chat, cet animal totem, se réfère notamment selon Wikipédia « À l’époque où le conte du ‘Chat botté’ est écrit par l‘auteur Perrault, le chat est largement considéré comme un animal malfaisant, compagnon des sorcières et incarnation du Diable en Europe occidentale. Pierre Saintyves se demande si l’on doit admettre « que le chat fut jadis considéré en Europe comme un animal gardien, ou tout au moins comme un être sacré ». Le culte du chat est attesté en Égypte antique, mais cet animal domestiqué a gagné assez tardivement les foyers d’Europe occidentale. Plus étonnant, ces chats domestiques seraient descendants du chat ganté de Nubie, qui est un chat « botté », précisément honoré par les anciens Égyptiens6. est fortement symbolique de la connexion avec ce qui est habituellement caché ou avec le mystère de l’inconnu ». Par ailleurs, d’après Wikipédia, « en héraldique, le chat peut être représenté assis, effarouché ou effrayé, passant, issant, naissant, rampant et aussi hérissonné (s’il a le dos élevé et le poil hérissé). Le chat, comme le Léopard, se représente en héraldique naturellement de face et passant… » Article complet sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chat_(h%C3%A9raldique)

Toujours d’après Wikipédia, «  Le chat domestique (Felis silvestris catus) est la sous-espèce issue de la domestication du Chat sauvage, mammifère carnivore de la famille des Félidés. Il est l’un des principaux animaux de compagnie et compte aujourd’hui une cinquantaine de races différentes reconnues par les instances de certification. Dans de très nombreux pays, le chat entre dans le cadre de la législation sur les carnivores domestiques à l’instar du chien et du furet. Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, les feulements ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones ».

« Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) issue d’ancêtres appartenant à la sous-espèce du chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica). Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’Homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication ».

« Tout d’abord vénéré par les Égyptiens, il fut diabolisé en Europe au Moyen Âge et ne retrouva ses lettres de noblesse qu’au XVIIIe siècle. En Asie, le chat reste synonyme de chance, de richesse ou de longévité. Ce félin a laissé son empreinte dans la culture populaire et artistique, tant au travers d’expressions populaires que de représentations diverses au sein de la littérature, de la peinture ou encore de la musique »…. Article complet sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chat

Concernant l’espèce chat , les connaissances en génétique sont maintenant bien établies et elles expliquent notamment pourquoi un chat dont le pelage est de trois couleurs est obligatoirement un animal de sexe femelle : voir le dessin ci-dessus exécuté au pinceau chinois, d’une chatte dénommée par les habitants du quartier Notre-Dame de France en Avignon, ‘Mimosette’ ou ‘Myrtouillette’ (noms dérivés respectivement du nom de deux espèces arbustives de la flore méditerranéenne, le mimosa et la myrte).

Notons finalement que le « 8 août, c’est la journée internationale du chat  » (Par Olivier Lascar le 08.08.2014 à 14h58, mis à jour le 08.08.2014 à 14h58 – « Retrouvez les actus scientifiques que nous avons récemment consacrées à notre félin compagnon… »). Cet événement annuel se produit chaque année le 8 août1, mais dans certains pays, cette date peut différer : on peut en savoir plus sur la Journée internationale du chat

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Sommaire

1. Le symbole du chat dans différents pays – Document ‘#EINStout-pour-nos-chats’

2. Le chat et le Japon, la Chine, la Thaïlande (Siam). Photo - Document ‘http://asiacat.free.fr’, non daté.

3. Introduction d’un article Wikipédia sur le chat porte-bonheur au Japon

4. Une légende sur l’origine du chat maneki neko japonais … Document ‘Le Bouddha Rieur’, non daté.

5. Chine - Où est le Chat ? - Le 27-11-2013 – Document ‘Signe chinois’.

6. Animal Totem – Le Chat - Publié par Laura Fontaine.

7. La symbolique du chat - Publié le 30 novembre 2015 – Document ‘Lieux sacrés’.

8. Du symbolisme du chat - Freya le Ven 19 Juilet 2013

9. Le chat et sa symbolique Par biribibi 14/09/2009 – Document ECHANGE SPIRITUEL

10. Psychanalyse -Le symbolisme des animaux d’aprèsBarbara Hannah – Présentation d’ouvrage Postface d’Élisabeth de Fontenay

11. Une approche psychanalytique - Quand le chat est là...par Valentine HAGMANN et Benoît SERVANT – Document ‘CAAIRN.info’

12. Les chats noirs : LA journée internationale - Rédigé par La Maçonne et publié depuis Overblog -17 Août 2016

13. Les chats en franc-maçonnerie – « Encore des Chats-Maçons ».Par Géplu dans Divers (origine « Le Blog maçonnique ‘Hiram.be’ »)

14.Pourquoi lee chats tricolores sont toujours des femelles  ? Pauline Bonnet

15. Genetique de la couleur du pelage chez les chats - Véronique DUBOS - 02 janvier 2005

16. Genetique de la couleur du pelage chez les chats - Véronique DUBOS - 02 janvier 2005

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1.
Le symbole du chat dans différents pays – Document ‘ tout-pour-nos-chats’

Le symbolisme du chat est très hétérogène, oscillant entre les tendances bénéfiques et maléfiques ; ce qui peut s’expliquer simplement par l’attitude à la fois douce et sournoise de l’animal. 

JAPON : 

Au Japon des talismans représentent un chat avec la patte à l’oreille, les ’Maneki-Neko’ Selon la légende japonaise : un prêtre vivait dans un temple avec son chat. Un homme qui passait par là vit le chat lever une patte pour lui faire signe d’entrer. A peine eut-il pénétré dans le temple qu’un éclair s’abattit à l’endroit où quelque seconde auparavant, il se tenait. L’homme fut très reconnaissant au chat de lui avoir sauvé la vie. Depuis, on trouve des statuettes de chats levant la patte dans tout le japon et on estime qu’elles portent bonheur. Représentation symbolique du chat au Japon

INDE :
On trouve, en Inde, des statues de chats ascètes qui représentent la béatitude du monde animal (Kramrisch) ; mais le chat est aussi, à l’inverse, la monture et l’aspect de la yoginî Vidâli.

CHINE :

Dans la Chine ancienne, le chat était plutôt considéré comme un animal bienfaisant, et on mimait son attitude, en même temps que celle du léopard, dans les danses agraires.

INDIENS D’AMERIQUE DU NORD :

Chez les indiens Pawnees d’Amérique du Nord, le chat sauvage est un symbole d’adresse, de réflexion, d’ingéniosité, il est observateur, malin et pondéré, et il arrive toujours à ses fins. De ce fait, c’était un animal sacré, qui ne pouvait être tué que pour des fins religieuses, et en observant certains rites.

AFRIQUE :

De l’adresse et de l’ingéniosité, on passe au don de clairvoyance ; ce qui fait que nombres de sacs à médecine sont fait de peau de chat sauvage, en Afrique centrale.

Accueil Plan du site En savoir plus : https://tout-pour-nos-chats.webnode.fr/le-chat-lart-et-la-religion-/le-symbole-du-chat-dans-differents-pays-/

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2.
Le chat et le Japon, la Chine, la Thaïlande (Siam). Photo - Document ‘http://asiacat.free.fr’, non daté.

Le chat apparut dés le VIième siècle au Japon. Il venait de Chine et de Corée. Probablement, le bobtail chat tricolore (écaille de tortue). Cet animal avait la réputation d’éloigner les mauvais esprits. Pour la tradition, le dixième jour de la cinquième lune de l’an 999 le chat fit son entrée au Japon, un mandarin l’offrit à l’empereur Idi-Jô une chatte blanche qui mis bas cinq chatons dans le palais impérial de Kyoto. Mille ans plus tard, la chatte blanche devient le Maneki Neko une statuette représentant un chat assis une patte en l’air. On le trouve au siège social des banques, dans les échoppes, les sushi. Le message du Maneki Neko est « chat qui invite ». Si le chat lève la patte droite il promet le bonheur et la félicité, la patte gauche assure beaucoup d’argent. Au Japon, on pensait que les chats portaient bonheur. Comme sur ces statues japonaises où le chat lève une patte, signe de vœux de bonne fortune. Selon la légende, un chat se serait tenu devant le temple de Gotokuji à Tokyo, levant la patte pour guider les gens à l’intérieur. Le temple devint riche et des statues de ce chat baptisé Maneki Neko portent bonheur aux maisons et aux entreprises dans toute la Chine et le Japon. Au Japon le chat est considéré comme porte-bonheur, Maneki Neko est un symbole puissant censé attirer la chance. En 500 avant Jésus Christ, les chats étaient communs en Chine. D’après les peintures, les sculptures et les récits, nous pouvons constater que les chats étaient estimés et choyés en Asie. Dans plusieurs régions d’Asie on pensait que le chat éloignait le Diable et portait chance à son maître.

En Asie, les chats s’offraient d’empereur à empereur. Ensuite ils furent adoptés par la noblesse et les prêtres. Puis ils devinrent communs dans toute la société.

Pour prévoir les catastrophes naturelles, les anciens Chinois se fiaient à leurs chats. On ignore en quoi consiste la prescience féline, mais on reconnaît aux chats une sensibilité à l’électricité statique, aux champs magnétiques et aux secousses sismiques que les humains ne possèdent pas, et qui seraient la cause de ces comportements étranges pour nous.

En Thaïlande un chat participe à la procession pour le couronnement. En Thaïlande, anciennement Siam, seuls les membres de la famille royale pouvaient posséder un chat. En Siam c’était un honneur de recevoir un chat en cadeau, il ne s’offrait que lors des visites à des dignitaires étrangers qui avaient gagné les faveurs du roi. Le premier couple de Siamois arriva en Europe en 1884. Avant seuls les rois de Siam avaient le droit d’élever ces chats. Ils étaient gardés dans des cages d’or parfumées d’encens, on pouvait les apercevoir dans les jardins royaux de Bangkok.

A Tokyo on vénère le chat au temple appelé le kotokuji. Au Japon le chat était tellement précieux qu’il était tenu en laisse, il faut attendre une loi de 1602 après Jésus Christ pour que le chat puisse évoluer en liberté. Cette loi avait pour but de débarrasser la soie de ses parasites. Seul un chat libre pouvait le faire.

Le chat au Japon (Tokyo) est considéré comme le protecteur de l’enfance. Illustration animée.

En Chine, les chats étaient tenus en haute estime. Au cours de la dynastie Song (960-1279), les chats figuraient toujours sur les portraits d’enfants de la noblesse.

En Chine, le chat, depuis la première dynastie, est sacré. Les moines avaient en charge de nourrir les chats. Jusqu’au XIXième siècle de notre ère il n’y a pas eu de massacre de chats en Chine. Alors que les Chinois peuple de commerçants vouent une vénération quasi mystique au protecteur des récoltes. Par contre pendant la République populaire de Chine et le gouvernement de Mao se créent des milices d’enfants enrôlés pour tuer tous les animaux qui « polluaient les villes et prenaient la nourriture au peuple… »

En Chine, le chat fut dit-on associé à une divinité agricole Li-Shou. Un chat blanc à queue noire avec sur le front la tache noire, « sceau de l’étoile », qui assurerait le bonheur.

Source : http://asiacat.free.fr/chine.htm

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3.
Introduction d’un article Wikipédia sur le chat porte-bonheur au Japon

Un maneki-neko (招き猫, maneki neko ?, aussi appelé chat porte-bonheur) est une statue traditionnelle japonaise en céramique ou en porcelaine, représentant un chat assis et levant la (ou les) patte(s) au niveau de l’oreille, et que l’on trouve fréquemment sur les devantures des magasins, près des caisses dans les centres commerciaux, dans les salons de pachinko, etc.

Maneki (招き ?) vient du verbe maneku (招く ?) qui en japonais signifie « inviter » (dans le sens de faire venir) ou « saluer », et neko ( ?) désigne le « chat ». Il s’agit donc littéralement du « chat qui invite ». La tradition veut qu’on mette un de ces chats levant la patte dans les magasins pour attirer la fortune (pécuniaire). La patte gauche est censée attirer les clients, la patte droite l’argent. Il existe ainsi des chats levant les deux pattes et plus rarement les quatre pattes. On trouve souvent des maneki-neko dans les foyers, notamment sous forme de tirelires, de porte-clefs ou d’autres objets…. Article complet sur ce site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Maneki-neko

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4.
Une légende sur l’origine du chat maneki neko japonaisDocument ‘Le Bouddha Rieur’, non daté.

Il existe bien entendu plusieurs histoires, ou légendes sur l’origine du chat japonais de la fortune. En voici un version sympathique sur son origine :

Au Japon, durant la période d’edo, au 17 ème siècle, vivait un prêtre très pauvre qui était le gardien d’un temple en périphérie de Tokyo. Ce prêtre, bon et généreux, partageait sa maigre nourriture avec son compagnon, un chat nommé tama. Un jour, particulièrement froid et pluvieux, le prêtre voulut se préparer un thé pour se réchauffer, mais il tomba dans un profond désespoir lorsqu’il s’aperçut qu’il n’avait même plus de thé.

Accablé de douleur, le prêtre se mit à pleurer et demanda a son chat, en désespoir de cause, s’il pouvait l’aider lui et le temple, avant de s’endormir d’épuisement. Son chat, plutôt perplexe, partit s’asseoir près de la porte d’entrée du temple, et se mit à se nettoyer, comme le font les chats, en se léchant et en passant ses pattes contre sa tête.

Un homme très riche, perdu dans les tourments de la tempête, cherchait à se protéger sous un arbre, lorsqu’il aperçut le chat devant la porte du temple, qui en se nettoyant en passant sa patte sur le côté de sa figure, semblait l’inviter à venir s’abriter. Intrigué par ce signe de bienvenue, et peut être du destin, l’homme alla se mettre à l’abri dans le temple. Quelques instants plus tard, la foudre frappa l’arbre ou était l’homme, et celui-ci explosa sous l’impact.

L’homme riche considéra que le chat lui avait sauvé la vie, et voyant les conditions de vie du prêtre et l’état du temple, décida d’utiliser son argent et son influence pour restaurer le temple et améliorer la vie de ceux qui y vivaient. Ainsi grâce au chat, le temple japonais fut sauvé et le vieux prêtre vécut heureux et comblé. A la mort du chat, on lui édifia une statue qui le représentait la patte levée en souvenir de ce jour.

Les gens de la région, considérant que ce chat avait apporté richesse et bonne fortune à son propriétaire, commencèrent à placer des figurines de chat avec la patte levé dans leurs maisons et leurs magasins. Ainsi commença l’histoire et le développement du maneki neko au travers du Japon …

NOUS CONTACTER © Le Bouddha Rieur – Source : https://www.bouddharieur.fr/ ?

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5.
Chine - Où est le Chat ? - Le 27-11-2013 – Document ‘Signe chinois’.

Mais pourquoi le chat n’a-t-il pas sa place parmi les 12 signes chinois ? Il y a beaucoup d’histoires folkloriques à ce sujet. Dans le conte des douze animaux du zodiaque chinois, le Chat est berné par le Rat, lui vouant une haine farouche depuis cette date.

La raison pratique est qu’il n’y avait pas de chat dans la Chine antique. Les chats provenaient de l’Egypte ancienne, et le zodiaque chinois existait avant qu’ils ne soient importés en Chine.

En outre, les tigres et les chats font partie de la même famille biologique, donc un félin a bien sa place dans le zodiaque chinois. Tout cela contribue à montrer que le choix des animaux n’était pas arbitraire.

Les animaux du zodiaque chinois ont des liens étroits avec le quotidien et la vie sociale du peuple chinois. On peut distinguer 3 catégories d’animaux.

La première catégorie est celle des six animaux domestiques, le bœuf, la chèvre, le cheval, le cochon, le chien et le coq. Ces 6 animaux, connus sous le nom liuchu en chinois, sont un concept essentiel dans la culture agricole chinoise. Traditionnellement on pense que ces animaux sont particulièrement prospères (liu chu xing wang), promesse de grandes familles et de bon augure. Pour cette raison, les personnes vivant dans les zones rurales se souhaitent Liu Chu Xing Wang durant le Nouvel An chinois.

La deuxième catégorie des symboles du zodiaque chinois est celle des animaux sauvages, le tigre, le lapin, le singe, le rat et le serpent.

La troisième et dernière catégorie est, en quelque sorte, la mascotte de la tradition chinoise et il représente une classe à lui seul, c’est le dragon. Le dragon est le symbole de la quintessence de la nation chinoise, représentant la richesse et le bon augure.

Pour finir, on peut noter que bien que le Vietnam ait adopté les 12 animaux du zodiaque chinois, leur version est un peu différente puisque le Chat y remplace le Lapin. Une explication serait que le ’lapin’ dans la prononciation des sons chinois sonne comme ’chat’ en vietnamien et qu’il s’agirait donc d’une erreur.

Tags : Origine des signes chinois

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6.
Animal Totem – Le Chat - Publié par Laura Fontaine. Copyright © 2018 animal-totem.fr - All Rights Reserved

L’animal totem du chat nous enseigne la patience, l’art du bon timing pour l’action et le courage d’explorer l’inconnu avec confiance. Ceux qui ont le chat comme animal de pouvoir ou totem peuvent être encouragés à développer leur équilibre entre indépendance et sociabilité. L’harmonie entre ombre et lumière, temps pour l’action et temps pour l’observation sont également des attributs du totem du chat. Suivons cet animal dans un voyage profond de découverte de soi.

La symbolique du Chat

Le chat a plusieurs significations qui sont articulées autour de la notion d’équilibre subtil entre les contraires tels que l’intérieur et l’extérieur, action et repos, lumière et obscurité. Cet animal totem est fortement symbolique de la connexion avec ce qui est habituellement caché ou le mystère de l’inconnu.

Généralement, le chat représente :

  • Patience, attente du bon moment pour agir
  • Esprit d’indépendance et en même temps, appréciation des liens sociaux
  • Esprit d’aventure, courage
  • Profonde connexion, détendue, avec soi
  • La curiosité, l’exploration de l’inconnu ou de l’inconscient
    Rappelons que le chat que nous connaissons aujourd’hui principalement comme un animal domestique n’était pas un animal commun pour les Indiens d’Amérique. Il est donc rare de le voir comme animal totem dans la tradition amérindienne. Il a été introduit en Amérique par les colons européens et ne fait donc pas partie des traditions totémiques originelles.

Néanmoins, la symbolique du chat est présente dans de nombreuses cultures anciennes ainsi que modernes partout dans le monde. Un des symboles les plus connus est le culte du chat en Egypte ancienne. Aujourd’hui, le chat fait souvent partie de notre vie quotidienne et il représente un animal totem source d’inspiration pour beaucoup d’entre nous.

Le totem du chat et l’exploration de l’inconnu

Les chats ont tendance à être actifs la nuit et sont capables de voir dans l’obscurité grâce à leurs yeux adaptables. Parce qu’ils peuvent être vus durant leurs errances nocturnes, ils sont associés dans plusieurs cultures avec le domaine de l’obscurité et des ténèbres. Par extension, le chat a été considéré comme un symbole ou un représentant de la sorcellerie et des arts de la magie noire, surtout si la couleur de son pelage est noire !

Une autre façon d’interpréter cette caractéristique du totem du chat est de prêter attention à sa capacité de voir dans l’obscurité et d’y être à l’aise quand la plupart des autres animaux et les humains ne le sont pas. Si le chat se présente dans votre vie comme un animal protecteur ou si vous avez cet animal comme totem, vous pouvez être tenté de commencer à explorer les domaines de votre vie ou certains aspects de vous-même que vous ne connaissez pas encore bien.

La sagesse du totem du chat : agir au moment choisi

L’esprit du totem du chat est d’une aide précieuse pour ceux qui ont besoin de trouver le courage de s’attaquer à des problèmes ou des inquiétudes persistantes dans leur vie. Le chat est connu pour être un bon chasseur qui utilise non seulement la force, mais un sens affiné du choix du moment de l’attaque. Il semble suivre sa proie et être en mesure d’attendre patiemment et de se positionner jusqu’à ce qu’il l’attrape.

Par affinité avec cet animal totem, vous pouvez être en mesure de vous attaquer aux problèmes quotidiens avec patience, confiance et un bon sens du timing dans vos actions. La sagesse du totem du chat réside dans la capacité à rester calme, à observer et ensuite à agir quand le moment est venu. Ainsi, vous êtes mieux placé pour atteindre votre objectif et préserver votre énergie, même dans les moments de tension et d’action intenses.

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Animal-Totem.fr : Qui Sommes-Nous ? Un mot de Laura Fontaine, rédactrice en chef de animal-totem.fr - Passionnée de nature et curieuse du monde fascinant du chamanisme, je veux faire partager ma passion à tous ceux qui veulent en savoir plus sur le monde des animaux totem et des pratiques chamaniques. En plus de mes recherches menées dans une perspective ethnologique et psychologique, j’entretiens un rapport vivant avec ces pratiques et le monde des animaux totem à travers le contact avec les traditions chamaniques amérindiennes en Amérique du Nord et du Sur, ainsi qu’au gré de mes voyages. Retrouvez mon profil Laura Fontaine sur Google Plus.

Le guide en ligne animal-totem.fr a été inspiré des liens profonds que nous avons avec la nature et les animaux. Quand ces derniers se présentent sous la forme d’animaux totem, qu’ils apparaissent sous leur forme physique ou dans notre imagination, ils nous invitent à l’exploration d’un monde souvent inconnu. Le monde des animaux totem nous offre un point d’accès à une connexion profonde avec notre environnement et avec nous-même. La mission de ce guide est d’aider tout lecteur à trouver des informations, à acquérir des connaissances et à decouvrir des sources de sagesse qui peuvent éclairer les passages de la vie quotidienne aussi bien que soutenir le développement personnel. Un guide moderne qui marche sur les traces de traditions anciennes..

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7.
La symbolique du chat - Publié le 30 novembre 2015 – Document ‘Lieux sacrés’. Contactez l’auteur

Reproduction - Le chat, dans l’Egypte ancienne, où l’on pense qu’il fut domestiqué pour la première fois au cours du IVe millénaire avant notre ère, était considéré comme un animal mystérieux détenant la connaissance de ce qui est caché et le pouvoir magique de l’énergie charnelle.

Reproduction - Il était appelé « myeou » ou « miw », on comprend pourquoi. Possédant le don de dédoublement, il avait le titre de « mangeur de chagrin », et passait pour prendre sur lui les mauvaises vibrations entourant son maitre.

Reproduction - Le chat était consacré aux déesses Isis et Bastet. Animal lunaire, mais alliée du dieu solaire Râ, la chatte Bastet maitrisait Apophis, le serpent des ténèbres, personnification du chaos, qui s’attaquait chaque nuit à la barque de Râ afin de mettre fin à la création. Elle est représentée sur les papyrus tenant un couteau sur la gorge du serpent.

Reproduction - Bastet, déesse bienveillante, protectrice des femmes et des enfants, avait aussi son côté obscur et pouvait devenir cruelle et belliqueuse. Lumineuse et ténébreuse, noire et blanche, l’antagonisme de ses symboles se retrouvera plus tard.

Illustration - Chez les peuples nordiques, les chats furent les compagnons de la grande déesse-mère Freya, dont ils tiraient le char. Freya (la « dame » en vieux norrois) était la première des valkyries, déesse de la fertilité, de l’amour et de la beauté.

Illustration - Mais elle était aussi une guerrière, déesse des batailles et de la mort. Les rois francs, burgondes et goths, se proclamant ses descendants, le portaient comme emblème. 

Illustration - En orient, le chat possédait 7 âmes et 9 vies. Les nombres 7 et 9 ne sont bien sûr pas anodins. Le premier représente, en résumé, le principe de la maitrise, de la vie intérieure et éternelle ; il est le symbole d’un cycle complet associant le 4 de la terre et le 3 du ciel pour donner la totalité de l’univers, ou le 4 du féminin et le 3 du masculin pour donner l’homme complet ou réalisé. Il est dynamique, il permet un passage. 

Photo - Le deuxième représente quand à lui un principe de perfection sur 3 plans, comme le physique, le mental et le spirituel, ou les phases du grand œuvre alchimique, mais il est aussi le symbole d’une fin de cycle, c’est le nombre de la plénitude.  

Et je ne résiste pas au plaisir de vous conter cette légende indoue :

Un vieux matou, mathématicien émérite mais fort distrait et incroyablement paresseux, somnolait à l’entrée d’un temple. De temps à autre, il entrouvrait un œil pour compter les mouches du voisinage et replongeait presque aussitôt dans sa douce léthargie. Shiva vint à passer par là. Émerveillé par la grâce naturelle, toute féline, que l’animal avait conservée, malgré un embonpoint considérable dû à son oisiveté, le Seigneur des Monde lui demanda :
- Qui es-tu et que sais-tu faire ? 
- Je suis un vieux chat très savant et je sais parfaitement compter, marmonna l’autre, sans même entrebâiller les paupières.
- Magnifique ! Et jusqu’où peux-tu compter ?
- Mais voyons, je peux compter jusqu’à l’infini !
- Dans ce cas, fais-moi plaisir. Compte pour moi, l’ami, compte …
Le chat s’étira, bailla profondément, puis, avec une petite moue de dédain amusée, se mit à réciter :
- Un … deux … trois … quatre …
Chaque chiffre était prononcé d’une voix plus murmurante et vague. A sept, le chat était à moitié endormi. A neuf, il ronflait carrément, abîmé dans un sommeil béat.
- Puisque tu sais seulement compter jusqu’à neuf, décréta le grand Shiva, Souverain des Sphères, je t’accorde neuf vies.
C’est ainsi que les chats disposèrent de neuf existences. Mais Shiva, qui était aussi un subtil philosophe, médita longuement. Le matou lui avait assuré qu’il pouvait compter jusqu’à l’infini. Certes, il s’était arrêté au chiffre neuf, puis s’était endormi. Or, le sommeil, sans nom, sans forme, sans pensée, n’est-il pas une fidèle préfiguration de l’infini ? Alors Shiva compléta son décret : au bout de ses neuf vies, le chat accéderait directement à la félicité suprême.

Au XIe siècle, quelques chats apparurent sur les chapiteaux romans, porteurs d’une belle symbolique. Puis, vers la fin du Moyen-âge, en occident, les chats furent le plus souvent associés aux démons et aux sorcières qui, disait-on, pouvaient se transformer en chats, mais 9 fois seulement, d’où les 9 vies du chat de la croyance populaire…

Lire la suite avec d’autres illustrations à la source

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De grands rêves à partager

Qu’est-ce qu’un ’Grand Rêve’ ? C’est un rêve qui n’est pas seulement personnel, c’est un rêve plus marquant que nos rêves habituels, un rêve aux images fortes, qu’on ne peut s’empêcher de raconter... parce qu’il est de ceux qui concernent tout le monde.

Source : http://grandsreves1234.blogspot.com/2017/03/le-symbole-du-chat-dans-les-reves.html

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8.
Du symbolisme du chat - Freya le Vendredi 19 Juillet 2013 - 19:35 - SCIENCE et TRADITION : : CULTURE : : TRADITIONS

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La déesse-chatte égyptienne, Bastet, symbolisait la joie, la musique et la danse. Certaines statues la montrent debout, revêtue d’une robe d’apparat et portant à son cou un lourd pectoral. Veillant sur sa dernière portée de quatre chatons, elle tient à la main droite un sistre, instrument de musique consacré à Hathor, la nourrice divine, indiquant par là son rapprochement avec la « vache céleste », toutes deux figures maternelles de même nature qu’Isis, déesse de la féminité. 

Reproduction - Au travers des âges, la chatte Bastet est toujours restée la protectrice des enfants. Selon le Grec Hérodote, le chat aurait été introduit en Egypte au cours de la XIIe dynastie, lors de la conquête de l’Ethiopie par le Pharaon Ousirtasen I, mais cette affirmation s’est avérée inexacte, car des fouilles archéologiques ont démontré que sa domestication remontait à la dynastie précédente, soit vers 2100 avant notre ère, sous le Pharaon Mentouhotep I. Cependant, il paraît évident que l’animal habitait déjà la terre d’Egypte bien avant cette date, vivant essentiellement dans les marécages où il se nourrissait de poissons et de volatiles. Si les anciens Egyptiens l’adoptèrent pour préserver leurs silos à grains des souris, les artistes travaillant dans les temples ne manquèrent pas de le caricaturer de façon délirante quelques fois, en peignant un chat assailli, puis réduit en esclavage par des hordes de souris (Tom et Jerry avant l’heure). Certains agriculteurs, observateurs perspicaces, étaient d’avis que la graisse du chat était plus efficace contre les souris que le chat lui-même. Autrement dit quand le chat est loin les souris dansent, chose bien connue.

Selon le Livre des Morts égyptien, le chat vivait déjà en Atlantide avant le grand cataclysme qui survint il y a environ 13.000 ans.

Selon la tradition biblique, tous les occupants de l’arche de Noé auraient été fort incommodés par les rats présents à bord du navire. Alors, d’un geste rapide, le patriarche aurait passé sa main devant le museau d’un lion endormi qui, en éternuant aurait projeté en l’air un couple de chats…

Dans la religion égyptienne tout comme dans d’autres croyances ou mythologies, il existe deux sortes de serpents : l’un est bon, l’autre mauvais, ou autrement dit, ils incarnent l’équilibre et le déséquilibre permanents du monde. Cependant, tous les deux émanent de la même puissance divine. Le premier s’oppose à son rival issu du chaos primordial, le « serpent d’eau » incarné par Seth, qui est l’incarnation des mauvaises énergies opposées à la vraie spiritualité.

Le serpent d’eau est le prédateur naturel du chat, lié à son instar à la lune lorsqu’elle est prise dans son aspect néfaste. Le Chat-Lumière est en conséquent l’allié du bon serpent ou le « serpent de feu » qui symbolise l’éveil spirituel, tandis que le serpent d’eau préconise la magie noire. Le destin du serpent d’eau est d’être écrasé par la connaissance, et l’on verra ultérieurement Hercule vaincre l’Hydre de Lerne, et Siegfried tuer le dragon dans les Nibelungen.

Selon les Egyptiens, la chatte sacrée Bastet fut envoyée par Rê lui-même, fatigué de voir les hommes se dresser contre sa grandeur et tomber dans le matérialisme. Décidé à punir l’humanité, il envoya aux Egyptiens une de ses filles « l‘Œil du Soleil » qui en Nubie prit les traits d’une lionne sanguinaire, Sekhmet, épouse de Ptah et destructrice des ennemis du Soleil.

Il est frappant de constater que dans la plupart des pays, le chat a toujours été associé aux notions de mysticisme, de mort, de résurrection et de sagesse.

Dans les légendes bouddhistes indiennes, comme en Egypte, le chat et le serpent sont liés. Incarnant la béatitude, le chat éprouverait les mêmes sentiments que l’être humain. D’après les dernières connaissances que nous avons, il semblerait que le premier chat aurait été domestiqué il y a dix mille ans avant notre ère. Lors de fouilles effectuées au bord de l’Indus, des ossements de félidés et d’humains mêlés, ont été mis à jour. La taille des boites crâniennes des félins, a prouvé qu’il s’agissait bien de crânes de chats et non d’animaux sauvages.

Dans les légendes d’Extrême-Orient, le chat est de façon générale, lié à l’eau. Au Cambodge il sert de chaînon entre les humains et Indra, afin qu’il pleuve. Mais les agriculteurs agissent d’une manière inamicale avec le petit félin qui est mis en cage et promené à travers champs où, chaque villageois, lui verse un peu d’eau sur la tête. Trempée, la pauvre bête est censée apitoyer Indra par ses miaulements, et envoyer de la pluie pour que cesse son supplice.

Les Chinois se montrent beaucoup plus cléments envers le petit animal. Ils se contentent de le mimer, de prendre ses poses, mais toujours dans le but d’obtenir des pluies abondantes et par conséquent, de fructueuses récoltes.

Les Japonais aiment les formes variées des statuettes de chats à l’air aimable et souriant, une patte levée en avant. Ce sont les «  Mani-Neko », les chats porte-bonheur, ce qui prouve bien l’attachement qu’ont les Nippons pour cet animal.

Reproduction - Lors des grandes expéditions maritimes vers les continents encore inexplorés, les navigateurs prenaient à leur bord des chats tricolores de préférence, sensés éloigner les tempêtes et ramener les nefs à bon port. 

Au sud-ouest du Japon, dans la province de Kumamoto-Ken, les Japonais ont donné à un pic du Mont Aso, un volcan, le nom de « Pic du Chat ». Et la tradition en fait la résidence du roi des chats, vers laquelle tous les chats du pays sont censés converger le dernier jour du mois, pour lui rendre hommage.

Photo - Dans le temple Nikko du même nom que la ville, au Nord-Est du pays, les Japonais vénèrent la sculpture du « chat endormi » le Tosho-gu. Ils expliquent que les souris n’osent y pénétrer de crainte de l’éveiller.

Reproduction - Les contes et légendes japonais relatent souvent des histoires de courageux samouraïs qui ont perdu leur sang-froid devant de merveilleuses princesses se transformant, l’aube venue, en chattes noires, en « kuruneko ».

Dans les Isles de la Sonde, on a fait du chat le serviteur des divinités infernales. Il est chargé de précipiter les âmes des coupables dans les eaux qui séparent le monde des vivants de celui des trépassés. Mais là n’est pas son seul rôle. Bourreau et justicier, il trône aux côtés des juges, au pied de l’Arbre de Vie d’où est issue toute chose.

Chez les Perses comme chez les Egyptiens, le chat est lié à l’occultisme, et plus exactement au double de l’être ou doublet pour les anciens Egyptiens, et Hemzâd pour Les Perses. En conséquent, tuer un chat était considéré comme un crime, d’autant plus qu’il était entrepris sur le double astral de la personne concernée. Et nul n’osait toucher aux chats à la robe noire, qui étaient pour les Perses l’enveloppe terrestre revêtue par les djinns pour se mêler aux humains.

En Afrique Centrale, les sorciers affirmaient que son propriétaire était assuré du don de double vue.

Les Amérindiens de la nation Pawnees avaient le plus grand respect pour le chat sauvage, en raison de son adresse à la chasse.

Quant aux Musulmans, le prophète Mahomet, aimait les chats et plus particulièrement sa petite « Muezza ».

Les Romains n’eurent pas pour le chat les égards que les Egyptiens eurent pour lui. Ils ne virent jamais autre chose en lui qu’un animal capable de rendre des services en les débarrassant des rongeurs, ou en leur servant d’animal de compagnie.

La Kabbale n’éprouvait que méfiance vis-à-vis des chats, dont elle fit le symbole de l’abus des biens terrestres. Quant au christianisme, un chat placé au pied de la croix, était censé faire retomber sur le pauvre animal tout le poids des péchés de l’humanité… Et dès le Concile de Tours, selon des sources datant de l’an 589, une expression nouvelle fit son apparition dans le langage, celui de - sorcier. Voyons la définition du mot à son origine : un sorcier ou une sorcière est une personne qui vit en accord avec les énergies de la nature, et qui sait canaliser les énergies telluriques et perpétuer les anciennes traditions. Et dans les campagnes, par esprit d’opposition peut-être, les chats vont devenir les compagnons préférés des pratiquants de l’ancienne sagesse. Mais, ces dépositaires d’un savoir ancestral et qui n’ont pas oublié les pouvoir du chat doué d’une grande sensibilité aux influences naturelles, vont se retrouver peu à peu face à l’ignorance du monde rural. Et ce fut à ce moment-là que le chat se mit à sentir tout d’un coup le soufre. Et pourtant, c’est bien lui qui sauva les Européens, en éliminant les rats bruns, vecteurs de la peste, arrivés dans le sillage des envahisseurs hunniques.

Au Moyen Age en Germanie, des rumeurs circulent sur un culte impie rendu à Freya, épouse d’Oddhin, dans la nuit du 30 avril au 1er mai, nuit appelée « nuit de Walpurgis ». Les chats y tiennent un rôle étrange, lié aux rites de fertilité. Et toute cette médisance n’était que l’altération finale d’anciens rites, déterminée par la stupidité humaine.

Créée en 1220, l’Inquisition ira jusqu’à fabriquer des procès d’animaux, où l’on verra de pauvres félins, accusés d’agissements diaboliques, périr dans les flammes des bûchers. Le chat fut la victime expiatoire des déchaînements effarants de cruauté des inquisiteurs. Et le pape Clément VII accusa les Cathares d’avoir fait élever à des fins inavouables, une grande quantité de chats noirs.

En 962 à Ypres, en Belgique, le comte Baudouin III instaura le « mercredi des chats ». Devant un public hilare, on jetait du haut d’une tour du château des chats vivants. Plus tard, ce fut du haut du beffroi de la ville. Ce fameux « mercredi des chats » perdure toujours, mais fort heureusement pour les félidés, on ne jette plus que des peluches à leur effigie.

En France, le roi Louis XI ne fit pas mieux, puisqu’il ordonna que les feux de la Saint Jean allumés place de Grèves, culminent par l’embrasement d’un mât au sommet duquel était accroché un sac rempli de chats, auquel le roi en personne venait bouter le feu. Louis XIV fit abolir cette coutume, peut-être en souvenir du cardinal de Richelieu qui avait beaucoup aimé les chats.

Persécutés, les chats finirent par disparaître complètement, et ce fut à ce moment-là que la peste noire éclata suite au retour des croisés qui ignoraient que des rats noirs avaient pris place à bord des navires les ramenant de Palestine. Les Européens payèrent chèrement leur stupidité, puisque vingt-cinq millions d’entre eux moururent.

La réhabilitation du chat, coïncide avec l’Affaire des Poisons, dernier grand procès de sorcellerie, qui s’est tenu sous le règne de Louis XIV. Mais dans le monde rural, les cruautés envers les chats ne vont pas cesser de sitôt.

De nos jours, nous avons souvent tendance à traiter le chat de fourbe, d’égoïste, de capricieux, d’imprévisible. Pourtant, le chat recherche d’instinct les personnes à la voix harmonieuse, et il n’est pas rare de le voir détaler à l’approche d’une personne à la voix dissonante voire rauque. Les anciens Egyptiens disaient que le chat est sensible « à la voix qui sonne juste et qui dit le vrai », et que les mauvaises vibrations le déstabilisent. On peut se demander si la télépathie est possible entre un être humain et un chat. Est-il capable de capter l’onde de notre cerveau ? Si nous prenons en considération les histoires vécues par certaines personnes cohabitant avec des félins, il semblerait que cela soit ne soit pas impossible, mais cela ne relève pas de notre domaine….

Lire la suite à la source ci-après -

ContactContact - Source : http://sciencetradition.forumactif.com/t209-du-symbolisme-du-chat

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9.
Le chat et sa symbolique Par biribibi dans Les symboles - Animaux, le 14 Septembre 2009 à 07:13 Document ECHANGE SPIRITUEL : croyances, superstitions, créatures, religions, athéisme ??? - Illustration

Si des doutes persistent sur la date d’apparition du chat en Égypte, on pense que, vers 4.000 av. J.-C., l’Égyptien l’avait domestiqué et en avait fait un chasseur, un pêcheur et le plus important ratier car le rat était devenu un fléau national pour les récoltes. Cette fonction a permis au chat d’acquérir le respect et l’admiration, et enfin de devenir un dieu tutélaire qui régit la famille.

Le chat est alors élevé au rang de Totem (Myeo). Il entra au panthéon des dieux égyptiens, en premier sous les traits du dieu Râ (le Soleil) qui tuait chaque matin Apopis le serpent, dieu de la Nuit. Il représenta également Nafdet, la déesse destructrice de serpents. Lors de la XXIIe dynastie, à Bubastis, le chat remplaça même la lionne dans sa charge de gardienne du Temple sacré, par l’intermédiaire de la déesse Bastet. Les prêtres de cette déesse aussi dénommée Bast ou Pacht, déesse de l’amour à tête de chatte et symbole de la féminité, de la souplesse, de la sensualité et de la maternité, seront constamment à l’affût des moindres gestes – qu’ils percevaient comme des augures – des chats de la chatterie sacrée. À leur mort, ils les embaumaient.

De même Osiris, (dieu des moissons évoquant le Soleil) avait pour symbole le chat. Le chat était donc devenu à la fois symbole lunaire et symbole solaire. Certaines explications ont été avancées par Hérodote et par Plutarque : celle de l’assimilation de la variation de la pupille du chat en fonction des proportions de la hauteur du soleil, celle de l’amour de la chatte pour la lune, son activité nocturne, ses yeux phosphorescents dans la nuit et la variation du diamètre des pupilles rappelant également les phases de la lune. C’est surtout le symbole lunaire qui perdurera à travers les temps.

En Chine comme en Inde, le chat fut connu peu de temps après l’Égypte et accueilli comme animal bénéfique grâce à son habileté à chasser. Sa beauté le fit accepter comme animal de compagnie essentiellement auprès des femmes. En Chine, le dieu agreste Li-Shou avait les traits du chat et, en Inde, la déesse de la fécondité Sasti était l’équivalente de Bastet.

Les chats jalousement gardés par les Égyptiens furent, lors des échanges culturels et commerciaux, volés par des Grecs à Louksor et à Thèbes et introduits par la suite en Europe. La légende veut que la mésentente entre Rome et l’Égypte ait eu pour origine le chat. Lorsque César occupait les bords du Nil, en 47 av. J.-C., un Romain qui avait tué un chat fut lapidé par les habitants d’Alexandrie, qui se soulevèrent contre l’occupant. Les hostilités se poursuivirent jusqu’à la mort de Marc Antoine et de Cléopâtre. Dès lors, le chat fut proscrit dans l’Égypte devenue romaine. Légende ou réalité, cela démontre la puissance représentée alors par le chat. En Grèce, l’équivalent de Bastet était la déesse Artémis, qui créa le chat.

Le monde romain, comme l’atteste Pline l’Ancien dans ses Histoires naturelles, avait appris à apprécier le chat non seulement pour ses qualités de chasseur mais également pour sa beauté (de nombreuses fresques et mosaïques en témoignent) et son esprit indépendant. Il incarna alors la liberté.

Les colons romains ont donc propagé en Europe le culte de Bastet (même transposé à celui de Diane), ce qui sans doute est une des bases de la superstition attachée à cet animal en Europe.

Au Japon, le chat fut introduit vers le VIe siècle, et la coutume voulut que chaque temple en possède deux afin de préserver les manuscrits des souris. Selon la légende, l’empereur Hidi.jo, adorateur des chats, ordonna de les choyer. À tel point que, lorsque l’on eut besoin d’eux pour préserver les vers à soie contre les souris, afin de ne pas les déranger on utilisa un subterfuge consistant à peindre des chats sur les portes ou à placer des statuettes en bronze, en porcelaine ou en bois. Bien évidemment cela s’avéra peu efficace, et le chat devint l’incarnation d’un démon impuissant, méchant et égoïste.

Les Japonais du Moyen Âge distinguaient les chats porte-bonheur par leur pelage ’écaille de tortue’ (blanc, noire et fauve) et les chats maléfiques par leur queue fourchue et leur capacité à se transformer en sorcières. Mais l’animal connut à nouveau une heure de gloire qui interdisait d’enfermer les chats adultes. L’adoration japonaise pour le chat ne revêt pas par contre l’aspect d’un culte. Les adeptes du yoga en appréciaient la position du sommeil (couché en rond), idéale pour la régulation du fluide vital. Symbolisant la pureté, il sera l’intercesseur entre Bouddha, parfait et unique, et son peuple de fidèles. Pourtant, lors de l’accession de Bouddha au nirvana, il se serait assoupi et arriva donc en retard à la cérémonie, ce qui fut considéré comme bien irrévérencieux.

Les Arabes du VIIe siècle voient dans le chat une âme pure, contrairement à celle, impure, du chien. Ils adoraient le Chat d’or avant l’Islam, et Mahomet porta également un regard bienveillant sur l’animal. En effet, la légende veut que sa chatte, Muezza, s’étant endormie dans la manche du prophète, celui-ci préféra couper son habit plutôt que de déranger sa compagne. La chatte en fut reconnaissante. Son maître passa alors affectueusement trois fois la main sur son échine, lui conférant ainsi la faculté de toujours retomber sur ses pattes et celle d’avoir sept vies.

En Gaule, il ne fut porté que peu d’intérêt au chat au IVe et au Ve siècle. Il fut considéré avec plus de sympathie en Europe septentrionale qu’en Europe méridionale. La Germanie l’appréciait pour l’avoir débarrassée du rat et, en Scandinavie, il accompagnait la déesse de la beauté et de l’amour Freja, ou Freyja dans d’autres pays nordiques.

Les hordes de barbares venues d’Asie avec la peste et le rat brun vont répandre des chats dans toute l’Europe. Ils se vendront à prix d’or et bénéficieront de lois protectrices afin de combattre les rongeurs. Par exemple, celui qui tue le chat gardien d’un grenier devra payer une amende en viande, en laine, en lait ou en blé équivalant à la hauteur du cadavre de la victime tenue par le bout de la queue, la tête affleurant le sol. Mais cette période bénéfique au chat va s’éteindre avec la venue du christianisme au cours des XIe, XIIe et XIIIe siècles, sauf à l’époque des croisades qui ramènent des rats noirs. Les ténèbres vont en effet recouvrir le chat, jugé orgueilleux. L’Église attribua au chat des pouvoirs étranges et maléfiques afin de détruire le mythe de cet animal et ses différents cultes païens. Elle ne pouvait que s’opposer à ce félin symbole de la féminité, de la sensualité et de la sexualité.

Des centaines de milliers de chats furent pourchassés, crucifiés, écorchés vivants, jetés dans les brasiers car ils étaient les compagnons des sorcières qui se rendaient d’ailleurs au sabbat déguisées en chattes noires. C’est à ce titre qu’ils devaient partager leur sort. La justice soutint le clergé dans sa lutte contre la débauche, au nom de l’élévation de l’esprit. Elle n’hésita pas à impliquer directement des chats dans ses procès contre la sorcellerie. L’Inquisition permit des débauches de violence à l’égard de cet animal, tels les redoutables jets de chats vivants dans les feux de la Saint-Jean ou les foires, véritables chasses aux chats dans les Flandres. La Belgique jetait ses chats du haut des tours des cathédrales, l’Allemagne imposait aux propriétaires de ces félins de leur couper les oreilles. La France n’était pas en reste, et la coutume voulait que l’on emmure un chat vivant dans les fondations d’une maison afin de la protéger du mauvais sort. Les chats furent exterminés à un point tel qu’ils figureront en Europe comme une valeur réelle sur le détail des inventaires, des testaments et des successions

Le Moyen Âge perçoit donc le chat comme le symbole du mal et de Satan.

Une fois encore, c’est une invasion de rats, le rat gris cette fois (ou rat d’égout) en 1799 qui valut au chat un début de réhabilitation. Un édit de Colbert ordonna aux navires de la Marine royale d’emporter deux chats à bord pour lutter contre les rongeurs.

Le siècle des Lumières va vouloir démystifier tout ce qui avait trait à la sorcellerie.

Vers 1885, l’ère pastorienne contribue également au retour en grâce de ce félin. Sachant que les maladies peuvent se transmettre par des êtres infiniment petits, les microbes, une phobie se développe contre les animaux, véhicules potentiels. Mais le chat, qui passe des heures entières à faire sa toilette, est donc un symbole de propreté et devient l’animal le plus approchable. Alors commence une autre période de gloire : sculpteurs, peintres, conteurs, fabulistes, philosophes, poètes, écrivains illustrent le chat, parfois compagnon de leur solitude.

Le chat peut être à la fois symbole bénéfique et maléfique. L’art illustre les différentes périodes traversées par ce félin et témoigne de la richesse du regard que l’homme porte sur lui.

Source : http://echange-spirituel.kazeo.com/le-chat-et-sa-symbolique-a120436200

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10.
Psychanalyse - Le symbolisme des animaux d’après Barbara Hannah – Présentation d’ouvrage Postface d’Élisabeth de Fontenay – Page de couverture – Document ‘cgjung.net’ –

Avant-propos de Monique et Michel Bacchetta - Préface du directeur de collection de l’édition en langue anglaise, Emmanuel Kennedy-Xypolitas - Préface de l’éditeur en langue anglaise, David Eldred. Cet ouvrage prend sa source dans plusieurs séries de cours sur le symbolisme des animaux, données par Barbara Hannah à l’Institut C.G. Jung de Zurich, entre 1950 et 1960. Éditions La Fontaine de Pierre - 490 pages - 15 cm x 22 cm Traduit de l’anglais par Françoise de Coudenhove avec la participation de Monique Bacchetta

David Eldred, éditeur en langue anglaise, donne le ton : ’Assister aux cours de Barbara Hannah relevait du pur plaisir. Il suffisait de bien s’installer, de goûter à la présentation et au développement du sujet et de se laisser stimuler par sa chaleur, son sens dramatique et son humour, son ironie. On n’avait aucune peine à suivre ses cours du début à la fin, et l’on n’avait pas besoin de laisser vagabonder son esprit.

Barbara Hannah connaissait parfaitement bien son sujet, ajoutait spontanément des réflexions et des anecdotes, et improvisait librement. Elle n’était pas du genre à être impressionnée par la prolixité et l’érudition et avait le don de rendre la psychologie analytique vivante, pour les savants comme pour les nouveaux venus qui abordaient la pensée junguienne.’

Monique et Michel Bacchetta précisent dans l’avant-propos : ’C.G. Jung lui-même s’est très souvent penché sur le symbolisme des animaux, et Barbara Hannah s’appuie également sur les écrits de Jung et des alchimistes pour tenter d’éclairer, à l’aide de la chatte ou du cheval, du taureau ou du lion, des mouvements d’humeur ou des états d’esprit mystérieux, des passions comme des paresses, des aspirations créatrices ou des profondes détresses. Ce que nous vivons, qui nous habite, plonge des racines dans les profondeurs de l’inconscient. Grâce à la présence d’animaux secourables ou redoutables, le dynamisme qui est à l’œuvre en nous trouve à s’exprimer, il s’apprivoise, son langage se déchiffre, et un dialogue s’instaure, comme si un lien de plus en plus étroit parvenait à se forger entre le conscient et l’inconscient, comme si une complicité se créait, une connivence.’

Suivent de nombreux extraits … Détails à la source.

Les cours de Barbara Hannah s’inscrivent dans la même veine que ceux donnés par Marie Louise von Franz, qui ont été le support d’un grand nombre d’ouvrages (en particulier sur les contes de fées).

Le chat, le chien et le cheval - Extrait cdu sommaire concernant le chat

I. Introduction II. Le chat : notes sur ses caractéristiques biologiques
III. Le chat : sa nature maternelle et perfide
IV. Le chat : rage et émotion
V. Le chat : bien-être et paresse
VI. Le chat : indépendance et autonomie ….

Barbara Hannah (1891-1986) (photo) a été une proche collaboratrice de Carl Gustav Jung ainsi qu’une amie de sa famille. Analyste, chargée de cours à l’Institut C.G. Jung de Zurich, conférencière, elle a explicité certains aspects de la psychologie des profondeurs comme l’imagination active, ou l’animus et l’anima.

Autre lecture

https://www.cgjung.net/images/fleche2.gif Jung sa vie et son oeuvre

Page d’accueil Actualité du site Qui est Carl Gustav Jung ? Ouvrages de C.G. Jung Stages proposés Lieux de vie de C.G. Jung Ressources Marie Louise von Franz Liens vers d’autres sites jungiens Mandalas en fond d’écran Qui sommes nous ? Nous adresser un message

Source : https://www.cgjung.net/publications/le-symbolisme-des-animaux-barbara-hannah.htm

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11.
Une approche psychanalytique - Quand le chat est là... par Valentine HAGMANN 34, boulevard Saint-Jacques 75014 Paris et Benoît SERVANT 53, boulevard Henri-Sellier 92150 Suresnes – Document ‘CAAIRN.info’

Résumé – Français - Les auteurs défendent l’idée, à partir des récits d’un traitement institutionnel d’adolescent en hôpital de jour et d’une cure analytique individuelle d’adulte, que le symptôme « inhibition » se rencontre, s’il est majeur, quand le sujet est soumis, dans sa relation avec l’objet, à un dilemme séduction-excitation/inhibition. Celui-ci résulterait d’une difficulté d’utilisation de l’objet. Parallèlement, la représentation se fait meurtrière de l’objet au lieu de permettre l’irrigation vivifiante réciproque entre Moi et non-Moi. Réciproquement, la levée de l’inhibition peut résulter de la co-création par le patient et l’analyste, ou l’équipe soignante en institution, d’un espace de représentation qui permet au sujet de se nourrir à nouveau du monde et de l’investir en retour.

« Quand Margot dégrafait son corsage Pour donner la gougoutte à son chat, Tous les gars, tous les gars du village, Étaient là, la la la la la la Étaient là, la la la la la. » Georges Brassens.

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Quand le chat est là... les souris ne dansent plus, sous-entend l’adage. Tant que le chat de Margot n’aura pas été « immolé » par les femmes « ivres de colère », tout s’arrête au village, en ce fatal enchaînement qui, de la perte de sa mère par le chaton, conduit Margot à lui donner son sein, et la population mâle tout entière à se retrouver « là, la la la la la la », saisie « par les charmes du joli tableau ». Inhibition massive, brutale et généralisée, dont la cause première serait l’apparition, dans les deux cas (souris et village), du « chat ».

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Pourtant, la chanson de Brassens présente au premier abord, comme en témoigne sa musique entraînante, une tonalité plus amusante et légère que grave. Nous sommes nous-mêmes pris sous le charme du déplacement métaphorico-métonymique du poète : coussin-sein-téton ; chat-chatte-sexe féminin ; la (de « la la la la la la » et donc de l’expansion joyeuse) – là (planté « là » et ne pouvant s’arracher au spectacle) – voire las (épuisé par cette excitation sans résolution).

3

Le dénouement cruel nous oblige néanmoins à reconnaître le drame sous-jacent. Ce grand désordre ne pouvait durer. Le sacrifice du chaton permettra aux hommes de reprendre leurs activités et à Margot de se trouver un mari.

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De ce grand désordre, nous pouvons remarquer, point décisif pour notre travail, qu’il tient à ce qu’une excitation devenue immaîtrisable se traduit par une inhibition complète (quant aux buts sociaux habituels). Et que cette excitation résulte elle-même du court-circuit transgressif dans la satisfaction des besoins par l’utilisation d’un objet inadéquat, inassimilable, par chacun des protagonistes : le sein sans lait de Margot pour le chaton, le chat et le regard des hommes en guise de mari pour Margot, « les charmes du joli tableau » en place de femme pour « tous les gars du village ». Pour ces derniers, sous le plaisir voyeuriste, perce la rage envieuse du « complexe fraternel » décrit par saint Augustin.

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Dans ces conditions, l’excitation (et l’inhibition qui en est la conséquence sur un autre plan) ne peuvent que croître jusqu’au paroxysme et ne cesseront que par le recours à un autre court-circuit (l’immolation du chaton).

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La fin de la chanson laisse persister une certaine ambigu ïté : certes tout le monde a repris sa place, mais les vieux « racontent encore à leurs p’tits enfants » l’événement avec nostalgie... tout comme nous-mêmes continuons à nous fredonner cette chanson avec une innocente allégresse. Le ressort de cette séduction persistante ne tiendrait-il pas à ce qu’elle laisse, au premier degré, imaginer un monde dans lequel la poussée constante de la pulsion trouverait enfin l’apaisement de la satisfaction ? Cet apaisement ne pourrait lui-même venir que de la résolution de l’écart entre l’objet partiel et l’objet total, de la réduction de la tension entre l’assimilation de l’identité de perception et la séparation de l’identité de pensée (A. Gibeault, 1989). Son impossibilité in fine n’est en effet attribuée qu’à l’intervention persécutrice des femmes jalouses (et non à une impossibilité « de nature »).

7

Mais, a contrario, on peut penser que, en tant que chanson, paroles (et on peut apprécier combien celles-ci usent de la « licence poétique ») et musique (particulièrement efficace ici), elle est une preuve éclatante des bienfaits de la symbolisation et de la « voie longue ».

8

Dans ce travail, nous voudrions défendre l’idée, à partir de notre double expérience de cures analytiques individuelles d’adultes et de traitements institutionnels d’adolescents en hôpital de jour, que le symptôme « inhibition » se rencontre, quand il est majeur, tout particulièrement dans des conjonctures cliniques où le sujet semble soumis, dans sa relation avec l’objet, à un dilemme séduction-excitation/inhibition. Ce dilemme résulterait, à partir de son histoire, d’une difficulté d’utilisation de l’objet, qui rend celui-ci peu assimilable, maintenant ainsi à l’excès le vif de son altérité, ne laissant au sujet le choix qu’entre une incorporation-fusion, au risque d’un vécu d’envahissement et de dépersonnalisation, ou une inhibition protégeant mieux son intégrité, mais au prix d’un appauvrissement libidinal et narcissique.

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Précisons que la première alternative (la séduction) peut s’accompagner elle-même d’une inhibition : inhibition « aiguë », « signal d’alarme », que provoque la mise en danger par l’intrusion effractive de l’objet dans son altérité. C’est celle des gars du village dans la chanson de Brassens, ou celle de Phèdre à l’apparition d’Hippolyte :

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« Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. / Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ; / Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; / Je sentis tout mon corps et transir et brûler. »

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Dans la seconde alternative, il s’agit au contraire d’une inhibition plus organisée, à fonction défensive, visant précisément à empêcher le retour de l’expérience de séduction traumatique.

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Si la première nous intéresse sur le plan psychopathologique, la seconde nous occupera davantage, car c’est surtout à elle que nous avons affaire dans nos entreprises thérapeutiques, elle qui, solidement installée car relativement efficace, devra être patiemment levée. Dans la chanson de Brassens, l’agir radical des femmes du village permet de faire l’économie de cette stratégie coûteuse.

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Nous verrons que, chez ces patients, l’acuité de l’antagonisme narcissico-objectal va de pair avec un destin particulier de la fonction représentative. Celle-ci, infiltrée par celui-là, viendra l’aggraver en retour : la représentation se fait meurtrière de l’objet au lieu de permettre l’irrigation nourricière réciproque entre Moi et non-Moi. Sein sans lait, poitrine offerte aux regards mais sans plus, hommes indisponibles, l’histoire ne pouvait que mal finir, la frustration accumulée se déchaînant en rage destructrice.

Sous-titres de la suite dont les résultats sont à retrouver à la source :

STÉPHANE JOUE AU CHAT ET À LA SOURIS

LONGTEMPS, ANNA A DONNÉ SA LANGUE AU CHAT

ANNA RETROUVE SA LANGUE, ET SON PETIT

CONCLUSION

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Dans ce travail, nous avons tenté de comprendre l’inhibition symptôme en la rattachant d’abord à une difficulté d’utilisation de l’objet, de son appropriation subjective, qui confronte le sujet à un dilemme séduction-excitation/inhibition. Nous avons illustré cette conjoncture clinique par le récit de deux traitements : le premier, d’un adolescent suivi en hôpital de jour ; le second, d’une adulte en cure analytique. Il nous est apparu que, dans ces deux cas, la fonction représentative était altérée, ce qui contribue à l’état d’inhibition : au lieu de favoriser les échanges avec le monde extérieur, la représentation est « enrôlée » par le sujet pour servir ses défenses par déni, clivage, projection. Elle s’y appauvrit considérablement à cette occasion, tombant elle-même sous le coup de l’inhibition.

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Réciproquement, la levée de l’inhibition peut résulter de la co-création, par le patient et l’analyste, l’équipe soignante en institution, d’un espace de représentation partagée qui permet au sujet de se nourrir à nouveau du monde et de l’investir en retour. Il s’agit alors, en s’appuyant sur la dynamique transféro-contre-transférentielle, de rétablir une fluidité dans le déplacement métaphorico-métonymique qui permet de constituer une aire intermédiaire entre conscient et inconscient, Moi et non-Moi, le sujet et ses objets, ipséité et altérités externe et interne. Cette circulation vivifiante est la condition d’un investissement durable du monde par le sujet. Elle nous paraît parfaitement illustrée par l’un des poèmes des Fleurs du mal de Baudelaire intitulé « Le Chat ».

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Pour les commentateurs autorisés, il s’agirait du chat de la maîtresse de Baudelaire, Marie Daubrun – et, à travers celui-là, d’une métaphore de celle-ci. Chat, femme aimée, mais explicitement transmués par le poète en ange, fée, dieu, « esprit familier du lieu ».

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Objet externe et interne à la fois ( « Dans ma cervelle se promène... » ), dont le miaulement, « [voix] toujours riche et profonde [...] endort les plus cruels maux / Et contient toutes les extases ».

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Comment mieux figurer la réconciliation de l’objet et du sujet par la magie d’une représentation vivante et inspirée ?

« Quand mes yeux, vers ce chat que j’aime

Tirés comme par un aimant,

Se retournent docilement

Et que je regarde en moi-même,

Je vois avec étonnement

Le feu de ses prunelles pâles,

Clairs fanaux, vivantes opales,

Qui me contemplent fixement. »

Source : https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2009-2-page-415.htm

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12.
Les chats noirs : La journée internationale - Rédigé par La Maçonne et publié depuis Overblog - 17 Août 2016 – Illustration avec 3 chats.

La journée internationale de tous les chats est fixée le 8 août … et je l’ai manqué. Par chance, la communauté internationale offre une journée de rattrapage pour les distraits, celles et ceux qui sont plus « chiens » et qui n’ont pas de compte Facebook. C’est aujourd’hui la journée spéciale pour se faire adopter par un chat noir. Autrement dit, c’est le « Black Cat Appreciation Day »

En fait, ces journées ne sont pas dédiées aux propriétaires de chats qui souhaiteraient plutôt que leurs charmants félins en célèbrent une à leur intention tant ils en sont les esclaves, mais pour tous les autres – les méprisants du chat, les «  ceux qui ne les comprennent pas », les «  qui les préfèrent en photo  », … La journée spéciale « chats noirs » – quand je dis noir, c’est noir – concerne les superstitieux, ceux qui croient aux sortilèges, aux mauvais oeil et au diable. Les sorcières ne sont pas obligées de la célébrer, d’autres dates sont prévues pour elles.

Les chats, ces extraterrestres.

Avoir un chat – et certains fous ont été adoptés par plusieurs – est un sacerdoce de tous les instants. Mes propres parents – pourtant « très chien » à l’origine – en sont à prévenir tous leurs invités potentiels d’une présence éminemment féline et capricieuse, cheftaine de la maison y allant même d’un petit poème. Ils sont tombés dans un piège infâme en rencontrant une chatte trois couleurs sur un toit. Ils m’ont fait traverser la région de toute urgence pour contempler la bête âgée de 5 semaines. Je fus même contrainte à lire un calendrier pour lui trouver un nom décent. C’était fichu. Le chien, lui aussi, s’est laissé prendre. Alors que dans tous ses rêves de chien, il en croquait un avec délice, il lui a laissé les trois-quarts de sa couverture préférée tout en lui apprenant le concept philosophique de la clenche et à planquer ses jouets sous les tapis. Ainsi, ceux qui ont failli être des « ouvreurs de portes du chat de la maison » sont devenus frileux, poseurs de verrous et idolâtres. Je me contentais d’avoir des parents simplement francs-maçons.

Je suis victime du même chat depuis presque 20 ans. A l’heure où j’écris ces lignes, il est installé sur sa chaise agrémenté d’un cousin et d’un plaid, m’observant le regard en biais, Ah ! les yeux des chats ! Il est devenu, dans mon entourage, une légende. Ce vieux chat renverse encore les cruches, verres et vases pour jouer dans l’eau - plus jeune il aimait les douches - attrape mon crayon lorsque j’écris ... et considère un clavier d’ordinateur comme un rival pour les caresses que je ne lui fais pas. Possessif, il reçut avec philosophie - partageant gamelles et cousins - deux autres chats, dont Frimousse, décédée ce début de mois de juillet.

Pour en avoir rencontrer plusieurs, ce qui fais mon étonnement est la diversité de leur personnalité. Contrairement au chien, un chat ne ressemble pas à son maître. Il n’entre pas dans ’son moule’ ou ’son monde’, ne se plie pas à ses volontés et sait d’ailleurs se trouver un autre ’chez lui’ si celui qu’il lui est proposé ne lui convient pas. Un chat vous rappelle que bien des choses dans ce monde échappent à votre contrôle. Lui, le premier.

Chat domestique, cet éternel sauvage.

Le chat aurait été domestiqué depuis 10 000 ans par l’être humain. Mais peut-on vraiment parler de domestication ? En effet, le chat sait très bien vivre sans l’homme, retournant à l’état sauvage une fois qu’il s’en sépare. Les scientifiques ne sont pas, d’ailleurs, d’accord. Quant à moi, je les considère sauvages, momentanément avec nous pour le seul plaisir de notre compagnie. On se rassure comme on peut.

L’origine du chat domestique (des nôtres) est le chat sauvage, mais pas n’importe lequel : le Felis ly­bica des déserts d’Israël, des Emirats ou de l’Arabie Saoudite. Le chat domestique a pour origine le Moyen-Orient comme l’écriture. C’est un comique de situation que bien des écrivains apprécieront. En effet, de grands noms de la littérature en possédaient un ou même plusieurs dont on conserve les noms avec humour. Celui de Montaigne s’appelait Madame Vanity, Chanoine et Mouche pour Victor Hugo, Beppo pour Byron, Micetto, chat qui fut celui du pape Léon XII mais aussi de Chateaubriand et une Lilith pour Mallarmé

Comment ces chats sauvages se sont rapprochés de l’homme ? Les animaux domestiques sont des animaux, qui, à l’état sauvage, vivaient en troupeau. Il suffit pour les domestiquer de maintenir un troupeau et de leur assurer les soins nécessaires. Je dis cela ... mais personnellement, je n’ai guère fait l’expérience, n’ayant pas réussi à domestiquer mes chats.

Le chat est solitaire. Tous les propriétaires de chats le savent aussi : un chat ne se dresse pas. Il n’obéit pas aux ordres. Il ne vient quand on l’appelle que s’il le veut bien. Quant aux soins, lorsqu’il vit à la campagne, il n’a besoin que d’un coin douillet pour dormir ses 15 heures à 20 heures par jour. Je soupçonne mon vieux chat de dépasser son quota depuis longtemps.

La sédentarisation et l’agriculture a favorisé la présence d’autres animaux – qui disons-le – se sont montrés indésirables aux premières colonies humaines : les rongeurs qui trouvaient dans les greniers à grains de quoi prospérer. Les chats sauvages, quant à eux, y ont vu une source de nourriture. Les humains leur offraient un élevage de viande fraîche à la portée de leurs moustaches. Ils ont vite compris leur intérêt. Chasser, ça - c’est leur grand plaisir ! Je me souviens de cette petite chatte noire qui s’est installée chez moi en m’apportant une corneille plus grosse qu’elle (et encore vivante !) en guise de loyer pour mon petit-déjeuner, les yeux verts brillants de fierté. Un chat considère parfois que le régime alimentaire des humains laisse à désirer. Il apporte à ceux qu’il a adopté ses proies comme une maman chat le fait avec ses chatons. Entre vous et moi, nous sommes à leurs yeux les plus piètres chasseurs qu’ils connaissent. Cela fait 10000 ans qu’ils ont abandonné l’idée de nous apprendre un de leur tour.

L’humain d’il y a 10 000 ans ne pouvaient pas plus résister que nous à leur pouvoir d’attraction. Les égyptiens n’ont-ils pas fait du chat un animal sacré ? Le chat sauvage s’est rapproché des humains par simple opportunisme signant avec eux une sorte de contrat. Un contrat qui dure toujours. Fort heureusement, l’humanité a découvert en sus de l’agriculture, le feu et plus tard, le chauffage central. Tout ça pour vivre avec des chats.

Cela n’explique pas notre fascination actuelle qui remporte une palme avec le développement des réseaux sociaux et des vidéos personnelles, nous faisant tous passer pour des neuneus sauf celles et ceux qui ont un cœur de pierre, bien entendu.

Toutes les théories sont ouvertes sous le couvert de preuves pseudo-scientifiques jusqu’à prétendre que ce serait même une maladie infectieuse qui modifierait notre comportement ! Leur indépendance, leur beauté, leur personnalité, leur capacité à apprendre ce qu’ils veulent … il y a bien sûr des raisons rationnelles. Ces atouts sont aussi autant de motifs pour les détester. Innocent VIII, le pape de l’inquisition, en fit des envoyés du diable, organisant une véritable persécution.

Il est, pour celles et ceux qui ont la chance d’en avoir dans leur vie, cet animal secret et silencieux qui vous observe, philosophe, vivre votre vie sans vous juger. Je souhaite une bien belle journée à tous les amoureux des chats en général, noirs en particulier, et à leurs victimes consentantes.

Les chats noirs : LA journée internationale

Photo de chat et poisson - Source : http://lamaconne.over-blog.com/2016/08/le-chat-noir-une-journee-internationale.html

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13.
Les chats en franc-maçonnerie – « Encore des Chats-Maçons  ». Par Géplu dans Divers (origine « Le Blog maçonnique ‘Hiram.be’ »)

Nous vous avons présenté le 29 août le superbe livre de Jean-Marc Cybart et Serge Van Khache Chatoyants sont les 33 degrés du REAA. – Illustration.

Aujourd’hui c’est un autre Frère, Bernard Vercruyce qui nous enchante avec ses illustrations. Artiste peintre de profession et amoureux des chats, il a réalisé quelques œuvres mariant ses deux passions, les chats et la franc-maçonnerie.

Présentation artistique - En chapeau de cet article, ses Chavaliers Rose-Croix : Ses 3 chats (Zebulon, Marjolaine et Capucine) avec les symboles du 18° et en arrière plan l’église Saint Sulpice (6ème Paris) qui est « sensée » être l’église des Rose-Croix. Le cœur du fond de l’église dédié à Marie possède 4 cartouches du pélican nourrissant ses petits, nous dit-il.

Ci-contre une eau-forte réalisée en 1989 pour les 20 ans de sa loge L’Avenir Convivial, du Droit Humain à l’Orient De Cergy-Pontoise. Le chat représente le Maçon, la tortue l’apprenti, l’éléphant le compagnon (défense=levier), l’antilope la beauté, le bélier la force, le buffle la sagesse, la chouette la nuit, l’ara le soleil, et l’aigle bicéphale le symbole du REAA.

Sous la verrière du Grand-Palais de Paris, ce sont les 13 chats qu’il a eu dans sa vie entourés des symboles classique d’une loge bleue. Un seul symbole est alchimiste, à trouver facilement à côté du B à gauche et qui symbolise VITRIOL. A gauche, dans le symbolisme des fleurs d’alstroemeria, Beauté et fleurs d’oranger pour la pureté des sentiments. A droite les glaïeuls symbolisent la force. La chouette et l’ara pour la lune et le soleil naturellement… 

https://www.hiram.be/app/uploads/2017/09/sous-la-verriere.jpg

Présentation artistique de Bernard Vercruyce - Vous pouvez retrouver d’autres toiles portant sur les chats de Bernard Vercruyce sur son site. Source : https://www.hiram.be/blog/2017/09/11/encore-des-chats-macons/

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Annexe sur le génétique de la couleur du pelage chez les chats

14.
Pourquoi lee chats tricolores sont toujours des femelles ? Par Pauline Bonnet

Pourquoi les chats tricolores sont toujours des femellesIllustration - Voir les fiches de Chats

Vous avez sûrement déjà entendu dire que les chats à trois couleurs sont toujours des femelles. En êtes-vous sûr-e ? Ces chats sont-ils toujours des femelles ?

Cet article de ‘PlanèteAnimal’ vous explique pourquoi en détail afin de savoir s’il s’agit d’une caractéristique des femelles ou si, au contraire, les mâles peuvent aussi avoir un pelage tricolore.

Continuez à lire pour connaître la réponse à la question pourquoi les chats tricolores sont toujours des femelles.

Cela pourrait aussi vous intéresser : Des idées de noms de chat femelle

Index

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15.
Genetique de la couleur du pelage chez les chats - Véronique DUBOS - 02 janvier 2005 - Accueil Info génétique Voir à la source : http://www.elevage-du-chat.fr/gene-o-self-tabby.htm Retour au sommaire

16.
Génétique de la couleur de la robe du chat

Illustration chez le Siamois, l’Oriental, le Balinais et le MandarinLa couleur chez le chat est déterminée par 9 séries d’allèles agissant de manière indépendante, qui se combinent pour donner l’ensemble des couleurs de robe du chat.

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Auteur : Jacques HALLARD, Ingénieur CNAM, consultant indépendant – 07/08/2018

Site ISIAS = Introduire les Sciences et les Intégrer dans des Alternatives Sociétales

http://www.isias.lautre.net/

Adresse : 585 Chemin du Malpas 13940 Mollégès France

Courriel : jacques.hallard921@orange.fr

Fichier : ISIAS Créations artistiques Chat sur l’arbre dans le quartier Notre-Dame de France Avignon.2

Mis en ligne par Pascal Paquin de Yonne Lautre, un site d’information, associatif et solidaire(Vie du site & Liens), un site inter-associatif, coopératif, gratuit, sans publicité, indépendant de tout parti,

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